Germaine Krull the book « Études de nu ». Par Germaine Krull. Preface by Jean Cocteau.1930

 

Germaine Krull – study of nude, before 1930 from « Études de nu ». Par Germaine Krull. Preface by Jean Cocteau.With 24 loose illustrations after photographs printed in photogravure, Paris, Librairie des Arts décoratifs, ,1930.

 

Germaine Krull est né le 29 Novembre 1897 à Wilda, Poznań, près de la frontière entre l’Allemagne et la Pologne en Prusse orientale, d’une famille allemande aisée. Dans ses premières années, sa famille déménage fréquemment dans toute l’Europe. Elle n’a pas reçu une éducation dite « formelle », mais a reçu des cours à la maison  de son père  Johann Friedrich Krull, un ingénieur accompli et un libre penseur. Ce dernier l’a très certainement influencé , en laissant ses robes au placard et la laissant s’habiller  comme un garçon quand elle était jeune. Cette liberté d’esprit ne peut qu’avoir contribué à forger ses idées sur le rôle des femmes et leurs places au sein de la société ,  et son education la probablement aussi prédisposée à la prise de position politique radicale.

Entre 1915 et 1918, elle a pris des cours à  « Lehr- und Versuchsanstalt für Photographie », une école de photographie de Munich, en Allemagne, periode durant  laquelle  elle suit l’enseignement de Frank Eugene (voir article à son sujet ici) , l’un des maîtres du Pictorialisme .

Elle a ouvert un studio à Munich en 1918.Elle se lie d’amitié avec despersonnalités tels que Rainer Maria Rilke, Friedrich Pollock, et Max Horkheimer. A cette periode ( 1918-1921) Germaine Krull était très active politiquement . En 1919, elle est passée du Parti socialiste indépendant de Bavière au Parti communiste de l’Allemagne, et a été arrêtée et emprisonnée pour aider la tentative de fuite d’un émissaire bolchevik à l’Autriche. Elle fût expulsée de  Bavière en 1920 pour ses activités communistes, et s’ est rendu en Russie avec son amant Samuel Levit. Après que Levit ne l’ait quittée en 1921, Krull a été emprisonné comme un « anti-bolchevique» et expulsé de Russie.

Entre 1922 et 1925, elle vivra à Berlin où elle a reprendra sa carrière de photographe. Elle et Kurt Hübschmann (plus tard connu sous le nom de Kurt Hutton) ont travaillé ensemble dans un studio de Berlin entre 1922 et 1924. Parmi les autres photos de Krull produites à Berlin à cette période, il y a notament la serie de  nus  » les amies de chambre » qui furent comparées à « des satires de la pornographie lesbienne. » VOIR CETTE SERIE LES AMIES ICI

Après avoir rencontré le cinéaste communiste néerlandais Joris Ivens  en 1923, elle s’ installe à Amsterdam en 1925.  Krull revient à Paris en 1926, Ivens et Krull conclu un mariage de convenance entre 1927 et 1943, afin que Krull puisse optenir un passeport néerlandais.

Entre 1922 et 1925, elle vivra à Berlin où elle reprend sa carrière de photographe. Elle et Kurt Hübschmann (plus tard connu sous le nom Kurt Hutton) ont travaillé ensemble dans un studio de Berlin entre 1922 et 1924. Parmi les autres photos Krull produite à Berlin étaient nus qui ont été comparés à ‘des satires de la pornographie lesbienne.’Elle a commencé à photographier des nus, essentiellement féminin,  nombre de ces images illustre des publications scientifiques et naturistes et de nombreux magazines. ( par exemple ici un exemple de couverture pour naturiste)

Krull a vécu à Paris entre 1926 et 1928, où elle a ouvert son atelier en 1926 . Elle se lie d’amitié avec l’élite intellectuelle française (Valéry, Gide, Malraux, Morand, Frank Eugene Cocteau, Colette, etc), ainsi que de nombreux artistes et créateurs (l’acteur Louis Jouvet, le réalisateur Jean Renoir, le photographe Eli Lotar  , qui realisera une superbe photo d’elle nue, vêtue de gants, voir plus bas, les peintres Robert et Sonia Delaunay, etc) mais sera surtout amie avec Sonia et Robert Delaunay, Eli Lotar, André Malraux, Colette, Jean Cocteau, André Gide  Son travail consistait essentiellement à faire de la photographie de mode, et portraits et travailler pour des magazines . Néanmoins, le nu a continuera d’être un thème de prédilection dans la photographie de Krull , ( elle est d’ailleurs publiée à cette époque dans la célèbre « Revue des Monats », par exemple) très fréquemment.

Pendant cette période, elle a publié le portfolio Métal ,1928. ayant épousé le réalisateur Joris Ivens,  elle travaillera avec lui  pour le documentaire ‘El Puente’ (Le pont) en 1928 qui réveillera en elle une fascination pour un sujet inhabituel: le paysage industriel. Krull présente dans ce livre 64 photographies en noir et blanc paysage de Paris, Marseille, et de Hollande . Les sujetsphotographiés sont  des ponts, des  bâtiments (par exemple, la Tour Eiffel), et les navires à roues de bicyclette, il peut être lu comme étant une célébration de la machine ou une critique à leur égard. Beaucoup de photographies ont été prises sous des angles dramatiques, et dans l’ensemble du travail a été comparé à celui de László Moholy-Nagy ( Voir tous les articles qui lui sont consacrés ICI)  et Alexander Rodchenko. ( Voir  tous les articles qui lui sont consacrés ICI). En 1999-2004 le portefeuille a été choisi comme l’un des albums photos les plus importants de l’histoire.

