« Light is my inspiration, my paint and brush. It is as vital as the model herself. Profoundly significant, it caresses the essential superlative curves and lines. Light I acknowledge as the energy upon which all life on this planet depends ».
Ruth Bernhard
Ruth Bernhard est né à Berlin en 1905. En 1927, après deux ans à l’Académie de Berlin de l’art, Ruth a déménagé à New York où elle a commencé à poursuivre sérieusement une carrière dans la photographie.Huit ans plus tard, elle a rencontré Edward Weston en Californie et a été profondément ému par son travail.Il lui a révélé le potentiel créatif profonde de la photographie et de ses implications artistiques.Désireux de travailler avec lui, elle a déménagé à la côte Ouest peu après.
En 1953, elle se installe à San Francisco et est devenu un collègue d’Ansel Adams, Imogen Cunningham, Minor White et Wynn Bullock. Elle a enseigné et dirigé des master classes à travers les États-Unis à travers son 95e anniversaire.
C’est à l’âge de 24 ans que Ruth se met à la photographie professionnelle. En 1929, elle a prend un emploi en tant qu’ assistante de développement pour le magazine NewYorkais The Delineator, travaillant sous la supervision de Ralph Steiner. Mais elle n’ était pas très heureux dans cette fonction et rapidement elle quitte cet emploi. Avec son indemnité de départ, elle s’ achète un appareil photo et elle commence à prendre des portraits des amis de son père ( un cercle de designers et d’artisans.)
En 1935, Ruth rencontre Edward Weston sur une plage de Santa Monica, en Californie. C’est une rencontre qui va transformer et élever l’ensemble sa perception de la photographie. «Je n’ étais pas préparée pour une telle expérience , dira-t-elle. Voir ses photos pour la première fois fût pour moi quelque chose d écrasant. C’ était comme l’apparition de la foudre dans l’obscurité [ … ] Là, devant moi se tenait la preuve irréfutable de ce que je avais cru possible ».
si vous souhaitez en savoir plus sur sa biographie son oeuvre le wilkipedia qui lui est consacré est bien fait
« My quest, through the magic of light and shadow, is to isolate, to simplify and to give emphasis to form with the greatest clarity. To indicate the ideal proportion, to reveal sculptural mass and the dominating spirit is my goal. »
Ruth Bernhard
« For me, the creation of a photograph is experienced as a heightened emotional response, most akin to poetry and music, each image the culmination of a compelling impulse I cannot deny. Whether working with a human figure or a still life, I am deeply aware of my spiritual connection with it. In my life, as in my work, I am motivated by a great yearning for balance and harmony beyond the realm of human experience, reaching for the essence of oneness with the Universe. »
Ruth Bernhard
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All artwork is copyright of the respective artist or estate.
Marcel G. Lefrancq est un nom peu connu du surréalisme Belge et pourtant, il compte a son actif bon nombre de collages et de photographies ainsi que quelques objets témoins de ce mouvement en Belgique.
En 1939, il compta parmi les membres fondateurs du Groupe surréaliste en Hainaut. La même année, il est engagé comme photographe par l’IRPA, pour procéder à l’inventaire des oeuvres d’art risquant d’être détruites par la guerre qui s’annonce. En 1940, il publie à deux reprises des clichés dans L’invention collective, la revue belge dirigée par René Magritte ( voir les autres articles sur lui Ici) et Raoul Ubac ( voir les autres articles sur lui Ici), avec qui il est ami, puis il entre dans la résistance.
Après la dissolution du Groupe surréaliste en Hainaut, il participe à la création du groupe Haute Nuit, en 1947. Deux ans plus tard, Dotremont lui écrit pour proposer un rapprochement entre Haute Nuit et Cobra. C’est dans cet esprit que Lefrancq collabore aux numéros 2 et 6 de la celèbre revue Cobra.
La majeure partie de son oeuvre photographique est moins surréalistes ( les thématiques font plus penser à Brassaï, par exemple) mais ses collages ou objets, le restent. je vous propose quelques collages et photographies vous pouvez les retrouver sur le site que son fils à créer Ici (en petits formats).
