Alexander Danilovich Grinberg (1885-1979)- L’Art du Mouvement,(The art of movement) 1928

Alexandre Grinberg – L’Art du Mouvement,(The art of movement) 1928

Alexandre Grinberg – L’Art du Mouvement,(The art of movement) 1928

Alex(s)ander Danilovich Grinberg  est un des photographes russes les plus respectés du vingtième siècle. Il a connu la révolution russe, la guerre civile, deux guerres mondiales et la répression stalinienne durant ses 94 années de vie.

Il a étudié à l’Université de Moscou, au Département de physique et de mathématiques, et au Stroganov Art College. En 1907 Gringberg est devenu membre de la Société photographique de Russie (RFO) à Moscou, en 1912 et l’un de ses administrateurs. En 1909 il reçoit sa première médaille d’or à l’exposition internationale de Dresde.   En 1914 il  commence à travailler avec le studio de cinéma « khanzhankov  » à Moscou, en devenant responsable de la publicité des films, mais il est également assistant réalisateur et ses films les plus connus sont  « les Descendants arabes » et « Deux amies (modèle et fille) ».

De 1922 à 1930 Grinberg enseigne la composition photographique au cinéma au « State College « (plus tard renommé en Russie State University Cinématographie). Dans la même période, il a enseigné à la société photographique professionnelle de Moscou  et a également travaillé comme caméraman à la First State Film Studio. Il travaille aussi beaucoup avec Vsevolod Meyerhold ( directeur d’une troupe de théatre) et d’autre troupe de théatre, et est proche d’un certain nombre d’acteurs ainsi de que de grand nom de la photographie.

En 1929, lors de la  révolution culturelle, la « vieille école” de la photographie soviétique ( dont il fait partie)  est désignée comme une photographie réalisée par  « dépravé » et il perd sa notoriété et n’est plus le photographe à qui l’on accorde des faveurs. En effet, la nouvelle politique culturelle a dicté que n’importe quel érotisme sous quelque  forme artistique que ce soit était un « restant d’oisiveté bourgeoise » et inconvenant pour la société soviétique.

Pourtant Grinberg , continue et en 1935 il  expose des photographies  de femmes partiellement habillées , ce qui lui vaut son arrestation et une condamnation par le Comité spécial de NKVD (Commissariat populaire de l’Intérieur) au bagne ( autrement dit Goulag)pour  diffusion de pornographie.Au bout de quatre année d’enfer,  il est finalement libéré pour la bonne conduite ,en 1939.

[Vous verrez que la plupart de ses clichés de nus sont réalisés entre les années 1900 et 1930 , aujourd’hui l’histoire écrite, on comprend pourquoi il n’a pu continué librement à exercer son art. Tous les travaux de cette époque n’ont pas été détruits que cela arrivait généralement et ce grâce à son frère aîné qui a réussi à cacher les négatifs durant de nombreuses années. C’est donc pourquoi, la majorité des photos que vous verrez , ont été retirées après la seconde guerre mondiale, et n’ont plus ce grain si particulier du pictoralisme. Rares sont les photographies qui sont tirées dans des teintes particulières. ]

A sa sortie du goulag, il a repris rapidement son travail de photographe et il collabore avec de nombreuses d’institutions, des musées et enseigne la photographie. Après la guerre il a travaillé avec les modèles et les couturiers tout au long des années 1950.

Sa vie entière a été consacrée à la photographie, qu’il n’a jamais abandonnée, même dans les plus difficiles de circonstances. Encore une fois, cet homme est la preuve, que de tout temps les artistes sont persécutés et emprisonnés , nous en avons déjà parlé et bons nombres d’artistes présentés sur le blog ont été dans le même cas.

Biographie  plus complète sur le site Russian Photographs [ English],  ( ce texte a été ecrit par © Evgeny Berezner and Irina Tchmyrevapour l’exposition   » Russian Pictorialism » en  2002, et pas par la personne qui vend les photographies ( mais çà aussi , ce n’est pas cité )

La majorité des photographies se trouvent  sur le site Russian Photographs, mais les dates sont approximatives , ainsi que les noms des personnes photographiées manquantes , vous y trouverez également d’autres travaux, en plus petits formats bien entendu,  comme la publicité, les portraits des têtes couronnées de l’époque, des paysages, sa série l’art du Mouvement   dans l’esprit de la nouvelle culture russe : « Un corps parfait pour une civilisation parfaite ».

Alexander Danilovich Grinberg – Study of mouvement , 1926-28

Alexandre Grinberg – L_Art du Mouvement,(The art of movement) 1928

Alexandre Grinberg – L_Art du Mouvement,(The art of movement) 1928

Alexandre Grinberg – L_Art du Mouvement,(The art of movement) 1928

Alexandre Grinberg – L_Art du Mouvement,(The art of movement) 1928

Alexandre Grinberg – L_Art du Mouvement,(The art of movement) 1928

Alexandre Grinberg – L_Art du Mouvement,(The art of movement) 1928

Alexandre Grinberg – L_Art du Mouvement,(The art of movement) 1928

Alexandre Grinberg – L_Art du Mouvement,(The art of movement) 1928

Alexandre Grinberg – L_Art du Mouvement,(The art of movement) 1928

Alexandre Grinberg – L_Art du Mouvement,(The art of movement) 1928

Alexandre Grinberg – L_Art du Mouvement,(The art of movement) 1928

Alexander Danilovich Grinberg – Study of mouvement , 1926-28 (4)

Alexander Danilovich Grinberg – Study of mouvement , 1926-28

Alexander Danilovich Grinberg – Study of mouvement , 1926-28

Alexander Grinberg- Nude Study ( mouvement) 1926

More article about Alexander Danilovich Grinberg

Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, 1923

Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, scholl dancer in Moscou 1923

Alex(s)ander Danilovich Grinberg  est un des photographes russes les plus respectés du vingtième siècle. Il a connu la révolution russe, la guerre civile, deux guerres mondiales et la répression stalinienne durant ses 94 années de vie.

Il a étudié à l’Université de Moscou, au Département de physique et de mathématiques, et au Stroganov Art College. En 1907 Gringberg est devenu membre de la Société photographique de Russie (RFO) à Moscou, en 1912 et l’un de ses administrateurs. En 1909 il reçoit sa première médaille d’or à l’exposition internationale de Dresde.   En 1914 il  commence à travailler avec le studio de cinéma « khanzhankov  » à Moscou, en devenant responsable de la publicité des films, mais il est également assistant réalisateur et ses films les plus connus sont  « les Descendants arabes » et « Deux amies (modèle et fille) ».

De 1922 à 1930 Grinberg enseigne la composition photographique au cinéma au « State College « (plus tard renommé en Russie State University Cinématographie). Dans la même période, il a enseigné à la société photographique professionnelle de Moscou  et a également travaillé comme caméraman à la First State Film Studio. Il travaille aussi beaucoup avec Vsevolod Meyerhold ( directeur d’une troupe de théatre) et d’autre troupe de théatre, et est proche d’un certain nombre d’acteurs ainsi de que de grand nom de la photographie.

En 1929, lors de la  révolution culturelle, la « vieille école” de la photographie soviétique ( dont il fait partie)  est désignée comme une photographie réalisée par  « dépravé » et il perd sa notoriété et n’est plus le photographe à qui l’on accorde des faveurs. En effet, la nouvelle politique culturelle a dicté que n’importe quel érotisme sous quelque  forme artistique que ce soit était un « restant d’oisiveté bourgeoise » et inconvenant pour la société soviétique.

Pourtant Grinberg , continue et en 1935 il  expose des photographies  de femmes partiellement habillées , ce qui lui vaut son arrestation et une condamnation par le Comité spécial de NKVD (Commissariat populaire de l’Intérieur) au bagne ( autrement dit Goulag)pour  diffusion de pornographie.Au bout de quatre année d’enfer,  il est finalement libéré pour la bonne conduite ,en 1939.