En 1928, Krull a été considéré comme l’une des meilleurs photographes de Paris, avec André Kertész ( Voir les articles qui lui consacrés) et Man Ray( Voir les articles qui lui consacrés) . Entre 1928 et 1933, son travail photographique est composée principalement de photojournalisme, comme ses photographies pour le magazine Vu.  En 1930, elle  édite le portfolio « Étude de nu  » avec 24 photos , préfacé par son ami Jean Cocteau aux Librairie des Arts décoratifs. ces clichés expliquera t- elle auront pour vocation de témoigner de la transformation dans laquelle la nudité, est à la fois reliée à l’esthétique et séparée de l’éthique (ses travaux dans ce domaine sont réputés pour sa série les amies).

Quand la seconde guerre mondiale éclate, krull quittera la France et voyagera dès lors à travers le monde entier (Afrique (1941-1942)  Brésil, où elle a photographié la ville d’Ouro Preto. Entre 1942 et 1944, elle était à Brazzaville en République du Congo, après quoi elle a passé plusieurs mois à Alger ) Après la Seconde Guerre mondiale, elle a voyagé en Asie du Sud-Est en tant que correspondant de guerre, et en 1946 elle  devient un des co-propriétaires de l’Hôtel Oriental à Bangkok, en Thaïlande, un rôle qu’elle a entrepris jusqu’en 1966. Ensuite elle déménagera dans le Nord de l’Inde et convertira à l’école Sakya du bouddhisme tibétain. Son grand projet photographique finale a été la publication d’un livre de 1968 « Tibétains en Inde » qui comprenait un portrait du dalaï-lama. Après un AVC, elle a déménagé dans une maison de soins infirmiers à Wetzlar, en Allemagne, où elle est morte le 31 Juillet, 1985.

Cette femme a eu un esprit libertaire toute sa vie, combattant pour la liberté sociale, la condition de la femme des peuples, sa liberté intellectuelle fait d’elle une artiste majeure du 20 siècle.

bien sûr je ne vous présente qu’une partie de son travail, et comme toujours celui autour du nu, mais cela reste une partie de son immense travail.bJe vous présente les planches du porfolio de 1930 qui sont des héliogravures, ainsi que d’autres nus et ses portraits. Vous pouvez retrouverez la séries Les amies, rencontres de lesbiennes ( postés il y a longtemps ici), et le reste de sont travil sur le net.

« L’objectif est un œil mieux fait que l’œil.  Il mérite de voir le monde mieux fait que le monde, ou autrement fait, ce qui est déjà très bien.  Chaque angle nouveau  multiplie le monde par lui même » G.Krull 1931

 

 

Germaine Krull Book cover for Germaine Krull, Études de nu, (Paris, Librairie des Arts Décoratifs – A. Calavas Éditeur, (1930)) 1930

Germaine Krull - Etude de nu, 1930 from "Études de nu". Par Germaine Krull. Preface by Jean Cocteau.With 24 loose illustrations after photographs printed in photogravure, Paris, Librairie des Arts décoratifs, ,1930.

Germaine Krull – Etude de nu, 1930 from « Études de nu ». Par Germaine Krull. Preface by Jean Cocteau.With 24 loose illustrations after photographs printed in photogravure, Paris, Librairie des Arts décoratifs, ,1930.

ÉTUDES DE NU is the second publication to feature Germaine Krull’s nude studies. It was published twelve years after her nude work first appeared in Der Akt – Zwanzig photographische Aufnahmen weiblicher Körper nach der Natur (The nude – twenty photographs of the female body taken from life) together with work by Prof. Jozsef Pésci and Wanda von Debschitz-Kunowski. ÉTUDES DE NU is Krull’s solo celebration of the female form.

The small portfolio is rather simple in design and construction. A small white paper label with the title and author’s name is mounted on the orange paper covered card of the front cover. The portfolio contains 24 photographic plates and two folded leaves with title and introduction by Jean Cocteau. Twenty-two of the plates contain one photograph of one model. Two of the plates show montages or multiple exposures. Twenty photographs show the figures cropped, at least on one side of the image. The photographs come across as a playful mix of styles and techniques just as one finds with Krull’s work in general.

Germaine Krull – Etude de nu, 1930 from « Études de nu ». Par Germaine Krull. Preface by Jean Cocteau.With 24 loose illustrations after photographs printed in photogravure, Paris, Librairie des Arts décoratifs, ,1930.

 

Germaine Krull- Étude de nu, 1930

Germaine Krull- Étude de nu, 1930 from « Études de nu ». Par Germaine Krull. Preface by Jean Cocteau.With 24 loose illustrations after photographs printed in photogravure, Paris, Librairie des Arts décoratifs, ,1930.

Germaine Krull – Etude de nu, 1930 from « Études de nu ». Par Germaine Krull. Preface by Jean Cocteau.With 24 loose illustrations after photographs printed in photogravure, Paris, Librairie des Arts décoratifs, ,1930.

Germaine Krull – Etude de nu, 1930 from « Études de nu ». Par Germaine Krull. Preface by Jean Cocteau.With 24 loose illustrations after photographs printed in photogravure, Paris, Librairie des Arts décoratifs, ,1930.

Germaine Krull – Etude de nu, 1930 from « Études de nu ». Par Germaine Krull. Preface by Jean Cocteau.With 24 loose illustrations after photographs printed in photogravure, Paris, Librairie des Arts décoratifs, ,1930.

 

Germaine Krull-Etude de nu, 1930 from « Études de nu ». Par Germaine Krull. Preface by Jean Cocteau.With 24 loose illustrations after photographs printed in photogravure, Paris, Librairie des Arts décoratifs, ,1930.

Germaine Krull – Etude de nu, 1930 from « Études de nu ». Par Germaine Krull. Preface by Jean Cocteau.With 24 loose illustrations after photographs printed in photogravure, Paris, Librairie des Arts décoratifs, ,1930.

Germaine Krull-Etude de nu, 1930 from « Études de nu ». Par Germaine Krull. Preface by Jean Cocteau.With 24 loose illustrations after photographs printed in photogravure, Paris, Librairie des Arts décoratifs, ,1930.

