Archives de Tag: 1970s
Ruth Bernhard
« Light is my inspiration, my paint and brush. It is as vital as the model herself. Profoundly significant, it caresses the essential superlative curves and lines. Light I acknowledge as the energy upon which all life on this planet depends ».
Ruth Bernhard
Ruth Bernhard est né à Berlin en 1905. En 1927, après deux ans à l’Académie de Berlin de l’art, Ruth a déménagé à New York où elle a commencé à poursuivre sérieusement une carrière dans la photographie.Huit ans plus tard, elle a rencontré Edward Weston en Californie et a été profondément ému par son travail.Il lui a révélé le potentiel créatif profonde de la photographie et de ses implications artistiques.Désireux de travailler avec lui, elle a déménagé à la côte Ouest peu après.
En 1953, elle se installe à San Francisco et est devenu un collègue d’Ansel Adams, Imogen Cunningham, Minor White et Wynn Bullock. Elle a enseigné et dirigé des master classes à travers les États-Unis à travers son 95e anniversaire.
C’est à l’âge de 24 ans que Ruth se met à la photographie professionnelle. En 1929, elle a prend un emploi en tant qu’ assistante de développement pour le magazine NewYorkais The Delineator, travaillant sous la supervision de Ralph Steiner. Mais elle n’ était pas très heureux dans cette fonction et rapidement elle quitte cet emploi. Avec son indemnité de départ, elle s’ achète un appareil photo et elle commence à prendre des portraits des amis de son père ( un cercle de designers et d’artisans.)
En 1935, Ruth rencontre Edward Weston sur une plage de Santa Monica, en Californie. C’est une rencontre qui va transformer et élever l’ensemble sa perception de la photographie. «Je n’ étais pas préparée pour une telle expérience , dira-t-elle. Voir ses photos pour la première fois fût pour moi quelque chose d écrasant. C’ était comme l’apparition de la foudre dans l’obscurité [ … ] Là, devant moi se tenait la preuve irréfutable de ce que je avais cru possible ».
si vous souhaitez en savoir plus sur sa biographie son oeuvre le wilkipedia qui lui est consacré est bien fait
« My quest, through the magic of light and shadow, is to isolate, to simplify and to give emphasis to form with the greatest clarity. To indicate the ideal proportion, to reveal sculptural mass and the dominating spirit is my goal. »
Ruth Bernhard
« For me, the creation of a photograph is experienced as a heightened emotional response, most akin to poetry and music, each image the culmination of a compelling impulse I cannot deny. Whether working with a human figure or a still life, I am deeply aware of my spiritual connection with it. In my life, as in my work, I am motivated by a great yearning for balance and harmony beyond the realm of human experience, reaching for the essence of oneness with the Universe. »
Ruth Bernhard
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All artwork is copyright of the respective artist or estate.
Carlo Mollino Polaroïds et posts travaux.
Ces Choix sont non exhaustifs, et ne représente qu’une partie de l’immense travail de Mollino. les sources sont le musé qui lui est dédié, ainsi que le livre Polaroïds de Fulvio Ferrari & Napoleone Ferrari aux Editons Arena.( photo à la fin)

the polaroid of carlo mollino is presented inside the metal tube for the expossition Mollino fragments, Triennale de Milan, 2005

