Mario von Bucovich (16 February 1884 – 30 November 1947) was also known as Marius von Bucovich. He was born at Pula in the Istrian region of the Austro-Hungarian Empire and held the title of Baron. His father, August, Freiherr von Bucovich, was a former Corvette Captain in the Austro-Hungarian navy and later an entrepreneur in the railroad concession sector. His mother was Greek.
Despite the wide circulation of his photographs (to the present day) and popularity of his publications (from the 1920s to the 40s), there has been limited interest in Mario von Bucovich in the history of photography, which may reflect a somewhat ungenerous assessment. Although much of his work was conventional, he was a creative and talented photographer. He also took the initiative to produce books of his photographs dedicated to New York and various European cities. In a privately published volume of 1935, intended simultaneously to de-mystify and elevate photography, Bucovich expressed his views on photography and his own practice of the craft. But he reveals almost nothing of a personal nature. Both authors of this article, before learning of each other’s work—coming from German Studies and Jewish Studies, respectively—were struck by the disparity between the quantity and quality of the material legacy of Mario von Bucovich, and the lack of a substantial biography.
He worked primarily in Germany in the 1920s and 30s, as well as traveled to France and England. In his published work he was most noted for his urban studies with a focus on streetscapes, but his studio work undertaken at the Atelier Karl Schenker was often of entertainment personalities of Weimar period stage and screen. Amongst his most notable books were Berlin, Das Gesicht Der Stadt (Berlin, Portrait of a City) and Paris (with a forward by Paul Morand). The Paris book included photos by Germaine Krull. The Berlin book published originally by Albertus Verlag, a publishing house he founded in 1928, had a forward written by the author Alfred Döblin.
He had a base in Berlin during his most productive years between the wars, being linked to the Atelier Schenker. During the late 1920s his photos appeared across the gamut of German photo journalism including the titles: Der Querschnitt, Uhu, Die Dame, Die neue Linie, Das Magazin, Skizzen, Welt-Magazin, Kölnische Illustrierte Zeitung, Revue des Monats, Das Kriminalmagazin, Das Leben, Das Kunstblatt, Farbe und Form, Das deutsche Lichtbild, Deutscher Kamera Almanach, Die Reklame, Der Photo-Freund.
He moved to New York during the 1930s where he worked for a publishing house on 41st Street. In his American period he published two photographic essays, Washington D.C. City Beautiful and Manhattan Magic. A Collection of Eighty-Five Photographs. He moved to Mexico and was working there through at least the early part of that decade, until his death on 30 November 1947 in a traffic accident in Mexico City.
His work was shown at major photography salons of the day, including the Fourth International Exhibition of Pictorial Photography at the California Palace of the Legion of Honor, the Third International Exhibition of Pictorial Photography Seattle Camera Club, and the 15th and 16th Annual Pittsburgh Salon of Photographic Art at the Carnegie Institute.
His work is in the collections of the New Orleans Museum of Art, the National Museum of Mexican Art and the National Gallery of Canada.
He photographed Marlene Dietrich and Leni Riefenstahl (in her days as a dancer, preceding her career as a film director). His views of Girona in Spain taken in 1933 were published in the National Geographic magazine. The Berliner Morgenpost in 2009 described him as « one of the great unknown photographers of 20th Century European photography ».
Mario von Bucovich’s wife, Marie, was also a photographer. source wilkipedia
Mario von Bucovich (Atelier Karl Schenker) -Ruth Walker, Danseur, USA – Portrait – vers 1928
Mario von Bucovich (Atelier Karl Schenker) -Ruth Walker, Danseur, USA – Portrait – vers 1928
Mario von Bucovich (Atelier Karl Schenker) -Ruth Walker, Danseur, USA – Portrait – vers 1928
Mario von Bucovich (Atelier Karl Schenker) -Ruth Walker, Danseur, USA – Portrait – vers 1928
Mario von Bucovich (Atelier Karl Schenker) -Ruth Walker, Danseur, USA – Portrait – vers 1928
Mario von Bucovich (Atelier Karl Schenker) -Ruth Walker, Danseur, USA – Portrait – vers 1928
Mario von Bucovich (Atelier Karl Schenker) -Ruth Walker, Danseur, USA – Portrait – vers 1928
Mario von Bucovich -Naakt rencontré masker en werd Berlin 1927 de la bookVoluptuous Panic Le monde érotique de Weimar Berlin, Feral House, 2000. photo courte
Mario Von Bucovich-‘Naakt avec un masque « et était Berlin 1927
Alexandre Grinberg – L’Art du Mouvement,(The art of movement) 1928
Alex(s)ander Danilovich Grinberg est un des photographes russes les plus respectés du vingtième siècle. Il a connu la révolution russe, la guerre civile, deux guerres mondiales et la répression stalinienne durant ses 94 années de vie.
Il a étudié à l’Université de Moscou, au Département de physique et de mathématiques, et au Stroganov Art College. En 1907 Gringberg est devenu membre de la Société photographique de Russie (RFO) à Moscou, en 1912 et l’un de ses administrateurs. En 1909 il reçoit sa première médaille d’or à l’exposition internationale de Dresde. En 1914 il commence à travailler avec le studio de cinéma « khanzhankov » à Moscou, en devenant responsable de la publicité des films, mais il est également assistant réalisateur et ses films les plus connus sont « les Descendants arabes » et « Deux amies (modèle et fille) ».
De 1922 à 1930 Grinberg enseigne la composition photographique au cinéma au « State College « (plus tard renommé en Russie State University Cinématographie). Dans la même période, il a enseigné à la société photographique professionnelle de Moscou et a également travaillé comme caméraman à la First State Film Studio. Il travaille aussi beaucoup avec Vsevolod Meyerhold ( directeur d’une troupe de théatre) et d’autre troupe de théatre, et est proche d’un certain nombre d’acteurs ainsi de que de grand nom de la photographie.
En 1929, lors de la révolution culturelle, la « vieille école” de la photographie soviétique ( dont il fait partie) est désignée comme une photographie réalisée par « dépravé » et il perd sa notoriété et n’est plus le photographe à qui l’on accorde des faveurs. En effet, la nouvelle politique culturelle a dicté que n’importe quel érotisme sous quelque forme artistique que ce soit était un « restant d’oisiveté bourgeoise » et inconvenant pour la société soviétique.