Germaine Krull – Etude de nu, 1930 from « Études de nu ». Par Germaine Krull. Preface by Jean Cocteau.With 24 loose illustrations after photographs printed in photogravure, Paris, Librairie des Arts décoratifs, ,1930.

Germaine Krull – Etude de nu, 1930 from « Études de nu ». Par Germaine Krull. Preface by Jean Cocteau.With 24 loose illustrations after photographs printed in photogravure, Paris, Librairie des Arts décoratifs, ,1930.

Germaine Krull – Etude de nu, 1930 from « Études de nu ». Par Germaine Krull. Preface by Jean Cocteau.With 24 loose illustrations after photographs printed in photogravure, Paris, Librairie des Arts décoratifs, ,1930.

Germaine Krull – Etude de nu, 1930 from « Études de nu ». Par Germaine Krull. Preface by Jean Cocteau.With 24 loose illustrations after photographs printed in photogravure, Paris, Librairie des Arts décoratifs, ,1930.

Germaine Krull – Etude de nu, 1930

Germaine Krull-Etude de nu, 1930 from « Études de nu ». Par Germaine Krull. Preface by Jean Cocteau.With 24 loose illustrations after photographs printed in photogravure, Paris, Librairie des Arts décoratifs, ,1930.

Germaine Krull – Etude de nu, 1930 from « Études de nu ». Par Germaine Krull. Preface by Jean Cocteau.With 24 loose illustrations after photographs printed in photogravure, Paris, Librairie des Arts décoratifs, ,1930.

Germaine Krull- EROTIC NUDE , circa 1930 Vintage silver printfrom "Études de nu". Par Germaine Krull. Preface by Jean Cocteau.With 24 loose illustrations after photographs printed in photogravure, Paris, Librairie des Arts décoratifs, ,1930.

Germaine Krull- EROTIC NUDE , circa 1930 Vintage silver printfrom « Études de nu ». Par Germaine Krull. Preface by Jean Cocteau.With 24 loose illustrations after photographs printed in photogravure, Paris, Librairie des Arts décoratifs, ,1930.

 

« Photographing is a profession. Craftsmanship. A job that one learns, that one makes more or less well, like all trades. The photographer is a witness. The witness of his time. The true photographer is the witness of every day, they are the reporter. » Germaine Krull
Sur ce lien, en podcast, une autre chronique à propos de Germaine Krull, Les vivants et les morts, Radio Zibeline.

Josef Breitenbach (1896 – 1984) Part I

Il a assisté au cours de philosophie et d’histoire de l’art à l’Université Ludwig-Maximilian à Munich  de 1914-1917 . Il devient durant cette période active dans la section de la jeunesse  du Parti social-démocrate. En 1918, il  participe à la Bavaroise, un coup d’Etat d’inspiration soviétique, qui était la première étincelle du feu révolutionnaire qui a déferlé sur l’Allemagne à la suite de l’armistice. Pendant  quelques mois, Josef Breitenbach a  occupé un poste officiel dans le nouveau gouvernement. Bien que la révolution fut de courte durée, les liens qu’il a forgé avec les milieux radicaux de l’intelligentsia de Munich  l’ont aidé , plus tard, à établir sa réputation en tant que photographe.

En 1932, Breitenbach ouvre son premier studio de photographie. Ses clients étaient des membres éminents de la bohème de Munich, (y compris les acteurs et actrices de la scène dans le théâtre de Munich.)  qui était alors un bastion des défenseurs des libertés et des personnes raffinées. Mais ce  monde a disparu en 1933 avec la prise de pouvoir d’Hitler.Plus que ses racines juives, le passé politique du photographe fait de  lui une cible à persécuter.  En Août 1933, avec son passeport, Breitenbach arrive en France, rejoignant d’autres exilés Allemands qui cherchent refuge à Paris.

La «révolution» surréaliste allait alors devenir dominante dans la scène artistique parisienne. Peu après son arrivée, Breitenbach est entré en contact avec André Breton et son entourage. Préférant conserver son indépendance, il n’a jamais été un membre du groupe surréaliste, mais a participé à des expositions importantes de la photographie surréaliste aux côtés de Man Ray, Jacques-André Boiffard, Brassaï, Eli Lotar, Henri Cartier-Bresson, et Roger Parry.

Je vous propose aujourd’hui de parcourir quelques facettes que Josef Breitenbach nous a laissées derrière lui. principalement ce qui fût le fruit de la rencontre avec les surréalistes et qui l’accompagna tout au long de son aventure . En passant par ses portraits, ses montages, collages, photogrammes, nus.

Josef Breitenbach-Exposition Internationale, Paris, vue de l'intérieur du Pavillon de la Suisse 1937 © The Josef Breitenbach Trust

Josef Breitenbach-Exposition Internationale, Paris, vue de l’intérieur du Pavillon de la Suisse 1937 © The Josef Breitenbach Trust

Josef Breitenbach- Exposition Internationale du Surréalisme, Galerie Beaux-Arts, Paris, 1938,  gelatin silver print  © The Josef Breitenbach Trust

Josef Breitenbach- Exposition Internationale du Surréalisme, Galerie Beaux-Arts, Paris, 1938, gelatin silver print © The Josef Breitenbach Trust

Breitenbach n’a vécu à Paris  que six ans, jusqu’à ce que la guerre  éclate en 1939, et pourtant, pendant cette période , il a produit certains de ses travaux les plus inventifs.  (Il a adopté plusieurs techniques favorisées par de nouveaux photographes tels que la surimpression, le montage, la solarisation, l’impression en négatif, et le photogramme. Plus important encore, il était l’un des rares artistes des années d’avant-guerre à produire des photographies en couleurs, ce qu’il a fait en utilisant des procédés tels que le blanchiment, la tonification et la pigmentation.)