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Stan VanDerBeek (1927–1984)
« VanDerBeek studied art and architecture first at Cooper Union College in New York and then at Black Mountain College in North Carolina, where he met architect Buckminster Fuller, composer John Cage, and choreographer Merce Cunningham. VanDerBeek began his career in the 1950s making independent art film while learning animation techniques and working painting scenery and set designs for the American TV show, Winky Dink and You. His earliest films, made between 1955 and 1965 mostly consist of animated paintings and collage films, combined in a form of organic development.
VanDerBeek’s ironic compositions were created very much in the spirit of the surreal and dadaist collages on Max Ernst, but with a wild, rough informality more akin to the expressionism of the Beat Generation. In the 1960s, VanDerBeek began working with the likes of Claes Oldenburg and Allan Kaprow, as well as representatives of modern dance, such as Merce Cunningham and Yvonne Rainer. Building his Movie Drome theater at Stony Point, New York, at just about the same time, he designed shows using multiple projectors. These presentations contained a very great number of random image sequences and continuities, with the result that none of the performances were alike.
His desire for the utopian led him to work with Ken Knowlton in a co-operation at Bell Labs, where dozens of computer animated films and holographic experiments were created by the end of the 1960s. Between 1964 and 1967 Vanderbeek created Poem Field, a series of 8 computer-generated animations with Ken Knowlton.
During the same period, he taught at many universities, reserarching new methods of representation, from the steam projections at the Guggenheim Museum to the interactive television transmissions of his Violence Sonata broadcast on several channels in 1970. He ran the University of Maryland, Baltimore County visual arts program until his death.
His daughter is artist Sara VanDerBeek. » Wilkipedia

Stan VanDerBeek in front of Movie Mural. Installation view, Institute of Contemporary Art, Boston, 1968 more about his installation HERE and HERE
Martha Khun-Werber (1903 i 1990 ) Puppen // Poupées et d’art brut
Fille d’un sculpteur Martha prendra le même chemin que son père et se dirigera vers les arts. Elle sera peintre et sculpteur. Avant d’être réellement reconnue elle milite en compagnie de son futur mari Anton Weber et Erwin Enrouleur en écrivant dans la revue de gauche « Zalpo » dans les début des années 30. A partir de 1933 , installée à Berlin, elle peint en sculpte activement et expose à plusieurs reprises.
C’est en 1951 qu’elle crée sa première poupée, qui n’ont rien d’angélique, et qui n’ont pas l’apparence d’un jouet pour enfant, bien au contraire. Elles sont construites de matériaux de récuperations, morceaux de tissus, fils de fers, elles sont souvent difformes en expriment la douleur et plutôt effrayantes.
Ayant passé deux années à Paris durant ses études, elle décide d’y retourner en 1965, où sa notoriété explose grâce à ses poupées. C’est avec Friedrich Engelhorn, avec qui elle écrivait dans les années 3o dans « Zalpo », qu’elle ouvre la fameuse « Galerie 13 », en plein cœur de Paris, où seront exposés de façons permanente ses poupées mais aussi ses dessins et peintures.
Dès 1960, son fils Anton (Junior) prend des cliché de ses poupées, Lucien Clergue lui aussi séduit par ces étranges créatures en fera quelques photographies.
En 1973, réunissant le » tout paris », elle crée un événement à sa Galerie 13 et mettra en scène ses poupées en les mêlant avec le travail d’autres artistes qu’elle aime ( cf ci dessous par exemple la poupée crée pour illustrer Madame Edwarda de George Bataille).
Un livre paraitra suite à cette expsotion (qui n’est pas le catalogue) écrit en collaboration entre Martha et Antonio Gálvez pour les photographies et Severo Sarduy pour les poèmes , intitulé » Poupées de Marta Kuhn-Weber » Editeur Galerie 13, Paris, 1974 . Il est diponible à la BNF si vous avez l’occasion d’aller flaner à la bibliothèque là bas.
La dernière vente aux enchères de chez Ader a proposé le 5 Decembre 2013, 4 clichés que je vous montre aujourd’hui ( il est signifié que les photographies datent toutes de 1970, mais il sont réalisés antérieurement à l’exposition pour certaines , qui déjà ne date pas de 1970 comme indiqué , mais de 1973 ( bon çà fait un peu beaucoup d’erreurs pour le commissaire priseur…) et ainsi que quelque autres tirages dont certains scannés ( la photo qui illustrait l’affiche de l’exposition, et la Poupée de Madame Edwarda la couverture du livre… que j’avais en stock, c’est l’occasion de les sortir, mais je ne mets pas en ligne les scans du livres pour des raisons de copyright et pour des raisons autres)

Anton Weber Junior poupée Martha Khun-Werber, 1960 -70 vente Ader

Anton Weber Junior poupée appelée the Celestine Madame Edwarda Martha par Khun-Werber, galerie 13 exposition, 1973 ( scan personel d’un journal qualité faible)