[Vous verrez que la plupart de ses clichés de nus sont réalisés entre les années 1900 et 1930 , aujourd’hui l’histoire écrite, on comprend pourquoi il n’a pu continué librement à exercer son art. Tous les travaux de cette époque n’ont pas été détruits que cela arrivait généralement et ce grâce à son frère aîné qui a réussi à cacher les négatifs durant de nombreuses années. C’est donc pourquoi, la majorité des photos que vous verrez , ont été retirées après la seconde guerre mondiale, et n’ont plus ce grain si particulier du pictoralisme. Rares sont les photographies qui sont tirées dans des teintes particulières. ]

A sa sortie du goulag, il a repris rapidement son travail de photographe et il collabore avec de nombreuses d’institutions, des musées et enseigne la photographie. Après la guerre il a travaillé avec les modèles et les couturiers tout au long des années 1950.

Sa vie entière a été consacrée à la photographie, qu’il n’a jamais abandonnée, même dans les plus difficiles de circonstances. Encore une fois, cet homme est la preuve, que de tout temps les artistes sont persécutés et emprisonnés , nous en avons déjà parlé et bons nombres d’artistes présentés sur le blog ont été dans le même cas.

Biographie  plus complète sur le site Russian Photographs [ English],  ( ce texte a été ecrit par © Evgeny Berezner and Irina Tchmyrevapour l’exposition   » Russian Pictorialism » en  2002, et pas par la personne qui vend les photographies ( mais çà aussi , ce n’est pas cité )

La majorité des photographies se trouvent  sur le site Russian Photographs, mais les dates sont approximatives , ainsi que les noms des personnes photographiées manquantes , vous y trouverez également d’autres travaux, en plus petits formats bien entendu,  comme la publicité, les portraits des têtes couronnées de l’époque, des paysages, sa série l’art du Mouvement dans l’esprit de la nouvelle culture russe : « Un corps parfait pour une civilisation parfaite ».

Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, scholl dancer in Moscou 1923

Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, scholl dancer in Moscou 1923

Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, scholl dancer in Moscou 1923

Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, school dancer in Moscou 1923

Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, school dancer in Moscou 1923

Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, scholl dancer in Moscou 1923

 

 

Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, scholl dancer in Moscou 1923

Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, scholl dancer in Moscou 1923

Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, school dancer in Moscou 1923

Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, scholl dancer in Moscou 1923

Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, scholl dancer in Moscou 1923

Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, scholl dancer in Moscou 1923

Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, scholl dancer in Moscou 1923

Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, scholl dancer in Moscou 1923

Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, scholl dancer in Moscou 1923

Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, scholl dancer in Moscou 1923

Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, scholl dancer in Moscou 1923

Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, scholl dancer in Moscou 1923

Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, scholl dancer in Moscou 1923

Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, scholl dancer in Moscou 1923

 

Alexander Danilovich Grinberg -L’Appel, 1920

Alexander Grinberg- Nude Study 1920s

Alexander Danilovich Grinberg -Antique Motive, model Liza scholl dancer in Moscou 1923

Irma Duncan and Isadora Duncan-School in Moscow, 1923

More article about Alexander Danilovich Grinberg

Rehearsal Joseph – The beautiful Odessa Theatre of Opera and ballet.1926 © K.Goleizovsky, BErdman &S.Vasilenko. Collection of Goleizovsky family, Moscow

Rehearsal Joseph – The beautiful Odessa Theatre of Opera and ballet.1926 © K.Goleizovsky, BErdman &S.Vasilenko. Collection of Goleizovsky family, Moscow      

Alexey Brodovitch- « Ballet », (The entiere book), J.J. Augustin Publisher, 1945

La première rencontre de Alexey Brodovitch avec le ballet est venu peu de temps après son arrivée à Paris en 1920. Il avait 22 ans et était un émigré récent  de la Révolution Bolsevik de 1917. Brodovitch a commencé son approche des Ballets russes après une rencontre fortuite avec l’impresario de la troupe Sergei Diaghilev, tout d’abord en les peignant . Ce n’est que plus tard,  après avoir déménagé à New York, qu’il a commencé à les  photographier .Entre 1935 et 1937,  Brodovitch créé un sur ces troupes de danse  ( leurs noms sont tous cités un peu plus bas) un travail des  plus influents de la période. Il a utilisé un appareil photo Contax 35mm sans flash et réglé la vitesse d’obturation à un cinquième de seconde, donnant donc à ses clichés ce mouvement si spécifique. Mais c’est aussi tout le travail dans sa chambre noire , où Brodovitch manipulait ses images (élargissement de petits détails exagération du  grain , distorsion,  zones de blanchiment du négatif ) qui donne toute son empreinte à ses photographies. (  Paul Himmel s’inspira d’ailleurs beaucoup de lui  en 1950 , lorsqu’il crée une série sur la danse, d’ailleurs on retrouve se baladant sur le net quelques photos de Himmel créditées Brodovitch….notamment,  celle- ci, exposée dans ce musée en 2009 pour une rétrospective en Allemagne (et que l’on trouve dans le livre Paul Himmel  Ballet in Action, texte Walter Terry , 1954)  que vous pouvez voir à la fondation freelens,   ou encore ici sur ce magazine de photographie allemand ( forcement) ou Kutur online ( toujours allemand, partenaire des plus grands musées d’Allemagne , qui publient les dossiers de presse lors des expositions, mais je vous mets un lien avec une vidéo plus bas où le livre est en entier ).

Elles ont un air de nostalgie, évoquant sa propre histoire avec les troupes de ballet, mais elles dépeignent également tout le  suspens que l’on retrouve dans  la danse elle-même ainsi  que la pureté et la délicatesse et la légèreté intrinsèque à la danse.

Ballet n’est qu’une partie de son travail , puisqu’e il est en effet également très connu pour ses photographies pour le magazine américain Harper’s Bazaar du milieu des années 30 au début des années 50 dont il a fait la une des dizaines de fois ( je vous mets les liens Ici   & sur Pinterest ) . Il y  travaillera  avec des photographes comme Martin Munkacsi, Man Ray, George Hoyningen-Huene ou Erwin Blumenfeld ; et notamment étroitement avec Lillian Bassman et Louise Dahl-Wolfe. Il y  accompagnera aussi les débuts de Richard Avedon et Hiro….

 

Alexey Brodovitch Ballet ed J.J. Augustin Publisher, 1945

Alexey Brodovitch Ballet ed JJ Augustin Editeur, 1945

Alexey Brodovitch liste de tous tous les Ballets photographiés ed J.J. Augustin Publisher, 1945

Alexey Brodovitch liste de tous tous les Ballets photographiés ed J.J. Augustin Publisher, 1945

Alexey Brodovitch Ballet 2 premières planches, ouvrant le livre ed J.J. Augustin Publisher, 1945.

Alexey Brodovitch Ballet 2 premières planches, ouvrant le livre ed J.J. Augustin Publisher, 1945.