Pourtant Grinberg , continue et en 1935 il expose des photographies de femmes partiellement habillées , ce qui lui vaut son arrestation et une condamnation par le Comité spécial de NKVD (Commissariat populaire de l’Intérieur) au bagne ( autrement dit Goulag)pour diffusion de pornographie.Au bout de quatre année d’enfer, il est finalement libéré pour la bonne conduite ,en 1939.
[Vous verrez que la plupart de ses clichés de nus sont réalisés entre les années 1900 et 1930 , aujourd’hui l’histoire écrite, on comprend pourquoi il n’a pu continué librement à exercer son art. Tous les travaux de cette époque n’ont pas été détruits que cela arrivait généralement et ce grâce à son frère aîné qui a réussi à cacher les négatifs durant de nombreuses années. C’est donc pourquoi, la majorité des photos que vous verrez , ont été retirées après la seconde guerre mondiale, et n’ont plus ce grain si particulier du pictoralisme. Rares sont les photographies qui sont tirées dans des teintes particulières. ]
A sa sortie du goulag, il a repris rapidement son travail de photographe et il collabore avec de nombreuses d’institutions, des musées et enseigne la photographie. Après la guerre il a travaillé avec les modèles et les couturiers tout au long des années 1950.
Sa vie entière a été consacrée à la photographie, qu’il n’a jamais abandonnée, même dans les plus difficiles de circonstances. Encore une fois, cet homme est la preuve, que de tout temps les artistes sont persécutés et emprisonnés , nous en avons déjà parlé et bons nombres d’artistes présentés sur le blog ont été dans le même cas.
La majorité des photographies se trouvent sur le site Russian Photographs, mais les dates sont approximatives , ainsi que les noms des personnes photographiées manquantes , vous y trouverez également d’autres travaux, en plus petits formats bien entendu, comme la publicité, les portraits des têtes couronnées de l’époque, des paysages, sa série l’art du Mouvement dans l’esprit de la nouvelle culture russe : « Un corps parfait pour une civilisation parfaite ».
Alexander Danilovich Grinberg – Study of mouvement , 1926-28
Alexandre Grinberg – L_Art du Mouvement,(The art of movement) 1928
Alexandre Grinberg – L_Art du Mouvement,(The art of movement) 1928
Alexandre Grinberg – L_Art du Mouvement,(The art of movement) 1928
Alexandre Grinberg – L_Art du Mouvement,(The art of movement) 1928
Alexandre Grinberg – L_Art du Mouvement,(The art of movement) 1928
Alexandre Grinberg – L_Art du Mouvement,(The art of movement) 1928
Alexandre Grinberg – L_Art du Mouvement,(The art of movement) 1928
Alexandre Grinberg – L_Art du Mouvement,(The art of movement) 1928
Alexandre Grinberg – L_Art du Mouvement,(The art of movement) 1928
Alexandre Grinberg – L_Art du Mouvement,(The art of movement) 1928
Alexandre Grinberg – L_Art du Mouvement,(The art of movement) 1928
Alexander Danilovich Grinberg – Study of mouvement , 1926-28 (4)
Alexander Danilovich Grinberg – Study of mouvement , 1926-28
Alexander Danilovich Grinberg – Study of mouvement , 1926-28
Nakayama est un photographe Japonais actif dans les années 1930à 1950 . Après avoir suivi des cours de photographie à l’université des arts de Tokyo, il s’installe aux États-Unis en 1918, afin de poursuivre ses études, mais il les abandonne très vite préférant travailler dans un studio dirigé par Tōyō Kikuchi (菊池東陽) à New York. Suite à cet apprentissage fructueux il créera son propre studio, le « Laquan studio », à New York. Nakayama voyagera en Europe dans le milieu des années 20, et lors de son séjour à Paris il fera la connaissance de Man Ray et László Moholy-Nagyy .
Après le retour au Japon en 1927 , il commence à travailler comme photographe professionnel à Kōbe et se retrouve à la tête de l’avant-garde japonaise Arts photo. Il s’associe au Ashiya Camera Kurabu (芦屋カメラクラブ) et forme certains de ses disciples encore adolescents. Il publie quelques travaux dans les magazines Asahi Camera, Nihon Shashin Nenkan(日本写真年鑑) etc.
Par ailleurs, il réalisera l’un des premiers montages photographiques commercial japonais en 1930
En 1932, il publie en compagnie de Yasuzō Nojima, Nobuo Ina le mensuel Kōga(光画). Ce magazine représente un tournant critique et majeur de la photographie artistique japonaise. Nakayama est un pionnier de la photographie japonaise avant-gardiste et inspire de nombreux photographes japonais par le biais de ses œuvres.
Au cours de la Seconde Guerre mondiale, il ne peut travailler pleinement. Ses œuvres deviennent de plus en plus abstraites. La guerre terminée, il reprend son travail professionnel et crée de nouvelles pièces artistiques mais en 1949, il meurt subitement à l’âge de 54 ans quelques jours après avoir été choisi pour occuper la fonction de gérant de l’Association de la photographie japonaise.
Atelier Manassé- Paris Plastique 1928 for The cover of Paris Plastique (art deco magazine)- #3, 1928
Atelier Manassé- Cover paris Studio,#2, 1930
Atelier Manassé-..In Plaisirs magazine 1932.
Atelier Manassé- Dangerous Passion, painting of Heroin addiction, published in Studio Manasse , paris Plaisir magazine, 1929 from the book Voluptuous Panic
Atelier Manassé- Déhbillage pour Pages Folles n°6, mars 1934
Alexander Danilovich Grinberg -Nude Study with veil ( The Theatre of Meyerhold ), 1913-14
Posted by kate on 23/03/2012 ( vous cliquez sur le lien et vous trouvez les archives sur le site archives du net, qui répertorie les meilleurs sites et captures les articles parfois on trouve la bio en anglais je ne sais pas pourquoi)
Alex(s)ander Danilovich Grinberg est un des photographes russes les plus respectés du vingtième siècle. Il a connu la révolution russe, la guerre civile, deux guerres mondiales et la répression stalinienne durant ses 94 années de vie.
Il a étudié à l’Université de Moscou, au Département de physique et de mathématiques, et au Stroganov Art College. En 1907 Gringberg est devenu membre de la Société photographique de Russie (RFO) à Moscou, en 1912 et l’un de ses administrateurs. En 1909 il reçoit sa première médaille d’or à l’exposition internationale de Dresde. En 1914 il commence à travailler avec le studio de cinéma « khanzhankov » à Moscou, en devenant responsable de la publicité des films, mais il est également assistant réalisateur et ses films les plus connus sont « les Descendants arabes » et « Deux amies (modèle et fille) ».