Anton Weber Junior poupée Martha Khun-Werber, 1960 vente Ader

Couverture de « Poupées de Marta Kuhn Weber » , par Antonio Gálvez ( photographies) Severo Sarduy ( poésie) et Poupées de Marta Kuhn Weber ( texte) Editeur Galeie 13, Paris 1974

« Poupées de Marta Kuhn Weber » , par Antonio Gálvez( photographies) Severo Sarduy ( poesie) et Poupées de Marta Kuhn Weber ( texte), Editeur Galeie 13, Paris 1974
Gerard Petrus-Fieret (1924-2009)
Posted by on 31/08/2012 ( je le préciserai quelque fois, sachant que l’article est encore référencé sur archives du web comme plusieurs autres d’ailleurs, et pas seulement sur ce site, il suffit de taper la petitemelancolie.worldpress.com, pour voir apparaître des dizaine référencements dans les moteurs de recherche. ( vous cliquez sur le lien) .
Ce Site « archives du web » recueille les meilleurs articles et sites du net, ( donc cherchez le votre pour voir !) mais comme j’ai du tout recommencer grâce aux merveilleuses personnes malveillantes, je me fais une joie de le préciser. d’aucun penseront que j’ai un ego et qu’à l’instar de mr Petrus- Fieret, je suis paranoïaque, je m’en moque un peu à vrai dire. Les copiers – collers c’est tellement facile, les personnes qui postent sans savoir ce qu’ils font après tout, si çà plait à la majorité, c’est toujours la merde qui plait à la majorité, c’est par une révélation. les GENS aiment le 2, juste parce que les personnes veulent poster poster poster, dans une frénésie presque folle, alors qu’en cherchant ils trouverait les infos exactes.
(Par ailleurs les archives ayant étaient conservées malgrè tout par mes soins seront re postées dans l’ordre sauf pour cette fois).
Voilà je crois que j’ai fait honneur à Mr Gérard Petrus Ferret avec ce préambule , dont je vais vous parler aujourd’hui et je suis presque certaine que ce grand fêlé aurait bien aimé!
Gerard Petrus-Fieret a étudié la peinture et le dessin à l’Académie Royale d’Art (KABK) à la Haye immédiatement après la Seconde guerre mondiale. Du milieu des années 60 aux années 80, il s’est consacré principalement à la photographie, un moyen qui lui a permis de mettre en valeur tous ses talents créatifs. Au cours de cette période il a produit un flux constant et presque obsédant de photographies noires et blanches, tentant de saisir le monde qu’il l’entoure : Femmes, filles, enfants, animaux et scènes de la rue et sa propre image. Mais il a surtout photographié Les femmes et ce, pendant des rencontres informelles, et le plus fréquemment dans les poses sans complexes, intimes qui donnent une sensation de friser légèrement le voyeurisme.
Le travail de Gérard Petrus Fieret présenté ici datent des années 1960. Tout comme Miroslav Tichý ( d’ailleurs leurs œuvres respectives ont des similitudes), Petrus-Fieret n’a que peu daté son travail. Par contre il l’ a minutieusement tamponnés avec son nom et son adresse de manière plutôt paranoïaque, il faut bien l’avouer. il finira sa vie comme vous pourrez le voir plus bas dans les vidéo en ayant perdu sa tête, déambulant dans les rue et passant son temps sur sa bicyclette et à donner à manger au pigeon. La folie produit de grandes œuvres mais laisse les artistes dans de bien tristes situations parfois. l’écouter dans le documentaire est extrêmement touchant
Toutes les photographies sont (scans personnels) extraites du livre de Deborah Bell Photographs and Paul M. Hertzmann Inc – “Meeting Gerard Petrus Fieret photographs” ed° Suzan Herzig, 2003, publié conjointement à l’exposition “Gerard Petrus Fieret photographs” qui s’est déroulée en 2003 à la Galerie “Deborah Bell Photographs”, à New- york.

