Maya Deren by Alexand(e)r (Hammid) Hackenschmied

Alexander (Hammid) Hackenschmied Maya (Deren) 1930-1932

Alexander (Hammid) Hackenschmied Maya (Deren) 1930-1932

Alexander (Hammid) Hackenschmied Maya (Deren) 1930-1932

 

Alexander (Hammid) Hackenschmied - Maya (Deren) 1930-1932

Alexander (Hammid) Hackenschmied – Maya (Deren) 1930-1932

Hackenschmied (Hammid ) Alexander Maya Deren 1942-1943

Hackenschmied Alexander (1907 - 2004) Akt (Maya Deren) 30. léta ( après)

Hackenschmied Alexander (1907 – 2004) Akt (Maya Deren) 30. léta ( après)

Alexander Hackenschmied (1907 - 2004)- Maya ( deren), 1944

Alexander Hackenschmied (1907 – 2004)- Maya ( deren), 1944

Hackenschmied Alexander (1907 - 2004) Akt (Maya Deren) , apres 1930

Hackenschmied Alexander (1907 – 2004) Akt (Maya Deren) , apres 1930

Alexander ( Hammid) Hackenschmied - Maya Deren, nd

Alexander ( Hammid) Hackenschmied – Maya Deren, reflection nd

Alexander Hackenschmied - Maya Deren, nd

Alexander Hackenschmied – Maya Deren, nd

Alexander Hackenschmied - Maya Deren, nd

Alexander Hackenschmied – Maya Deren, nd

Alexander ( Hammid) Hackenschmied- Maya , 1940

Alexander ( Hammid) Hackenschmied- Maya , 1940

Maya Deren with her cat by Alexandr Hackenschmied, 1942 43

Maya Deren with her cat by Alexandr Hackenschmied, 1942 43

Alexandr Hackenschmied -Maya Deren, 1940's

Alexandr Hackenschmied -Maya Deren, 1940’s

Alexander Hammid Hackensch- Portrait of Maya Deren, 1940s

Alexander Hammid Hackensch- Portrait of Maya Deren, 1940s

Alexander (Hammid) Hackenschmied- Portrait of Maya Deren, 1940s

Alexander (Hammid) Hackenschmied- Portrait of Maya Deren, 1940s

Alexander Hammid American (Linz, Czechoslovakia 1907 - 2004 New York, NY) Film production still portrait of Maya Deren (portrait of Maya Deren covered with gauze-like fabric), 1942-1947

Alexander Hammid American (Linz, Czechoslovakia 1907 – 2004 New York, NY) Film production still portrait of Maya Deren (portrait of Maya Deren covered with gauze-like fabric), 1942-1947

 

Alexander ( Hammid) Hackenschmied - Maya Deren, 1940

Alexander ( Hammid) Hackenschmied – Maya Deren, 1940

Alexander Hammid (Hackenschmied)- Self-Portrait with Maya Deren 1940

Alexander Hammid (Hackenschmied)- Self-Portrait with Maya Deren 1940

Alexander Hackenschmied (1907 - 2004) Maya Deren Maya Deren film still from At Land 1944 from Inverted Odyseeys Claude Cahun Maya Deren, Cindy Sherman,Ed° Shelley Rice

Alexander Hackenschmied (1907 – 2004) Maya Deren film still from At Land 1944 from Inverted Odyseeys Claude Cahun Maya Deren, Cindy Sherman,Ed° Shelley Rice

Francesca Woodman-Blueprint for a Temple, New York, 1980 (with all the serie Caryatid)

Francesca Woodman-Blueprint for a Temple, New York, 1980 (with  all the serie Caryatid)

rancesca Woodman-Blueprint for a Temple, New York, 1980

rancesca Woodman-Blueprint for a Temple, New York, 1980

Francesca Woodman- Projet a blue print for a temple ,Portico withcaryatids of Delphi, 1980

Francesca Woodman- Projet a blue print for a temple ,Portico withcaryatids of Delphi, 1980

Francesca Woodman- projet a blue print for a temple ,New York, 1980

Francesca Woodman- projet a blue print for a temple ,New York, 1980

Francesca Woodman-An Odalisque , July 1980

Francesca Woodman-An Odalisque , July 1980

Francesca Woodman-Caryatid, New York, 1980

Francesca Woodman-Caryatid, New York, 1980

Francesca Woodman, Caryatid, New York, 1980

Francesca Woodman, Caryatid, New York, 1980

Francesca Woodman-Caryatid, New York, 1980

Francesca Woodman-Caryatid, New York, 1980

Francesca Woodman-UNTITLED (CARYATID FIGURE FROM THE TEMPLE PROJECT), 1980

Wallace Berman ( 1926-1976)

Wallace Berman est né en 1926 à New York et s’installe avec sa famille à Los Angeles, Californie, en 1930. Il a été expulsé de l’école secondaire pour les jeux, et s’il est impliqué dans le monde du jazz.Il s’est inscrit et a participé à la Jepson école d’art et Chouinard mais n’a pas terminé les études il y a. Au lieu de la poursuite d’un art officiel « carrière » il a travaillé dans une usine de finition des meubles. Ce travail lui a donné l’occasion de sauver rejeter les documents et de rebuts qui lui permet de rendre ses sculptures.

Wallace Berman appartient à cette frange d’artistes de la côte Ouest américaine qui, dans l’ombre des années cinquante et soixante forgent une culture ‘beat’ dont la littérature reste l’aspect le plus connu, mais qui s’élabora aussi dans le cinéma, la peinture, la photographie, les collages et les assemblages.Dans les années 1950, Berman est devenu profondément immergé dans le jazz et le blues, il a même écrit une chanson pour Jimmy Witherspoon et realisé la conception de plusieurs  pochettes de disques.

En 1957, la Ferus Gallery de Los Angeles lui consacre sa première « et quasiment dernière » exposition personnelle. Les douze « Dessins parchemins » présents renouent avec ses origines juives : sur du papier teinté au brou de noix s’inscrit au hasard cet alphabet hébraïque qui, selon la Kabbale, constitue l’instrument privilégié de la mise en ordre et de l’interprétation du monde. De grands assemblages – à présent disparus – conjuguent par ailleurs constructions en bois, écriture, évocations religieuses et images érotiques qui provoquent la fermeture de l’exposition par les autorités.

Wallace Berman- affiche exposition Ferus Gallery

Wallace Berman- affiche exposition Ferus Gallery 1957

Wallace Berman Ferus Gallery Exhibition

Wallace Berman Ferus Gallery Exhibition, 1957 seule planche contact et race qu’il reste de cette exposition

De dépit, W. Berman quitte cette « cité d’anges dégénérés » pour s’établir à San Francisco où la culture ‘beat’ est mieux implantée. Il se repliera désormais sur ce milieu, se refusant à toute vie publique. Il se voue alors à une œuvre plus intime, souple dans sa conception, dans sa manipulation et sa diffusion, la revue « Semina » (1955-1964), dont il imprime les neuf numéros sur une petite presse rudimentaire. Sorte de « méta-collage », « Semina » résume à elle seule tant un certain milieu artistique que la démarche globale de W. Berman. Des pochettes réunissent sur des feuillets libres poèmes, photographies ou collages de W. Berman lui-même comme de ses amis ou des auteurs du passé qu’il admire (Philip Lamantia, Michael McClure, William Burroughs, Hermann Hesse, Antonin Artaud). L’artiste y décline les thèmes en germe dans ses travaux précédents : la drogue, la folie, la violence, la sexualité et l’art rédempteurs, une mystique du quotidien. Grand joueur lui-même, W. Berman propose ici des cartes que chacun peut disposer et ordonner à son gré, recréant indéfiniment l’œuvre.

De retour à Los Angeles en 1961, W. Berman se consacre principalement aux « Verifax Collages » (1961-1976), réalisés à l’aide d’une antique photocopieuse dont la neutralité mécanique va pondérer le contenu iconographique. Les visages effacés des premiers « Verifax » constituent autant une critique de la dépersonnalisation qu’un dispositif où chacun peut se projeter. Puis les images se précisent (clichés d’actualité ou historiques, figures de l’’underground’ ou des minorités, images sexuelles et sensuelles, armes menaçantes, symboles religieux, etc.), mais leur accumulation reste souvent hermétique, laissant volontairement libre cours à l’interprétation. Si les premiers « Verifax » rappellent fortement les « Parchemins », leur forme se structure ensuite pour proposer un véritable écran à nos projections individuelles : une main, démiurgique mais anonyme, manipule une radio dont le haut-parleur est remplacé par une image. Les « Verifax » zappent en silence sur les ondes de l’image. La répétitivité quasi incantatoire des derniers collages rythme un monde fragmenté et bégayant, suggère une distribution inépuisable mais aussi le flux de la pellicule filmique. il Collabore aussi à cette époque étroitement avec  Robert Heinecken  ( Article Ici et Ici) et Jay DeFeo avec qui il crée des oeuvres à deux mains.

Avant Fluxus et le mail-art, l’art de W. Berman se veut avant tout un mode de communication « naturel » et banal. « Art is Love is God » : comme le résume la devise de ce personnage déjà mythique de son vivant, l’art est une plaque sensible, un exercice spirituel de réception et de transmission du monde, un exercice d’inversion des valeurs visant à banaliser le sacré et à sacraliser le quotidien.

Il a fait son premier et seul film, Aleph, à partir de 1956-1966. Berman ne donne pas le film un titre, Se référant à elle comme « mon film » ou « mon film » et n’a jamais montré à un grand public, préférant à l’écran sur son studio mur sur la base d’un pour un. Le titre « Aleph » a été donnée au travail par Berman, le fils Tosh, après la mort de l’artiste. ( Tosh Berman écrit sur son père des dizaines d’articles ici, notamment sur sa passion pour le jazz mais aussi sur l’ensemble de son oeuvre)

Il a été tué dans un accident automobile par un conducteur en état d’ébriété en Topanga Canyon en 1976.

Mail Art

Wallace Berman-collage from 1963, bearing a note to curator Walter Hopps at the Pasadena Art Museumabout some Edward Weston prints

Wallace Berman-collage from 1963, bearing a note to curator Walter Hopps at the Pasadena Art Museumabout some Edward Weston prints

Wallace Berman -Mail Art, 1955

Wallace Berman -Mail Art, 1955

Wallace Berman mail art, 1962 Nov. 27. Robert Alexander

Wallace Berman mail art, 1962 Nov. 27. Robert Alexander

Wallace Berman - Card to Betty Asher, ca. 1965, Wallace Berman. Photomontage

Wallace Berman – Card to Betty Asher, ca. 1965, Wallace Berman. Photomontage

Wallace Berman Card to George Herms, 1967

Wallace Berman Card to George Herms, 1967

Wallace Berman Card to George Herms, 1970,

Wallace Berman Card to George Herms, 1970,

Wallace Berman- mail art for Wallace Berman holiday card to Jay DeFeo, 1970 Dec. 22.,Card features a black and white photo of rocks with white lettering in Hebrew Archives of American Art,

Wallace Berman- mail art for Wallace Berman holiday card to Jay DeFeo, 1970 Dec. 22.,Card features a black and white photo of rocks with white lettering in Hebrew Archives of American Art,

Wallace Berman Mail Art to Robert Duncan and Jess Circa 1962 (Collection Philip Aarons and Shelly Fox Aarons) Courtesy of the Crocker Art Museum

Wallace Berman Mail Art to Robert Duncan and Jess Circa 1962 (Collection Philip Aarons and Shelly Fox Aarons) Courtesy of the Crocker Art Museum

Wallace Berman postcard to Lawrence and Patricia Jordan, 1960.