Alexey Brodovitch Ballet première planche, accompagnée du texte montrant les couliises et les préparatifs

Alexey Brodovitch Ballet première planche, accompagnée du texte montrant les couliises et les préparatifs

Alexey Brodovitch Ballet première planche, accompagnée du texte montrant les couliises et les préparatifs ( ballets russes par exemple)

Alexey Brodovitch Ballet première planche, accompagnée du texte montrant les couliises et les préparatifs ( ballets russes par exemple)

Alexey Brodovitch Ballet première planche accompagnées du texte montrant les coulisses et les préparatifs

Alexey Brodovitch Ballet première planche accompagnées du texte montrant les coulisses et les préparatifs

Alexey Brodovitch Ballet première planche, accompagnée du texte montrant les couliises et les préparatifs et_e - Copie

Alexey Brodovitch Ballet première planche, accompagnée du texte montrant les couliises et les préparatifs ( ballets russes par exemple)

Alexey Brodovitch Ballet première planche, accompagnée du texte montrant les couliises et les préparatifs ( ballets russes par exemple)

Alexey Brodovitch Ballet première planche, accompagnée du texte montrant les couliises et les préparatifs ( ballets russes par exemple)

Alexey Brodovitch Ballet première planche, accompagnée du texte montrant les couliises et les préparatifs ( ballets russes par exemple)

Alexey Brodovitch Ballet première planche, accompagnée du texte montrant les couliises et les préparatifs et_e - Copie

Alexey Brodovitch Ballet première planche, accompagnée du texte montrant les couliises et les préparatifs

Alexey Brodovitch Ballet première planche, accompagnée du texte montrant les couliises et les préparatifs

************

Alexey Brodovitch- Ballet Septième Symphonie, 1935-37. from Ballet ed J.J. Augustin Publisher, 1945

Alexey Brodovitch- Ballet Septième Symphonie, de 1935 à 1937. de Ed Ballet JJ Augustin Editeur, 1945

Alexey Brodovitch- Ballet Septième Symphonie, 1935-37. from Ballet ed J.J. Augustin Publisher, 1945

Alexey Brodovitch- Ballet Septième Symphonie, de 1935 à 1937. de Ed Ballet JJ Augustin Editeur, 1945

Alexey Brodovitch- Ballet Septième Symphonie, 1935-37. from Ballet ed J.J. Augustin Publisher, 1945

Alexey Brodovitch- Ballet Septième Symphonie, de 1935 à 1937. de Ed Ballet JJ Augustin Editeur, 1945

************

Alexey Brodovitch- Ballet Les Sylphides, 1935-1937. from Ballet ed J.J. Augustin Publisher, 1945

Alexey Brodovitch- Ballet Les Sylphides, 1935-1937. de Ed Ballet JJ Augustin Editeur, 1945

Alexey Brodovitch- Ballet Les Sylphides, 1935-1937. from Ballet ed J.J. Augustin Publisher, 1945

Alexey Brodovitch- Ballet Les Sylphides, 1935-1937. de Ed Ballet JJ Augustin Editeur, 1945

Alexey Brodovitch (1898-1971) Untitled (from the Ballet series, Les Sylphides)

Alexey Brodovitch- Ballet Les Sylphides, 1935-1937. de Ed Ballet JJ Augustin Editeur, 1945

Alexey Brodovitch- Ballet Les Sylphides, 1935-1937. from Ballet ed J.J. Augustin Publisher, 1945

Alexey Brodovitch- Ballet Les Sylphides, 1935-1937. de Ed Ballet JJ Augustin Editeur, 1945

Alexey Brodovitch- Ballet Les Sylphides, 1935-1937. from Ballet ed J.J. Augustin Publisher, 1945

Alexey Brodovitch- Ballet Les Sylphides, 1935-1937. de Ed Ballet JJ Augustin Editeur, 1945

***********

Alexey Brodovitch Ballet Les cent Baisers 1935-37 . from Ballet ed J.J. Augustin Publisher, 1945

Alexey Brodovitch Ballet de Baisers Les Cent 1935-1937. de Ed Ballet JJ Augustin Editeur, 1945

Alexey Brodovitch Ballet Les cent Baisers 1935-37ed J.J. Augustin Publisher, 1945.

Alexey Brodovitch Ballet Les Baisers de cent 1935-37ed JJ Augustin Éditeur, 1945.

Alexey Brodovitch Ballet Les cent Baisers 1935-37 . from Ballet ed J.J. Augustin Publisher, 1945

Alexey Brodovitch Ballet de Baisers Les Cent 1935-1937. de Ed Ballet JJ Augustin Editeur, 1945

**************

Alexey Brodovitch- Ballet Choreartium 1935-37. from Ballet ed J.J. Augustin Publisher, 1945

Alexey Brodovitch- Ballet Choreartium 1935-1937. de Ed Ballet JJ Augustin Editeur, 1945

Alexey Brodovitch- Ballet Choreartium 1935-37. from Ballet ed J.J. Augustin Publisher, 1945

Alexey Brodovitch- Ballet Choreartium 1935-1937. de Ed Ballet JJ Augustin Editeur, 1945

Alexey Brodovitch- Ballet Choreartium 1935-37. from Ballet ed J.J. Augustin Publisher, 1945

Alexey Brodovitch- Ballet Choreartium 1935-1937. de Ed Ballet JJ Augustin Editeur, 1945

Alexey Brodovitch- Ballet Choreartium 1935-37. from Ballet ed J.J. Augustin Publisher, 1945

Alexey Brodovitch- Ballet Choreartium 1935-1937. de Ed Ballet JJ Augustin Editeur, 1945

**********

Alexey Brodovitch Le tricorne Ballet 1935-37 . from Ballet ed J.J. Augustin Publisher, 1945

Alexey Brodovitch Le tricorne Ballet 1935-1937. de Ed Ballet JJ Augustin Editeur, 1945

Alexey Brodovitch Le tricorne Ballet 1935-37 . from Ballet ed J.J. Augustin Publisher, 1945

Alexey Brodovitch Le tricorne Ballet 1935-1937. de Ed Ballet JJ Augustin Editeur, 1945

Alexey Brodovitch Le tricorne Ballet 1935-37 . from Ballet ed J.J. Augustin Publisher, 1945

Alexey Brodovitch Le tricorne Ballet 1935-1937. de Ed Ballet JJ Augustin Editeur, 1945

Alexey Brodovitch Le tricorne Ballet 1935-37 . from Ballet ed J.J. Augustin Publisher, 1945

Alexey Brodovitch Le tricorne Ballet 1935-1937. de Ed Ballet JJ Augustin Editeur, 1945

Alexey Brodovitch Le tricorne Ballet 1935-37 . from Ballet ed J.J. Augustin Publisher, 1945

Alexey Brodovitch Le tricorne Ballet 1935-1937. de Ed Ballet JJ Augustin Editeur, 1945

*********

Alexey Brodovitch- Concurrence 1935-37 from Ballet ed J.J. Augustin Publisher, 1945

Alexey Brodovitch- Concurrence 1935-1937 de Ed Ballet JJ Augustin Editeur, 1945

Alexey Brodovitch- Concurrence 1935-37 from Ballet ed J.J. Augustin Publisher, 1945 1

Alexey Brodovitch- Concurrence 1935-1937 de Ed Ballet JJ Augustin Editeur, 1945

Alexey Brodovitch- Concurrence 1935-37

Alexey Brodovitch- Concurrence 1935-1937 de Ed Ballet JJ Augustin Editeur, 1945

**********

Alexey Brodovitch-Boutique fantasque, 1935-37. from Ballet ed J.J. Augustin Publisher, 1945

Alexey Brodovitch-Boutique fantasque, 1935-1937. de Ed Ballet JJ Augustin Editeur, 1945

Alexey Brodovitch-Boutique fantasque, 1935-37. from Ballet ed J.J. Augustin Publisher, 1945

Alexey Brodovitch-Boutique fantasque, 1935-1937. de Ed Ballet JJ Augustin Editeur, 1945

Alexey Brodovitch-Boutique fantasque, 1935-37. from Ballet ed J.J. Augustin Publisher, 1945

Alexey Brodovitch-Boutique fantasque, 1935-1937. de Ed Ballet JJ Augustin Editeur, 1945

Alexey Brodovitch-Boutique fantasque, 1935-37 . from Ballet ed J.J. Augustin Publisher, 1945

Alexey Brodovitch-Boutique fantasque, 1935-1937. de Ed Ballet JJ Augustin Editeur, 1945

Alexey Brodovitch-Boutique fantasque, 1935-37. from Ballet ed J.J. Augustin Publisher, 1945

Alexey Brodovitch-Boutique fantasque, 1935-1937. de Ed Ballet JJ Augustin Editeur, 1945

**********

Alexey Brodovitch- Ballet Cotillion 1935-37. from Ballet ed J.J. Augustin Publisher, 1945