Gerard Petrus Fieret – Untitled Nude, 1970’s p02

Gerard Petrus Fieret- Untitled, 1960s
Vous puvez vous procurer la video qui suit en sa totalité Ici
Ladislav Postupa
Je vous propose encore une fois particulièrement les nus, mais comme ci mentionné plus haut, une large place aux objets est laissé dans son oeuvre, Il a également beaucoup travaillé sur des installations architecturales à grande échelle de photographies.
Robert Heinecken (1931-2006)
“Many pictures turn out to be limp translations of the known world instead of vital objects which create an intrinsic world of their own. There is a vast difference between taking a picture and making a photograph.” Robert Heinecken
Au cours de sa carrière, Robert Heinecken , a beaucoup amusé, instruit et souvent choqué à travers ses œuvres photographiques pointues et irrévérencieuses. En effet ses sujets étaient très provocateurs – la Guerre du Viêt Nam, la politique pornographique, sexuelle, le marché médiatique, que beaucoup de critiques et d’autres observateurs ont detesté ou adoré. Il a toujours était difficile de l’appeler “un photographe” au sens strict du terme , parce qu’il utilisait rarement un appareil photo pour faire ses images. Heinecken utilisait des moyens photographiques qu’ on pourrait considérer en marge, comme un artiste qui aurait utilisé la photographie seulement comme le moyen à une fin artistique. Les rares fois où qu’il utilisait appareil photo, c’était un Polaroïd pour ensuite re-photographier ces tirages avec d’autres photographies.
Heinecken est né à Denver, dans le Colorado, et fût le seul enfant d’un ministre Luthérien. En 1942 la famille déménage en Californie du Sud, où Heinecken, apres le lycée et ensuite le collège, il obtiendra un DEUG en Art en 1951. Pendant les deux annnéess suivantes, il étudie à l’Université de la Californie, à Los Angeles. En 1953, il fait son servive Militaire dans la Marine, où il apprend à piloter des avions. En 1954, il rejoint le Corps de la Marine comme un pilote de chasse.
En 1957, une fois dégagé de ses obligations, il integre l’université G.I. Bill, obtenant ainsi in, BA dans l’art en 1959 et MA l’année suivante. Tandis qu’ à l’ Université Heinecken se concentre surtout sur le travail du développement, il présentera pour son diplôme diplômé, il présentera un travail photographique aux idées pré pop art de Robert Rauschenberg et d’autres artistes qui utilisaient des images photographiques.
En 1960, Heinecken est nommé assistant formateur dans le Département d’Art à UCLA, enseignant le dessin, le design(la conception) et développement . En deux ans, il introduit un programme d’études photographiques pour le département et est nommé Professeur adjoint en 1962, pour les Licences. Pendant les trois décennies suivantes, l’influence d’Heinecken en tant que professeur fût profonde; il a encouragé ses étudiants à s’approcher de l’art – et particulièrement la photographie – dans un esprit d’expérimentation avec lequel, il s’est abordé de son propre travail. Favorisé en partie par les événements sociaux et politiques du jour – la Guerre du Viêt Nam, le mouvement de femme et la croissance de la contreculture – sa salle de cours est devenue un endroit pour le dialogue et l’auto-évaluation.
Quand Heinecken est apparu sur la scène de l’art de Californie du Sud au milieu des années 1960, il éxistait un nombre croissant d’ artistes qui avaient commencé à incorporer des photographies et d’autres images dans leur art comme une façon de renégocier la nature et la signification d’art contemporain. D’autres artistes de Los Angeles, comme Ed Ruscha et John Baldessari, pratiquaient la photographie comme un moyen d’art conceptuel. Inspiré par ces nouvelles approches, Heinecken a saisi l’occasion de transformer un moyen restreint et retenu par les principes d’un modernisme puriste en l’entrelaçant avec la culture populaire.