Wallace Berman postcard to Lawrence and Patricia Jordan, 1960.

La revue « Semina » (1955-1964)

Wallace Berman with a copy of Semina no. 1 in the Stone Brothers Printing display window, 1957 -© J. Paul Getty Trust. Photo by Charles Brittin

Wallace Berman with a copy of Semina no. 1 in the Stone Brothers Printing display window, 1957 -© J. Paul Getty Trust. Photo by Charles Brittin

Wallace Berman Semina 1,.jpgSemina cover with photograph of Cameron, 1955, Wallace Berman. Semina journal, no. 1 (1955) -

Wallace Berman Semina 1,.jpgSemina cover with photograph of Cameron, 1955, Wallace Berman. Semina journal, no. 1 (1955)

Wallace Berman Semina two, ca. 1956

Wallace Berman Semina two, ca. 1956 l’integralité du no Ici

Wallace Berman- Semina 3,

Wallace Berman- Semina 3,

Wallace Berman- Semina cover with Wife (photograph of Shirley Berman), 1959, Wallace Berman. Semina journal, no. 4 (1959)

Wallace Berman- Semina cover with Wife (photograph of Shirley Berman), 1959, Wallace Berman. Semina journal, no. 4 (1959)

Wallace Berman- semina-journal-no-4? 1959

Wallace Berman- semina-journal-no-4, 1959

Wallace Berman- Semina 5, 196, Santa Cruz Museum of Art 2

Wallace Berman- Semina 5, 196, Santa Cruz Museum of Art

Wallace Berman- Semina 5, 196, Santa Cruz Museum of Art - Copie

Wallace Berman- Semina 5, 196, Santa Cruz Museum of Art

Wallace Berman- Semina 5, 196, Santa Cruz Museum of Art

Wallace Berman- Semina 5, 196, Santa Cruz Museum of Art

Wallace Berman- Semina 7, 1961, Santa Cruz Museum of Art0

Wallace Berman- Semina 7, 1961, Santa Cruz Museum of Art0

Wallace Berman- Semina 7, 1961, Santa Cruz Museum of Art

Wallace Berman- Semina 7, 1961, Santa Cruz Museum of Art

Wallace Berman- Semina 7, 1961, Santa Cruz Museum of Art 3

Wallace Berman- Semina 7, 1961, Santa Cruz Museum of Art

Wallace Berman- Semina 7, 1961, Santa Cruz Museum of Art 2

Wallace Berman- Semina 7, 1961, Santa Cruz Museum of Art

Wallace Berman- Semina 8, 1963

Wallace Berman- Semina 8, 1963 voir l(integralité du no Ici

Wallace Berman- Semina 8 , 1963

Wallace Berman- Semina 8 , 1963

Wallace Berman- Semina

Wallace Berman- Semina 8 , 1963

Verifax Collages

Wallace Berman - Untitled (R.E. Hand, Mexican Dictator), 1976 positive image verifax collage

Wallace Berman – Untitled (R.E. Hand, Mexican Dictator), 1976 positive image verifax collage

Wallace Berman- Untitled 40 , Wallace Berman , from Verifax Collages's series around 1964

Wallace Berman- Untitled 40 , Wallace Berman , from Verifax Collages’s series around 1964

Wallace Berman- Untitled 107, Wallace Berman , from Verifax Collages's series around 1964

Wallace Berman- Untitled 107, Wallace Berman , from Verifax Collages’s series around 1964

Wallace Berman - Untitled (Jack Ruby), c. 1964 positive verifax with poem

Wallace Berman – Untitled (Jack Ruby), c. 1964 positive verifax with poem

Wallace Berman - Scope, 1965 verifax collage on board

Wallace Berman – Scope, 1965 verifax collage on board

Wallace Berman Untitled (National Debt), c. 1964 verifax on book page with lettraset

Wallace Berman Untitled (National Debt), c. 1964 verifax on book page with lettraset

Wallace Berman She, c. 1964 verifax on book page with lettraset

Wallace Berman She, c. 1964 verifax on book page with lettraset

Wallace Berman, “Untitled” (two-ton rock, above and below), Verifax positive, with Polaroid transfer on magazine map.

Wallace Berman, “Untitled” (two-ton rock, above and below), Verifax positive, with Polaroid transfer on magazine map.

Autres travaux photographies Collages, installations, poèmes

Wallace Berman. Untitled (Michael McClure Poem), 1964

Wallace Berman. Untitled (Michael McClure Poem), 1964

Wallace Berman. Untitled (Michael McClure Poem), 1964 1

Wallace Berman. Untitled (Michael McClure Poem), 1964

Wallace Berman Untitled (TV), 1964

Wallace Berman Untitled (TV), 1964

Wallace Berman Untitled (TV), 1964 1

Wallace Berman Untitled (TV), 1964

Wallace Berman, Papa’s Got a Brand New Bag, 1964. Mixed-media collage Collection of David Yorkin and Alix Madigan, Los Angeles. Courtesy the estate of Wallace Berman and Michael Kohn Gallery, Los Angeles.

Wallace Berman, Papa’s Got a Brand New Bag, 1964. Mixed-media collage Collection of David Yorkin and Alix Madigan, Los Angeles. Courtesy the estate of Wallace Berman and Michael Kohn Gallery, Los Angeles.

Wallace Berman Untitled (Faceless Faces), 1963 verifax collage

Wallace Berman Untitled (Faceless Faces), 1963 verifax collage

Wallace Berman, Letter to David Meltzer (football players), 1962. Typed letter with photographic collage,

Wallace Berman, Letter to David Meltzer (football players), 1962. Typed letter with photographic collage,

Wallace Berman- Endpiece , 1973

Wallace Berman- Endpiece , 1973

Wallace Berman - See you soon, 1975

Wallace Berman – See you soon, 1975

ay DeFeo &Wallace Berman -Untitled , 1959 (Whitney Museum of American)

Jay DeFeo &Wallace Berman -Untitled , 1959 (Whitney Museum of American)

ay DeFeo &Wallace Berman -Untitled , 1959 (Whitney Museum of American)

Jay DeFeo &Wallace Berman -Untitled , 1959 (Whitney Museum of American)

Wallace Berman- Untitled (Jay DeFeo in front of The Rose), nd

Wallace Berman- Untitled (Jay DeFeo in front of The Rose), nd

Wallace BermanUntitled (Art is Love is God), 1955, Robert Alexander. Wooden box, photograph, bullet, and paper ourtesy of Galerie Frank Elbaz and Michael Kohn Gallery.

Wallace BermanUntitled (Art is Love is God), 1955, Robert Alexander. Wooden box, photograph, bullet, and paper ourtesy of Galerie Frank Elbaz and Michael Kohn Gallery.

Wallace Berman Semina Case ( exposition, 1957)

Wallace Berman Semina Case ( exposition, 1957)

Wallace Berman Photographs Bob Brannaman, Big Sur, early 1960s

Wallace Berman Photographs Bob Brannaman, Big Sur, early 1960s

Son Film

Très bon article en anglais Ici

Deborah Turbeville (1932- 28 oct. 2013)

Serie Ecole Des Beaux Arts, 1974- 1980

Deborah Turbeville, planche contact, Ecole Des Beaux Arts,1977  from "Wallflower" (Hardcover – 1978)

Deborah Turbeville, planche contact, Ecole Des Beaux Arts,1977 from « Wallflower » (Hardcover – 1978)

Deborah Turbeville -  Ecole des Beaux Art, from Wallflower ,   1978

Deborah Turbeville – Ecole des Beaux Art, from Wallflower , 1978

 

Deborah Turbeville, Ecole Des Beaux Arts, Paris, 1977._e

Deborah Turbeville, Ecole Des Beaux Arts, Paris, 1977._e

Deborah Turbeville – fromEcole Des Beaux Arts,1974-1980 from Past Imperfect

Deborah Turbeville – fromEcole Des Beaux Arts,1974-1980 from Past Imperfect

Deborah Turbeville – fromEcole Des Beaux Arts, 1974- 1980 from Past Imperfect

Deborah Turbeville – fromEcole Des Beaux Arts, 1974- 1980 from Past Imperfect

Deborah Turbeville- Ecole Des Beaux Arts, Paris, 1977

Deborah Turbeville- Ecole Des Beaux Arts, Paris, 1977

 

Deborah Turbeville – from serie Ecole Des Beaux Arts, 1974- 1980,  from Past Imperfect

Deborah Turbeville – from serie Ecole Des Beaux Arts, 1974- 1980, from Past Imperfect

Deborah Turbeville – from serie  Ecole Des Beaux Arts, 1974- 1980, from “Past Imperfect_e

Deborah Turbeville – from serie Ecole Des Beaux Arts, 1974- 1980, from “Past Imperfect

Deborah Turbeville – from serie  Ecole Des Beaux Arts, 1974- 1980, from “Past Imperfect

Deborah Turbeville – from serie Ecole Des Beaux Arts, 1974- 1980, from “Past Imperfect

Deborah Turbeville – fromEcole Des Beaux Arts, 1977, from Past Imperfect

Deborah Turbeville – fromEcole Des Beaux Arts, 1977, from Past Imperfect

 

Deborah Turbeville, Ecole Des Beaux Arts, Paris, 1977 ( Collage)

Deborah Turbeville, Ecole Des Beaux Arts, Paris, 1977 ( Collage) , from Past Imperfect

Deborah Turbeville, Ecole Des Beaux Arts, Paris, 1980 ( Collage) from past imperfect

Deborah Turbeville, Ecole Des Beaux Arts, Paris, 1980 ( Collage) from past imperfect

 

Fashion

Deborah Turbeville, Glass House, Sonia Rykiel, Facade Magazine, Normandy, France, 1978

Deborah Turbeville, Glass House, Sonia Rykiel, Facade Magazine, Normandy, France, 1978

Deborah-Turbeville-Glass House Sonia Rykiel-Facade, Magazine Normandie-France, 1978

Deborah-Turbeville-Glass House Sonia Rykiel-Facade, Magazine Normandie-France, 1978

 

Deborah Turbeville - The glasshouse, from Past Imperfect

Deborah Turbeville – The glasshouse, from Past Imperfect

Deborah Turbeville, Women in The Woods Italia, Montova, Italy, 1977, from past imperfect (2)

Deborah Turbeville, Women in The Woods Italia, Montova, Italy, 1977, from past imperfect (2)

 