Mais pendant ses années à Paris, il était aussi un membre actif de la communauté  Allemande en exil , qui a alerté le monde démocratique de la menace du fascisme. Il a participé à l’exposition 1938 par l’Union des Artistes Libres Allemandes, «Cinq ans de dictature hitlérienne ». Un moment fort pour Breitenbach fût sa collaboration avec Bertolt Brecht, résumée par des portraits de l’auteur.

 

Josef Breitenbach- For Ever and Ever, 1937 © The Josef Breitenbach Trust

Josef Breitenbach- For Ever and Ever, 1937 © The Josef Breitenbach Trust

Josef Breitenbach- For Ever and Ever, 1937 © The Josef Breitenbach Trust

Josef Breitenbach- For Ever and Ever, 1937 © The Josef Breitenbach Trust

Josef Breitenbach- For Ever and Ever, 1938

Josef Breitenbach- For Ever and Ever, 1938

Josef Breitenbach- Montparnasse, Paris, 1937, Vintage toned gelatin silver print © The Josef Breitenbach Trust

Josef Breitenbach- Montparnasse, Paris, 1937, Vintage toned gelatin silver print © The Josef Breitenbach Trust

Josef Breitenbach- Sibylle Binder, Munichc. 1933, © The Josef Breitenbach TrustVintage bromoil transfer

Josef Breitenbach- Sibylle Binder, Munichc. 1933, © The Josef Breitenbach TrustVintage bromoil transfer

Josef Breitenbach- Denkmal vor der Enthüllung, Paris,  Veiled Statue, Paris,  1933-39, Early gelatin silver print, printed ca. 1942-48 © The Josef Breitenbach Trust.

Josef Breitenbach- Denkmal vor der Enthüllung, Paris, Veiled Statue, Paris, 1933-39, Early gelatin silver print, printed ca. 1942-48 © The Josef Breitenbach Trust.

Josef Breitenbach-Photograph of the Scent Given Off by a Rose Petal photogravure. 1939  © The Josef Breitenbach Trust.

Josef Breitenbach-Photograph of the Scent Given Off by a Rose Petal photogravure. 1939 © The Josef Breitenbach Trust.

Josef Breitenbach- A small piece of camphor on the surface of mercury, 1937,  Munich,, Gelatin silver print© The Josef Breitenbach Trust.

Josef Breitenbach- A small piece of camphor on the surface of mercury, 1937, Munich,, Gelatin silver print© The Josef Breitenbach Trust.

Josef Breitenbach -modern female bust with hat, Paris - facing toward left], 1935

Josef Breitenbach -modern female bust with hat, Paris – facing toward left], 1935

Josef Breitenbach, Bust Coloré, Paris, 1935

Josef Breitenbach, Bust Coloré, Paris, 1935

Josef Breitenbach, Sculpture Academy, Paris 1935  © The Josef Breitenbach Trust

Josef Breitenbach, Sculpture Academy, Paris 1935 © The Josef Breitenbach Trust

Josef Breitenbach- © The Josef Breitenbach Trust. from Manifesto By Josef Breitenbach , Ed° Nazraeli Press , 2008

Josef Breitenbach- © The Josef Breitenbach Trust. from Manifesto By Josef Breitenbach , Ed° Nazraeli Press , 2008

Josef Breitenbach- Max Ernst and Dr. Riegler & J. Greno, Munich 1933 © The Josef Breitenbach Trust. from Manifesto By Josef Breitenbach , Ed° Nazraeli Press , 2008

Josef Breitenbach- Max Ernst and Dr. Riegler & J. Greno, Munich 1933 © The Josef Breitenbach Trust. from Manifesto By Josef Breitenbach , Ed° Nazraeli Press , 2008

Josef Breitenbach. Max Ernst and the seahorse, New York, 1942.

Josef Breitenbach. Max Ernst and the seahorse, New York, 1942.

Josef Breitenbach-The Hands of Max Ernst, 1942,     Silver print. Courtesy of mfa © The Josef Breitenbach Trust

Josef Breitenbach-The Hands of Max Ernst, 1942, Silver print. Courtesy of mfa © The Josef Breitenbach Trust

 

Josef Breitenbach- Bird, Photogram, hand colored gelatin silver print, 1948 © The Josef Breitenbach Trust

Josef Breitenbach- Bird, Photogram, hand colored gelatin silver print, 1948 © The Josef Breitenbach Trust

Josef Breitenbach-Untitled , photogram , hand-colored , 1940s © The Josef Breitenbach Trust

Josef Breitenbach-Untitled , photogram , hand-colored , 1940s © The Josef Breitenbach Trust

Josef Breitenbach-Untitled , photogram , hand-colored , 1940s  © The Josef Breitenbach Trust

Josef Breitenbach-Untitled , photogram , hand-colored , 1940s © The Josef Breitenbach Trust

Josef Breitenbach-Untitled , photogram , hand-colored , 1940s    © The Josef Breitenbach Trust

Josef Breitenbach-Untitled , photogram , hand-colored , 1940s © The Josef Breitenbach Trust

Josef Breitenbach- Fragrance of a Pink Rose, 1945,New York , Gelatin silver print © The Josef Breitenbach Trust.

Josef Breitenbach- Fragrance of a Pink Rose, 1945,New York , Gelatin silver print © The Josef Breitenbach Trust.

Josef Breitenbach-Carnation and Fragrance, 1940s  ,gelatin silver print, 1948 © The Josef Breitenbach Trust.

Josef Breitenbach-Carnation and Fragrance, 1940s ,gelatin silver print, 1948 © The Josef Breitenbach Trust.