De 1922 à 1930 Grinberg enseigne la composition photographique au cinéma au « State College « (plus tard renommé en Russie State University Cinématographie). Dans la même période, il a enseigné à la société photographique professionnelle de Moscou et a également travaillé comme caméraman à la First State Film Studio. Il travaille aussi beaucoup avec Vsevolod Meyerhold ( directeur d’une troupe de théatre) et d’autre troupe de théatre, et est proche d’un certain nombre d’acteurs ainsi de que de grand nom de la photographie.
En 1929, lors de la révolution culturelle, la « vieille école” de la photographie soviétique ( dont il fait partie) est désignée comme une photographie réalisée par « dépravé » et il perd sa notoriété et n’est plus le photographe à qui l’on accorde des faveurs. En effet, la nouvelle politique culturelle a dicté que n’importe quel érotisme sous quelque forme artistique que ce soit était un « restant d’oisiveté bourgeoise » et inconvenant pour la société soviétique.
Pourtant Grinberg , continue et en 1935 il expose des photographies de femmes partiellement habillées , ce qui lui vaut son arrestation et une condamnation par le Comité spécial de NKVD (Commissariat populaire de l’Intérieur) au bagne ( autrement dit Goulag)pour diffusion de pornographie.Au bout de quatre année d’enfer, il est finalement libéré pour la bonne conduite ,en 1939.
[Vous verrez que la plupart de ses clichés de nus sont réalisés entre les années 1900 et 1930 , aujourd’hui l’histoire écrite, on comprend pourquoi il n’a pu continué librement à exercer son art. Tous les travaux de cette époque n’ont pas été détruits que cela arrivait généralement et ce grâce à son frère aîné qui a réussi à cacher les négatifs durant de nombreuses années. C’est donc pourquoi, la majorité des photos que vous verrez , ont été retirées après la seconde guerre mondiale, et n’ont plus ce grain si particulier du pictoralisme. Rares sont les photographies qui sont tirées dans des teintes particulières. ]
A sa sortie du goulag, il a repris rapidement son travail de photographe et il collabore avec de nombreuses d’institutions, des musées et enseigne la photographie. Après la guerre il a travaillé avec les modèles et les couturiers tout au long des années 1950.
Sa vie entière a été consacrée à la photographie, qu’il n’a jamais abandonnée, même dans les plus difficiles de circonstances. Encore une fois, cet homme est la preuve, que de tout temps les artistes sont persécutés et emprisonnés , nous en avons déjà parlé et bons nombres d’artistes présentés sur le blog ont été dans le même cas.
La majorité des photographies se trouvent sur le site Russian Photographs, mais les dates sont approximatives , ainsi que les noms des personnes photographiées manquantes , vous y trouverez également d’autres travaux, en plus petits formats bien entendu, comme la publicité, les portraits des têtes couronnées de l’époque, des paysages, sa série l’art du Mouvement dans l’esprit de la nouvelle culture russe : « Un corps parfait pour une civilisation parfaite ».
[Rajout Le 17 février 2012/ Je n’ai rien changé aux tonalités des photographies ce qui ne semblerait être une hérésie, ( plus haut il est expliqué que les négatifs ont été cachés et ce durant plus de 15 années pour éviter que les autorités Russes ne détruisent tout son fond). Un site qui est sur wordpress ( dantébea pour ne pas la citer, a changé toutes les tonalités des photographies ( Quel respect pour les artistes, au passage…) et qui de surcroit se contente de vous dire via russian photographer, sans hyper lien, c’est tellement plus facile…), et qui copie joyeusement mes articles, Quel respect pour les artistes, au passage… tout n’est que copié collé et bien sur sans le copyright) . Dans toutes les photos qu’elle a prises elle les a coloriser dans une teinte jaunâtre, , allez trouver ce genre de jaune dans un bon tirage photographique et surtout dans le mouvement pictoraliste !!!!! jamais de teinte jaunâtre( ou alors le photographe ou le développeur était vraiment mauvais) ….Par ailleurs le texte figurant sur le site
ICI vous avez ici les dates précises, ainsi que le noms des modèles, acteurs, danseurs, personnalités , la source étant le livre « Aleksandr Grinberg, Khranitel` Traditsii: 1885-1979. – Il. – (Fotograficheskoe Nasledie).Lazarev M.P.Edité par Art-Rodnik, Russian Federation, 2012 ( il ne vaut pas très cher, moins de 20 euros, mais il est en russe… ensuite il faut traduire..) ici sur amazon ( il semble plus cher deux années après….)