Deborah Turbeville, L'Heure Entre Chien et Loup,  Ella, Anna, Isabelle, Fredericke and Robin in Valentino at the Bois du Faux Repos, VOGUE Italia, 1978 from Past I

Deborah Turbeville, L’Heure Entre Chien et Loup, Ella, Anna, Isabelle, Fredericke and Robin in Valentino at the Bois du Faux Repos, VOGUE Italia, 1978 from Past

L'Heure Entre Chien et Loup (Collage)  VOGUE Italia, Montova, Italy, 1977

L’Heure Entre Chien et Loup (Collage) VOGUE Italia, Montova, Italy, 1977

L'Heure Entre Chien et Loup, Vogue Italia - Deborah Turbeville , 1978 from past Imperfect

L’Heure Entre Chien et Loup, Vogue Italia – Deborah Turbeville , 1978 from past Imperfect

Deborah Turbeville, L'Heure Entre Chien et Loup, Blumarine, VOGUE Italia, Montova, Italy, 1977 from past imperfect

Deborah Turbeville, L’Heure Entre Chien et Loup, Blumarine, VOGUE Italia, Montova, Italy, 1977 from past imperfect

Deborah Turbeville, Women in The Woods,  Ella, Anna, Isabella, Fredericke, and Robin in Valentino at the Bois du Faux Repos, VOGUE Italia, Montova, Italy, 1977

Deborah Turbeville, Women in The Woods, Ella, Anna, Isabella, Fredericke, and Robin in Valentino at the Bois du Faux Repos, VOGUE Italia, Montova, Italy, 1977

 

Deborah Turbeville, Isabella a in Blumarine, VOGUE Italia, Montova, Italy, 1977, from past imperfect

Deborah Turbeville, Isabella a in Blumarine, VOGUE Italia, Montova, Italy, 1977, from past imperfect

Deborah Turbeville, Women in The Woods,Isabella and Elle in Blumarine, VOGUE Italia, Montova, Italy, 1977, from past imperfect (2)

Deborah Turbeville, Women in The Woods,Isabella and Elle in Blumarine, VOGUE Italia, Montova, Italy, 1977, from past imperfect (2)

 

L'Heure Entre Chien et Loup, Women in The Woods Series by Deborah Turbeville  for Vogue Italia, 1977_ from the book of photographs, Past Imperfect (2)

L’Heure Entre Chien et Loup, Women in The Woods Series by Deborah Turbeville for Vogue Italia, 1977 from the book of photographs, Past Imperfect

L'Heure Entre Chien et Loup, Blumarine, VOGUE Italia,  for Vogue Italia, 1977 from the book of photographs, Past Imperfect

L’Heure Entre Chien et Loup, Blumarine, VOGUE Italia, for Vogue Italia, 1977 from the book of photographs, Past Imperfect

L'Heure Entre Chien et Loup, Vogue Italia - Deborah Turbeville , 1978

L’Heure Entre Chien et Loup, Vogue Italia – Deborah Turbeville , 1978

L'Heure Entre Chien et Loup, Women in The Woods Series by Deborah Turbeville  for Vogue Italia, 1977_ from the book of photographs, Past Imperfect

L’Heure Entre Chien et Loup, Women in The Woods Series by Deborah Turbeville for Vogue Italia, 1977_ from the book of photographs, Past Imperfect

 

Deborah Turbeville -L’Heure Entre Chien et Loup, Model Isabelle Weingartenclothing by Blumarine, Montova, Italy, Vogue Italia, 1977

Deborah Turbeville -L’Heure Entre Chien et Loup, Model Isabelle Weingartenclothing by Blumarine, Montova, Italy, Vogue Italia, 1977

 

Deborah Turbeville, Steam Bath Series, Tanya, New York, 1984

Deborah Turbeville, Steam Bath Series, Tanya, New York, 1984

Deborah Turbeville, Steam Bath Series, Tanya, New York, 1984

Deborah Turbeville, Steam Bath Series, Tanya, New York, 1984

 

Deborah Turbeville, Steam Bath Series Tanya, New York, 1984 from past imperfect

Deborah Turbeville, Steam Bath Series Tanya, New York, 1984 from past imperfect

Deborah-Turbeville. from -Past-Imperfect

Deborah Turbeville, Steam Bath Series Tanya, New York, 1984 from past imperfect

Deborah Turbeville - from Past Imperfect &_e

Deborah Turbeville- collage shot for  le Vogue Italia, Paris, 1986 from past imperfect

Deborah Turbeville- collage shot for le Vogue Italia, Paris, 1986 from past imperfect

Deborah Turbeville -The Staircase,  Commes des Garcons, Passage Vivienne, Paris, 1980, from the book of photographs, Past Imperfect,(ed• Steidl, 2009)

Deborah Turbeville -The Staircase, Commes des Garcons, Passage Vivienne, Paris, 1980, from the book of photographs, Past Imperfect,(ed• Steidl, 2009)

Deborah Turbeville – The Staircase, Commes des Garcons, Passage Vivienne, Paris, 1980, Past Imperfect_e

Deborah Turbeville – The Staircase, Commes des Garcons, Passage Vivienne, Paris, 1980, Past Imperfect

 

Deborah Turbeville, The Staircase – Aurelia Weingarten in Commes des Garcons, Passage Vivienne, Paris, 1980_e

Deborah Turbeville, The Staircase – Aurelia Weingarten in Commes des Garcons, Passage Vivienne, Paris, 1980

Deborah Turbeville, The Staircase, n in Commes des Garcons, Passage Vivienne, Paris, 1980_e

Deborah Turbeville, The Staircase, n in Commes des Garcons, Passage Vivienne, Paris, 1980

 

Deborah Turbeville, The Staircase, Aurelia Weingarten in Commes des Garcons, Passage Vivienne, Paris, 1980

Deborah Turbeville, The Staircase, Aurelia Weingarten in Commes des Garcons, Passage Vivienne, Paris, 1980

Deborah Turbeville, The Staircase- Commes des Garcons, Passage Vivienne, Paris, 1980

Deborah Turbeville, The Staircase- Commes des Garcons, Passage Vivienne, Paris, 1980

 

 

Deborah Turbeville, Woolf Form Dummy Factory in New York, Calvin Klein Shoes, 1974

Deborah Turbeville, Woolf Form Dummy Factory in New York, Calvin Klein Shoes, 1974

Deborah Turbeville, For Charles Jourdan, Clothes by Betsy Johnson, Woolf Form Dummy Factory in New York, 1974_e

Deborah Turbeville, For Charles Jourdan Mannequins in clothes by Betsy Johnson, Woolf Form Dummy Factory in New York, 1974, from Past imperfect

Deborah Turbeville, For Charles Jourdan Mannequins in clothes by Betsy Johnson, Woolf Form Dummy Factory in New York, 1974, from Past imperfect

Deborah Turbeville, Woolf Form Dummy Factory in New York, Calvin Klein Shoes Poland, 1974_e

Deborah Turbeville, Woolf Form Dummy Factory in New York, Calvin Klein Shoes Poland, 1974

Deborah Turbeville, For Charles Jourdan, Clothes by Betsy Johnson, Woolf Form Dummy Factory in New York, 1974 1_e

Deborah Turbeville, For Charles Jourdan, Clothes by Betsy Johnson, Woolf Form Dummy Factory in New York, 1974

Deborah Turbeville, For Charles Jourdan Candy Pratt, Betsy Johnson, Ti, Beverly Morgan, Mary Martz, and Christa in clothes by Betsy Johnson, Woolf Form Dummy Factory in New York, 1974_e

Deborah Turbeville, For Charles Jourdan Candy Pratt, Betsy Johnson, Ti, Beverly Morgan, Mary Martz, and Christa in clothes by Betsy Johnson, Woolf Form Dummy Factory in New York, 1974

Deborah Turbeville – from Wallflower, 1978

Deborah Turbeville – from Wallflower, 1978

 

 

Deborah Turbeville, Diana Vreeland, New York, VOGUE, 1981 from past imperfect

Deborah Turbeville, Diana Vreeland, New York, VOGUE, 1981 from past imperfect

Deborah Turbeville – Diana Vreeland, 1980-82

Deborah Turbeville – Diana Vreeland, 1981

Deborah Turbeville-  Diana Vreeland , 1981

Deborah Turbeville- Diana Vreeland , 1981

 

Deborah Turbeville, Diana Vreeland's Shoes, New York, VOGUE, 1981 from past imperfect

Deborah Turbeville, Diana Vreeland’s Shoes, New York, VOGUE, 1981 from past imperfect

 

Deborah Turbeville – Masks at venice carnival,

Deborah Turbeville – Masks at venice carnival,

Deborah Turbeville -After Carneval, from serie Masks at venice carnival,

Deborah Turbeville -After Carneval, from serie Masks at venice carnival,

Deborah Turbeville – Mask at venice carnival,

Deborah Turbeville – Mask at venice carnival,

deborah turbeville- Bathhouse series, Vogue 1975. Photography by Deborah Turbeville, from past imperfect

deborah turbeville- Bathhouse series, Vogue 1975. Photography by Deborah Turbeville, from past imperfect

deborah turbeville- Bathhouse series, Vogue 1975. Photography by Deborah Turbeville, courtesy of Staley-wise Gallery, New York.2_e

deborah turbeville- Bathhouse series, Vogue 1975. Photography by Deborah Turbeville, courtesy of Staley-wise Gallery, New York.

deborah turbeville- Bathhouse series, Vogue 1975. Photography by Deborah Turbeville, courtesy of Staley-wise Gallery, New York.

deborah turbeville- Bathhouse series, Vogue 1975. Photography by Deborah Turbeville, courtesy of Staley-wise Gallery, New York.

 

 

Deborah Turbeville-Rosima in Comme des Garçons - 1985 - The garden at Château de Vaux-le-Vicomte, France

Deborah Turbeville-Rosima in Comme des Garçons – 1985 – The garden at Château de Vaux-le-Vicomte, France

Deborah Turbeville-Rosima in Comme des Garçons - 1985 - The garden at Château de Vaux-le-Vicomte, France

Deborah Turbeville-Rosima in Comme des Garçons – 1985 – The garden at Château de Vaux-le-Vicomte, France

Deborah Turbeville-Untitled  for Parc Vaux le Vicomte, france, 1985, (postcard)

Deborah Turbeville-Untitled for Parc Vaux le Vicomte, france, 1985, (postcard)

Deborah Turbeville- Rosana, Parco, Paris, 1980, from the book of photographs, Past Imperfect,(ed• Steidl, 2009)

Deborah Turbeville- Rosana, Parco, Paris, 1985, from the book of photographs, Past Imperfect,(ed• Steidl, 2009)

Deborah Turbeville- Rosana, Parco, Paris, 1980, from the book of photographs, Past Imperfect,(ed• Steidl, 2009)

Deborah Turbeville- Rosana, Parco, Paris, 1985, from the book of photographs, Past Imperfect,(ed• Steidl, 2009)

 

En 1978, alors que la photographe vivait à Paris, Jacqueline Onassis lui commande cette série afin de réaliser un livre de photographies sur les pièces secrètes du château de Versailles Unseen Versailles verra le jour avec cette commande.