Josef Breitenbach- Red Rose and Odor, 1940 ,Unknown color process © The Josef Breitenbach Trust

Josef Breitenbach- Red Rose and Odor, 1940 ,Unknown color process © The Josef Breitenbach Trust

Josef Breitenbach- Untitled photogram, 1948 © The Josef Breitenbach Trust

Josef Breitenbach- Untitled photogram, 1948 © The Josef Breitenbach Trust

Josef Breitenbach- Fireworks, photogram, 1949 gelatin silver print © The Josef Breitenbach Trust

Josef Breitenbach- Fireworks, photogram, 1949 gelatin silver print © The Josef Breitenbach Trust

Josef Breitenbach-untitled ( objects on a patterned ground, feather, clips, washers), 1954 © The Josef Breitenbach Trust

Josef Breitenbach-untitled ( objects on a patterned ground, feather, clips, washers), 1954 © The Josef Breitenbach Trust

Josef Breitenbach- Huntsman's Luck, photogram , New York, 1946-49,  gelatin silver print  © The Josef Breitenbach Trust

Josef Breitenbach- Huntsman’s Luck, photogram , New York, 1946-49, gelatin silver print © The Josef Breitenbach Trust

Josef Breitenbach-Untitled , photogram, 1940s

Josef Breitenbach-Untitled , photogram, 1940s

Josef Breitenbach-Untitled , photogram, 1940s © The Josef Breitenbach Trust

Josef Breitenbach-Untitled , photogram, 1940s © The Josef Breitenbach Trust

Josef Breitenbach-Untitled , photogram, 1940s © The Josef Breitenbach Trust

Josef Breitenbach-Untitled , photogram, 1940s © The Josef Breitenbach Trust

Josef Breitenbach-Untitled , photogram - newspaper fragments with double-sided text, leaves,1940s © The Josef Breitenbach Trust

Josef Breitenbach-Untitled , photogram, 1940s  © The Josef Breitenbach Trust

Josef Breitenbach-Untitled , photogram, 1940s © The Josef Breitenbach Trust

Josef Breitenbach-untitled , human circulatory system diagram, dark beach scene with wrecked boat,  1942  © The Josef Breitenbach Trust

Josef Breitenbach-untitled , human circulatory system diagram, dark beach scene with wrecked boat, 1942 © The Josef Breitenbach Trust

Josef Breitenbach-Untitled , human circulatory system diagram, wet beach sand with high sea horizon,  1942 © The Josef Breitenbach Trust

Josef Breitenbach-Untitled , human circulatory system diagram, wet beach sand with high sea horizon, 1942 © The Josef Breitenbach Trust

 

Josef Breitenbach-Fabric Abstraction, New York, 1948, Gelatin silver print© The Josef Breitenbach Trust.

Josef Breitenbach-Fabric Abstraction, New York, 1948, Gelatin silver print© The Josef Breitenbach Trust.

 

La guerre interrompit ce deuxième chapitre de la vie du photographe. Interné par les Français comme un étranger suspect, puis rédigé dans un corps civil composé d’étrangers, Breitenbach finalement échappé à la France  de Marseille en 1941 pour New York . Il parvient à retenir l’attention de Walker Evans, qui  publie ses travaux  dans Fortune .

À l’été 1944,  à l’invitation de Josef Albers,  Breitenbach enseigne la photographie au Black Mountain College.  En 1946, il est devenu un citoyen des États-Unis et a rejoint la faculté de la Cooper Union .

Breitenbach a continué à créer que qui etait distinctif et innovateur,comme un un groupe de  photographes sans l’appareil. Ces œuvres planent dans l’espace liminal entre le surréalisme et l’expressionnisme abstrait.

Les années 1950 et 1960 ont été des années d’intense activité pour Breitenbach.  Il a fait reportage photographique en Asie pour les Nations Unies et d’autres entreprises variées, documentant le travail des secours.

Il exposera ses photographies largement dans les Etats-Unis à partir des années 1940 jusqu’au milieu des années 1960, notamment au Museum of Modern Art et le Metropolitan Museum of Art.

You can see more on Gitterman Gallery

Des portraits du photographe par des anonymes ici  sur wordpress sur le blog  A la loupe

  Voir les résultats des actions le concernant sur Mutualart

Conseil de lecture  :

Manifesto By Josef Breitenbach , Ed° Nazraeli Press , 2008

Josef Breitenbach: by Josef Breitenbach Photographs and text (in German) by Josef Breitenbach. Essays (in German) by Peter C. Jones, and Others , Published on the occasion of the 1996-1997 exhibition Josef Breitenbach: Photographien at the Staatliche Galerie Moritzburg Halle and the Fotomuseum im Münchner Stadtmuseum, Ed° Schirmer-Mosel, 1996

Munich, Paris, New York Paperback – 2003 by Josef and Paul Berlanga, Exhibit Catalogue, edition Stephen Daiter Gallery, 2003

Josef Breitenbach » by Larisa Dryansky, Editions de l’Amateur, 2001

Cover of the Book "Josef Breitenbach" by Larisa Dryansky,  Editions de l'Amateur, 2001

Cover of the Book « Josef Breitenbach » by Larisa Dryansky, Editions de l’Amateur, 2001

English bio

Josef Breitenbach was born on the 3rd of April 1896. He attended Ludwig-Maximillian University in Munich (philosophy and art history, 1914 to 1917) and became active in the Youth Section and later the Pacifist wing of the Social Democratic Party. In 1918, he took part in the Soviet-inspired Bavarian coup d’état, which was the first spark of the revolutionary fire that swept over Germany in the wake of the armistice. For a few months, Breitenbach also occupied an official position in the new government. Although the revolution was short-lived, the ties he forged with the radical circles of Munich’s intelligentsia later helped him establish his reputation as a photographer.

In 1932, Breitenbach opened his first photographic studio. His clients were prominent members of Munich’s bohemia, including actors and actresses performing in the Munich theater. Munich was a stronghold of libertarians and refined people, whose spirit Breitenbach captured in theatrical portraits of his friend, the journalist Theo Riegler. This world vanished in 1933 with Hitler’s takeover.

More than his Jewish roots, the photographer’s political past made him a target for persecution. In August, 1933, with his passport , Breitenbach made his way to France , joining other German exiles seeking refuge in Paris.