Les nus voilés 1910-1930
Alexander Danilovich Grinberg- Nude with veil and pearls, 1928 (portrait de Веры Холодной? voir plus bas The Theatre of Meyerhold )
Alexander Danilovich Grinberg – Portrait, Moscou, 1928 (portrait de Веры Холодной? voir plus bas The Theatre of Meyerhold )
Alexander Danilovich Grinberg – Nude,(Akt) , 1928 (portrait de Веры Холодной? voir plus bas The Theatre of Meyerhold )
Alexander Danilovich Grinberg – Nude,(Akt) , 1928 (portrait de Веры Холодной? voir plus bas The Theatre of Meyerhold )
Alexander Danilovich Grinberg -Study of nude, 1920
Alexander Danilovich Grinberg – nude study (Stranger II) , Nataliya Grinberg, 1926 – Copie
Alexander Danilovich Grinberg – nude study (Stranger) , 1926
Alexander Danilovich Grinberg -Nude- 1913-14
Alexander Danilovich Grinberg – Portrait du femme-1913-14
Alexander Danilovich Grinberg – Portrait du femme ( remanié, 1920)
Alexander Danilovich Grinberg – Nude study Moscou, 1920
Alexander Danilovich Grinberg -Untitled, 1923
Alexander Danilovich Grinberg -Untitled, 1923
Alexander Danilovich Grinberg – Nude study with veil Moscou, 1920s
Alexander Grinberg- Veiled nude study 1920
Les nus des années 1910-1930
Alexander Danilovich Grinberg -Tamara Lavrova, 1925-30
Alexander Danilovich Grinberg – Study of Nude,Tamara Lavrova 1925
Alexander Danilovich Grinberg – nude study Moscou, 1929
Alexandre Grinberg – Nude Study with veil, 1925-30
Alexander Danilovich Grinberg – Nude study, 1928
Alexander Danilovich Grinberg – Nude study Moscou, 1928
Alexander Danilovich Grinberg -Baigneuse. 1924-25
Alexander Danilovich Grinberg- Study of nude, Maria Peschanaya, 1928
Alexander Danilovich Grinberg – Asya Zagorskaya, 1925-30
Alexander Danilovich Grinberg -Marguerite Chardinina, 1925-30
Alexander Danilovich Grinberg- Study of nude, Marguerite Chardinina ,1925-30
Alexander Danilovich Grinberg- Study of nude, Marguerite Chardinina ,1925-30
Alexander Danilovich Grinberg -Marguerite Chardinina, 1920
Alexander Danilovich Grinberg- Nude Study, ( peut -être Marguerite Chardinina) 1920
Alexander Danilovich Grinberg -Nina Fralou, 1920
Alexander Danilovich Grinberg- Study of nude, Nina Fralou1925-30
Alexander Danilovich Grinberg- Nude Study with umbrella, 1926
Alexander Danilovich Grinberg- Seated nude with a cup, 1928
Alexander Danilovich Grinberg- Reclining nude, 1925
Alexander Danilovich Grinberg-Bather, (Badende) , 1924
Alexander Grinberg- Nude Study ,1928
Alexander Danilovich Grinberg – Nude with Beads, 1928
Alexander Grinberg- Nude Study with ball, 1930
Alexander Danilovich Grinberg -Catherine Lopatina, 1924
Alexander Danilovich Grinberg – nude study Moscou, 1925-30
Alexander Danilovich Grinberg- Study of nude, -Catherine Lopatina , 1925-30
Alexander Danilovich Grinberg -Catherine Lopatina, 1924
Alexander Danilovich Grinberg -Catherine Lopatina, 1924
Alexander Danilovich Grinberg – Nude study, Moscou, 1930
Alexander Danilovich Grinberg – Nude study, Moscou, 1928
Alexander Danilovich Grinberg -Study of nude, 1930 (Mosel Galya)
Alexander Danilovich Grinberg -Study of nude, 1930 Maria Peschanaya
Alexander Danilovich Grinberg -Study of nude, 1930 (Maria-Peschanaya)
Alexander Danilovich Grinberg – nude Nataliya Grinberg, 1925s
Alexander Danilovich Grinberg – Nude study Moscou, 1920-24
Alexander Danilovich Grinberg – Nude study Moscou, 1920
Alexander Danilovich Grinberg – Nude study Moscou, 1920
Alexander Danilovich Grinberg – Nude study Moscou, 1920
Alexander Danilovich Grinberg -Study of nude, 1930 (Barskaya Chardynina)
Alexander Danilovich Grinberg- Study of nude, 1930s
Alexander Danilovich Grinberg – Nude, 1930
Alexander Danilovich Grinberg-, Nude dark tonality, 1926
Alexander Danilovich Grinberg-, Nude dark tonality, 1926
Alexander Danilovich Grinberg- Reclining Nude Study, Dark Tone, 1930
Alexander Grinberg -Reclining Nude Study, Dark Tone, 1930
Alexander Grinberg- Nude Study, Dark Tone, 1930
Alexander Danilovich Grinberg -Study of nude, 1930
Alexander Danilovich Grinberg -Study of nude, 1930
The Theatre of Meyerhold
Meyerhold est reconnu comme un important innovateur de théâtre du XXe siècle et notamment le créateur d’un nouveau système d’acte a appelé “biomechanics”( En insistant fortement sur la nécessité de la simplicité et la puissance d’une scène nue, dans les années 1920, il a commencé à utiliser un mode de conception de jeu appelé constructivisme. Cette approche axée sur la fonction de décor et jeux à niveaux multiples , avec des rampes entre les plates-formes) . il a étudié à l’école de théâtre de la Société philharmonique de Moscou et rejoint le Théâtre d’Art de Moscou de l ‘(MAT) société agissant en 1898. Ses approches et innovations ont laissé une impression durable sur le monde du théâtre et son influence est évidente dans le travail du célèbre metteur en scène et dramaturge, Bertolt Brecht. plus d’ Informations sur Vsevolod Meyerhold et Ici ( Anglais)
Alexander Danilovich Grinberg -Nude Study with veil ( The Theatre of Meyerhold ), 1913-14
Alexander Danilovich Grinberg – The Theatre of Meyerhold ,1920
Alexander Danilovich Grinberg – Portrait de l’actrice Веры Холодной ( trad Robe de foi!!!) dans un costume bohémien, The Theatre of Meyerhold, 1914
Alexander Danilovich Grinberg -Ballet dancer Maria Pechananya 1926
pour la photo suivante, je vous mets les deux tirages, afin de voir la différence entre les tirages datant de l’époque et ceux réalisés plus tard ( premier cliché source Musée Russe, second cliché , le livre cité plus haut). la différence est énorme.