Alexey Brodovitch- Cotillion Ballet 1935-1937. de Ed Ballet JJ Augustin Editeur, 1945

Alexey Brodovitch- Ballet Cotillion 1935-37. from Ballet ed J.J. Augustin Publisher, 1945

Alexey Brodovitch- Cotillion Ballet 1935-1937. de Ed Ballet JJ Augustin Editeur, 1945

Alexey Brodovitch- Ballet Cotillion 1935-37. from Ballet ed J.J. Augustin Publisher, 1945

Alexey Brodovitch- Cotillion Ballet 1935-1937. de Ed Ballet JJ Augustin Editeur, 1945

Alexey Brodovitch- Ballet Cotillion 1935-37. from Ballet ed J.J. Augustin Publisher, 1945

Alexey Brodovitch- Cotillion Ballet 1935-1937. de Ed Ballet JJ Augustin Editeur, 1945

**********

Alexey Brodovitch- Ballet Les Noces, 1935-1937. from Ballet ed J.J. Augustin Publisher, 1945 ed J.J. Augustin Publisher, 1945

Alexey Brodovitch- Ballet Les Noces, de 1935 à 1937. de Ed Ballet JJ Augustin Editeur, 1945 ed JJ Augustin Editeur, 1945

Alexey Brodovitch- Ballet Les Noces, 1935-1937. from Ballet ed J.J. Augustin Publisher, 1945

Alexey Brodovitch- Ballet Les Noces, de 1935 à 1937. de Ed Ballet JJ Augustin Editeur, 1945

************

Alexey Brodovitch Ballet la symphonie Fantastique ed J.J. Augustin Publisher, 1945

Alexey Brodovitch Ballet la symphonie Fantastique ed J.J. Augustin Publisher, 1945

Alexey Brodovitch- Symphonie fantastique, 1935-37 . from Ballet ed J.J. Augustin Publisher, 1945

Alexey Brodovitch- Symphonie fantastique, de 1935 à 1937. de Ed Ballet JJ Augustin Editeur, 1945

Alexey Brodovitch- Symphonie fantastique, 1935-37 . from Ballet ed J.J. Augustin Publisher, 1945

Alexey Brodovitch- Symphonie fantastique, de 1935 à 1937. de Ed Ballet JJ Augustin Editeur, 1945

Alexey Brodovitch- Symphonie fantastique, 1935-37 . from Ballet ed J.J. Augustin Publisher, 1945

Alexey Brodovitch- Symphonie fantastique, de 1935 à 1937. de Ed Ballet JJ Augustin Editeur, 1945

J’ai  donc trouvé sur viméo le livre feuilleté par un homme (formidable au passage), qui le partage avec nous… le livre vaut aujourd’hui plus de 7000  euros, c’est donc une aubaine de pouvoir le regarder en entier.BALLET  en sa totalité ici en video sur vimeo ( avec la qualité du livre original). Je n’avais malheureusement pas la chance d’avoir le livre et je n’ai retrouvé que des reproductions dans des livres sur la danse notamment, et sur des sites de ventes aux enchères. Encore une fois je vous rappelle que vous pouvez voir les photos en grand format en les ouvrant dans un autre onglet ( les scans sont lourds donc vous pouvez diviser les planches qui sont par deux facilement)

 

*****************************************************************

Je tiens à partager un article du célèbre Philippe Soupault [ poète, romancier, critique d’art , de cinéma, et co-fondateur avec André Breton, Des Champs magnétiques en 1920.] paru dans Arts et métiers graphiques, en 1930.que j’ai trouvé fort pertinent et très instructif et simplement remarquable.

« Par son caractère, par sa volonté, par sa persévérance Alexey Brodovitch a su imposer à sa destinée une ligne droite. Avec un sang-froid qu’il faut bien qualifier de déconcertant, Brodovitch dès son arrivée à Paris, il y a déjà une dizaine d’années, a refusé de se laisser éblouir par les feux tournants de la mode. Il n’a pas cherché ce qui pouvait plaire mais ce qui devait exprimer efficacement tout ce que nous nommons aujourd’hui. Il venait de très loin, d’un pays et d’une époque, pourrait-on écrire, qui est hors de notre espace et de notre temps. Avec des yeux neufs, c’est-à-dire habitués à des lumières crues et violentes, à des formes pour ainsi dire désordonnées, il a distingué ce que voulait cette foule anonyme qui se laisse attirer par n’importe quel appât, qui tourne au moindre vent, qui s’abandonne ou se révolte. C’est Paris, corps et esprit, dont il fallait deviner les désirs, les caprices, les besoins. Il s’agissait donc pour lui de s’éloigner délibérément du dilettantisme, de la construction abstraite. Lorsque l’on songe au nombre considérable de ceux qui orientent leurs recherches vers les arts plastiques, au grouillement étrange qui cerne la peinture de toutes parts, on comprend que Brodovitch, étonné et écoeuré par cette dispersion et cette vaine agitation, se soit tourné vers un domaine moins exploré et ait accepté avec joie de porter ses efforts vers un but moins lointain et moins obscurci. La seconde découverte qu’il fit et dont il faut encore le louer est d’avoir vu rapidement que le graphisme ne serait jamais bien servi par ceux qui se contentent de l’inspiration ou de la fantaisie. On cite parfois des noms d’artistes, qui ont par le jeu de la fortune, consacré une partie de leur vie au graphisme. Mais c’était comme à regret et jamais ils ne voulurent étudier avec sincérité les problèmes véritables du graphisme. Ils eurent parfois d’heureuses idées, ils firent parfois des trouvailles. Le hasard les servait. Brodovitch admit au premier abord qu’un des Problèmes importants, que le problème le plus important sans doute du graphisme, était d’ordre technique. Avec application et persévérance, Brodovitch […] qu’il exerce déjà une influence considérable, Et cette influence est d’autant plus forte qu’elle n’agit pas seulement dans le domaine artistique mais sur la vie même et j’ajoute qu’une des plus importantes raisons d’ être du graphisme est de transformer la vie. Beaucoup seraient tentés de croire que les moyens mis en oeuvre ne peuvent être valables que pour la publicité, C’est considérer superficiellement les résultats. Le graphisme, tel que le conçoit Brodovitch va plus loin et plus profondément. Il doit nous apporter une vision nouvelle car il nous permet de concentrer toujours notre attention sur un point déterminé et dans un sens donné. Ce n’est pas dans cet article consacré à un artiste que l’on peut décrire les conséquences d’une vision nouvelle. Ces considérations ne sont ici indiquées que pour permettre de préciser Ie rôle de cet artiste. Une métamorphose est toujours riche de conséquences et lorsqu’il s’agit d’une époque aussi obscure que la nôtre on se doit de surveiller avec attention les phénomènes de cet ordre. J’envisage avec confiance l’influence que Brodovitch doit continuer d’exercer, car cet artiste travaille plus pour l’avenir que pour le présent, Il ne craint pas d’être incompris ni même bafoué. Son audace mérite d’être qualifiée de tranquille car tout ce qu’il entreprendra désormais sera accompli selon une méthode et avec une décision que la technique soutient et contient. Brodovitch n’est pas de ceux qui tantôt doutent et tantôt s’abandonnent à l’enthousiasme. La route qu’il s’est tracée est pleine d’embûches et de difficultés de toute sorte mais c’est la connaissance des obstacles qui lui a fait choisir ce chemin. N’est-ce pas à ce signe que l’on reconnaît les forts, n’est-ce pas à cause de ces décisions courageuses que l’on salue du nom de pionniers ceux qui acceptent avec clairvoyance de s’engager de la sorte ? J’aimerais qu’on lise ces quelques lignes trop brisées en interrompant cette lecture par l’examen des réalisations d’Alexey Brodovitch. On comprendra alors beaucoup mieux que je nomme audacieux, sincère, profond, authentique cet artiste qui sait aimer son métier et qui s’applique à le mieux connaître chaque jour. «  Philippe Soupault

plus sur  Alexey Brodovitch // Biographie en anglais sur le site artic.educ

William J. Done

In 1928, two-dozen women attending BYU stood on the banks of the Provo River. Together, they carefully choreographed for their interpretive dance class as the photographer, William Done, scrupulously captured their movements. Both the photographer and the subjects of the photographs are getting attention with the recent restoration of the nearly 90-year old photos