The Surrealist “revolution” had by then become dominant in the Parisian art scene. Soon after his arrival, Breitenbach came into contact with André Breton and his circle. Preferring to retain his independence, he never became a member of the Surrealist group, but did show work in important exhibitions of Surrealist photography alongside Man Ray, Jacques-André Boiffard, Brassaï, Eli Lotar, Henri Cartier-Bresson, et Roger Parry.

Breitenbach only lived in Paris for six years, until the war broke out in 1939. During this period, he produced some of his most inventive work. He adopted several techniques favored by new photographers such as superimpression, montage, solarization, printing in negative, and the photogram. More importantly, he was one of the rare artists of the pre-War years to produce color photographs, which he did by using processes of bleaching, toning and pigmentation. Examples are the images “Montparnasse”, or Forever and Ever.

During his years in Paris, he was also an active member of the German exile community, which alerted the democratic world to the threat of fascism. He participated in the 1938 exhibition by the Union des Artistes Allemandes Libres, “Five Years of Hitler Dictatorship”. A high point for Breitenbach was his collaboration with Bertolt Brecht, summarized by portraits of the playwright. The war interrupted this second chapter of the photographer’s life. Interned by the French as a suspicious alien, then drafted into a civilian corps composed of foreigners, Breitenbach eventually escaped to New York from Marseille in 1941.He came to the attention of Walker Evans, who published his work in Fortune. In the summer of 1944, at the invitation of Josef Albers, Breitenbach taught photography at Black Mountain College. In 1946 he became a United States citizen and joined the faculty at Cooper Union and later The New School. Breitenbach continued to create distinctive and innovative work, including a striking group of camera-less photographs. These works hover in the liminal space between Surrealism and Abstract Expressionism. The 1950s and 1960s were years of intense activity for Breitenbach. He did photographic reportage in Asia for the United Nations and other varied businesses, documenting relief work. He exhibited his photographs extensively in the United States from the 1940s to the mid-1960s, including at the Museum of Modern Art and the Metropolitan Museum of Art.

I proposed today to browse some facets Josef Breitenbach left us behind. This was mainly the result of the encounter with the Surrealists and accompanied throughout his adventure. Through his portraits, montages , collage, photogram , naked, and some memories , moreover

Man Ray- Denise Tual Paris, 1935

Man Ray- Denise Tual (Titus) 1935 Epreuve gélatino-argentique ( productrice de cinéma, monteuse et réalisatrice française Paris) , 1935 (c) Man Ray Trust 4

Man Ray- Denise Tual (Titus) 1935 Epreuve gélatino-argentique ( productrice de cinéma, monteuse et réalisatrice française Paris) , 1935 (c) Man Ray Trust

 

Denise Tual ( 1906- 2000) , petite, élégante, et spirituelle, était bien connue par les excentriques de son époque. Elle  épousa en première noce Pierre Batcheff, l’acteur principal du Chien Andalou. Elle côtoie bien entendue bon nombre des grands noms du surréalisme Français et international,( c’est pourquoi elle se retrouvera sous l’objectif de Man Ray par exemple)  mais également les grands noms de l’époque. et ce tant lors de son premier mariage que durant son second  Roland Tual , ancien membre de la scène surréaliste parisien , qu’elle épousera près la mort de Batcheff.

Depuis les années 30 elle était dejà est une productrice de cinéma, monteuse et réalisatrice française, et elle collaborera dès lors en tant que  productrutrice en compagnie de son nouveau mari. Le couple possédait une petite maison de campagne à Orsay, où ils aimaient à se divertir en compagnie de Christian Dior, le nouveau talent de la mode, le designer Christian Bérard, Marcel Achard, ou encore Jacques Henri Lartigue  qui étaient des réguliers chez eux.

Elle aida Louis Buñuel à s’enfuir au mexique à la fin de la seconde guerre d’espagne, où il jurait de ne jamais retourner , afin qu’il puisse retrouver sa famille  ( cf/ l’ouvrage Dictionnaire Amoureux du Mexique / Chapitre Louis Bunuel/ par Jean -Claude Carrière.)

Vous pouvait retrouver ici sa filmographie et ses fonctions dans la realisation des films .    ou bien encore ici sous le nom de Denise Batcheff  ainsi qu’ici, Réalisation d’une interview d’André Masson   « L’Imagination surréaliste, André Masson »  ou ici sur la page du Festival de Cannes où l’une de ses collaboration avec  Michel Fano a été projetée au festival en 1973

elle écrira Le Temps dévoré, Paris, Fayard, 1980  et Au cœur du temps, Paris, Carrère, 1987

Conseil de lecture  Denise Tual, Au cœur du temps. Cocteau – Malraux – Stravinski – Nouveev – Prévert – Jean Renoir – Buñuel – Messiaen – Colette, préface de Jean-Claude Carrière, Paris, éd. Carrère, 1987

Man Ray- Denise Tual (Titus) 1935 Epreuve gélatino-argentique( productrice de cinéma, monteuse et réalisatrice française Paris) , 1935 (c) Man Ray Trust

Man Ray- Denise Tual (Titus) 1935 Epreuve gélatino-argentique( productrice de cinéma, monteuse et réalisatrice française Paris) , 1935 (c) Man Ray Trust

 

Man Ray- Denise Tual (Titus) 1935 Epreuve gélatino-argentique ( productrice de cinéma, monteuse et réalisatrice française Paris) , 1935 (c) Man Ray Trust 2

Man Ray- Denise Tual (Titus) 1935 Epreuve gélatino-argentique ( productrice de cinéma, monteuse et réalisatrice française Paris) , 1935 (c) Man Ray Trust

Man Ray- Denise Tual (Titus) 1935 Epreuve gélatino-argentique ( productrice de cinéma, monteuse et réalisatrice française Paris) , 1935 (c) Man Ray Trust 1