Unseen Versailles. Photographs by Deborah Turbeville. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981

Unseen Versailles. Photographs by Deborah Turbeville. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981

Deborah Turbeville- Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981 (2)

Deborah Turbeville- Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981

 

Deborah Turbeville- Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981

Deborah Turbeville- Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981

Deborah Turbeville- Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981

Deborah Turbeville- Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981

Deborah Turbeville – Horses bronze,from Unseen Versailles,  1981

Deborah Turbeville – Horses bronze,from Unseen Versailles, 1981

 

Deborah Turbeville- Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981 (4)

Deborah Turbeville- Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981

Deborah Turbeville- Petit theater of Marie Antoinette, Versailles, 1978

Deborah Turbeville- Petit theater of Marie Antoinette, Versailles, 1978

Deborah Turbeville -Versailles, boiseries dans la chambre de Mme Adelaïde, 1980_e

Deborah Turbeville -Versailles, boiseries dans la chambre de Mme Adelaïde, Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981

 

Deborah Turbeville – Horses bronze,from Unseen Versailles,  1981

Deborah Turbeville – Horses bronze,from Unseen Versailles, 1981

Deborah Turbeville, Reflection , Unseen Versailles, Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981

Deborah Turbeville, Reflection , Unseen Versailles, Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981

 

Deborah Turbeville- Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981 1

Deborah Turbeville- Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981

Deborah Turbeville-  12 plates from The Louyre, Versailles,  from Unseen Versailles. Photographs by Deborah Turbeville. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981

Deborah Turbeville- 12 plates from The Louyre, Versailles, from Unseen Versailles. Photographs by Deborah Turbeville. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981

 

Deborah Turbeville- Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981 (3)

Deborah Turbeville- Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981

Deborah Turbeville. Unseen Versailles.  Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981

Deborah Turbeville. Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981

Deborah Turbeville- Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981 7

Deborah Turbeville- Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981

Deborah Turbeville- Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981 (5)

Deborah Turbeville- Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981

deborah turbeville- versailles, january 15th, 1980 Unseen Versailles. Photographs by Deborah Turbeville. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981

deborah turbeville- versailles, january 15th, 1980 Unseen Versailles. Photographs by Deborah Turbeville. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981

Deborah Turbeville - from Unseen Versaille, 1981

Deborah Turbeville – from Unseen Versaille, 1981

Deborah Turbeville- Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981

Deborah Turbeville- Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981

Deborah Turbeville- Versailles, 15 janvier 1980 from Unseen Versailles. Photographs by Deborah Turbeville. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981

Deborah Turbeville- Versailles, 15 janvier 1980 from Unseen Versailles. Photographs by Deborah Turbeville. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981

Deborah Turbeville- 'What Happened at Versailles ?'  for Vogue US, December 1980

Deborah Turbeville- ‘What Happened at Versailles ?’ for Vogue US, December 1980

Deborah Turbeville-  Versailles  from past imperfect

Deborah Turbeville- Versailles from past imperfect

 

Quelques planches de Wallflower ,   1978

Deborah Turbeville, Wallflower, self -portrait 1978

Deborah Turbeville, Wallflower, self -portrait 1978

Deborah Turbeville- from Wallflower Deborah; Israel, Marvin; Morgan, Kate Turbeville

Deborah Turbeville- from Wallflower Deborah; Israel, Marvin; Morgan, Kate Turbeville

Deborah Turbeville – from Wallflower, 1978

Deborah Turbeville – from Wallflower, 1978

Deborah Turbeville -  Wallflower ,   1978

Deborah Turbeville – Wallflower , 1978

Deborah Turbeville -  Wallflower ,   1978

Deborah Turbeville – Wallflower , 1978

Deborah Turbeville - collage past imperfect,

Deborah Turbeville – collage past imperfect

 

Deborah Turbeville- Krakow, Kasia and Audrey, W Magazine, Cantor Theater, Poland, 1997

Deborah Turbeville- Krakow, Kasia and Audrey, W Magazine, Cantor Theater, Poland, 1997

Deborah Turbeville - Self-portrait , 1998

Deborah Turbeville – Self-portrait , 1998

Deborah Turbeville by  Karel Krizak

Deborah Turbeville by Karel Krizak

Deborah Turbeville on the island of Hvar, Croatia, 1986. Photo by Courtesy Photo

Deborah Turbeville on the island of Hvar, Croatia, 1986. Photo by Courtesy Photo

Sa dernière vidéo un court métrage

 

 

 

Geraldine Farrar as as Elizabeth in Tannhäuser (Wagner), by Reutlinger around 1910s ( first representation was at the Metropolitan Opera House February 6, 1907

Geraldine Farrar (lyric soprano) 1882-1967. She spent 16 seasons as a lyric soprano at the Metropolitan Opera

“Do not forget that I am a star.”

Geraldine Farrar as as Elizabeth in Tannhäuser (Wagner), by reutlinger around 1910s ( first representation was at the Metropolitan Opera House February 6, 1907

Geraldine Farrar as as Elizabeth in Tannhäuser (Wagner), by reutlinger around 1910s ( first Representation was at the Metropolitan Opera House February 6, 1907

Geraldine Farrar as as Elizabeth in Tannhäuser, by reutlinger Handing colored around 1910s edides by GG( first representation was at the Metropolitan Opera House February 6, 1907

Geraldine Farrar as as Elizabeth in Tannhäuser, by reutlinger Handing colored around 1910s edides by GG( first representation was at the Metropolitan Opera House February 6, 1907 [ I found this one on a great flickr ‘s ollector but not with the good credit( GG as PC As SAPI as A. Noyer, is un editor of postards)]

Geraldine Farrar as as Elizabeth in Tannhäuser, by reutlinger around handing colored,around 1910s edited By Sapi ( first representation was at the Metropolitan Opera House February 6, 1907

Geraldine Farrar as as Elizabeth in Tannhäuser, by reutlinger around handing colored,around 1910s edited By Sapi ( first representation was at the Metropolitan Opera House February 6, 1907

 

Geraldine Farrar as as Elizabeth in Tannhäuser, by reutlinger around handing colored,around 1910s edited By Sapi ( first representation was at the Metropolitan Opera House February 6, 1907

Geraldine Farrar as as Elizabeth in Tannhäuser, by reutlinger around handing colored,around 1910s edited By Sapi ( first representation was at the Metropolitan Opera House February 6, 1907

Geraldine Farrar as as Elizabeth in Tannhäuser, by reutlinger around handing colored,around 1910s edited By ?.( first representation was at the Metropolitan Opera House February 6, 1907)

Geraldine Farrar as as Elizabeth in Tannhäuser, by reutlinger around handing colored,around 1910s edited By ?.( first representation was at the Metropolitan Opera House February 6, 1907)

Geraldine Farrar as as Elizabeth in Tannhäuser, by reutlinger around handing colored,around 1910s edited By GG( first representation was at the Metropolitan Opera House February 6, 1907

Geraldine Farrar as as Elizabeth in Tannhäuser, by reutlinger around handing colored,around 1910s edited By GG( first representation was at the Metropolitan Opera House February 6, 1907

Geraldine Farrar as as Elizabeth in Tannhäuser, by reutlinger around handing colored,around 1910s edited By GG( first representation was at the Metropolitan Opera House February 6, 1907

Geraldine Farrar as as Elizabeth in Tannhäuser, by reutlinger around handing colored,around 1910s edited By GG( first representation was at the Metropolitan Opera House February 6, 1907

Geraldine Farrar as as Elizabeth in Tannhäuser, by reutlinger around handing colored,around 1910s edited By GG( first representation was at the Metropolitan Opera House February 6, 1907

Geraldine Farrar as as Elizabeth in Tannhäuser, by reutlinger around handing colored,around 1910s edited By GG Co( first representation was at the Metropolitan Opera House February 6, 1907

 

 You can find the date here on metoperafamily.org and Here

This pic was published in  « Interpreters » By Carl Van Vechten , June 26, 2010

Listen Her singing in Tannhäuser, in Rec. of October 1, 1909 ( registration is not very good, but no matter it’s nice to listen)

browse the gallery commons.wilkipedia

Dorothy Wilding ( 1893-1976)

Dorothy Wilding(ou plutôt était) la plus célèbre photographe  de Grande-Bretagne. En fait, elle a été la première femme à recevoir un mandat royal pour être le photographe officiel de la Reine Roi lors de leur couronnement, et une de ses photographies de la reine actuelle (connu sous le nom   «Portrait Wilding») a été utilisé pour une série de timbres en Grande-Bretagne, utilisé entre 1953 et 1967. Elle a travaillé principalement dans le Studio sur Bond Street ( d’abord chez celui  Marian Neilson ,où elle a débuté en tant qu’ apprentie, puis dans son propre studio) , et en 1937 en a ouvert un autre à New York. Elle est surtout connue pour ses compositions linéaires lumineuses photographiées sur un fond blanc. Son autobiographie en quête de perfection a été publié en 1958

Ce n’est pas du tout les portrait des têtes couronnés que je vous présente aujourd’hui, mais des portraits de célébrités ( danseuses actrices..)  de l’époque ainsi que des nus comme d’habitude,  r2alisés entre 1920 et 1930.

 

Dorothy Wilding- The Silver Turban.1928 © William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding- The Silver Turban.  serie  » hidden face » #1, 1928 © William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding- Hidden face , 1928  © William Hustler and Georgina Hustlerd Georgina Hustler

Dorothy Wilding-  The Silver Turbanserie  » hidden face » #4 , 1928 © William Hustler and Georgina Hustlerd Georgina Hustler

 

Dorothy Wilding -nude study, 1920 © William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding -The Silver Turban , nude study, serie  » hidden face » # 3 ,1928 © William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding – portrait of Rhoda Beasley, 1932

Dorothy Wilding – Nude study,  portrait of Rhoda Beasley, 1932

 

Dorothy Wilding - Nude study with veil, 1930 © William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding – Nude study with veil, 1930 © William Hustler and Georgina Hustler

 

Dorothy Wilding -The Bat, 1927 [chlorobromide print] © William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding -The Bat, 1927 [chlorobromide print] © William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding - Le Matin (Unidentified woman) 1920 © William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding – Le Matin (Unidentified woman) 1920 © William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding - "Le Papillon "(Unidentified woman) 1920 © William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding – « Le Papillon « (Unidentified woman) 1920 © William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding - Ingenue, 1920. © William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding – Ingenue, 1930. © William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding-   'Perles', 1930s  © William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding- ‘Perles’, 1930s © William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding - 'Le Matin ' (Unidentified woman) 1920 © William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding – ‘Le Matin ‘ (Unidentified woman) 1920 © William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding - Le reveil , 1920 © William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding – Le reveil , 1920 © William Hustler and Georgina Hustler

 

Dorothy Wilding - Anna May Wong ,1938 . Theater Portrait was taken during her successful run in the Broadway production of On the Spot. She would later star in the film version entitled Dangerous to Know ,1938 ©

