
Alexander Hammid American (Linz, Czechoslovakia 1907 – 2004 New York, NY) Film production still portrait of Maya Deren (portrait of Maya Deren covered with gauze-like fabric), 1942-1947
Francesca Woodman-UNTITLED (CARYATID FIGURE FROM THE TEMPLE PROJECT), 1980
Wallace Berman est né en 1926 à New York et s’installe avec sa famille à Los Angeles, Californie, en 1930. Il a été expulsé de l’école secondaire pour les jeux, et s’il est impliqué dans le monde du jazz.Il s’est inscrit et a participé à la Jepson école d’art et Chouinard mais n’a pas terminé les études il y a. Au lieu de la poursuite d’un art officiel « carrière » il a travaillé dans une usine de finition des meubles. Ce travail lui a donné l’occasion de sauver rejeter les documents et de rebuts qui lui permet de rendre ses sculptures.
Wallace Berman appartient à cette frange d’artistes de la côte Ouest américaine qui, dans l’ombre des années cinquante et soixante forgent une culture ‘beat’ dont la littérature reste l’aspect le plus connu, mais qui s’élabora aussi dans le cinéma, la peinture, la photographie, les collages et les assemblages.Dans les années 1950, Berman est devenu profondément immergé dans le jazz et le blues, il a même écrit une chanson pour Jimmy Witherspoon et realisé la conception de plusieurs pochettes de disques.
En 1957, la Ferus Gallery de Los Angeles lui consacre sa première « et quasiment dernière » exposition personnelle. Les douze « Dessins parchemins » présents renouent avec ses origines juives : sur du papier teinté au brou de noix s’inscrit au hasard cet alphabet hébraïque qui, selon la Kabbale, constitue l’instrument privilégié de la mise en ordre et de l’interprétation du monde. De grands assemblages – à présent disparus – conjuguent par ailleurs constructions en bois, écriture, évocations religieuses et images érotiques qui provoquent la fermeture de l’exposition par les autorités.
Wallace Berman Ferus Gallery Exhibition, 1957 seule planche contact et race qu’il reste de cette exposition
De dépit, W. Berman quitte cette « cité d’anges dégénérés » pour s’établir à San Francisco où la culture ‘beat’ est mieux implantée. Il se repliera désormais sur ce milieu, se refusant à toute vie publique. Il se voue alors à une œuvre plus intime, souple dans sa conception, dans sa manipulation et sa diffusion, la revue « Semina » (1955-1964), dont il imprime les neuf numéros sur une petite presse rudimentaire. Sorte de « méta-collage », « Semina » résume à elle seule tant un certain milieu artistique que la démarche globale de W. Berman. Des pochettes réunissent sur des feuillets libres poèmes, photographies ou collages de W. Berman lui-même comme de ses amis ou des auteurs du passé qu’il admire (Philip Lamantia, Michael McClure, William Burroughs, Hermann Hesse, Antonin Artaud). L’artiste y décline les thèmes en germe dans ses travaux précédents : la drogue, la folie, la violence, la sexualité et l’art rédempteurs, une mystique du quotidien. Grand joueur lui-même, W. Berman propose ici des cartes que chacun peut disposer et ordonner à son gré, recréant indéfiniment l’œuvre.
De retour à Los Angeles en 1961, W. Berman se consacre principalement aux « Verifax Collages » (1961-1976), réalisés à l’aide d’une antique photocopieuse dont la neutralité mécanique va pondérer le contenu iconographique. Les visages effacés des premiers « Verifax » constituent autant une critique de la dépersonnalisation qu’un dispositif où chacun peut se projeter. Puis les images se précisent (clichés d’actualité ou historiques, figures de l’’underground’ ou des minorités, images sexuelles et sensuelles, armes menaçantes, symboles religieux, etc.), mais leur accumulation reste souvent hermétique, laissant volontairement libre cours à l’interprétation. Si les premiers « Verifax » rappellent fortement les « Parchemins », leur forme se structure ensuite pour proposer un véritable écran à nos projections individuelles : une main, démiurgique mais anonyme, manipule une radio dont le haut-parleur est remplacé par une image. Les « Verifax » zappent en silence sur les ondes de l’image. La répétitivité quasi incantatoire des derniers collages rythme un monde fragmenté et bégayant, suggère une distribution inépuisable mais aussi le flux de la pellicule filmique. il Collabore aussi à cette époque étroitement avec Robert Heinecken ( Article Ici et Ici) et Jay DeFeo avec qui il crée des oeuvres à deux mains.