Man Ray- Denise Tual (Titus) 1935 Epreuve gélatino-argentique ( productrice de cinéma, monteuse et réalisatrice française Paris) , 1935 (c) Man Ray Trust 1

Man Ray- Denise Tual ( productrice de cinéma, monteuse et réalisatrice française Paris) , 1935 (c) Man Ray Trust

 

Man Ray- Denise Tual ( productrice de cinéma, monteuse et réalisatrice française Paris) , 1935 (c) Man Ray Trust

Man Ray- Denise Tual ( productrice de cinéma, monteuse et réalisatrice française Paris) , 1935 (c) Man Ray Trust

 

Erwin Blumenfeld – Série Wet Silk (modèle Marguerite von Sivers), Paris, 1937

 

Erwin Blumenfeld trouvé la célébrité en 1938 avec la publication de 14 photographies de nus sensationnels dans le premier numero de Verve magazine, en voici quelques une. Il y présentera aussi des clichés de l’atelier de A. Maillol par exemple.

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Erwin Blumenfeld- Nude Under Wet Silk, Paris, circa 1937

Erwin Blumenfeld - Nude under Wet Silk, Paris, 1939

Erwin Blumenfeld – Nude under Wet Silk, Paris, 1937

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Erwin Blumenfeld- Nude Under Wet Silk, Paris, circa 1937

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Erwin Blumenfeld- Nude Under Wet Silk, Paris, circa 1937

Erwin Blumenfeld6 Nude Wet, published in The Coronet Magazine, March 1938, taken in 1937

Erwin Blumenfeld-   Wet Silk, published in The Coronet Magazine, March 1938, taken in 1937

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Erwin Blumenfeld- Wet Silk published in The Coronet Magazine, March 1938, taken in 1937

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Erwin Blumenfeld- Legs and Wet Silk (Solarization) Paris, Circa 1937

Erwin Blumenfeld -Marguerite von Sivers sur le toit du studio 9, rue Delambre, Paris, 1937

Erwin Blumenfeld -Marguerite von Sivers sur le toit du studio 9, rue Delambre, Paris, 1937

André Breton & Pierre Molinier – Catalogue de l’exposition à L’Etoile Scellée, Paris, du 27 janvier au 17 février 1956.

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André Breton ( texte) , Pierre Molinier (images), catalogue de l’exposition à L’Etoile Scellée, Paris, du 27 janvier au 17 février 1956.

James Abbe

James Abbe Folies Bergère tableau vivant  spectacle des Ziegfeld Follies ( costumes designed by James Ben Ali Haggi)

James Abbe Folies Bergère « tableau vivant spectacle desZiegfeld Follies ( costumes designed by James Ben Ali Haggi)


James Edward Abbe The Dolly Sisters 1927

James Edward Abbe The Dolly Sisters 1927


James Abbe - Backstage, French and English girls at the Moulin Rouge, 1926

James Abbe – Backstage, French and English girls at the Moulin Rouge, 1926


James Abbe -Backstage at the Folies Bergère, Paris,1926.

James Abbe -Backstage at the Folies Bergère, Paris,1926.


James Abbe - Sisters G, 1920

James Abbe – Sisters G, 1920

 

Protégé : Scans from Laryew (Walery)- « Nus », Cent photographies originales, Paris , Ed° Librairie des Arts Décoratifs/ A. Calavas, 1924

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Giancarlo Botti- Le Crazy Horse,Paris

Giancarlo Botti- Le Crazy Horse,Paris 1956

Giancarlo Botti-  Le Crazy Horse,Paris 1956

Giancarlo Botti- Le Crazy Horse,Paris 1956

Giancarlo Botti-  Le Crazy Horse,Paris 1956

Giancarlo Botti- Le Crazy Horse,Paris 1956

Giancarlo Botti-  Le Crazy Horse,Paris 1956

Giancarlo Botti- Le Crazy Horse,Paris 1956

Giancarlo Botti-  Le Crazy Horse,Paris 1956

Giancarlo Botti- Le Crazy Horse,Paris 1956

Giancarlo Botti-  Le Crazy Horse,Paris 1956

Giancarlo Botti- Le Crazy Horse,Paris 1956

Giancarlo Botti-  Le Crazy Horse,Paris 1956

Giancarlo Botti- Le Crazy Horse,Paris 1956

Giancarlo Botti-  Le Crazy Horse,Paris 1956

Giancarlo Botti- Le Crazy Horse,Paris 1956

Giancarlo Botti-  Le Crazy Horse,Paris 1956

Giancarlo Botti- Le Crazy Horse,Paris 1956

Giancarlo Botti-  Le Crazy Horse,Paris 1956

Giancarlo Botti- Le Crazy Horse,Paris 1956

Giancarlo Botti-  Le Crazy Horse,Paris 1956

Giancarlo Botti- Le Crazy Horse,Paris 1956

Giancarlo Botti-  Le Crazy Horse,Paris 1956

Giancarlo Botti- Le Crazy Horse,Paris 1956

Giancarlo Botti-  Le Crazy Horse,Paris 1956

Giancarlo Botti- Le Crazy Horse,Paris 1956

Brassaï – Danseuses de Sa Majesté la Femme ,Boulevard Saint Jacques, 1931

Brassaï -  Conchita Et ses danseuseuses,  sur l’estrade, devant la baraque  Sa Majesté la femme Boulevard Saint Jacques, 1931

Brassaï – Conchita Et ses danseuseuses, sur l’estrade, devant la baraque Sa Majesté la femme Boulevard Saint Jacques, 1931

Brassaï - Danseuses masquée,  , devant la baraque  Sa Majesté la femme Boulevard Saint Jacques, 1931

Brassaï – Danseuses masquées, , devant la baraque Sa Majesté la femme Boulevard Saint Jacques, 1931

Brassaï- Trois femmes masquées  sur l’estrade, devant la baraque  Sa Majesté la femme   spectacle interdit aux moins de 16 ans, Boulevard St. Jacques, Paris 1931