Alexander Danilovich Grinberg – Oriental Dance, Ballet dancer Maria Pechananya 1926
Alexander Danilovich Grinberg – , Ballet dancer Maria Pechananya 1926
Alexander Danilovich Grinberg – , Ballet dancer Maria Pechananya, 1926
Alexander Danilovich Grinberg – Maria Peschanaya The Theatre of Meyerhold, 1920
Alexander Danilovich Grinberg – Maria Peschanaya The Theatre of Meyerhold, 1920
Alexander Danilovich Grinberg – Maria Peschanaya The Theatre of Meyerhold, 1920
Alexander Danilovich Grinberg – Portrait of two actors of The Theatre of Meyerhold, 1920
Alexander Danilovich Grinberg – Portrait an actor of , The Theatre of Meyerhold, 1920s Moscou,
Alexander Danilovich Grinberg L’Étude, Ballet dancer Maria Pechan ( The Theatre of Meyerhold, 1926
Alexander Danilovich Grinberg – Maria Peschanaya The Theatre of Meyerhold, 1920
Alexander Danilovich Grinberg – Maria Peschanaya The Theatre of Meyerhold, 1920
Alexander Danilovich Grinberg -Tamara Lavrova, -Actress The theatre of meyerhold, 1920
Autres Portraits de différents acteurs de l’époque
Alexander Danilovich Grinberg -Portrait Vera Kholodnaya, ca 1914
Alexander Danilovich Grinberg -Vera Kholodnaya ,1910
Alexander Danilovich Grinberg -Vera Kholodnaya ,1910-15
Alexander Danilovich Grinberg Vera Kholodnayaca and a friend, 1910
Alexander Danilovich Grinberg – Vera Kholodnaia, 1919
Alexander Danilovich Grinberg -Portrait of Nataliya Grinberg, ca 1920
Alexander Danilovich Grinberg -Portrait of Nataliya Grinberg, 1920
Alexander Danilovich Grinberg – Portrait actress , 1920s
Alexander Danilovich Grinberg – Portrait of an unknown actress, 1923
Alexander Danilovich Grinberg – Portrait, Woman with star, 1923
Alexander Danilovich Grinberg -Portrait of Zina Kal’menkova, , 1920 ( pas tirage d’époque)
Alexander Danilovich Grinberg -Portrait of Zina Kal’menkova, ca 1920
Alexander Danilovich Grinberg -Portrait of Zina Kal’menkova, ca 1920
Alexander Danilovich Grinberg -Portrait of Zina Kal’menkova, ca 1920
Alexander Danilovich Grinberg- Portrait of an actress, 1925
Alexander Danilovich Grinberg -Portrait de Natacha, 1910-15
Alexander Danilovich Grinberg -Portrait de Natacha, 1925s
Alexander Danilovich Grinberg – Portrait, Moscou, , 1910-15
Alexander Danilovich Grinberg – Portrait, Moscou, 1910-15
Alexander Danilovich Grinberg -unknown model, Actress’ Portrait.1910
Alexander Danilovich Grinberg – Portrait, , 1920
Alexander Danilovich Grinberg – Portrait, 1920
Alexander Danilovich Grinberg – Portrait, , 1926
Alexander Danilovich Grinberg – Self-Portrait, 1916
Yasuzo Nojima (1889 – 1964) est bien connu pour ses contributions au monde la photographie en tant qu’artiste , éditeur et galeriste. Il a contribué à élever le statut de la photographie comme un art au Japon dans les années 1930. Il a publié le magazine Koga périodique en 1932. Ce magazine fût le premier consacré à la photographie moderne au Japon et le premier à présenter les photographes japonais au reste du monde.
Il est l’une des figures les plus importantes de l’histoire de la photographie japonaise moderne, Son travail allant de Kaiga shugi shashin (La photographie picturale) à Shinko shashin ( La nouvelle photographie ) du début du XXe siècle .Nojima a introduit une nouvelle esthétique photographique au Japon, qui s’est concentré sur les qualités techniques et esthétiques de la photographie dans son propre droit, plutôt que comme une imitation de peintures.
Nojima était aussi connu comme un amateur d’art passionné et défenseur de l’art contemporain de son temps, et tout naturellement il ouvre une galerie appelée «Kabutoya Gado» (1919-1920) à Tokyo, à ses frais, en organisant des expositions d’œuvres , mais aussi des rencontres d’ artistes, surtout ceux de la Shirakaba-ha (White Birch Groupe), un mouvement littéraire qui comprenait des artistes tels que peintres renommés Umehara Ryuzaburo (1888-1986) et Kishida Ryūsei (1891-1929). Il était ce qu’on peut qualifier de guide pour tous ces artistes.
Les premiers travaux de Nojima, qui étaient des gravures gomme bichromatique , plus tard ses natures mortes et ses nus, toujours doux ,se feront en tirages argentiques mais seront plus frappantes dans leurs formes simples et directs.
Ses premières œuvres de Nojima sont caractérisés par une densité et le lourd écho du pictorialisme, basées sur sa sensibilité subtile allié au processus d’impression de pigments (méthode d’impression la plus courante de l’époque).
Dans les années 1930, son style prend un tournant radical sous l’influence des nouvelles tendances de la photographie allemande, se déplaçant vers la gélatine d’argent dans la poursuite d’une forme d’expression qui est unique dans le milieu.
Le magazine de photographie Kōga (Photos légères; 1932-1933), qu’ il co-fonde avec Nakayama Iwata (1895-1949) et Kimura (1901-1974 ), que Nojima a principalement financé , a joué un rôle extrêmement important dans le développement ultérieur de « Shinko shashin » ( La nouvelle photographie ) en introduisant les théories importantes de la photographie arrivant de l’étranger et en fournissant une plateforme indispensable pour une jeune génération de photographes. Nojima était aussi connu comme un amateur d’art passionné et défenseur de l’art contemporain de son temps, et tout naturellement il ouvre une galerie appelée «Kabutoya Gado» (1919-1920) à Tokyo, à ses frais, en organisant des expositions d’œuvres , mais aussi des rencontres d’ artistes, surtout ceux de la Shirakaba-ha (White Birch Groupe), un mouvement littéraire qui comprenait des artistes tels que peintres renommés Umehara Ryuzaburo (1888-1986) et Kishida Ryūsei (1891-1929). Il était ce qu’on peut qualifier de guide pour tous ces artistes.
Je vous présente les œuvres des tirages bromoil à ceux de la gélatine d’argent , pas forcément dans l’ordre chronologique, je n’ai choisi que quelques œuvres des années 1910-20, préférant son travail des années 1930 et 1940… ceci reste tout à fait exhaustif. par exemple vous pouvez trouver des photographies de paysages de lui.
Les photographies sont issues du Livre Yasuzo Nojima.Photographies de Yasuzo Nojima.AKAAKA Art Publishing, 2009.
Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, scholl dancer in Moscou 1923
Alex(s)ander Danilovich Grinberg est un des photographes russes les plus respectés du vingtième siècle. Il a connu la révolution russe, la guerre civile, deux guerres mondiales et la répression stalinienne durant ses 94 années de vie.
Il a étudié à l’Université de Moscou, au Département de physique et de mathématiques, et au Stroganov Art College. En 1907 Gringberg est devenu membre de la Société photographique de Russie (RFO) à Moscou, en 1912 et l’un de ses administrateurs. En 1909 il reçoit sa première médaille d’or à l’exposition internationale de Dresde. En 1914 il commence à travailler avec le studio de cinéma « khanzhankov » à Moscou, en devenant responsable de la publicité des films, mais il est également assistant réalisateur et ses films les plus connus sont « les Descendants arabes » et « Deux amies (modèle et fille) ».