Avant Fluxus et le mail-art, l’art de W. Berman se veut avant tout un mode de communication « naturel » et banal. « Art is Love is God » : comme le résume la devise de ce personnage déjà mythique de son vivant, l’art est une plaque sensible, un exercice spirituel de réception et de transmission du monde, un exercice d’inversion des valeurs visant à banaliser le sacré et à sacraliser le quotidien.
Il a fait son premier et seul film, Aleph, à partir de 1956-1966. Berman ne donne pas le film un titre, Se référant à elle comme « mon film » ou « mon film » et n’a jamais montré à un grand public, préférant à l’écran sur son studio mur sur la base d’un pour un. Le titre « Aleph » a été donnée au travail par Berman, le fils Tosh, après la mort de l’artiste. ( Tosh Berman écrit sur son père des dizaines d’articles ici, notamment sur sa passion pour le jazz mais aussi sur l’ensemble de son oeuvre)
Il a été tué dans un accident automobile par un conducteur en état d’ébriété en Topanga Canyon en 1976.
Mail Art
Wallace Berman-collage from 1963, bearing a note to curator Walter Hopps at the Pasadena Art Museumabout some Edward Weston prints
Wallace Berman- mail art for Wallace Berman holiday card to Jay DeFeo, 1970 Dec. 22.,Card features a black and white photo of rocks with white lettering in Hebrew Archives of American Art,
Wallace Berman Mail Art to Robert Duncan and Jess Circa 1962 (Collection Philip Aarons and Shelly Fox Aarons) Courtesy of the Crocker Art Museum
La revue « Semina » (1955-1964)
Wallace Berman with a copy of Semina no. 1 in the Stone Brothers Printing display window, 1957 -© J. Paul Getty Trust. Photo by Charles Brittin
Wallace Berman Semina 1,.jpgSemina cover with photograph of Cameron, 1955, Wallace Berman. Semina journal, no. 1 (1955)
Wallace Berman Semina two, ca. 1956 l’integralité du no Ici
Wallace Berman- Semina cover with Wife (photograph of Shirley Berman), 1959, Wallace Berman. Semina journal, no. 4 (1959)
Wallace Berman- Semina 8, 1963 voir l(integralité du no Ici
Verifax Collages
Wallace Berman, “Untitled” (two-ton rock, above and below), Verifax positive, with Polaroid transfer on magazine map.
Autres travaux photographies Collages, installations, poèmes
Wallace Berman, Papa’s Got a Brand New Bag, 1964. Mixed-media collage Collection of David Yorkin and Alix Madigan, Los Angeles. Courtesy the estate of Wallace Berman and Michael Kohn Gallery, Los Angeles.
Wallace Berman, Letter to David Meltzer (football players), 1962. Typed letter with photographic collage,
Wallace BermanUntitled (Art is Love is God), 1955, Robert Alexander. Wooden box, photograph, bullet, and paper ourtesy of Galerie Frank Elbaz and Michael Kohn Gallery.