 

William J. Done -Dancer, Utah Lake,1928

William J. Done -Circle dance ,1928

William J. Done -Circle dance ,1928 2

William J. Done -Circle dance ,1928

William J. Done -Reflection dance ,1928

William J. Done -Single dance ,1928

William J. Done -Single dancer three ,1928

William J. Done -The stairs ,1928

 

found Here & Here

Henry B. Goodwin

« Dr. Henry Buergel Goodwin is one of Sweden´s most distinguished photographers ever. He was active in Sweden during and after World War I. Henry B. Goodwin was born in Munich, Germany, on February 20, 1878. He was christened Karl Heinrich Hugo, but after he had graduated from the University of Leipzig in 1903, he started to gradually change his name to give it an English-like touch by calling himself Buergel instead of Bürgel. He also converted from Catholicism to the Anglican Church. Young Heinrich was an Anglophile and was preparing himself for a future life in Great Britain. At the University of Leipzig Heinrich studied Nordic languages and wrote his doctor´s thesis on an old Icelandic manuscript. During his university years in Leipzig he also studied photography with Nicola Perscheid, who was one of the real great photographic masters in Europe at the turn of the century. » from henrygoodwin.se

 

                                Henry B. Goodwin – Nude Study, 1915

Henry B. Goodwin - Alfa Chiotrix portrait of ,Karin Bergstrom 1920 From Henry B. Goodwin by Olle Östlund, Ed ° Carlsson ,199

Henry B. Goodwin – Alfa Chiotrix portrait of ,Karin Bergstrom 1920 From Henry B. Goodwin by Olle Östlund, Ed ° Carlsson ,199

Henry B. Goodwin -portrait Vaitt-Hair,Karin-Bergstrom 1920.

Henry B. Goodwin -portrait Vaitt-Hair,Karin-Bergstrom 1920.

Henry B Goodwin -Titel saknas, 1920 Gelatin Silver print

Henry B. Goodwin -Swedish Nude . sepia-toned photogravure. 1920s. Printed 1925.

Henry B. Goodwin Utö 1914, gelatin silver print

Henry B. Goodwin Utö 1914, gelatin silver print

Henry B Goodwin. Nude, 1922

Henry B Goodwin – Snäckan, 1919

Henry B Goodwin -Nude Studies,1924 Gelatin Silver print

Henry B Goodwin -Titel saknas, ca 1920

Henry B Goodwin -Titel saknas, nd Gelatin Silver print

Henry B Goodwin -Titel saknas, ca 1920 Gelatin Silver print

Henry B Goodwin -Sittande kvinna med bar överkropp, 1920 Coal pigment photography

Henry B Goodwin -Senorita Rosita, 1922 My Spanish Model Gelatin Silver print

Henry B Goodwin -Titel saknas, 1923Color photography (Dye transfer) mounted on cardboard

Henry B. Goodwin Portrait of an unknown woman 1918

Henry B. Goodwin Portrait of an unknown woman 1918

Henry B Goodwin -Lady Barclay, ca 1915 Gelatin Silver print

Henry B Goodwin -Titel saknas, 1920

Henry B. Goodwin Jenny Hasselqvist as Schereazade n.d.. Gelatin silver print

Henry B Goodwin – Meggie Albanesi, 1922

Henry B Goodwin Jenny Hasselquist 1915 gelatin silver print

Henry B Goodwin -Titel saknas, nd

Henry B Goodwin- Femme au chale et a la rose, 1920 gelatin silver print 1

Henry Buergel Goodwin- Dancer, 1916

Henry Buergel Goodwin- Dancer, 1916

Henry Buergel Goodwin- ballerina, 1922

Henry Buergel Goodwin- ballerina, 1922

Henry Buergel Goodwin- Gabo Falk, 1917, photogravure

Henry Buergel Goodwin- Gabo Falk, 1917, photogravure

Henry B. Goodwin Portrait Jenny Hasselquist 1919

Henry B. Goodwin Portrait Jenny Hasselquist 1919

Henry B Goodwin -Gerd Ribbing, 1921

Henry B. Goodwin Portrait Jenny Hasselquist as a sylphid, 1917,

Henry B. Goodwin Portrait Jenny Hasselquist as a sylphid, 1917

Henry Buergel Goodwin- Sylfid( Model jenny Hasselquist), 1917 from Photograms of the year, 1917-18 photogravure

Henry Buergel Goodwin- Sylfid( Model jenny Hasselquist), 1917 from Photograms of the year, 1917-18 photogravure

Henry B Goodwin -Vera Fokina, nd Gelatin Silver print

Henry B Goodwin -Vera Fokina, nd Gelatin Silver print

Henry B. Goodwin Porträtt av kvinna Signerad och daterad Goodwin 1924. Gelatinsilver

Henry B. Goodwin Gerda Lundequist, actor as Maria Magdalena 1917 Carbon print

Henry Bosse American, 1844 - 1903 From Foot of Boulanger Slough Looking Downstream, Views on the Mississippi River, 1891 Cyanotype

Henry Bosse American, 1844 – 1903 From Foot of Boulanger Slough Looking Downstream, Views on the Mississippi River, 1891 Cyanotype

 

.henrygoodwin.

modernamuseet

more différent works on.flickr.com

Trude Fleischmann- Portraits of famous Dancers

Trude Fleischmann (1895-1990) est l’une des grandes photographes du 20e Siècle. Elle était une de ces jeunes photographes juives confiantes, qui ont  fait une carrière traditionnelle dans une profession masculine.  Elle a photographié les étoiles du théâtre, des danseurs et des intellectuels.  Trude a développé une passion pour la photographie dès son enfance, et est rapidement devenue l’un des plus grands photographes de portrait de Vienne peu après l’ouverture de son propre studio à l’âge de vingt-cinq ans. Même si elle est largement méconnue aujourd’hui, ses portraits  d’intellectuels et d’artistes, y compris Karl Kraus (1874-1936), Peter Altenberg (1859-1919), Adolf Loos (1870-1933), Alfred Polgar (1873-1955), Stefan Zweig (1881-1942), Alban Berg (1885-1935), Bruno Walter (1876-1962), Max Reinhardt (1873-1943), Paula Wessely (1907-2000) et Grete Wiesenthal (1885-1970), reste un témoignage important de la culture européenne du XXe siècle

Issue d’une  famille aisée, elle peut recevoir le  soutien financier nécessaire  dans son début de carrière. Sa formation comprend un semestre à étudier l’histoire de l’art à Paris et trois ans au « Lehr-und Versuchsanstalt für Photographie und Reproduktionsverfahren, » où les femmes avaient été autorisés à étudier  la photographie  depuis 1908. Après avoir terminé ses études en Juillet 1916, elle est devenue  apprentie photo-finition dans l’atelier de la  portraitiste bien connue madame d’ora (Dora Kallmus et son mari…. ), dont le travail qu’elle admirait. Parce que d’Ora se plaint de sa lenteur, Trude  quitte sa place après seulement deux semaines !!!! . Mais elle rebondie très vite car peu de temps après, Trude trouve une place auprès du photographe Hermann Schieberth, dont les clients de la scène culturelle et intellectuelle viennoise étaient très friands. En 1919, elle devient membre de la Société Photographique de Vienne. ( Les plus célèbres d’entre eux comprennent – aux côtés de Trude Fleischmann – Edith Barakovich, Grete Kolliner, Marianne Bergler, Pepa Feldscharek, Hella Katz, Steffi Brandl, Kitty Hoffman, Edith Glogau, Trude Geiringer et Dora Horowitz).