Pour arriver au-dessous de la surface, il crée une oeuvre qui regarde souvent au-delà de l’image que nous voyons initialement. Par exemple, en créant les copies de contact de pages de magazines, il présente une image qui est un composé des deux côtés de la page avec les résultats qui sont surréalistes, embrouillants, satiriques, comiques et culturellement critiques.
Il utilise un Cibachrome ou une technique Ilfochrome qui est une façon d’imprimer des images positives d’autre positif (traditionnellement une diapositive, mais aussi d’une empreinte de contact).
Heinecken a aussi conçu un système dans lequel il plaçait le film photographique sur l’écran de télévision et capturerait une image d’empreinte de contact de l’émission. Il a ainsi créé une série de ces “vidéogrammes” basés autour du discours inaugural de Ronald Reagan en 1980.
j’ai choisi de proposer principalement ses travaux tirés de ” Are You Rea” , d”Autoeroticism”, ainsi que ses “Etudes” qui me semblent être un bel exemple de son œuvre, plus quelques autres travaux.
[Throughout his career, Robert Heinecken (1931–2006) amused, educated, and often shocked viewers with his pointed, irreverent photographic works. So provocative were Heinecken’s subjects—the Vietnam War, pornography, sexual politics, the media marketplace—that many critics and other observers rank either as avid fans or staunch detractors. It has always been difficult to call him a “photographer” in the strict sense of the word, because he rarely used a camera to make his pictures. Rather, Heinecken worked on the fringes of the photographic medium, and in the margins of what might be considered acceptable subject matter, as an artist who used photography only as a means to an artistic end.
Heinecken was born in Denver, Colorado, the only child of a Lutheran minister. In 1942 the family moved to Southern California, where Heinecken attended public high school and then community college in Riverside, earning an Associate’s Degree in Art in 1951. For the next two years, Heinecken studied at the University of California, Los Angeles. He dropped out in 1953 to enlist in the United States Navy, where he learned to fly airplanes. In 1954 he joined the Marine Corps as a fighter pilot. When he was discharged in 1957, he returned to university on the GI Bill, earning a BA in art in 1959 and an MA the following year. While in school, Heinecken concentrated mostly on printmaking, but by the end of his graduate study, he was introduced to photography and to the pre–Pop art ideas of Robert Rauschenberg and other artists who were using photographic imagery.
In 1960, Heinecken was appointed as an instructor in the Department of Art at UCLA, teaching drawing, design, and printmaking. Within two years he had initiated a photographic curriculum for the department and was appointed Assistant Professor in 1962, overseeing a regular series of courses in undergraduate photography. Over the next three decades, Heinecken’s influence as a teacher was profound; he encouraged his students to approach art—and particularly photography—in the same spirit of experimentation with which he approached his own work. Fostered in part by social and political events of the day—the Vietnam war, the women’s movement, and the growth of the counterculture—the classroom became a place for dialogue and self-evaluation.
When Heinecken emerged in the Southern California art scene in the mid-1960s, he was one of a growing number of artists who had begun to incorporate photographs and other images into their art as a way to renegotiate the nature and meaning of contemporary art. Other Los Angeles artists, like Ed Ruscha and John Baldessari, practiced photography as a medium of conceptual art. Inspired by these new approaches, Heinecken seized the opportunity to transform a medium restrained at one time by the purist principles of modernism into one increasingly intertwined with popular culture.]