Son Film
Serie Ecole Des Beaux Arts, 1974- 1980
Deborah Turbeville, planche contact, Ecole Des Beaux Arts,1977 from « Wallflower » (Hardcover – 1978)
Fashion
Deborah Turbeville, L’Heure Entre Chien et Loup, Ella, Anna, Isabelle, Fredericke and Robin in Valentino at the Bois du Faux Repos, VOGUE Italia, 1978 from Past
Deborah Turbeville, L’Heure Entre Chien et Loup, Blumarine, VOGUE Italia, Montova, Italy, 1977 from past imperfect
Deborah Turbeville, Women in The Woods, Ella, Anna, Isabella, Fredericke, and Robin in Valentino at the Bois du Faux Repos, VOGUE Italia, Montova, Italy, 1977
Deborah Turbeville, Isabella a in Blumarine, VOGUE Italia, Montova, Italy, 1977, from past imperfect
Deborah Turbeville, Women in The Woods,Isabella and Elle in Blumarine, VOGUE Italia, Montova, Italy, 1977, from past imperfect (2)
L’Heure Entre Chien et Loup, Women in The Woods Series by Deborah Turbeville for Vogue Italia, 1977 from the book of photographs, Past Imperfect
L’Heure Entre Chien et Loup, Blumarine, VOGUE Italia, for Vogue Italia, 1977 from the book of photographs, Past Imperfect
L’Heure Entre Chien et Loup, Women in The Woods Series by Deborah Turbeville for Vogue Italia, 1977_ from the book of photographs, Past Imperfect
Deborah Turbeville -L’Heure Entre Chien et Loup, Model Isabelle Weingartenclothing by Blumarine, Montova, Italy, Vogue Italia, 1977
Deborah Turbeville -The Staircase, Commes des Garcons, Passage Vivienne, Paris, 1980, from the book of photographs, Past Imperfect,(ed• Steidl, 2009)
Deborah Turbeville – The Staircase, Commes des Garcons, Passage Vivienne, Paris, 1980, Past Imperfect
Deborah Turbeville, The Staircase – Aurelia Weingarten in Commes des Garcons, Passage Vivienne, Paris, 1980
Deborah Turbeville, The Staircase, Aurelia Weingarten in Commes des Garcons, Passage Vivienne, Paris, 1980
Deborah Turbeville, For Charles Jourdan Mannequins in clothes by Betsy Johnson, Woolf Form Dummy Factory in New York, 1974, from Past imperfect
Deborah Turbeville, For Charles Jourdan, Clothes by Betsy Johnson, Woolf Form Dummy Factory in New York, 1974
Deborah Turbeville, For Charles Jourdan Candy Pratt, Betsy Johnson, Ti, Beverly Morgan, Mary Martz, and Christa in clothes by Betsy Johnson, Woolf Form Dummy Factory in New York, 1974
deborah turbeville- Bathhouse series, Vogue 1975. Photography by Deborah Turbeville, from past imperfect
deborah turbeville- Bathhouse series, Vogue 1975. Photography by Deborah Turbeville, courtesy of Staley-wise Gallery, New York.
deborah turbeville- Bathhouse series, Vogue 1975. Photography by Deborah Turbeville, courtesy of Staley-wise Gallery, New York.
Deborah Turbeville-Rosima in Comme des Garçons – 1985 – The garden at Château de Vaux-le-Vicomte, France
Deborah Turbeville-Rosima in Comme des Garçons – 1985 – The garden at Château de Vaux-le-Vicomte, France
Deborah Turbeville- Rosana, Parco, Paris, 1985, from the book of photographs, Past Imperfect,(ed• Steidl, 2009)
Deborah Turbeville- Rosana, Parco, Paris, 1985, from the book of photographs, Past Imperfect,(ed• Steidl, 2009)
En 1978, alors que la photographe vivait à Paris, Jacqueline Onassis lui commande cette série afin de réaliser un livre de photographies sur les pièces secrètes du château de Versailles Unseen Versailles verra le jour avec cette commande.