Après trois ans, et avec l’encouragement de sa mère et le soutien financier de sa famille, elle a fondé son propre studio en 1920. Elle a pu poursuivre une carrière réussie entre les deux guerres car elle réalises des photos de  mariages ou de baptêmes, et qu’elle reste sous contrat avec des magazines. Le « boom » de la photographie à cette période , lié à la croissance des magazines féminins ou non d’ailleurs , a également contribué à sa carrière.( par exemple Die Bühne, Moderne Welt, und Mode Welt et Uhu, en autriche, mais elle contribue aussi à la presse internationale)  Elle réalise des portraits artistiques des célébrité du monde des arts ( l’opéra (chefs d’orchestre et chanteurs) ,  la musique,  la danse et de théâtre) mais également des portrait de grands scientifiques, de politiciens et de professionnels de la photographie . Ainsi, elle devient  rapidement indispensable à la presse autrichienne et internationale.

Comme son cercle d’amis dans le monde de l’art a grandi, le studio de Fleischmann est devenu un lieu de rassemblement pour l’élite culturelle de Vienne. Son manque d’assignations fixes et les clients lui a permis plus de liberté dans ses choix de thématiques et son style. Elle a une façon bien particulière  de fixer l’expression des visages, et un regard érotiques sur les corps de ses sujets qui lui ai propre. L‘esthétique de  Fleischmann a ouvert une nouvelle ère: Elle a appelé à la présentation d’une « nudité naturelle », et elle s’efforçait de ne pas « ajouter » des effets de pose, sous couvert d’un travail  artistique pour montrer ces corps nus.

En toute logique, si l’on puis dire,  qui Fleischmann a été parmi les premiers à photographier les nouveaux styles de danse à Vienne se voit proposer en 1925 de faire  une exposition de ses photographies mettant en vedette la danseuse Claire Bauroff nue. Claire Bauroff dont le corps avait été très huilé, donnait ainsi aux cliché une  luminosité et  contrastes forts  pris devant un noir. Quelques années auparavant,  une telle mise en scène du corps nu aurait été impensable et  en outre, la production de photos de nus pendant une longue période a été réservée aux hommes, en cela Trude Fleischmann était une pionnière, et à gagné ses galons ainsi. Cette exposition fît scandale  et a fût  interdite et les planches confisquées par un procureur de district de Berlin pour  indécence.. une fois de plus , on note combien proposer du nu artistique est difficile et encore une fois, un des photographes dont nous parlons a été victime de censure

En raison de son origine juive Fleischmann a été obligé de chercher du travail ailleurs après 1938. Laissant derrière elle  la plupart de ses négatifs, elle émigre à Paris, Londres et finalement  à New York  avec l’aide de son élève et ancienne amante  Helen Post  (1907-1979 une photographe indépendante qui a photographié les tribus indiennes dans tout l’Ouest et du Sud-Ouest de 1936 à 1941 ). [Fleischmann, qui ne s’est jamais mariée, était une lesbienne et  a eu un certain nombre de relations avec des femmes connues].

Là bas,  Fleischmann poursuit une brillante carrière dans la photographie, d’abord avec The Post et, après 1940, dans son propre studio,  qu’elle a dirigé jusqu’en 1969 avec Frank Elmer, un autre émigré viennois.

Contrairement à son travail de jeunesse, beaucoup de ses photographies ultérieures sont des paysages urbains de New York, ainsi que des modèles de mode qu’ elle a souvent photographié pour Vogue.  Ses clients, sont aussi les émigrants de la scène culturelle européenne, comme Elisabeth Berger, Oskar Kokoschka, Lotte Lehmann, Otto von Habsburg , le comte Richard Coudenhove-Kalergi  et Arturo Toscanini.

En 1969, Fleischmann a pris sa retraite  en Suisse, affirmant qu’elle ne voulait pas retourner à Vienne en raison du comportement de la population pendant la guerre. Après un accident en 1987 qui l’a rendue handicapée, elle est retournée aux États-Unis pour vivre avec son neveu, le pianiste Stefan Carell, à Brewster, New York jusqu’à sa mort en 1990.

Voir aussi les autres article sur Trude Fleischmann Ici

Fleischmann - Die Tänzerin Mila Cirul, Wien , 1935

Fleischmann – Die Tänzerin Mila Cirul, Wien , 1935

Trude Fleischmann - Die Tänzerin Mila Cirul, Wien, 1928

Trude Fleischmann – Die Tänzerin Mila Cirul, Wien, 1928

Trude Fleischmann- Tilly Losch in einem Rollenporträt, nd

Trude Fleischmann- Tilly Losch in einem Rollenporträt, nd

Trude Fleischmann – The dancer Tilly Losch ,1920-1930 Vintage silver print

Trude Fleischmann – Tilly Losch, 1925 gelatin silver print

Trude Fleischmann – Tilly Losch, 1925 gelatin silver print

Trude Fleischmann – Tilly Losch, nd

Trude Fleischmann –Tilly Losch-James 1932 Vintage silver print,

Trude Fleischmann -Tilly Losch im Spitzenkleid,1927

 

Trude Fleischmann -Tilly Losch 1929-30

Trude Fleischmann -Tilly Losch 1929-30

Trude Fleischmann -Tilly Losch 1930

Trude Fleischmann -Tilly Losch 1930

Trude Fleischmann -2 plate of Tilly Losch im Spitzenkleid,1927

Trude Fleischmann -Tilly Losch im Spitzenkleid,1927

Trude Fleischmann – Tilly Losch , around 1928

Trude Fleischmann -Tilly Losch im Spitzenkleid,1927

 

Trude Fleischmann- Tilly Losch ca.1925

Trude Fleischmann- Tilly Losch ca.1925

Trude Fleischmann – Tilly Losch , around 1928

Trude Fleischmann -Helene Thimig als Cordelia , 1929 – 1929 gelatin silver print

Trude Fleischmann - The dancer Tilly Losch, Vienna, 1922-25

Trude Fleischmann – The dancer Tilly Losch, Vienna, 1922-25

Trude Fleischmann - The dancer Tilly Losch, Vienna, 1922-25

Trude Fleischmann – The dancer Tilly Losch, Vienna, 1922-25

Trude Fleischmann - The dancer Tilly Losch, Vienna, 1929

Trude Fleischmann – The dancer Tilly Losch, Vienna, 1929

Trude Fleischmann- Tilly Losch , 1925

Trude Fleischmann- Tilly Losch , 1925

Trude Fleischmann –Helene Thimig 1927

Trude Fleischmann -The dancer Gertrud Falke from Leipzig , ca. 1927 ,Vintage silver print

Trude Fleischmann - Hanne wassermann, Vienna, 1925-29

Trude Fleischmann – Hanne wassermann, Vienna, 1925-29

Trude Fleischmann- The dancer Berta Reidinger, 1929

Trude Fleischmann- The dancer Berta Reidinger, 1929

Trude Fleischmann – The dancers Mila Cirul and Julian Algo. Vienna. Photograph around 1926

Trude Fleischmann Mila Cirul and Julian Algo, Photograph, Around 1926

Trude Fleischmann- The dancer Berta Reidinger, 1929

Trude Fleischmann- The dancer Berta Reidinger, 1929

Trude Fleischmann – Katta Sterna,(Reinhardt stages), Bromide gelatin silver print Issued by Eckstein Dresden – produced in approx 1924

Trude Fleischmann-The dancer Niddy Impekoven, Vienna, 1927

Trude Fleischmann-The dancer Niddy Impekoven, Vienna, 1927

Trude Fleischmann –Katta Sterna (dancer) 1925 Vintage silver print,

Trude Fleischmann - Margarethe Köppke as Lulu in Frank Wedekinds ,Erdgeist, 1930s

Trude Fleischmann – Margarethe Köppke as Lulu in Frank Wedekinds ,Erdgeist, 1930s

Trude Fleischmann, Dancer Ruth Maria Saliger, Vienna, 1929

Trude Fleischmann, Dancer Ruth Maria Saliger, Vienna, 1929

Trude Fleischmann-Ernst Matray & Katta Sterna , Berlin, 1928

Trude Fleischmann-Ernst Matray & Katta Sterna , Berlin, 1928

Trude Fleischmann, Hanne Wassermann dancing

Trude Fleischmann, Hanne Wassermann dancing, 1920 ( ?)