Les photographies
à retrouvez pour celles datant d’aavant ou de 1948, dans le livre « Aux Mains de La Lumière, Images et Poèmes. Introduction by Armand Simon. Mons, France, Editions de Haute Nuit, 1948
Marcel G. Lefrancq – Portrait d’Akarova, 1938 Photomontage Akarova et le masque du diable dans l’histoire du soldat (Stravinsky) 1935
Marcel-G. Lefrancq -Étude de forme V, 1948(AUX MAINS DE LA LUMIÈRE. IMAGES ET POÈMES présentés par Armand SIMON. Mons (Belgique), Éditions de Haute nuit, 1948)
Marcel G. Lefrancq – La Loi de la Coincidences , 1948 from AUX MAINS DE LA LUMIÈRE. IMAGES ET POÈMES présentés par Armand SIMON. Mons (Belgique), Éditions de Haute nuit, 1948
Les Collages
Né en Moravie, Franz Fiedler (1885- 1956) est l’élève du photographe allemand Hugo Erfurth. Ce passionné de photographie est considéré comme un excentrique durant son apprentissage alors qu’il travaille avec les plus grands d’Europe de 1905 à 1911 dont le photographe Rudolph Dührkoop. C’est en 1911 qu’il gagne le premier prix de photographie de l’exposition de Turin , il se fait un nom et expose à Prague en 1913. Il fait parti du cercle intellectuel de Jaroslav Hasek et Egon Erwin Kisch et installe son studio à Dresde en 1916. A Partir de 1919, il se lie d’une grande amitié avec Mme d’Ora (Dora Kallmus) et son mari , et il commence à travailler avec un appareil photo de pliage 9 × 12 , et en 1924 il est l’un des premiers photographes professionnels à utiliser un Leica.
Le studio de Fiedler a été détruit le 13 Février 1945 et tout ce qui restait était une boîte de photographies qui a été déposé avec sa famille en Moravie. Après 1945, il n’avait plus son propre studio et a gagné sa vie en RDA comme auteur de livres sur la photographie.
Others articles about Franz Fiedler (1885- 1956)
Born in Sydney, Hilder has always been attracted to the exotic: the 1959 Brazilian classic, Black Orpheus, was the first film that influenced him. In 1969 he set up his own studio and became one of the most innovative fashion photographers of the time, working in Paris and Sydney. He took portraits of prominent identities and actors with the Sydney Theatre Company. Recently his photography has shifted more towards a romantic theme, suggesting the viewer has happened upon a scene in a film.
Brett Hilder – Italian Girl (« Como Fue »), A Story of Tina Modotti. A film [by Brett Hilder]. Print made Hill End 2002.
Posté Par le décembre 5, 2012
« Les conséquences de ce qu’on ne fait pas sont les plus graves. »MM
Marcel Mariën provocateur, libre, libertin, poétique , aimant les aphorismes à en crever, ne se revendiquant de rien sinon d’une désobéissance viscérale, et se présentant comme le père fondateur de la « Théorie de l’emmerdement maximal » ( abosulemnt fabuleux, n’est-il pas !!!) . Le faussaire surréaliste belge Marcel Mariën. Ecrivain, poète, essayiste, éditeur, photographe, cinéaste, historien du surréalisme, créateur de collages et d’objets insolites, est né à Anvers. il est La figure du Surréalisme Belge. Je ne vous refais pas sa biographie ni ne vous fais un copier coller de sa Bio sur wilkipedia, car l’article est très complet et je n’en sais pas plus ce l’auteur
Je me concentre aujourd’hui plutôt sur les photographies qu’il a réalisées dans les années 8à, mais vous présentent quelques collages et extraits de correspondance qui font l’objet d’un autre article. [ correspondances part I correspondance ici. ]
Pour ce qu’il en est de L’Imitation du cinéma [un des seuls films qui puisse être qualifié de surréaliste après Le Chien andalou et L’Age d’or, qualifié de « film ignoble et infâme « , par La centrale catholique, 1960 à sa sortie] vous trouverez de très bons sites en cherchant sur le net. aujourd’hui ce n’était pas notre propos mais je vous conseille celui- ci et je vous conseille le livre L’Imitation du cinéma Histoire d’un film ignoble ,Éd. La Maison d’à côté et vous pouvez le télecharger gratuitement sur les plateformes de télechargements ici par exemple ( c’est pas bien légal… mais)
Ceux qui devraient se regarder un peu le sexe dans un miroir pour voir si Freud mon compagnon de travail leur dit quelque chose… « Oh Miroir mon beau miroir quelle identité ai-je donc? qui suis-je? Est-ce mon sexe et donc mon narcissisme qui est bien le centre du monde? Pourquoi donc tant d’engouement soudain pour des figures dont on avait évoqué l’existence jusqu’à ces derniers jours? pourquoi , oui pourquoi? on reste dans le ton de ce maître-farceur de premier calibre qu’était Marcel Marïen
******************************* Les collages *******************************
Marcel Marien – collage accompagnant une lettre à Jacqueline La collection Jacqueline Nonkels, 30 Janvier 1938 plus sur cette correspondance ici