Unseen Versailles. Photographs by Deborah Turbeville. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981
Deborah Turbeville- Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981
Deborah Turbeville- Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981
Deborah Turbeville- Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981
Deborah Turbeville- Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981
Deborah Turbeville -Versailles, boiseries dans la chambre de Mme Adelaïde, Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981
Deborah Turbeville, Reflection , Unseen Versailles, Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981
Deborah Turbeville- Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981
Deborah Turbeville- 12 plates from The Louyre, Versailles, from Unseen Versailles. Photographs by Deborah Turbeville. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981
Deborah Turbeville- Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981
Deborah Turbeville. Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981
Deborah Turbeville- Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981
Deborah Turbeville- Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981
deborah turbeville- versailles, january 15th, 1980 Unseen Versailles. Photographs by Deborah Turbeville. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981
Deborah Turbeville- Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981
Deborah Turbeville- Versailles, 15 janvier 1980 from Unseen Versailles. Photographs by Deborah Turbeville. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981
Quelques planches de Wallflower , 1978
Sa dernière vidéo un court métrage
Geraldine Farrar (lyric soprano) 1882-1967. She spent 16 seasons as a lyric soprano at the Metropolitan Opera
“Do not forget that I am a star.”
Geraldine Farrar as as Elizabeth in Tannhäuser (Wagner), by reutlinger around 1910s ( first Representation was at the Metropolitan Opera House February 6, 1907
Geraldine Farrar as as Elizabeth in Tannhäuser, by reutlinger Handing colored around 1910s edides by GG( first representation was at the Metropolitan Opera House February 6, 1907 [ I found this one on a great flickr ‘s ollector but not with the good credit( GG as PC As SAPI as A. Noyer, is un editor of postards)]
Geraldine Farrar as as Elizabeth in Tannhäuser, by reutlinger around handing colored,around 1910s edited By Sapi ( first representation was at the Metropolitan Opera House February 6, 1907
Geraldine Farrar as as Elizabeth in Tannhäuser, by reutlinger around handing colored,around 1910s edited By Sapi ( first representation was at the Metropolitan Opera House February 6, 1907
Geraldine Farrar as as Elizabeth in Tannhäuser, by reutlinger around handing colored,around 1910s edited By ?.( first representation was at the Metropolitan Opera House February 6, 1907)
Geraldine Farrar as as Elizabeth in Tannhäuser, by reutlinger around handing colored,around 1910s edited By GG( first representation was at the Metropolitan Opera House February 6, 1907
Geraldine Farrar as as Elizabeth in Tannhäuser, by reutlinger around handing colored,around 1910s edited By GG( first representation was at the Metropolitan Opera House February 6, 1907
Geraldine Farrar as as Elizabeth in Tannhäuser, by reutlinger around handing colored,around 1910s edited By GG Co( first representation was at the Metropolitan Opera House February 6, 1907
You can find the date here on metoperafamily.org and Here
This pic was published in « Interpreters » By Carl Van Vechten , June 26, 2010
Listen Her singing in Tannhäuser, in Rec. of October 1, 1909 ( registration is not very good, but no matter it’s nice to listen)
browse the gallery commons.wilkipedia
Dorothy Wilding(ou plutôt était) la plus célèbre photographe de Grande-Bretagne. En fait, elle a été la première femme à recevoir un mandat royal pour être le photographe officiel de la Reine Roi lors de leur couronnement, et une de ses photographies de la reine actuelle (connu sous le nom «Portrait Wilding») a été utilisé pour une série de timbres en Grande-Bretagne, utilisé entre 1953 et 1967. Elle a travaillé principalement dans le Studio sur Bond Street ( d’abord chez celui Marian Neilson ,où elle a débuté en tant qu’ apprentie, puis dans son propre studio) , et en 1937 en a ouvert un autre à New York. Elle est surtout connue pour ses compositions linéaires lumineuses photographiées sur un fond blanc. Son autobiographie en quête de perfection a été publié en 1958
Ce n’est pas du tout les portrait des têtes couronnés que je vous présente aujourd’hui, mais des portraits de célébrités ( danseuses actrices..) de l’époque ainsi que des nus comme d’habitude, r2alisés entre 1920 et 1930.