Trude Fleischmann Helene and Hermann Thimig in Goldoni play. Production by M. Reinhardt. 1924

 

Trude Fleischmann - Helene Thimig, 1928

Trude Fleischmann – Helene Thimig, 1928

Trude Fleischmann-Portrait of the dancer Ruth Maria Saliger, Vienna around 1929

Trude Fleischmann-Portrait of the dancer Ruth Maria Saliger, Vienna around 1929

Trude Fleischmann -Susi Mirjam, 1925

Trude Fleischmann -Susi Mirjam, 1925

 

Trude Fleischmann –Nude study Susi Birkmayer ~ 1930 Bromide silver, toned

Conseil de lecture  Trude Fleischmann: Der selbstbewusste Blick by Anton Holzer & Frauke Kreutler , Catalogue Musée vienne, 2011 ou  Catalogue: « Trude Fleischmann – Le regard confiant. » Edité par Anton Holzer et Frauke Kreutler. Editeur: Hatje Cantz, 2011

Hans Robertson ( 1883-1978)

“When Lotte Jacobi’s photos were exhibited together for the first time four years ago, reviewers were dazzled by how many of Weimar Germany’s glittering jewels—from Käthe Kollowitz to Martin Buber to the famously vampy Lotte Lenya—had been captured by her lens. She seemed to have single-handedly taken on the task of portraying the immense artistic, psychological, and political fervor of those tumultuous years, which seemed fragile even at the time—an ambitious task for any one photographer, even one as hungry as Jacobi. But her atelier was, in fact, one of 400 in Berlin, and she was just one of the many—mainly Jewish—photographers feverishly recording the dancers, writers, and actors that made this doomed moment in German history so extraordinary. Another photographer who clicked away at an incredible rate and with singular results was Hans Robertson.

To say that an artist has been forgotten is to imply that he was well known in his time. Robertson’s name—like that of Jacobi and most other commercial photographers—was not familiar outside the circle of performers who were his subjects and magazine editors who used his services. But from the evidence of only a fraction of his prolific output, discovered almost by accident and now on display at the Berlinische Galerie in Berlin, his work deserves attention.

Robertson’s specialty was expressionist dance. And expressionist dance was huge in 1920s Germany: the avant-garde innovations that had taken place at the turn of the century in everything from painting to fiction became popularized, and dance was transformed from an aesthetic exercise into an attempt to translate the inner life into movement. The gestures of this modern dance were primitive, dramatic, almost ritualistic, with a fetishistic focus on the human body. Mary Wigman, one of its main innovators, slid across the floor on her knees, eyes closed, fists clenched, performing her Witch Dance. Her school in Dresden became a center of this Ausdruckstanz, producing world-renowned modern dancers like Harald Kreutzberg and Yvonne Georgi.

They all posed for Robertson. His studio on bustling Kurfürstendamm—a boulevard that was both the Fifth Avenue and the 42nd Street of Berlin—saw a steady stream of business in the late 1920s and early ’30s. But the commercial aspect of these photos, which were in demand by popular illustrated journals like the Berliner Illustrierte Zeitung, is less important than the artistic vision that guided their creation. Robertson was trying to use his camera in much the same way the dancers he photographed were using their bodies. From the creative way he manipulated light to his innovative use of multiple exposures, he wanted to capture more than just straightforward ornamental shots of the dancers. He was trying to convey their new art form on its own terms.

This is clear in the photographs. The series called “Leaps,” of Gret Palucca, a favorite muse of expressionist painters and the Bauhaus crowd, catches Palucca in mid-air, limbs splayed. Only part of her body is in focus—the ability to photograph sudden movement was itself a recent technological advancement. In one image her naked torso is twisted, in another her back arched. Then there are the soulful photos of Jo Mihaly, performing her one-woman piece, “Mütter.” She stands in front of a black screen wearing a black turtleneck, her pale, emotive face almost floating in the frame and illuminated from above by a single beam of light. On the more abstract end are Robertson’s photos of Harald Kreutzberg performing his “Lunatic Figures.” Robertson overlays three different exposures of the famously shaved headed dancer, capturing the various expressions of madness Kreutzberg is embodying. Even in Robertson’s more straightforward photo of Kreutzberg as a lunatic, holding a flower and posed loose as a marionette puppet, he captures the dancer as a depersonalized body, a trope of Expressionism that would later inspire, among other post-war dance forms, Japanese Butoh.

Of Robertson’s biography, says the curator of the Berlinische Gallerie show, Thomas Friedrich, “there are more questions then answers.” He was born in Hamburg in 1883. After studying engineering—a profession that inspired a few early photos of construction sites and workers—he changed course and headed to St. Mortiz where he apprenticed for the Swiss landscape photographer Albert Steiner. At 28, Robertson’s first photo spread—a pictorial tour through Holland—appeared in Photographische Rundschau. But his photo career would have to wait until 1918, when he arrived in Berlin. There he joined Lili Baruch—one of the disproportionately high number of Jewish women then making her living with a Leica—who set up the studio on Kurfürstendamm, specializing in dance photography, which Robertson took over in 1928.

To produce the thousands of photos he printed over the next five years, Robertson most likely worked long days and weekends. In addition to dance photography, he shot a wide range of portraits of many of the era’s personalities, from the famous—a nude profile of the boxer Max Schmelling—to the forgottn, such as a close up of the publisher Irmgard Klepenheuer, gazing intently at the camera, a cigarette between her fingers.

In 1933, following Hitler’s appointment as chancellor and the subsequent boycott of Jewish businesses, Robertson had an inkling of what was to come. He handed over the studio to his apprentice, Siegfried Enkelmann. One of the few documents Friedrich, the curator, has been able to uncover is a contract signed by Robertson that makes the transfer final, and describes Enkelmann as “reliable.” And he was. The protégé survived the war and continued photographing dancers (including Mary Wigman) until his death in 1978.

Robertson and his coquettishly beautiful wife, the actress and dancer Inger Vera Kyserlinden (born Levin), escaped to her native Denmark. While the avant-garde movement had been taking place in Berlin, Paris, and Prague, most photographers in Copenhagen were stuck in the pictorial style of the 1910s. As a result, in 1963 Robertson established the first modern photography school in Denmark. But eight years later, just before Hitler began deporting Danish Jews, the Robertsons were forced into exile again, this time fleeing to Stockholm. They returned in May of 1945 and Robertson died just five years later at the age of 67. Thousands of his photographs were turned over to the Royal Library of Denmark following his wife’s death in 1969.

Over time, Robertson was reduced to little more than a footnote. And not just proverbially: It was literally in a footnote in 1992 that Friedrich—a charming, slightly disheveled curator who thrives on the detective work involved in resurrecting dead photos and their makers— discovered his name. He was intrigued, but it took another 14 years (after encountering Hans Robertson’s name in another context) for Friedrich to finally take a trip to Copenhagen to peruse the archive at the Royal Library. What he found there astounded him. Not only did Robertson’s photos offer the most comprehensive catalogue of Weimar dance, but his work was also that of an artist with a unique style and vision. Friedrich still marvels that Robertson’s photos manage to look so distinct from one another, even though they were all taken in the same studio.

