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Manassé-The Austrian dancer and actress La Jana (Henriette Margarethe Hiebel),Vienna, Around 1930
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Manassé-The Austrian dancer and actress La Jana (Henriette Margarethe Hiebel),Vienna, Around 1930
François Bertin – Untitled, 1925 , gelatine silver print From Erotic Photography by Alexandre Dupuy p149 , 2011
Francois Bertin – Untitled, 1925 Gelatin-silver print
Francois Bertin- untitled, 1925 gelatine silver print From EroticPhotography by Alexandre Dupuy , 2011
ALFONS WALDE – Hilda, Kitzbühel c. 1925 Vintage silver print
Pour son travail, de préparations des livres Drtikol fait de petites photos de ses photographies – (prises principalement avec des appareils de grand format )- il existe un grand nombres de « livres de travail » de lui. Pour ces planches contacts , il épinglait sur une feuille ses photographies sur un mur avec des punaises ( la trace est visible sur les photos) et photographiait les compilations de chaque travaux qu’il avait réalisés , contenant à chaque fois de quatre à dix planches des séries. Il a appelé ces photographies ‘vzorníky’ (échantillonneur). En coupant les épreuves, il obtenait ces petites images qui représentaient une base centrale pour la réflexion et le développement de son travail. Ici nous avons 100 images fournissant un très large aperçu de sa période la plus importante autour de la photographie de nu entre environ 1915 et 1930. D’un point de vue stylistique, les compositions couvrent la gamme complète de sa maîtrise créative de la photographie d’art de Prague en passant du symbolisme jusqu’à l’art Deco.
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For his workbooks, Drtikol produced tiny pictures of the photographs he took, mostly with large-format cameras. In order to do so, he pinned contact prints (sometimes the pins were even visible on the tiny pictures) to the wall and took photographs of arrangements of four to ten works. He called these photographs ‘vzorníky’ (samplers).By cutting the contact prints of these ‘vzorníky’ he got the small format pictures that, on different sorts of paper and in different arrangements, represent a central basis for the reflection and the development of his work. The offered pages, with 100 pictures in total, provide a deep insight into his most important creative period of nude photography between 1915 and 1930. The compositions encompass stylistically the full range of his artistic mastery, ranging from art photography and Prague symbolism to Art Deco.
František Drtikol – A collection of nude studies, from his workbooks,c. 1915-1930 from František Drtikol, Pracouní kniha fotografií, hrsgg. v. Stanislav Doleža Prague 2006
František Drtikol – A collection of nude studies, from his workbooks, c. 1915-1930 from František Drtikol, Pracouní kniha fotografií, hrsgg. v. Stanislav Doleža Prague 2006
František Drtikol – A collection of nude studies, from his workbooks, c. 1915-1930 from František Drtikol, Pracouní kniha fotografií, hrsgg. v. Stanislav Doleža Prague 2006
František Drtikol – A collection of nude studies, from his workbooks,c. 1915-1930 from František Drtikol, Pracouní kniha fotografií, hrsgg. v. Stanislav Doleža Prague 2006
De 1923 jusqu’au milieu des années 1930, Edwin Bower Hesser, [éminent photographe qui a travaillé à New York et Los Angeles pendant l’âge d’or d’Hollywood et mis au point son propre système de photographie couleur appelée Hessercolor] a édité et produit des photographies pour 7 Magazines d’Art conçus et pensés pour aider Les étudiants en Art ( sous toutes ses formes) et notamment ceux de l’ Art Institute of Chicago , par lequel il est passé, autour de la question du nu et des formes du corps humain « the Hesser Arts Monthly « Art classic », « Art Studies » , « Camera Art », « Classic Art », « Real Art studies », « Screen art studies », « Studio art studies ». Hesser aimait les parcs , les plages, il aimait le plein air , il aimait les filles nues, et il aimait l’art et cela se trouve dans toutes ses photographies , même celles de portraits de stars du cinéma).