De 1922 à 1930 Grinberg enseigne la composition photographique au cinéma au « State College « (plus tard renommé en Russie State University Cinématographie). Dans la même période, il a enseigné à la société photographique professionnelle de Moscou et a également travaillé comme caméraman à la First State Film Studio. Il travaille aussi beaucoup avec Vsevolod Meyerhold ( directeur d’une troupe de théatre) et d’autre troupe de théatre, et est proche d’un certain nombre d’acteurs ainsi de que de grand nom de la photographie.
En 1929, lors de la révolution culturelle, la « vieille école” de la photographie soviétique ( dont il fait partie) est désignée comme une photographie réalisée par « dépravé » et il perd sa notoriété et n’est plus le photographe à qui l’on accorde des faveurs. En effet, la nouvelle politique culturelle a dicté que n’importe quel érotisme sous quelque forme artistique que ce soit était un « restant d’oisiveté bourgeoise » et inconvenant pour la société soviétique.
Pourtant Grinberg , continue et en 1935 il expose des photographies de femmes partiellement habillées , ce qui lui vaut son arrestation et une condamnation par le Comité spécial de NKVD (Commissariat populaire de l’Intérieur) au bagne ( autrement dit Goulag)pour diffusion de pornographie.Au bout de quatre année d’enfer, il est finalement libéré pour la bonne conduite ,en 1939.
[Vous verrez que la plupart de ses clichés de nus sont réalisés entre les années 1900 et 1930 , aujourd’hui l’histoire écrite, on comprend pourquoi il n’a pu continué librement à exercer son art. Tous les travaux de cette époque n’ont pas été détruits que cela arrivait généralement et ce grâce à son frère aîné qui a réussi à cacher les négatifs durant de nombreuses années. C’est donc pourquoi, la majorité des photos que vous verrez , ont été retirées après la seconde guerre mondiale, et n’ont plus ce grain si particulier du pictoralisme. Rares sont les photographies qui sont tirées dans des teintes particulières. ]
A sa sortie du goulag, il a repris rapidement son travail de photographe et il collabore avec de nombreuses d’institutions, des musées et enseigne la photographie. Après la guerre il a travaillé avec les modèles et les couturiers tout au long des années 1950.
Sa vie entière a été consacrée à la photographie, qu’il n’a jamais abandonnée, même dans les plus difficiles de circonstances. Encore une fois, cet homme est la preuve, que de tout temps les artistes sont persécutés et emprisonnés , nous en avons déjà parlé et bons nombres d’artistes présentés sur le blog ont été dans le même cas.
La majorité des photographies se trouvent sur le site Russian Photographs, mais les dates sont approximatives , ainsi que les noms des personnes photographiées manquantes , vous y trouverez également d’autres travaux, en plus petits formats bien entendu, comme la publicité, les portraits des têtes couronnées de l’époque, des paysages, sa série l’art du Mouvement dans l’esprit de la nouvelle culture russe : « Un corps parfait pour une civilisation parfaite ».
Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, scholl dancer in Moscou 1923
Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, scholl dancer in Moscou 1923
Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, scholl dancer in Moscou 1923
Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, school dancer in Moscou 1923
Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, school dancer in Moscou 1923
Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, scholl dancer in Moscou 1923
Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, scholl dancer in Moscou 1923
Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, scholl dancer in Moscou 1923
Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, school dancer in Moscou 1923
Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, scholl dancer in Moscou 1923
Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, scholl dancer in Moscou 1923
Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, scholl dancer in Moscou 1923
Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, scholl dancer in Moscou 1923
Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, scholl dancer in Moscou 1923
Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, scholl dancer in Moscou 1923
Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, scholl dancer in Moscou 1923
Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, scholl dancer in Moscou 1923
Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, scholl dancer in Moscou 1923
Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, scholl dancer in Moscou 1923
Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, scholl dancer in Moscou 1923
Alexander Danilovich Grinberg -L’Appel, 1920
Alexander Grinberg- Nude Study 1920s
Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, model Liza scholl dancer in Moscou 1923
Irma Duncan and Isadora Duncan-School in Moscow, 1923
« Dans mon travail, je m’appuie sur l’affirmation du Livre de la Genèse que Dieu a créé l’homme à son image. Il est clair qu’il n’a pas créé l’habillement pour l’homme, il est né nu. C’est pourquoi je regarde la nudité comme l’œuvre de Dieu, en sa beauté comme la chose la plus évidente et morale. Je soutiens que l’humanité serait plus naturelle, sincère et belle si elle avait prêté attention au nu plus souvent. Avec la nudité, les distinctions sociales disparaissent et la beauté de l’homme demeure. Dans mon travail, je suis inspiré par trois choses: le mouvement , l’immobilité et l’expression des lignes individuelles . J’utilise ensuite le fond et les accessoires – des objets simples comme des cercles, des lignes ondulées et des colonnes . Je laisse la beauté de la ligne elle-même avoir un impact, sans fioriture, en supprimant tout ce qui est secondaire. Ou j’illustre une notion et l’intensifie avec la lumière et parfois par suggestion par le biais un simple trait ondulé, cercle, à la surface ou juste avec une ombre portée sur une toile de fond. Ou bien j’utilise le corps comme un objet de décoration, en le positionnant dans divers milieux et sources de lumières. C’est ainsi que je crée toutes mes photos « .František Drtikol
František Drtikol (1883-1961) est, avec Jaromír Funke ( cf article) et Jaroslav Rössler ,au premier rang de l’avant -garde artistique et photographique du début du 20e Siècle en République Tchèque.
Il commence sa formation de photographe dans le studio d’Antonin Matta à Munich, Après son apprentissage, il ouvre son propre studio, Pribram et plus tard à Prague (1907-1935).
Ses premières photographies alternent entre la représentation de la nymphe ( pure) ou de la femme fatale, toujours mises en scène, et fortement influencées par le Symbolisme et l’Art Nouveau.
Après la Seconde Guerre mondiale, il a développé son propre style photographique, caractérisé par des éléments géométriques, expressifs et dynamiques ainsi que des poses du modèle bien précises et le plus souvent penchant vers un côté dramatique.
Bien avant la seconde guerre mondiale Drtikol peignait déjà aussi et se mit à faire des découpages (d’abord à partir de des propres dessins et peintures) , qu’il mit en scène , une fois encore de façon très organisées; géométries, successions, mais aussi figure de la nymphe idyllique à nouveau présente. c’est ce que j’ai choisi aujourd’hui de vous présenter.