Dorothy Wilding – Anna May Wong ,1938 . Theater Portrait was taken during her successful run in the Broadway production of On the Spot. She would later star in the film version entitled Dangerous to Know ,1938 ©William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding - Anna May Wong, chlorobromide print on card mount, 1929 © William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding – Anna May Wong, chlorobromide print on card mount, 1929 © William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding-  Iris , Lady Cameron, 1935 © William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding- Iris , Lady Cameron, 1935 © William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding-  Iris , Lady Cameron, 1935 © William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding- Iris , Lady Cameron, 1935 © William Hustler and Georgina Hustler

 

Dorothy Wilding  The Pianist Harriet Cohen, 1920 © William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding The Pianist Harriet Cohen, 1920 © William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding  The Pianist Harriet Cohen, 1920 © William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding The Pianist Harriet Cohen, 1920 © William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding - Isabel Jeans, 1920 © William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding – Isabel Jeans, 1920 © William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding -Maharaj Kumari Sudharani Devi of Burdwan, 1927 © William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding -Maharaj Kumari Sudharani Devi of Burdwan, 1927 © William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding - Portrait of Diana Wynyard, 1937 © William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding – Portrait of Diana Wynyard, 1937 © William Hustler and Georgina Hustler

 

Dorothy Wilding - Dorothy Dickson, 1937 © William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding – Dorothy Dickson, 1937 © William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding - Dorothy Dickson, nd © William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding – Dorothy Dickson, nd © William Hustler and Georgina Hustler

 

Dorothy Wilding - Tallulah Bankhead,  1934  © William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding – Tallulah Bankhead, 1934 © William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding - Jacques Cartier,chlorobromide print on tissue and card mount, 1932 © William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding – Jacques Cartier,chlorobromide print on tissue and card mount, 1932 © William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding- Self portrait, 1920s© William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding- Self portrait, 1920s© William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding- Self portrait, 1920s© William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding- Self portrait, 1920s© William Hustler and Georgina Hustler

Dorothy Wilding- The studio of Dorothy Wilding 1920s © William Hustler and Georgina Hustlerd Georgina Hustler

Dorothy Wilding- The studio of Dorothy Wilding 1920s © William Hustler and Georgina Hustlerd Georgina Hustler

Charles Gates Sheldon (American, 1889 – 1960) II

Charles Sheldon était un américain qui au début des années 1900 exerçait son talent comme Illustrateur et ce notamment pour les magazines ( ses illustrations aux pastels qu’il a réalisés entre 1925 et 1930, notament Pour le Magazine Photoplay  ont fait de lui, un des illustrateurs les mieux payés de son époque.

Après des études à l’Art Students League, il vint à Paris pour étudier auprès d’ Alphonse Mucha ( Sheldon est d’ailleurs connu pour sa « touche »  Art Nouveau et son style édouardien) . Après ce fructeux apprentissage, il retourne aux USA et  ouvre un studio à New York. En 1918, Sheldon a reçu sa première commande  pour La Vogue lingerie ( voir photographies plus bas) , ce qui le fît connaitre et il enchaina, avec la Fox Shoe Company ( debut des années 20),   puis des couvertures de magazines comme  « The Saturday Evening Post » et surtout  le célèbre « Photoplay ». Non content d’être un très bon illustrateur, Sheldon n’en est pas moins un très bon photographe, et ) partir de 1921 il entame une collaboration avec le grand magazine Theater magazine, qui lui permettrons de photographier toutes les stars de l’époque. Dolores Costello, Clara Bow, Mae West, Jean Harlow,  Mary Nolan, Marie Pickford, Shirley Temple, Les Zegfried Girls , et des centaines d’autres poseront pour lui. Il les photographiera, où en dessinera le portrait, d’ailleurs on retrouve beaucoup de photographies qui ont été au final des supports pour ses dessins,  ( comme ce fut le cas pour beaucoup d’illustrateurs ou dessinateur, cf Mucha par exemple, dont il a appris bcp). En 1929, Il rejoint le très célèbre magazine Screenland ( ou Edwin Bower Hesser a officié par exemple) ainsi  que Motion Picture et Movie Classic.

A la fin des années 30,  la plupart des couvertures de magazines sont en train de changer et la photographie en couleur prend le pas sur  les illustrateurs qui devinrent obsolètes. Sheldon utilisait surtout la photographie pour les compagnes publicitaires , où les portraits en studio et sa perte de vitesse s’amorçât à cette période.

je vous mets le lien Google Charles Gates Sheldon  Illustator ce qui vous permettra d’avoir une idée de son travail d’illustrateur., puis-qu’aujourd’hui c’est bien sûr son travail photographique que je vous présente, à travers ses somptueux portraits des actrices des années 1920-1930 ainsi que des études de nus et quelques planches pour ses campagnes de publicité pour la lingerie afin de completer le Premier article Ici

Charles Gates Sheldon – Madeline Hurlock, 1920

Charles Gates Sheldon – Madeline Hurlock, 1920

Charles Gates Sheldon – Madeline Hurlock, 1920

Charles Gates Sheldon – Madeline Hurlock, 1920

Charles Gates Sheldon – Madeline Hurlock, 1920

Charles Gates Sheldon – Madeline Hurlock, 1920

Charles Gates Sheldon – Madeline Hurlock, 1920

Charles Gates Sheldon – Madeline Hurlock, 1920

Charles Gates Sheldon – Portrait of the silent film star Mary Nolan , 1920s

Charles Gates Sheldon – Portrait of the silent film star Mary Nolan , 1920s

Charles Gates Sheldon – Portrait of the silent film star Mary Nolan , 1920s

Charles Gates Sheldon – Portrait of the silent film star Mary Nolan , 1920s

Charles Gates Sheldon – Portrait of the silent film star Mary Nolan , 1920s

Charles Gates Sheldon – Portrait of the silent film star Mary Nolan , 1920s

Charles Gates Sheldon – Portrait of the silent film star Mary Nolan , 1920s

Charles Gates Sheldon – Portrait of the silent film star Mary Nolan , 1920s

Charles Gates Sheldon – Portrait of the silent film star Mary Nolan , 1920s

Charles Gates Sheldon – Portrait of the silent film star Mary Nolan , 1920s

Charles Gates Sheldon – Portrait of the silent film star Mary Nolan , 1920s

Charles Gates Sheldon – Portrait of the silent film star Mary Nolan , 1920s

Charles Gates Sheldon – Portrait of the silent film star Mary Nolan , 1920s

Charles Gates Sheldon – Portrait of the silent film star Mary Nolan , 1920s

Charles Gates Sheldon – Portrait of the silent film star Mary Nolan , 1920s

Charles Gates Sheldon – Portrait of the silent film star Mary Nolan , 1920s

Charles Gates Sheldon – Portrait of the silent film star Mary Nolan , 1920s

Charles Gates Sheldon – Portrait of the silent film star Mary Nolan , 1920s

Charles Gates Sheldon - Study model Elsie Behrens , 1920s

Charles Gates Sheldon – Study model Elsie Behrens , 1920s

Charles Gates Sheldon - Study model Elsie Behrens , 1920s

Charles Gates Sheldon – Study model Elsie Behrens , 1920s

Charles Gates Sheldon - Study model Elsie Behrens , 1920s

Charles Gates Sheldon – Study model Elsie Behrens , 1920s

Charles Gates Sheldon - Dolores Costello, 1922

Charles Gates Sheldon – Dolores Costello, 1922

Charles Gates Sheldon – Portrait of the silent film star Dolores Costello c. 1920s

Charles Gates Sheldon – Portrait of the silent film star Dolores Costello c. 1920s

cette merveilleuse serie de Dolores Costello, demi-nue ( qu’on crédite parfois Esther Ralston à tord… Il est vrai qu’elle lui ressemble, mais à la différence de Costello, Ralston portait des cheveux court et ce dans les années 1920s et cela la caractérise . )

Charles Gates Sheldon – Portrait of the silent film star Dolores Costello c. 1920s

Charles Gates Sheldon – Portrait of the silent film star Dolores Costello c. 1920s

Charles Gates Sheldon – Portrait of the silent film star Dolores Costello c. 1920s

Charles Gates Sheldon – Portrait of the silent film star Dolores Costello c. 1920s

Charles Gates Sheldon – Portrait of the silent film star Dolores Costello c. 1920s 2

Charles Gates Sheldon – Portrait of the silent film star Dolores Costello c. 1920s 2

Charles Gates Sheldon – Portrait of the silent film star Dolores Costello c. 1920s

Charles Gates Sheldon – Portrait of the silent film star Dolores Costello c. 1920s

Charles Gates Sheldon – Portrait of the silent film star Dolores Costello c. 1920s

Charles Gates Sheldon – Portrait of the silent film star Dolores Costello c. 1920s

Charles Gates Sheldon – Portrait of the silent film star Dolores Costello c. 1920s

Charles Gates Sheldon – Portrait of the silent film star Dolores Costello c. 1920s

Charles Gates Sheldon – Portrait of the silent film star Dolores Costello c. 1920s

Charles Gates Sheldon – Portrait of the silent film star Dolores Costello c. 1920s

Charles Gates Sheldon – Portrait of the silent film star Dolores Costello c. 1920s

Charles Gates Sheldon – Portrait of the silent film star Dolores Costello c. 1920s

Et pour finir vêtue

Charles Gates Sheldon - Dolores Costello, c.1920

Charles Gates Sheldon -Portrait of the silent film star Dolores Costello c. 1920s

Charles Gates Sheldon - Dolores Costello, c.1920

Charles Gates Sheldon – Portrait of the silent film star Dolores Costello c. 1920s

Charles Gates Sheldon - Portrait of the silent film star Marion Davies, 1920

Charles Gates Sheldon – Portrait of the silent film star Marion Davies, 1920

Charles Gates Sheldon - Study model Elsie Behrens , 1920s

Charles Gates Sheldon – Study model Elsie Behrens , 1920s

Charles Gates Sheldon – Julia Wainwright Robbins-Hoyt, 1920s

Charles Gates Sheldon – Julia Wainwright Robbins-Hoyt, 1920s

Charles Gates Sheldon – The Ziegfeld Follies Showgirl Mary Lewis, 1920s

Charles Gates Sheldon – The Ziegfeld Follies Showgirl Mary Lewis, 1920s

Charles Gates Sheldon -Julia Wainwright Robbins-Hoyt , c.1920

Charles Gates Sheldon -Julia Wainwright Robbins-Hoyt , c.1920

Charles Gates Sheldon – Portrait of a silent film star ( who ???) , 1920s

Charles Gates Sheldon – Portrait of a silent film star ( who ???) , 1920s

Charles Gates Sheldon – Ziegfeld Follies Showgirl Mary Lewis, 1920s

Charles Gates Sheldon – The Ziegfeld Follies Showgirl Mary Lewis, 1920s

Charles Gates Sheldon – Evelyn Brent, 1928

Charles Gates Sheldon – Evelyn Brent, 1928

Charles Gates Sheldon - Hilda Boot (Hilda Butsova,), 1920s

Charles Gates Sheldon – Hilda Boot (Hilda Butsova,), 1920s

Charles Gates Sheldon for The Vogue Lingerie, 1918

Charles Gates Sheldon for The Vogue Lingerie, 1918

Charles Gates Sheldon for The Vogue Lingerie, 1918

Charles Gates Sheldon for The Vogue Lingerie, 1918

Charles Gates Sheldon for The Vogue Lingerie, 1918

Charles Gates Sheldon for The Vogue Lingerie, 1918

Charles Gates Sheldon for The Vogue Lingerie, 1918 7

Charles Gates Sheldon for The Vogue Lingerie, 1918

Charles Gates Sheldon for The Vogue Lingerie, 1918

Charles Gates Sheldon for The Vogue Lingerie, 1918

Protégé : Pécsi József (1889 – 1956)