Robert Heinecken- Cliche-Verre, Autoeroticism, 1975.

Robert Heinecken, Cliché Vary, Autoeroticism, 1974, photographic emulsion on canvas and pastel chalk

Robert Heinecken, Cliche Vary: Lesbianism 1974 (photographic lithograph)

Robert Heinecken- Vary Clich/Fetishism; Vary Clich/Auto eroticism 1970-1974

Robert Heinecken – from 12 Figure Squares #2, 1967

Robert Heinecken- Are You Rea #20, 1964-68
Sowiński Michał
Zbigniew Łagocki (1927-2009)
Brassaï- Amuletta I, 1971 (Sculpture de Brassaï )

Brassaï- Amuletta I, 1971 (Sculpture de Brassaï )

Brassaï Vénus N°2, 1971.
Paul Wunderlich German (1927 – 2010)
« Born in Germany in 1927, painter, sculptor and printmaker Paul Wunderlich studied at the Hamburg Academy and after a three year stay in Paris returned to be Professor of the Art Academy there. He now lives and works in Hamburg and for part of the year in France. The German painter studied at the Kunstschule in the orangery of the castle of Eutin. In 1947 he went to the Hochschule fur Bildende Kunste, Hamburg, and studied graphic art. He extended his training by another semester to work under Willem Gremm. In 1951 he was offered a teaching post at the school, which he held until 1961.
In 1963 he became Professor for the Graphic Arts and Painting. Between 1951 and 1952, under the instruction of Emil Nolde and Oskar Kokoschka, he produced prints after their originals. In 1957 he created a series of Tachist paintings, for example S111/57 but he destroyed most of them later.
Towards the end of the 1950s he produced his first figurative prints and paintings. In the beginning their subjects were events from more recent German history, for example the set of lithographs 20 July 1944 (1959; Berlin, Gal. Brusberg), which depicted the execution of the men who had conspired against Adolf Hitler. This subject-matter was increasingly replaced by an eroticism that is partly Surrealist, partly decorative. In 1960 the public prosecutor of Hamburg confiscated such a series of prints.
Paul Wunderlich is professor of graphic art and painting at the University of Fine Arts, Hamburg, is a painter, sculptor and lithographer who lives and works for part of the year in Hamburg and the rest in France.
Married in 1963 to the photojournalist and fine art photographer Karin Szekessy (b. 1939, Essen), he sometimes paints and makes prints from the nude photographs made by Szekessy. Wunderlich belongs to the second generation of Fantastic Realists, sometimes called Magical Realists. These artists have remained faithful to the tradition although the imagery has remained contemporary.
![Karin Székessy Sans titre [Dans l'atelier de Paul Wunderlich]. 1969](https://lapetiitemelancolie.files.wordpress.com/2013/03/karin-szc3a9kessy-sans-titre-dans-latelier-de-paul-wunderlich.jpg?w=549&h=648)
Karin Székessy Sans titre [Dans l’atelier de Paul Wunderlich]. 1969 her Site
Paul Wunderlich, the most prominent among them, has developed a style slightly cooler in temperament and more analytical. Often borrowing from classical mythology, he emphasizes the human form within a context that blends together contemporary and historical references. With cool aloofness, Wunderlich transports the viewer into a world of surreal eroticism and aesthetic symbolism. Again and again, Wunderlich spices his Fantastic Realism with a startling dose of irony.
After Picasso and Max Ernst no other artist has contributed as much to the sculpture of painters as Paul Wunderlich. The themes for his sculptures and objects are closely linked to his paintings, drawings and lithographs. Wunderlich sculptures and objects combine the simplicity of an idea with the refinement of the material, and imagination with perfection in shaping something into a perfect form. As an artist, Paul Wunderlich has remained faithful to his own artistic visions.
Over a period of several decades, Wunderlich’s complex and comprehensive body of work has led to numerous exhibitions in museums worldwide. In 1994-95, he had retrospectives in several Japanese museums (Tokyo, Osaka, Hokkaido, Gifu). Wunderlich has been successful in numerous international print competitions and has received many awards. In 1964, he was awarded the Japan Cultural Forum Award, Tokyo; in 1967, he received the Award Premio Marzotti, Italy; in 1970, he was awarded the Gold-Medal in Florence, Italy; in 1978, he received Gold-Medals at the Grafik-Biennale in Taiwan and in Bulgaria.
He lived and worked in Hamburg and Saint-Pierre-de-Vassols (Provence), where he died after a short illnes »Rogallery

Paul Wunderlich Aus meinem Skizzenbuch, 1962 Aquarellierte Original-Lithographie für La Lune en Rodage

Paul Wunderlich Hingegossen II, Lithographie 1968//an example of its job inspired by that of his wife Karin
*****The Song of Songs Which is Solomon’s Aquarius Press, France, publisher. ten color lithographs *****