Dorothy Wilding- The Silver Turban. serie » hidden face » #1, 1928 © William Hustler and Georgina Hustler
Dorothy Wilding- The Silver Turbanserie » hidden face » #4 , 1928 © William Hustler and Georgina Hustlerd Georgina Hustler
Dorothy Wilding -The Silver Turban , nude study, serie » hidden face » # 3 ,1928 © William Hustler and Georgina Hustler
Dorothy Wilding – Anna May Wong ,1938 . Theater Portrait was taken during her successful run in the Broadway production of On the Spot. She would later star in the film version entitled Dangerous to Know ,1938 ©William Hustler and Georgina Hustler
Dorothy Wilding – Anna May Wong, chlorobromide print on card mount, 1929 © William Hustler and Georgina Hustler
Dorothy Wilding -Maharaj Kumari Sudharani Devi of Burdwan, 1927 © William Hustler and Georgina Hustler
Charles Sheldon était un américain qui au début des années 1900 exerçait son talent comme Illustrateur et ce notamment pour les magazines ( ses illustrations aux pastels qu’il a réalisés entre 1925 et 1930, notament Pour le Magazine Photoplay ont fait de lui, un des illustrateurs les mieux payés de son époque.
Après des études à l’Art Students League, il vint à Paris pour étudier auprès d’ Alphonse Mucha ( Sheldon est d’ailleurs connu pour sa « touche » Art Nouveau et son style édouardien) . Après ce fructeux apprentissage, il retourne aux USA et ouvre un studio à New York. En 1918, Sheldon a reçu sa première commande pour La Vogue lingerie ( voir photographies plus bas) , ce qui le fît connaitre et il enchaina, avec la Fox Shoe Company ( debut des années 20), puis des couvertures de magazines comme « The Saturday Evening Post » et surtout le célèbre « Photoplay ». Non content d’être un très bon illustrateur, Sheldon n’en est pas moins un très bon photographe, et ) partir de 1921 il entame une collaboration avec le grand magazine Theater magazine, qui lui permettrons de photographier toutes les stars de l’époque. Dolores Costello, Clara Bow, Mae West, Jean Harlow, Mary Nolan, Marie Pickford, Shirley Temple, Les Zegfried Girls , et des centaines d’autres poseront pour lui. Il les photographiera, où en dessinera le portrait, d’ailleurs on retrouve beaucoup de photographies qui ont été au final des supports pour ses dessins, ( comme ce fut le cas pour beaucoup d’illustrateurs ou dessinateur, cf Mucha par exemple, dont il a appris bcp). En 1929, Il rejoint le très célèbre magazine Screenland ( ou Edwin Bower Hesser a officié par exemple) ainsi que Motion Picture et Movie Classic.
A la fin des années 30, la plupart des couvertures de magazines sont en train de changer et la photographie en couleur prend le pas sur les illustrateurs qui devinrent obsolètes. Sheldon utilisait surtout la photographie pour les compagnes publicitaires , où les portraits en studio et sa perte de vitesse s’amorçât à cette période.
je vous mets le lien Google Charles Gates Sheldon Illustator ce qui vous permettra d’avoir une idée de son travail d’illustrateur., puis-qu’aujourd’hui c’est bien sûr son travail photographique que je vous présente, à travers ses somptueux portraits des actrices des années 1920-1930 ainsi que des études de nus et quelques planches pour ses campagnes de publicité pour la lingerie afin de completer le Premier article Ici
cette merveilleuse serie de Dolores Costello, demi-nue ( qu’on crédite parfois Esther Ralston à tord… Il est vrai qu’elle lui ressemble, mais à la différence de Costello, Ralston portait des cheveux court et ce dans les années 1920s et cela la caractérise . )
Et pour finir vêtue