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Václav Chochola (1923- 2005)

 Václav Chochola est un  photographe indépendant  tchèque et enseignant à l’École des arts graphiques. Il a collaboré avec le Théâtre National un certain nombre d’autres troupes. il utilisait des techniques non traditionnelles, photogrammes , photomontages par exemple . au delà de ses photographies de nus, il a réalisé le portrait  de nombreuses célébrités (notamment son célèbre portrait de Dali ) et s’est intéressé à la photographie du sport. Il est à souligné , qu’il a laissé derrière lui un témoignage documentaire photographique sur  l’Insurrection de Prague en mai 1945, qui est inestimable  . et soulignons également qu’une fois encore un artiste fût arrêté, ainsi en 1970 , il a fait quelques de mois de détention pour avoir été photographier la tombe de Jan Palach ( un étudiant en l’histoire et économie politique , qui a sacrifié sa vie pour protester contre la suppression des libertés après l’occupation Tchécoslovaquie par les armées du Pacte de Varsovie et qui est mort en 1966).

Je ne vous présente qu’un bref aperçu de son travail, ceci n’est qu’une infime partie…

 Son site et sa biographie  bien plus complète Ici

Václav Chochola- Crazy Horse Saloon, Paris ,1968

Václav Chochola-Crazy Horse Saloon, Paris ,1968

Václav Chochola - Crazy Horse Saloon, Paris, 1969

Václav Chochola – Crazy Horse Saloon, Paris, 1969

Václav Chochola -projection - Crazy Horse saloon, Paris, 1960-68

Václav Chochola -projection – Crazy Horse saloon, Paris, 1960-68

Václav Chochola Untitled (Nude at crazy horse),  1965

Václav Chochola Untitled (Nude at crazy horse), 1965

Václav Chochola -Nude, 1950

Václav Chochola -Nude, 1950

Václav Chochola -Nude, 1960

Václav Chochola -Nude, 1960

Václav Chochola -Nudes, 1966

Václav Chochola -Nudes, 1966

Václav Chochola Mädchenakt seitlich im Gegenlicht Nu feminin de côté à contre jour 1960-65

Václav Chochola Mädchenakt seitlich im Gegenlicht Nu feminin de côté à contre jour 1960-65  ( j’ai fais au mieux pour la nettoyer … voyez ici , il n’y a que du bruit…)

Václav Chochola -Nude, 1970

Václav Chochola -Nude, 1970

Jiři Kolář. Václav Chochola -Roláž ( collage)

Jiři Kolář. Václav Chochola -Roláž ( collage), 1960

Jiři Kolář. Václav Chochola -Roláž ( collage), 1960 ( réalisé par Jiři Kolář à partir d’une photographie de Václav Chochola ci dessous)

Jiři Kolář. Václav Chochola -Roláž ( collage), 1960

Jiři Kolář. Václav Chochola -Roláž ( collage), 1960 ( réalisé par Jiři Kolář à partir d’une photographie de Václav Chocholaci dessous)

Václav Chochola-Rücken, (de dos) , 1960

Václav Chochola-Rücken, (de dos) , 1960

Jiři Kolář. Václav Chochola -Roláž ( collage), 1960

Jiři Kolář. Václav Chochola -Roláž ( collage), 1960 ( réalisé par Jiři Kolář à partir de deux photographies de Václav Chochola dont celle ci dessus))

Jiři Kolář. Václav Chochola -Roláž ( collage), 1960

Jiři Kolář. Václav Chochola -Roláž ( collage), 1960 ( réalisé par Jiři Kolář à partir d’une photographie de Václav Chocholaci dessous)

Jiři Kolář. Václav Chochola -Roláž ( collage), 1963

Jiři Kolář  Václav Chochola -Roláž ( collage), 1963 ( réalisé par Jiři Kolář à partir d’une photographie de Václav Chochola)

Václav Chochola- portrait 1947

Václav Chochola- portrait masqué ( maska) 1947

Václav Chochola - Šlépěj, 1970

Václav Chochola – Šlépěj, 1970

Václav Chochola – Man Ray, Paris 1968

Václav Chochola – Man Ray, Paris 1968

Václav Chochola-Vésak (Coat, lamp, reflections),1944

Václav Chochola-Vésak  Coat, lamp, reflections,,1944

baruch foundation

Je vous mets le lien google image pour Jiři Kolář, si vous voulez voir plus de son travail….. je ne ferais pas d’article sur lui, je n’apprécie pas vraimant le reste de son travail, il n’en reste pas moins un très grand collagiste, ceci dit , les goûts et les couleurs…

Libor Fára

Libor Fára (1925-1988) was Painter, graphic artist, typographer and set designer.His  graduated from the Academy of Applied Arts in Prague in the studio of Emil Filla in the second half of the 1940s, developing his artistic opinion in the circle of the Prague Surrealists. Fára’s oeuvre is characteristic of a clearly defined polarity between improvisation and order, while inclining to magical Abstraction with a strong touch of aesthetics. The main fields of Fára’s interest were collages, assemblages and objects as well as photography. During the 1950s, Fára participated at various activities of artists, writers and theoreticians from the circle of Karel Teige. Even though his works, based on poetic construction were not created spontaneously, they recollect the production of the Fluxus movement. During the 1960s, Fára collaborated with the Prague theater Na Zábradlí for which he created many timeless stage designs and posters. Later he, however, withdrew from public life and ceased exhibiting; he rather focused on collages and large-dimensional assemblages composed of corroded metal sheets.  Member of the group Máj (May; since the year 1957). Over the years 1963 – 1979 created twenty film posters. He focused on stage production after his studies, and he distinguished in it. He cooperated with E.F. Burian theatre from 1953, between 1962 and 68 with theatre Na Zabradli, from 1969 mostly with Cinoherni klub. First painting inspiration of surrealism (Deux visages, 1945) Fara slowly transfered to poetic absurdity, which he realised by collage technique or assemblage. He belongs to founder of Czech action stage design. He is well know because of designs for Jarry´s King Ubu (1964), Waiting for Godot (1965), Cechov´s The Kirschgarten and Hrabal´s Gentle Barbar (1981). He designed the cover and graphic for magazine Theatre between 1958–1970, he participate on graphic layouts of almost all important publications about theatre.

Libor Fára- a Karel Teige, 1951( is the portrait of  K.Teige, on the left)

Libor Fára- a Karel Teige, 1951( is the portrait of K.Teige, on the left)

Libor Fára, Black Sunday 3-1-4, 1981

Libor Fára, Black Sunday 3-1-4, 1981

Libor Fára, Black Sunday 5., 1981

Libor Fára, Black Sunday 5., 1981

Libor Fára, Black Sunday 9.A, 1981

Libor Fára, Black Sunday 9.A, 1981

Libor Fára, Black Sunday 12., 1981

Libor Fára, Black Sunday 12., 1981

Libor Fára- Černá neděle, 1981

Libor Fára- Černá neděle, 1981

Libor Fára- Year of poster origin, 1972

Libor Fára- Year of poster origin, 1972

Libor Fára A chague épogue sa pose, ( french text) ,1949

Libor Fára A chague épogue sa pose, ( french text) ,1949

Libora Fáry cycle Breakfast at midnight (1951), dedicated to Zbyněk Havlíčkovi and used for the cover of  the Australian poet and fiction-writer Louis Armand

Libora Fáry cycle Breakfast at midnight (1951), dedicated to Zbyněk Havlíčkovi and used for the cover of the Australian poet and fiction-writer Louis Armand

Libor Fára -na snímku - Bez názvu, 1985

Libor Fára -na snímku – Bez názvu, 1985

Libor Fára-relax 1, 1983

Libor Fára-relax 1, 1983

Libor Fára -Relax 8, 1983

Libor Fára -Relax 8, 1983

Libor Fára-  Zasravte cas foto objecktu, 1946

Libor Fára- Zasravte cas foto objecktu, 1946

Libor Fára  Sasaek a lampar foto objecktu 1947

Libor Fára- Sasaek a lampar (foto objecktu),  1947

Libor Fára  domino  foto objecktu1945 1

Libor Fára- domino (foto objecktu), 1945

Libor Fára - Dotky (foto objecktu),  1947

Libor Fára – Dotky (foto objecktu), 1947

 More about his work here

Gerard Petrus-Fieret (1924-2009)

Posted by kate

Gerard Petrus-Fieret a étudié la peinture et le dessin à l’Académie Royale d’Art (KABK) à la Haye immédiatement après la Seconde guerre mondiale. Du milieu des années 60 aux années 80, il s’est consacré principalement à la photographie, un moyen qui lui a permis de mettre en valeur tous ses talents créatifs. Au cours de cette période il a produit un flux constant et presque obsédant de photographies noires et blanches, tentant de saisir le monde qu’il l’entoure : Femmes, filles, enfants, animaux et scènes de la rue et sa propre image. Mais il a surtout photographié Les femmes et ce, pendant des rencontres informelles, et le plus fréquemment dans les poses sans complexes, intimes qui donnent une sensation de friser légèrement le voyeurisme.

Le travail de Gérard Petrus Fieret présenté ici datent des années 1960. Tout comme Miroslav Tichý ( d’ailleurs leurs œuvres respectives ont des similitudes), Petrus-Fieret n’a que peu daté son travail. Par contre il l’ a minutieusement tamponnés avec son nom et son adresse de manière plutôt paranoïaque, il faut bien l’avouer. il finira sa vie comme vous pourrez le voir plus bas dans les vidéo en ayant perdu sa tête, déambulant dans les rue et passant son temps sur sa bicyclette et à donner à manger au pigeon. La folie produit de grandes œuvres mais laisse les artistes dans de bien tristes situations parfois. l’écouter dans le documentaire est extrêmement touchant

Toutes les photographies sont  (scans personnels)  extraites du livre de Deborah Bell Photographs and Paul M. Hertzmann Inc – “Meeting Gerard Petrus Fieret photographs” ed° Suzan Herzig, 2003, publié conjointement à l’exposition “Gerard Petrus Fieret photographs” qui s’est déroulée en 2003 à la Galerie “Deborah Bell Photographs”, à New- york.