Brassaï- Trois femmes masquées sur l’estrade, devant la baraque Sa Majesté la femme spectacle interdit aux moins de 16 ans, Boulevard St. Jacques, Paris 1931

Brassaï - Danse Serpentine la Fete Foraine,  sur l’estrade, de la baraque  Sa Majesté la femme Boulevard Saint Jacques, 1931

Brassaï – Danse Serpentine la Fete Foraine, sur l’estrade, de la baraque Sa Majesté la femme Boulevard Saint Jacques, 1931 ( creditée dans une expostion !!! La Loie Fuller, s’exhibant à la Fete Foraine, Mais çà n’est pas elle du tout puisqu’elle est morte le 2 janvier 1928)

Brassaï -  La danse de Conchita  sur l’estrade, de la baraque  Sa Majesté la femme Boulevard Saint Jacques, 1931

Brassaï – La danse de Conchita sur l’estrade, de la baraque Sa Majesté la femme Boulevard Saint Jacques, 1931

Brassai -La danse de Conchita Ici creditée, Boulevard Auguste Blanqui, 1931

Brassai -La danse de Conchita Ici créditée, Boulevard Auguste Blanqui, 1931, je pense que c’est faux…

 

Alexander (Hammid) Hackenschmied

Alexander ( Hammid) Hackenschmied- Rita, in double vision, 1942

Alexander ( Hammid) Hackenschmied- Rita, in double vision, 1942

Alexander ( Hammid) Hackenschmied-  Rita,woman, in double vision, 1942

Alexander ( Hammid) Hackenschmied- Rita,woman, in double vision, 1942

Alexander (Hammid) Hackenschmied – Madeleine a odraz v okně ( La Madeleine (Place) and reflection in the window ),Paris, 1939

 

“Parade », ballet d’après Jean Cocteau, composé en 1916/17 par Erik Satie pour les “Ballets russes » . Les costumes et rideau de scène par Pablo Picasso

Anonyme –Mademoiselle Chabelska dans le rôle de la petite fille américaine , dans : “Parade », ballet d’après Jean Cocteau, composé en 1916/17 par Erik Satie pour les “Ballets russes » dirigés par Sergei Diaghilev. Les costumes et le rideau de scène ont été crées par Pablo Picasso, théâtre du Châtelet l 1917.

Comte Etienne de Beaumont , connu pour ses grand bals masqués dans les années 20-25

The Count Etienne de Beaumont, a wealthy descendant of one of the great families of France, was both a ballet set designer, costumes and jewelery, a painter, an accomplished socialite, known for its masked balls and a generous patron, especially for the Ballets Russes of Serge Diaghilev, passionate contemporary arts.

On May 17, 1924, he inaugurated the ‘Soirees de Paris’ Théâtre de la Cigale in Montmartre. They only last a year, combining music hall performances, ballet, poetry and theater, with the participation of artists as diverse as Jean Cocteau, Pablo Picasso, Georges Braque, Erik Satie and Darius Milhaud. With his wife Edith, Étienne de Beaumont Comandita films and avant-garde ballets, and after the war, founded the « Franco-American Association ‘who financed many important exhibitions. Paul Morand, Maurice Sachs, Jean Cocteau, Marc Allégret Bernard Faÿ, Leonide Massine, Lucien Daudet, René Crevel described the extraordinary personality of the Comte de Beaumont; it is also the model of the main character of the second novel by Raymond Radiguet, The Ball of Count Orgel. imec

anomyme, Suit designed by the famous designer Conte Etiene Beaumont, known for its grand masked balls in the years 20-25

Anomyme, Suit designed by the famous designer Comte Etienne de Beaumont, known for its grand masked balls in the years 20-25

anomyme, Costume designed and worn by the famous designer Conte Etiene Beaumont, known for its grand masked balls in the years 20-25

anomyme, Costume designed and worn by the famous designer Conte Etiene Beaumont, known for its grand masked balls in the years 20-25

Etienne de Beaumont and his wife dressed in costumes created by himself (Baroque Dance), 1920s

Etienne de Beaumont and his wife dressed in costumes created by himself (Baroque Dance), 1920s

anomyme, Costume designed and worn by the famous designer Conte Etiene Beaumont, known for its grand masked balls in the years 20-25

anomyme, Costume designed and worn by the famous designer Conte Etiene Beaumont, known for its grand masked balls in the years 20-25

Some example could wear costumes that participants Beaumont balls created by the greatest designers of the time.

Man Ray- Mrs. Errazuriz, Picasso and Olga (his wife) to the ball of Beaumont Count 1924

Man Ray- Mrs. Errazuriz, Picasso and Olga (his wife) to the ball of Beaumont Count 1924

Man Ray- Picasso his wife Olgaet two unidentified persons at a ball of Count Etienne de Beaumont, 1924

Man Ray, Ricardo Viñes, Olga Picasso, Picasso and painter Manolo Ortiz Angeles to a ball of Count Etienne de Beaumont, 1924

Man Ray - Gerald Murphy and his wife, Sara, dressed for a ball of Count Etienne de Beaumont, Montparnasse in 1922

Man Ray – Gerald Murphy and his wife, Sara, dressed for a ball of Count Etienne de Beaumont, Montparnasse in 1924

Man Ray - Gerald Murphy A ball of Count Etienne de Beaumont, Montparnasse in 1922

Man Ray – Gerald Murphy A ball of Count Etienne de Beaumont, Montparnasse in 1924


Man Ray – unidentified person at the ball of Beaumont, 1924

Man Ray unidentified person at the ball of Beaumont, 1924

 Tzara and Man Ray Nancy Cunard at the ball of Beaumont Count 1924

Tzara and Man Ray Nancy Cunard at the ball of Beaumont Count 1924

Man Ray – Unidentified Persons to the ball of Beaumont in 1924

-The Man Ray Viscountess of Noailles the Ball Count E. de Beaumont, 1928