Marcel Marien – collage adressé à Jacqueline , 1938 plus sur cette correspondance ici
Marcel Mariën- Les touches du silence, poème sans paroles, 1937, collage, ( pour Jacqueline Nonkels his lover)La collection Jacqueline Nonkelsplus sur cette correspondance ici
Marcel Marien – deux collages adressés à Jacqueline , 1938La collection Jacqueline Nonkels plus sur cette correspondance ici
Marcel Marien – Le parallelogrammes des forces, Décembre 1937La collection Jacqueline Nonkels plus sur cette correspondance ici
Marcel Mariën’s reading of Breton’s famous book has resulted in a fascinating livre détourné. For the collages Mariën has used, among others, newspaper clippings and cut-up illustrations, a pebble, a dried flower and beads under cellophane, a vintage photograph of himself buried in the sand up to his head. Some pages bear traces of burning, two sheets are sewn with red thread, and ‘the reader’ has added several autograph texts and some small drawings. And two tipped-in envelopes, sort of prequels to the ‘mail-art’ of the 1970s. The first letter addressed to « Mr. André Breton / passant / Boulevard Bonne-Nouvelle / à Paris », annotated « déjà passé » and of course returned to sender by the postal service (on June 8, 1938), contains a typed letter of 2 pages in-8 with a schematic drawing, the letter relating in nearly-scientific detail a meeting that has not taken place between writer and addressee, although both were walking on the same side walk in opposite directions. The second letter was addressed to « Mademoiselle Nadja / au Sphinx-Hotel / Boulevard Magenta / Paris » and also returned (on May 2, 1938), Mrs. Nadja being unknown at the hotel. To this date, the second envelope still is unopened, and the mystery complete. But Mariën’s Nadja is a work of art with an open ending, as he has barred the printing information at the end except for the first word, changing it into ‘inachevé’. .(Source)
Marcel Marien – Collage et poème adressé à Jacqueline , 1938 plus sur cette correspondance ici
Marcel Marien – lettre à Jacqueline , 27 Fevrier 1938 plus sur cette correspondance ici
Carte Postale adressé à André Breton , evoquant l’expostion surréaliste à Bruxelles Bruxelles, 15 février 1946
Marcel Mariën- Le rubis de l’espérance, 1972 ( pour l’exposition les 4 verités du surréalisme, 1972) gazette drout
Le Vent se lève. Brux., Tom Gutt, 31 mai 1963, 2 ff. 8° de 8 pp. Tract cosigné par Yves Bossut, Freddy De Vree, Marcel Mariën, Philippe Soupault et bien d’autres.
en ce moment une Exposition à Bruxelles ( dont sont issues les deux dernières photographies que j’ai rahouté à l’article et une Galerie 100 Titres partenaire Ici
Marcel Mariën -J’ai rêvé d’une gomme…, 1955 Collage
Marcel Mariën L’esprit de l’escalier,. 1953.
Quelque aphorismes extraits de « Mettez un Kleist dans votre étang. A l’ombre de la proie, 1968″
Optimiste par désespoir.
Les grands malheurs font les beaux souvenirs.
La vie est interminablement brève.
Il manque au monde le commencement et la fin. Nous vivons dans le reste.
Il n’y a point de mensonge puisqu’il n’y a pas de vérité.
Je ne crois pas un traître mot de ce que je pense.
Réponses à une enquête niaise
pour d’autres oeuvres que je n’ai pas proposées dans cette article voir Drouot par exemple…. et Drouot encore André Breton.com
Ici Jacques Chancel dans Radioscopie interviewe Marcel M Lors de la sortie de son premier livre édité en France « Figures de Poupe »
Kitty Hoffman ( wien) Portrait of dancer Claire Bauroff as she poses, topless and with a spear, in a scene from a ‘Roman Gladiator’ tableau vivant, Vienna, Austria, 1934.
James Abbe Folies Bergère « tableau vivant spectacle desZiegfeld Follies ( costumes designed by James Ben Ali Haggi)
Benedykt Jerzy Dorys est principalement connu en tant que très grand portraitiste (photographique). Son studio, basé à Varsovie, déjà avant la guerre, était un lieu des plus tendance pour ne pas dire « branché » de la Ville de Varsovie et et se faire photographier Dorys n’était pas seulement de bon goût, mais révélait un signe d’appartenance à crème de la crème de l’époque.
Moins connues, mais tout aussi intéressantes sont ses photos de mode et ses quelques photos artistiques du corps nus. Dorys adorait les femmes et a su en sublimer toute les beauté et ce que je vous propose aujourd’hui à travers des portraits et des nus
Jerzy Dorys Benedykt- Act II, 1932
Yva {Else Neuländer-Simon } -Woman with Bare Breast. Circa 1927/28
Man Ray – Gala Dali and The Birth of Liquid Desires, 1935© 2011 Man Ray Trust
George Platt Lynes –Untitled , c. 1953