The building that housed that studio, on Kurfürstendamm, no longer exists. Like it did in much of Berlin, new construction in the 1950s erased what was before. Now two pharmacies, a clothing store, and a nondescript café look out from the ground floor. There is no trace of the glamour and wild experimentation that was once captured there in pictures. But Hans Robertson himself might yet have an afterlife: Friedrich, it seems, is planning a large retrospective for 2011.” BY Deborah Kolben and Gal Beckerman [ freelance writers living in Berlin.]

Hans Robertson – Le Bain, 1933

Hans Robertson – Alfred Jackson Girls in Wintergarten, Berlin, 1922

Hans Robertson- Expressionist dance dancer unknown, Berlin,1920, (From documented the Weimer era dance scene in the 20′s)

Hans Robertson -The dancer Harald Kreutzberg in Irre Gestalten, Berlin, 1928

Hans Robertson- Unknown Dancer, Berlin, 1920′s

Hans Robertson -Little Viola, 1920′s

Hans Robertson -Zwaniger Jahre Atelier“Lili Baruch”, Berlin,1927

Hans Robertson The famous Weimar dancer Elizabeth Bergner, 1930

Hans Robertson- Lydia Wieser, nd ( probably 1920′s)

Hans Robertson- Gret Palucca, Berlin, 1930

Hans Robertson - Dancer unknown- Berlin, 1930's

Hans Robertson – Dancer unknown- Berlin, 1930′s

Hans Robertson - Dancer unknown ( détail)- Berlin, 1930's

Hans Robertson – Dancer unknown ( détail)- Berlin, 1930′s

Hans Robertson- Gret Palucca, 1920s

Paul Himmel

© Paul Himmel- Swan Laked 1951 52

© Paul Himmel- Swan Laked 1951 52

Paul Himmel- Swan Laked-1951-52

Paul Himmel- Swan Laked-1951-52

Paul Himmel- Swan Laked -1951-52

Paul Himmel- Swan Laked -1951-52

-® Paul Himmel -Ballet Serenade- 1951-52

-® Paul Himmel -Ballet Serenade- 1951-52

® Paul Himmel -Ballet Serenade- 1951-52

® Paul Himmel -Ballet Serenade- 1951-52

© Paul Himmel-TheCage (A)-1953

© Paul Himmel-TheCage (A)-1953

© Paul Himmel-TheCage (A)-1953

© Paul Himmel-TheCage (A)-1953

Paul Himmel- Circus Swirl, 1953

 

© Paul Himmel-Illuminations (A)

© Paul Himmel-Illuminations (A)

Herta Moselsio – Martha Graham in Lamentation, 1930

« Lamentation (Ballet choreographed by Martha Graham) Performed to music by Zoltán Kodály, Lamentation premiered on January 8, 1930, at New York’s Maxine Elliott’s Theatre. The solo work was performed by Martha Graham in a concert given by the Dance Repertory Theatre. Graham joined dancer/choreographers Doris Humphrey, Charles Weidman, and [Helen] Tamiris to form the Dance Repertory Theatre. The goal was « to give annually a season of continuous dance programs which will be representative of the art of dance in American and will give native artists an outlet for their creative work. » Dance Magazine (April 1930) noted that the work was « a statuesque composition, which relied for much of its eloquence upon an ingenious and simple costume arrangement. » The November 20, 1932, Record (Philadelphia) reviewed a later performance and noted, « When Miss Graham in her Lamentation depicts the dumb agony of grief she does not droop like a flower or attitudinize like Patience on a monument, she is grief from the first stricken bewildered gropings of her head and torso to the last moment when she averts her covered head with a finality that is pitiful and terrible. »by  log

 

Herta Moselsio Martha Graham in Lamentation, No. 1 coll martha graham

Herta Moselsio Martha Graham in Lamentation, No. 1 coll martha graham

Herta Moselsio Martha Graham in Lamentation, No. 2 coll martha graham

Herta Moselsio Martha Graham in Lamentation, No. 2 coll martha graham

Herta Moselsio Martha Graham in Lamentation, No. 3 coll martha graham

Herta Moselsio Martha Graham in Lamentation, No. 3 coll martha graham

Herta Moselsio Martha Graham in Lamentation, No. 4 coll martha graham

Herta Moselsio Martha Graham in Lamentation, No. 4 coll martha graham

Herta Moselsio Martha Graham in Lamentation, No. 5 coll martha graham

Herta Moselsio Martha Graham in Lamentation, No. 5 coll martha graham

Herta Moselsio Martha Graham in Lamentation, No. 7 coll martha graham

Herta Moselsio Martha Graham in Lamentation, No. 7 coll martha graham

Herta Moselsio Martha Graham in Lamentation, No. 9 coll martha graham

Herta Moselsio Martha Graham in Lamentation, No. 9 coll martha graham

Herta Moselsio Martha Graham in Lamentation, No. 10 coll martha graham

Herta Moselsio Martha Graham in Lamentation, No. 10 coll martha graham

Herta Moselsio Martha Graham in Lamentation, No. 11 coll martha graham

Herta Moselsio Martha Graham in Lamentation, No. 11 coll martha graham

Herta Moselsio Martha Graham in Lamentation, No. 12 coll martha graham

Herta Moselsio Martha Graham in Lamentation, No. 12 coll martha graham

Herta Moselsio Martha Graham in Lamentation, No. 13 coll martha graham

Herta Moselsio Martha Graham in Lamentation, No. 13 coll martha graham

Herta Moselsio Martha Graham in Lamentation, No. 14 coll martha graham

Herta Moselsio Martha Graham in Lamentation, No. 14 coll martha graham

Herta Moselsio Martha Graham in Lamentation, No. 15 coll martha graham

Herta Moselsio Martha Graham in Lamentation, No. 15 coll martha graham

Herta Moselsio Martha Graham in Lamentation, No. 16 coll martha graham

Herta Moselsio Martha Graham in Lamentation, No. 16 coll martha graham

Herta Moselsio Martha Graham in Lamentation, No. 17 coll martha graham

Herta Moselsio Martha Graham in Lamentation, No. 17 coll martha graham

Herta Moselsio Martha Graham in Lamentation, No. 18 coll martha graham

Herta Moselsio Martha Graham in Lamentation, No. 18 coll martha graham

Herta Moselsio Martha Graham in Lamentation, No. 20 coll martha graham

Herta Moselsio Martha Graham in Lamentation, No. 20 coll martha graham

“Parade », ballet d’après Jean Cocteau, composé en 1916/17 par Erik Satie pour les “Ballets russes » . Les costumes et rideau de scène par Pablo Picasso

Anonyme –Mademoiselle Chabelska dans le rôle de la petite fille américaine , dans : “Parade », ballet d’après Jean Cocteau, composé en 1916/17 par Erik Satie pour les “Ballets russes » dirigés par Sergei Diaghilev. Les costumes et le rideau de scène ont été crées par Pablo Picasso, théâtre du Châtelet l 1917.

Brassaï- Danse

Brassaï- A la Degas ou Hommage à la danse, 1935-36

Brassaï- A la Degas ou Hommage à la danse, 1935-36

Brassaï- . Woman with Cat Mask, 1930

Brassaï- . Woman with Cat Mask, 1930

© Brassaï-Ludmilla Tchérina in the dress-room, 1945.

Brassaï- Danseuse nue aux voiles, vers 1932

Brassaï- Danseuse nue aux voiles, vers 1932

Brassaï Diaghalev Dancer 1930

Brassaï- Diaghalev Dancer 1930 (desolée pour la mauvaise qualité)

Brassaï- Sans titre danseurs repetant , 1920s

Brassaï-   École de danse de l’Opéra, Paris  1953

© Brassaï-
ombre chinoise réalisée par Brassaï à partir de l’une de ses photographies représentant un couple de danseurs. L’image a été découpée et collée partiellement

Brassaï - sans titre, Danseuses de cabaret , 1920s

Brassaï – sans titre, Danseuses de cabaret  cancan, 1920s