František Drtikol (1883-1961)
František Drtikol n’était pas seulement un brillant photographe, dont les travaux ont influencé toute une génération, mais en même temps un personnage très controversé, dans lequel se mélangeait des contradictions difficiles à comprendre. Drtikol possède plusieurs visages. Il y a František Drtikol l’artisan dans son atelier de photographie dans lequel défilaient les personnages illustres de l’époque, comme les deux présidents Tomáš Garrigue Masaryk et Edvard Beneš. Ensuite, il y a Drtikol l’artiste, dont la facette la plus connue est celle du photographe de nus féminins. C’est d’ailleurs grâce à cette production qu’il a acquis une renommée internationale et qu’il a été récompensé à Paris. (Aux côtés d’autres artistes tchèques, Drtikol a participé à l’exposition Art Déco à Paris en 1925, où il a reçu le Grand Prix. Suite à ce succès, en 1929, on lui a publié un grand portfolio de nus dans une édition de collecteurs. Dans les années 1930, il a acquis une bonne réputation aux Etats-Unis, où il a eu plusieurs expositions indépendantes, une expérience tout à fait inédite pour un artiste tchèque) . La diversité de ses approches artistiques est impressionnante , une période Art nouveau avec des portraits, des nus féminins et des paysages, des cut-up, de la peinture, puis un style influencé par l’Avant-garde, le constructivisme( influencé par Jaroslav Rössler qui était employé dans son atelier). Par exemple, pour l’anecdote et illustré le personnage complexe qu’il était, bien qu’il fût issu d’une famille catholique, il a cherché un nouveau chemin spirituel et il devient un pionnier du bouddhisme et du yoga en République Tchèque.
Il débute assez jeune par un apprentissage chez un photographe et peu après commence à se concentrer sur son propre travail photographique. Il approfondit ensuite ses compétences et son talent au cours de l’ecole de la photographie à Munich. Après des études à Munich et le service militaire, Drtikol a ouvert son premier studio de photographie à Prague, l’établissant comme l’un des studios les plus prospères en Europe pendant les années vingt.
La carrière de Frantiskek Drtikol dans la photographie a grandi pendant les années du Prague Symboliste et les deux mouvements qui influencent profondément ses premières photographies de nus en leur donnant une qualité picturale ‘Art Nouveau’. Toutefois, pendant les années 1920 et 1930, ses influences décalées et il a commencé à créer un nouveau genre de photographie de nu avec une approche avant-gardiste. Souvent il intégrer la danse expressive et style Art déco dans ses photographies de nus. Après son Prix à Paris son Studio est devenu incontournable et , un certain nombre d’artistes talentueux, comme Jan Zrzavý, Vlasta Burian, Josef Čapek ou Alfons Mucha son passé sous son objectif. On peut donc en conclure que, déjà dans les années 1930, Drtikol avait une renommée internationale. Il se consacrait aux nus et portraits principalement à cette époque, mais parallèlement à tout cela il continuait sa quête spirituelle et pratiquait intensivement le bouhdisme. Il traduit des livres, donne des conférences et forme même un groupe d’adeptes. En 1929, il aurait atteint le Nirvana. Dans une de ses lettres, a écrit à ce sujet: « et j’ai été tout et le tout,et en cela je n’étais que rien absolu. ». Cela prenait beaucoup de place dans sa vie, quant bien même il continuait à photographier et peindre. C’est sous l’influence de son développement spirituel que se transforme sa production artistique. En 1923, son style change. Ses photographies contiennent trois éléments – le corps nu de la femme, des formes géométriques simples, le plus souvent une ligne onduleuse, et la lumière. Ce style originel a par la suite évolué vers encore plus de simplicité. Mais dans le milieu des années 1930 Drtikol abandonne complètement la photographie. Il vend son studio, ses plaques de verre, négatifs, et la caméra pour se consacrer à la peinture.
Le paradoxe et les multiples facettes de Drtikol se dévoile aussi dans le fait qu’il fût plus tard un membre actif du Parti communiste , il l’était dès 1945 et ce jusqu’à sa mort en 1961, et même un camarade actif également en 1948, il aurait été témoin au processus dans les années 1950, et en 1968 niant la révolution….
František Drtikol , dessinateur, peintre mais surtout célèbre photographe de format international.fût beaucoup plus apprécié à l’étranger que chez lui., tout comme cela s’applique à d’autres classiques de la photographie tchèque, Jaromír Funke et Josef Sudek pour ne citer qu’eux…
František Drtikol- Matka Země (varianta), Voyage Země (Variante) avec cut up, 1931
František Drtikol – Mère terre , 1931
František Drtikol -Femme a la Figurine, 1930
Frantisek Drtikol- Composition avec figurine , 1930-1935
František Drtikol -Composition with doll in the foliage 1930
František Drtikol -Five Times, Five Sizes (Cut out)], ,1930
František Drtikol -Revue Girls. 1930 ( cut out [Michael Köhler -Gisela Barche (eds.) Das Aktfoto – Ästhetik, Geschichte, Ideologie. Munich 1985]
František Drtikol – Girls , Paper cut-out, 1932
František Drtikol – Girls , Paper cut-out, 1932
František Drtikol- Bez názvu, ( untitled) , 1930 -35
František Drtikol- Bez názvu, ( untitled) cut-Out, 1930-35
František Drtikol- Bez názvu, ( untitled) cut-uut, 1930-35
František Drtikol -Doll on a half circle abstract, 1930
František Drtikol- Revue Girls, cut-out, 1930
František Drtikol -Untitled (cut-out nude with wave) c.1930-1935
František Drtikol- Untitled (cut-out nude with tree) c.1930-1935 ( photomontage)
František Drtikol Untitled (cut-out nude with grass) c.1930-1935
František Drtikol Untitled (cut-out nude with leaves) ,1930-1935
František Drtikol- Cut-out nudes with grass, flowers, trees, and leaves,1930-1935
František Drtikol- Cut-out nudes with grass, flowers, trees, and leaves,1930-1935
František Drtikol -Untitled (Kneeling Nude) , nd
František Drtikol -(Nude with Arms Raised) ,Nd
František Drtikol -Untitled (Dancing Nude) , nd
František Drtikol – Composition , 1930
František Drtikol – Composition avec figurine ( paper cut out) 1931.