Paul Wunderlich – From The Song of Songs Which is Solomon’s, 1970 plate I with poems
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Francesca Woodman- Still from Francesca Woodman’s Selected Video Works (1975-78)
Francesca Woodman- encore de vidéo sélectionnée Travaux de Francesca Woodman (1975-1978) Ella Fontanals Cisneros Collection (MAXIMUM MIAMI par Walter Robinsonexhibition)
Paul Wunderlich – Sans titre [Nu], Litographie, 1970s
![Paul Wunderlich - Sans titre [Nu], Litographie, 1970s, Published in Paul Wunderlich - Karin Szekessy, “Convergences. P.,Ed° Cercle d’Art, 1980 ( first edition 1972)](https://lapetiitemelancolie.files.wordpress.com/2013/01/tumblr_mh19mw1u5h1qdy7vgo1_1280.jpg?w=550&h=742)
Paul Wunderlich – Sans titre [Nu], Litographie, 1970s, Published in Paul Wunderlich – Karin Szekessy (His wife), “Convergences. P.,Ed° Cercle d’Art, 1980 ( first edition 1972)
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Marcel Bovis (1904 – 1997)
Marcel Bovis (1904-1997) fût Diplômé de l’École des Arts Décoratifs de Nice en 1922. Il était un photographe autodidacte , passion qu’il a découverte lors de son service militaire. Il a acquis ses compétences par le biais de lectures , en échangeant avec d’autres photographes et par la pratique bien évidement. À partir de 1927, Bovis photographie Paris la nuit. Il aimait l’architecture et la plupart de ses clichés sont des prises de vues d’élément architecturaux, de vues de villes ( qui ont étaient légués aux archives du patrimoine architectural) . Il consacrait donc une partie de son temps à la photographie de rue.
De 1933 à 47 il collabore à Arts et Métiers Graphiques, et parvient donc a gagner sa vie comme photographe. Il a travaillé sur de nombreuses commandes privées et publiques pour des clients tels que Leica et Lancôme le Commissariat général au tourisme .
Il est le cofondateur en 1946 du très célèbre « groupe des XV », ( Marcel Bovis, Yvonne Chevallier, Jean Dieuzaide, Robert Doisneau ,André Garban, Édith Gérin,, René-Jacques (René Giton), Pierre Jahan, Henri Lacheroy (cofondateur), Lucien Lorelle, Daniel Masclet, Philippe Pottier, Willy Ronis, Jean Séeberger, René Servant, Louis-Victor Emmanuel Sougez, François Tuefferd), dont le but était de promouvoir la photographie en tant qu’art et d’attirer l’attention sur la sauvegarde du patrimoine photographique français.
Bovis est l’auteur ou co-auteur de plusieurs autres livres. Il aimait les foires et les cirques, et a publié un livre à leur sujet en 1948, appelé Fêtes foraines, La Photographie de paysage et d’architecture . chez Prisma édition,1948, Du Quartier latin au Jardin des Plantes .- Paris, Éditions Arts et métiers graphiques, 1948, l’Algérie et les théâtres, les musées et l’architecture de Paris.
Sur la fin de sa vie, Marcel Bovis a expérimenté le collage, et a utilisé ses clichés afin de composer de nouvelles œuvres en particulier son travail photographique sur le nu est beaucoup connu, pourtant de grand qualité [CF Ce Livre/ Marcel Bovis, Éditions La Manufacture, Paris, 1992 ] , en le mélangeant avec ses photos de rues, de fêtes foraines.

Marcel Bovis- photomontage Femme au parapluie, nu masculin académique, stand de tir, silhouette féminine 1990

Marcel Bovis- photomontageNu féminin dissimulé en partie par un tronc d’arbre, façade de maison 1970s

Marcel Bovis- photomontage Nu féminin, panneau de photographe extrait de la série sur les Fêtes foraines en arrière-plan. , 1990

Marcel Bovis- photomontageNu féminin, Deux messieurs en costumes de ville, un nu féminin sans tête ni bras, une vespasienne… 1975-80