Gerard Petrus Fieret- Untitled,1960s

Gerard Petrus Fieret- Untitled,1960s p07

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s p13

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s p13

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s, P13

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s, P13

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s p12

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s p12

Gerard Petrus Fieret – Untitled Nude, 1970’s p02

 

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1961 p01

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1961 p01

Gerard Pietrus Fieret -untitled, 1960s p 02

Gerard Pietrus Fieret -untitled, 1960s p 02

Gerard Pietrus Fieret - 4 plates Untitled, 1960s p02

Gerard Pietrus Fieret – 4 plates Untitled, 1960s p02

Gerard Pietrus Fieret - 4 plates Untitled, 1960s p02

Gerard Pietrus Fieret – 4 plates Untitled, 1960s p02

Gerard Petrus Fieret      Untitled  , 1965

Gerard Petrus Fieret Untitled , 1965

Gerard Pietrus Fieret -  Untitled, 1960s p02

Gerard Pietrus Fieret – Untitled, 1960s p02

Gerard Pietrus Fieret - Untitled, 1973 P02

Gerard Pietrus Fieret – Untitled, 1973 P02

Gerard Fieret  Portrait of a Woman  1960s

Gerard Fieret Portrait of a Woman 1960s

Gerard Pietrus Fieret - Untitled, 1971 p01

Gerard Pietrus Fieret – Untitled, 1971 p01

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s p12

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s p12

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s P11

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s P11

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s p11

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s p11

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s p1O

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s p1O

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s p10

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s p10

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s P09

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s P09

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s p09

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s p09

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s p08

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s p08

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s p08

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s p08

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s P07

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s P07

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s p07

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s p07

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s p06

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s p06

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s pà6

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s pà6

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s p06

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s p06

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s p05

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s p05

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s p05

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s p05

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s p04

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s p04

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s p0"

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s p0″

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s p01

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s p01

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s p01

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s p01

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s p01

Gerard Pietrus Fieret- untitled, 1960s p01

Gerard Petrus Fieret- Untitled, 1960s

Gerard Pietrus Fieret P 16

Gerard Pietrus Fieret  auto portrait P 16

Gerard Pietrus Fieret -autot portrait , 1960S P 14

Gerard Pietrus Fieret -autot portrait , 1960S P 14

Gerard Pietrus Fieret By Kees Breukel 2007-2009

Gerard Pietrus Fieret By Kees Breukel 2007-2009

Gerard Pietrus Fieret By Kees Breukel 2007-2009

Gerard Pietrus Fieret By Kees Breukel 2007-2009

Vous puvez vous procurer la video qui suit en sa totalité Ici

Frank van den Engel's Photo & Copyright by G.P. Fieret (2009)

Frank van den Engel’s Photo & Copyright by G.P. Fieret (2009)

František Drtikol – Les Nus de Drtikol, Edtion Librairie des arts décoratifs, Paris, 1929

« Dans mon travail, je m’appuie sur l’affirmation du Livre de la Genèse que Dieu a créé l’homme à son image. Il est clair qu’il n’a pas créé l’habillement pour l’homme, il est né nu. C’est pourquoi je regarde la nudité comme l’œuvre de Dieu, en sa beauté comme la chose la plus évidente et morale. Je soutiens que l’humanité serait plus naturelle, sincère et belle si elle avait prêté attention au nu plus souvent. Avec la nudité, les distinctions sociales disparaissent et la beauté de l’homme demeure. Dans mon travail, je suis inspiré par trois choses: le mouvement , l’immobilité et l’expression des lignes individuelles . J’utilise ensuite le fond et les accessoires – des objets simples comme des cercles, des lignes ondulées et des colonnes .
Je laisse la beauté de la ligne elle-même avoir un impact, sans fioriture, en supprimant tout ce qui est secondaire. Ou j’illustre une notion et l’intensifie avec la lumière et parfois par suggestion par le biais un simple trait ondulé, cercle, à la surface ou juste avec une ombre portée sur une toile de fond. Ou bien j’utilise le corps comme un objet de décoration, en le positionnant dans divers milieux et sources de lumières. C’est ainsi que je crée toutes mes photos « .František Drtikol

František Drtikol (1883-1961)

František Drtikol n’était pas seulement un brillant photographe, dont les travaux ont influencé toute une génération, mais en même temps un personnage très controversé, dans lequel se mélangeait des contradictions difficiles à comprendre. Drtikol possède plusieurs visages. Il y a František Drtikol l’artisan dans son atelier de photographie dans lequel défilaient les personnages illustres de l’époque, comme les deux présidents Tomáš Garrigue Masaryk et Edvard Beneš. Ensuite, il y a Drtikol l’artiste, dont la facette la plus connue est celle du photographe de nus féminins. C’est d’ailleurs grâce à cette production qu’il a acquis une renommée internationale et qu’il a été récompensé à Paris. (Aux côtés d’autres artistes tchèques, Drtikol a participé à l’exposition Art Déco à Paris en 1925, où il a reçu le Grand Prix. Suite à ce succès, en 1929, on lui a publié un grand portfolio de nus dans une édition de collecteurs que je vous présente aujourd’hui.

Dans les années 1930, il a acquis une bonne réputation aux Etats-Unis, où il a eu plusieurs expositions indépendantes, une expérience tout à fait inédite pour un artiste tchèque) . La diversité de ses approches artistiques est impressionnante , une période Art nouveau avec des portraits, des nus féminins et des paysages, des cut-up, de la peinture, puis un style influencé par l’Avant-garde, le constructivisme( influencé par Jaroslav Rössler qui était employé dans son atelier). Par exemple, pour l’anecdote et illustré le personnage complexe qu’il était, bien qu’il fût issu d’une famille catholique, il a cherché un nouveau chemin spirituel et il devient un pionnier du bouddhisme et du yoga en République Tchèque.

Il débute assez jeune par un apprentissage chez un photographe et peu après commence à se concentrer sur son propre travail photographique. Il approfondit ensuite ses compétences et son talent au cours de l’école de la photographie à Munich. Après des études à Munich et le service militaire, Drtikol a ouvert son premier studio de photographie à Prague, l’établissant comme l’un des studios les plus prospères en Europe pendant les années vingt.

La carrière de Frantiskek Drtikol dans la photographie a grandi pendant les années du Prague Symboliste et les deux mouvements qui influencent profondément ses premières photographies de nus en leur donnant une qualité picturale ‘Art Nouveau’. Toutefois, pendant les années 1920 et 1930, ses influences décalées et il a commencé à créer un nouveau genre de photographie de nu avec une approche avant-gardiste. Souvent il intégrer la danse expressive et style Art déco dans ses photographies de nus. Après son Prix à Paris son Studio est devenu incontournable et , un certain nombre d’artistes talentueux, comme Jan Zrzavý, Vlasta Burian, Josef Čapek ou Alfons Mucha son passé sous son objectif. On peut donc en conclure que, déjà dans les années 1930, Drtikol avait une renommée internationale. Il se consacrait aux nus et portraits principalement à cette époque, mais parallèlement à tout cela il continuait sa quête spirituelle et pratiquait intensivement le bouhdisme. Il traduit des livres, donne des conférences et forme même un groupe d’adeptes. En 1929, il aurait atteint le Nirvana. Dans une de ses lettres, a écrit à ce sujet: « et j’ai été tout et le tout,et en cela je n’étais que rien absolu. ». Cela prenait beaucoup de place dans sa vie, quant bien même il continuait à photographier et peindre. C’est sous l’influence de son développement spirituel que se transforme sa production artistique. En 1923, son style change. Ses photographies contiennent trois éléments – le corps nu de la femme, des formes géométriques simples, le plus souvent une ligne onduleuse, et la lumière. Ce style originel a par la suite évolué vers encore plus de simplicité. Mais dans le milieu des années 1930 Drtikol abandonne complètement la photographie. Il vend son studio, ses plaques de verre, négatifs, et la caméra pour se consacrer à la peinture.

Le paradoxe et les multiples facettes de Drtikol se dévoile aussi dans le fait qu’il fût plus tard un membre actif du Parti communiste , il l’était dès 1945 et ce jusqu’à sa mort en 1961, et même un camarade actif également en 1948, il aurait été témoin au processus dans les années 1950, et en 1968 niant la revolution….

František Drtikol , dessinateur, peintre mais surtout célèbre photographe de format international.fût beaucoup plus apprécié à l’étranger que chez lui., tout comme cela s’applique à d’autres classiques de la photographie tchèque,Jaromír Funke et Josef Sudek pour ne citer qu’eux…

František  Drtikol –  Les Nus de Drtikol, Edtion Librairie des arts décoratifs, Paris, 1929 préface de Claude de Santeul.
[30 planches en héliogravure]

 publiée dans  Les Nus de Drtikol, Edtion Librairie des art décoratifs, Paris 1929

publiée dans Les Nus de Drtikol, Edtion Librairie des art décoratifs, Paris 1929

František Drtikol planche I, 1929

František Drtikol planche I,  publiée dans  Les Nus de Drtikol, Edtion Librairie des arts décoratifs, Paris 1929

František Drtikol- Planche II, 1929

František Drtikol- Planche II,  publiée dans  Les Nus de Drtikol, Edtion Librairie des arts décoratifs, Paris 1929

František Drtikol- Planche III, 1929

František Drtikol- Planche III,  publiée dans  Les Nus de Drtikol, Edtion Librairie des arts décoratifs, Paris 1929

František Drtikol- Planche IV 1929

František Drtikol- Planche IV , publiée dans  Les Nus de Drtikol, Edtion Librairie des arts décoratifs, Paris 1929

František Drtikol- Planche V 1929

František Drtikol- Planche V, « La Priere », 1925  publiée dans  Les Nus de Drtikol, Edtion Librairie des arts décoratifs, Paris 1929

František Drtikol- Planche VI, 1929

František Drtikol- Planche VI, publiée dans  Les Nus de Drtikol, Edtion Librairie des arts décoratifs, Paris 1929

František Drtikol- Planche VII, 1929

František Drtikol- Planche VII, publiée dans  Les Nus de Drtikol, Edtion Librairie des arts décoratifs, Paris 1929

František Drtikol- Planche VIII, 1929

František Drtikol- Planche VIII, publiée dans  Les Nus de Drtikol, Edtion Librairie des arts décoratifs, Paris 1929

František Drtikol- Planche IX, 1929

František Drtikol- Planche IX, « La Mort », 1925  publiée dans  Les Nus de Drtikol, Edtion Librairie des arts décoratifs, Paris 1929

František Drtikol- Planche XVII, publiée dans  Les Nus de Drtikol, Edtion Librairie des art décoratifs, Paris 1929

František Drtikol- Planche XVII, publiée dans Les Nus de Drtikol, Edtion Librairie des arts décoratifs, Paris 1929

František Drtikol- Planche X, 1929

František Drtikol- Planche X,publiée dans  Les Nus de Drtikol, Edtion Librairie des arts décoratifs, Paris 1929

František Drtikol- Planche XI, 1929

František Drtikol- Planche XI, publiée dans  Les Nus de Drtikol, Edtion Librairie des arts décoratifs, Paris 1929