František Drtikol – compostion (Paper cut-out). 1932
František Drtikol- Bez názvu, ( untitled) cut-uut, 1932
František Drtikol- Bez názvu, 1930-35
František Drtikol – compostion (Paper cut-out). 1932
…Olga Solarics (1896-1969) and her husband Adorja’n von Wlassics (1893-1946) ran the Manasse’ Foto-Salon in Vienna from 1922-1938. Olga seems to have been the one interested in the photographic nude. She (or they) exhibited at the 1st International Salon of Nude Photography in Paris in 1933…”
“…Studio Manasse, which flourished in the 1930s in Vienna, captured morethan just portrait photography bursting with erotic charge; it immortalized the fluid state of beauty and the “new woman”: confident in her own sexuality as she struggled to redefine her position in the modern world. Each picture offers a conflict of concepts, as provocative poses are presented in such traditional roles that the cynicism intended renders them humorously absurd . Adorjan and Olga Wlassics, a husband-and-wife team, founded Studio Manasse in the early 1920s. The first Manasse illustrations appeared in magazines in 1924, a booming industry at the time, as the movie industry skyrocketed and publications aimed to satisfy a public obsessed with glimpses into the world of glamour. Attracting some of the leading ladies of the time from film, theater, opera, and vaudeville,Studio Manasse created masterpieces, employing all the techniques of makeup, retouching, and overpainting to keep their subjects happy while upholding an uncompromised artistic vision.Molded bodies were dreams with alabaster or marbel-like skin; backgrounds were staged so that the photographer could control each environment. And as their art found a home, the Wlassics found themselves able to afford a pattern of life similar to those reflected in their photographs. Their clients ran the gamut, from the advertising agencies to private buyers. When the Wlassics opened a new studio ni Berlin, their business in Vienna was managed more and more by associates, until 1937, when the firm’s name was sold to another photographer. Adorjan passed away just ten years later; Olga remarried and died in 1969…”
Portfolio Vingt Études de Nu en Plein Air, Editions Horos, Paris,1920
Toutes les planches de ce portfolio datent des années 1900, “Vingt études de Nu en Plein Air” (Twenty Outdoor Nude Studies), et ont été prises en Provence ( les lieux de prise de vue sont notifiés à la fin du portfolio, )
Le studio Arlaud était située à Lyon, et Dirigé par L. Arlaud lui même. Pour la série présentée aujourd’hui, ainsi que pour la série des cartes postales, Il s’est rendu dans les Alpes, dans des grottes de l’arrière pays, , au bord de la Méditerranée, et même sur un glacier, et a réalisé un série très connue de vingt études de nus en plein air. Ce travail évoquant les dryades et les naïades, mais les nus de Arlaud ne sont pas sans rappeler aussi les peintures de Maxfield Parrish par exemple.( cf google image ici).
Il a par ailleurs illustré plusieurs livres sur le sud de la France, et quelques autres régions, ( “Les Baux de Provence”, “La corse”,”Nîmes, Uzès, Aigues-Mortes”, “Vals-les-Bains et le bassin de l’Ardèche”, “Arles et la Camargue”,”La Côte des Maures et les Iles d’or de Toulon à Fréjus” et bien d’autres encore ) entre 1927 et 1937.
G. L Arlaud – La liseuse Vingt Études de Nu en Plein Air, 1920
Etude G. L Arlaud -Cariatide, from Vingt Études de Nu en Plein Air, 1920
Etude G. L Arlaud -Surprise, from Vingt Études de Nu en Plein Air, 1920
Etude G. L Arlaud -Printemps de Provence, from Vingt Études de Nu en Plein Air, 1920
Etude G. L Arlaud -Le Sommet, from Vingt Études de Nu en Plein Air, 1920
Etude G. L Arlaud -Mirage, from Vingt Études de Nu en Plein Air, 1920
Etude G. L Arlaud -Le Sapin, from Vingt Études de Nu en Plein Air, 1920
Etude G. L Arlaud -Pax, from Vingt Études de Nu en Plein Air, 1920
Etude G. L Arlaud -Le Vent, from Vingt Études de Nu en Plein Air, 1920
Etude G. L Arlaud -Plongeuse, from Vingt Études de Nu en Plein Air, 1920
Etude G. L Arlaud -Lumiere, from Vingt Études de Nu en Plein Air, 1920
Etude G. L Arlaud -L’ondine, from Vingt Études de Nu en Plein Air, 1920
Etude G. L Arlaud -Le Roc, from Vingt Études de Nu en Plein Air, 1920
Etude G. L Arlaud -Baigneuse, from Vingt Études de Nu en Plein Air, 1920
Etude G. L Arlaud -Le Puits, from Vingt Études de Nu en Plein Air, 1920
Etude G. L Arlaud -Le Lac Blanc, from Vingt Études de Nu en Plein Air, 1920
Etude G. L Arlaud -L’Appel de la Montagne, from Vingt Études de Nu en Plein Air, 1920
Etude G. L Arlaud -L’alpe, from Vingt Études de Nu en Plein Air, 1920
Etude G. L Arlaud -La Gardienne du Chateau, from Vingt Études de Nu en Plein Air, 1920
Etude G. L Arlaud -Joueuse de Flute, from Vingt Études de Nu en Plein Air, 1920
Etude G. L Arlaud -La Grotte, from Vingt Études de Nu en Plein Air, 1920
Etude G. L Arlaud -Printemps de Provence, from Vingt Études de Nu en Plein Air, 1920
G.L. Arlaud Portfolio cover for G.L. Arlaud Vingt Etudes de Nu en Plein Air (Paris, Horos Editions, 1920) [Vingt Etudes de Nu en Plein Air] 1920
G.L. Arlaud Portfolio G.L. Arlaud Vingt Etudes de Nu en Plein Air (Paris, Horos Editions, 1920) [Vingt Etudes de Nu en Plein Air] 1920
G.L. Arlaud Portfolio G.L. Arlaud Vingt Etudes de Nu en Plein Air (Paris, Horos Editions, 1920) [Vingt Etudes de Nu en Plein Air] 1920
G.L. Arlaud Portfolio G.L. Arlaud Vingt Etudes de Nu en Plein Air (Paris, Horos Editions, 1920) [Vingt Etudes de Nu en Plein Air] 1920
G.L. Arlaud Portfolio cover for G.L. Arlaud Vingt Etudes de Nu en Plein Air (Paris, Horos Editions, 1920) [Vingt Etudes de Nu en Plein Air] 1920
Autres Etudes de Nus qui restent dans le même esprit et qui ont aussi étés réalisées dans le sud de la France, mais éditées en format carte postales et réalisées entre les années 1920 et 1930