František Drtikol- Planche XII, 1929

František Drtikol- Planche XII,publiée dans  Les Nus de Drtikol, Edtion Librairie des arts décoratifs, Paris 1929

František Drtikol- Planche XIII, publiée dans  Les Nus de Drtikol, Edtion Librairie des art décoratifs, Paris 1929

František Drtikol- Planche XIII, publiée dans Les Nus de Drtikol, Edtion Librairie des arts décoratifs, Paris 1929

František Drtikol- Planche XIV, 1929

František Drtikol- Planche XIV, publiée dans  Les Nus de Drtikol, Edtion Librairie des arts décoratifs, Paris 1929

František Drtikol- Planche XV, 1929 1

František Drtikol- Planche XV, publiée dans  Les Nus de Drtikol, Edtion Librairie des arts décoratifs, Paris 1929

František Drtikol- Planche XVI, 1929

František Drtikol- Planche XVI,publiée dans  Les Nus de Drtikol, Edtion Librairie des arts décoratifs, Paris 1929

František  Drtikol - ,from  Les Nus de Drtikol, Plate XVIII, Edtion Librairie des art décoratifs, Paris, 1929

František Drtikol – Planche  XVIII, publiée dans  Les Nus de Drtikol, Edtion Librairie des arts décoratifs, Paris 1929

František Drtikol- Planche XIX, 1929

František Drtikol- Planche XIX,publiée dans  Les Nus de Drtikol, Edtion Librairie des arts décoratifs, Paris 1929

František Drtikol- Planche XX, 1929

František Drtikol- Planche XX,publiée dans  Les Nus de Drtikol, Edtion Librairie des arts décoratifs, Paris 1929

František Drtikol- Planche XXI, 1929

František Drtikol- Planche XXI,publiée dans  Les Nus de Drtikol, Edtion Librairie des arts décoratifs, Paris 1929

František Drtikol- Planche XXII, 1929

František Drtikol- Planche XXII, publiée dans  Les Nus de Drtikol, Edtion Librairie des arts décoratifs, Paris 1929

František Drtikol- Planche XXIII, 1929

František Drtikol- Planche XXIII,publiée dans  Les Nus de Drtikol, Edtion Librairie des arts décoratifs, Paris 1929

František Drtikol- Planche XXIV, 1929

František Drtikol- Planche XXIV, publiée dans  Les Nus de Drtikol, Edtion Librairie des arts décoratifs, Paris 1929

František Drtikol- Planche XXV, 1929

František Drtikol- Planche XXV, publiée dans  Les Nus de Drtikol, Edtion Librairie des arts décoratifs, Paris 1929

František Drtikol- Planche XXVI, 1929

František Drtikol- Planche XXVI, publiée dans  Les Nus de Drtikol, Edtion Librairie des arts décoratifs, Paris 1929

František Drtikol- Planche XXVII, 1929

František Drtikol- Planche XXVII,publiée dans  Les Nus de Drtikol, Edtion Librairie des arts décoratifs, Paris 1929

František Drtikol- Planche XXVIII, 1929

František Drtikol- Planche XXVIII, publiée dans  Les Nus de Drtikol, Edtion Librairie des arts décoratifs, Paris 1929

František Drtikol- Planche XXIX, 1929

František Drtikol- Planche XXIX, publiée dans  Les Nus de Drtikol, Edtion Librairie des arts décoratifs, Paris 1929

František Drtikol- Planche XXX, 1929

František Drtikol- Planche XXX, publiée dans  Les Nus de Drtikol, Edtion Librairie des arts décoratifs, Paris 1929

Kitty Hoffman ( wien) Portrait of dancer Claire Bauroff

Kitty Hoffman ( wien) Portrait of dancer Claire Bauroff as she poses, topless and with a spear, in a scene from a ‘Roman Gladiator’ tableau vivant, Vienna, Austria, 1934.

Sergio Larrain (1931 – 2012)

« Sergio Larrain  grandit dans une famille de la haute société chilienne. Son père, architecte est très sensible à l’art et tout le milieu culturel de l’époque se retrouve dans la maison familiale pour débattre sur les idées modernistes. La bibliothèque familiale est très riche, composée de livres d’art, architecture et littérature. Cet ensemble permettra à Sergio Larrain d’éduquer son œil et de développer son goût pour l’art. Les relations avec son père sont difficiles et Sergio Larrain ne se sent pas à l’aise dans ce monde bourgeois et frivole. En 1949, il décide de partir étudier aux États – Unis , d’abord en Californie puis dans le Michigan. Cette même année, il achète, à crédit, son premier Leica ,
« A l’époque, j’ai acheté mon premier appareil sans imaginer que la photographie allait devenir mon métier », dit-il .
En 1951, suite au décès accidentel de son jeune frère, Sergio Larrain, qui a abandonné ses études aux Etats – Unis, décide d’accompagner sa famille dans un long voyage qui les mènent en Europe et au Moyen-Orient. Suite à ce périple, il se recentre sur la photographie et s’installe à La Reina où il s’intéresse à la philosophie orientale et pratique de longues séances de méditation.
Cet éloignement est compromis en 1952 par le service militaire obligatoire qui lui laisse de mauvais souvenirs : Au sein du régiment, je me sentais humilié, brutalisé . Tout ce à quoi j’aspirais, c’était un peu de tranquillité. Il se lance alors dans son premier travail conséquent en s’intéressant aux enfants abandonnés de Santiago qui errent dans les rues et sur les rives du fleuve Mapocho.
Comme le souligne Gonzalo Leiva Quijada dans son essai, à travers son objectif, son regard de compassion saisit ces exclus qui deviennent des personnes. Sergio Larrain ne fait qu’un avec eux. Il est leur ami, leur alter ego, lui aussi vagabond, découvrant l’invisibilité.
En 1954, Sergio Larrain devient photographe free – lance et décide d’envoyer un portfolio de ses meilleurs clichés à Edward Steichen au MoMA qui lui achète quatre tirages. Deux ans plus tard, il devient photographe pigiste pour le magazine brésilien O Cruzeiro Internacional.
Très concerné par la scène culturelle de Santiago, Larrain se lie d’amitié avec de nombreux artistes chiliens. Il voyage avec l’artiste américaine Sheila Hicks dans le sud du Chili à la fin de 1957. Le fruit de ce voyage sera présenté en 1958 lors d’une exposition commune au Palacio de Bellas Artes de Santiago puis à Buenos Aires. Dès 1952 , Larrain réalise ses premières images de Valparaiso et rend un vibrant hommage à la ville qu’il qualifie de balcon chilien face au Pacifique . Il retournera plusieurs fois dans cette ville jusqu’en 1963 pour obtenir, au fil des ans, un essai photographique d’une puissance exceptionnelle.
Au cours de l’hiver 1958 – 1959, 20 ans après Bill Brandt qu’il admire, Larrain passe quatre mois à Londres grâce à une bourse du British Council. Dès le début de sa carrière,le photographe rêvait d’intégrer l’agence Magnum et c’est lors de ce voyage en Europe que son rêve va se concrétiser. En effet, il rencontre Henri Cartier-Bresson en 1959 et ce dernier lui propose de rejoindre l’agence après avoir vu ses images des enfants abandonnés. Pour Larrain, le photographe français est « le maître absolu, un génie, appartenant à une catégorie à part » . Pour plus de facilité, Larrain s’installe pendant deux ans à Paris et les commandes vont alors se multiplier, il va couvrir de nombreux sujets, tous très différents ; le mariage du shah d’Iran , la guerre d’Algérie, le tremblement de terre au Chili en 1960, la mafia sicilienne….
Mais très vite, Larrain a des doutes sur les prouesses qu’il faut déployer pour réaliser des sujets publiables pour la presse . Je crois que la pression du monde journalistique – être prêt à sauter sur n’importe quel sujet – détruit mon amour et ma concentration pour le travail , écrit – il à Henri Cartier-Bresson en 1965 . Il décide finalement de rentrer au Chili.
Son premier livre, « El rectangulo en la mano », entièrement conçu par lui, est publié en 1963 . En 1965, le photographe réalise les photos et la mise en page de « En el Siglo XX » , publication soutenue par la Fondation Mi Casa et destiné e à solliciter l’aide des donateurs pour venir en aide aux enfants abandonnés. L’année suivante, il photographie la maison du poète Pablo Neruda à la Isla Negra ; accompagnées de textes du poète, les images sont publiées dans le livre Una casa en la arena.
Au milieu des années 1960, il fonde une agence de communication artistique et s’entoure de nombreux artistes, il collabore également aux magazines Paula et Vea . Il rejoint la communauté d’Arica en 1969 pour y suivre l’enseignement d’Oscar Ichazo et décide , à partir de 1972 , de poursuivre seul sa quête spirituelle ; en 1978, il s’installe définitivement à Tulahuén. Il mène une vie discrète et fuit les sollicitations .
À partir de cette date, il poursuit sa quête à travers le yoga et la peinture tandis que Magnum continue à diffuser ses archives. C’est à cette époque qu’Agnès Sire découvre son travail et commence à entretenir une longue correspondance avec le photographe. Grâce à cette relation épistolaire et au travail de Magnum , Larrain accepte de publier un ouvrage sur Valparaiso (1991) puis Londres (1998).
Le medium photographique devient alors un accompagnement pour les nombreux textes qu’il rédige, un moyen pour tenter de communiquer son goût pour l’essentiel. Ses rares images deviennent des sortes de haïku, des satori, accompagnant avec des dessins les nombreuses lettres qu’il adresse à ses amis.
L’exposition organisée en 1999 à l’ IVAM, Valencia est le dernier évènement important organisé autour de l’œuvre de Larrain , le photographe ayant refusé tous les autres projets. Selon Agnès Sire, les termes employés par Sergio Larrain pour décrire l’état de grâce dans lequel il faut nécessairement se trouver pour « accueillir » une bonne image, sont ceux du mysticisme, voire du spiritisme comme si les images étaient déjà là dans le cosmos et que le photographe agissait comme un medium : « libéré des conventions », « pureté », « concentration », « miracle »… et si les conditions sont réunies « les images arriveront comme des fantômes, des esprits  » Texte d’Agnès Sire et Gonzalo Leiva Quijad tiré du livre  Sergio Larrain , Monographie Vagabondages, Ed° Xavier, Barral,2013

Sergio Larrain Cafe- Valparaiso, Chile 1963

Sergio Larrain Cafe- Valparaiso, Chile 1963

Sergio Larrain- Cafe, Valparaiso, Chile 1963

Sergio Larrain- Cafe, Valparaiso, Chile 1963

Sergio Larrain Bar. Valparaiso 1963.

Sergio Larrain Bar. Valparaiso 1963.

Sergio Larrain Bar. Valparaiso, 1963.

Sergio Larrain Bar. Valparaiso, 1963

Sergio Larrain- Between Chiloe Island and Puerto Montt. chile, 1957

Sergio Larrain- Between Chiloe Island and Puerto Montt. chile, 1957

 

Son travail Site Magnum photo

un très bel article sur le beau blog esprit nomade