Edwin Bower Hesser-for Daw Physiology, Eugenics, Art &Love, 1928
Edwin Bower Hesser-Facing the East. for Daw Physiology, Eugenics, Art &; Love, 1928
Edwin Bower Hesser-Fruit for Daw Physiology, Eugenics, Art & Love, 1928
Edwin Bower Hesser-Rejuvenation for Daw Physiology, Eugenics, Art &; Love, 1928
Edwin Bower Hesser-Spoils of the Sea for Daw Physiology, Eugenics, Art &Love, 1928
Edwin Bower Hesser-The Sea for Daw Physiology, Eugenics, Art &; Love, 1928
Edwin Bower Hesser-Thoughts in Solitude. for Daw Physiology, Eugenics, Art & Love, 1928
Edwin Bower Hesser- The Enchanted Forest for Daw Physiology, Eugenics, Art &Love, 1928
Edwin Bower Hesser- Sunlight & Shadow. for Daw Physiology, Eugenics, Art &; Love, 1928
Edwin Bower Hesser-Anatomical Study for Daw Physiology, Eugenics, Art & Love, 1928
Edwin Bower Hesser-Curse of India for Daw Physiology, Eugenics, Art & Love, 1928
Edwin Bower Hesser-Hesser-Maid of Araby for Daw Physiology, Eugenics, Art & Love, 1928
Edwin Bower Hesser-Julie De Valeria for Daw Physiology, Eugenics, Art & Love, 1928
Edwin Bower Hesser-Palm Beach for Daw Physiology, Eugenics, Art & Love, 1928
Edwin Bower Hesser-Pensively Pretty. for Daw Physiology, Eugenics, Art &Love, 1928
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Edward Bower Hesser- Nude Study , Gri.. park, La, 1922 Arts (Monthly Pictorial)
Edward Bower Hesser- Nude Study , Gri.. park, La, 1922 Arts (Monthly Pictorial) – The magazine of Pictures for Artists ans Art Students founded and edited in 1922 by Edward Bower Hesser
Edward Bower Hesser- Nude Study , Gri.. park, La, 1922 Arts (Monthly Pictorial) – The magazine of Pictures for Artists ans Art Students founded and edited in 1922 by Edward Bower Hesser
Edward Bower Hesser- Nude Study , Gri.. park, La, 1922 Arts (Monthly Pictorial) – The magazine of Pictures for Artists ans Art Students founded and edited in 1922 by Edward Bower Hesser
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Edwin Bower Hesser – Artist’s notebook , 1931
Edwin Bower Hesser –two plates from Atrist’s NoteBook, 1930
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Edward Bower Hesser -Mercy Robbins, with mask of W.T. Benda, 1920 sart-studies-magazine-january-1926
Edwin Bower Hesser- The Toe Dancer, Frances Mildern, 1926 art-studies-magazine-january-1926
Edward Bower-Mignon Laird Night Club Star, 1926 art-studies-magazine-january-1926
il est indéniable qu’ Edwin Bower Hesser fût très inspiré par Les photographies faites autour d’Isadora Duncan et ses danseurs ( mouvement de la danse grecque) aux modèles en plein air, ( plage, parc, bois) nus ou avec de légers voiles. Il existait à cette époque une très forte croyance en les idéaux du mouvement de culture physique, du corps parfait , de la beauté corporelle, de l hygiène et de la sexualité expressive qui émanait du corps. Isadora Duncan, tout comme Ted Shawn, Annette Kellerman, Margaret Edwards, ou Douglas Fairbanks en étaient les portes paroles, avec cette volonté de montrer au public ce à quoi ressemblerait la splendeur de ce qu’ils nommaient le « Temple de Dieu, » le physique humain.Heisser s’accrochant à se mouvement en est devenu ce qu’on pourrait qualifié de » fanatique », espérant proposer un modèle parfait de la « future race humaine » ( propos quelque peu discutables et emprunt d’un certain eugénisme, ce qui lui fût reproché….). Ceci dit, On ne peut pas lui enlever le fait qu’il a su mettre en scène une harmonie entre formes humaines et formes de la nature.
Edward Bower Hesser – Jean Harlow, 1929
Edward Bower Hesser – Jean Harlow, 1930s
Edward Bower Hesser – Jean Harlow, 1930s
Edward Bower Hesser – Jean Harlow, 1930s
Edwin Bower Hesser Jean Harlow, Griffith Park, 1929
Edward Bower- Studies in Type of Body,1926,
Edward Bower Hesser- Nude Study , Gri.. park, La, 1922
Edwin Bower Hesser- Female Nude, 1929
Edwin Bower Hesser- Female Nude-, 1929
Edwin Bower Hesser- Female Nude at Griffith Park L.A, 1920s
Edwin Bower Hesser- Flapper in Pool, 1920
Edwin Bower Hesser – nude in lake , 1920
Edwin Bower Hesser- nude in lake , 1920
Edwin Bower Hesser – nude in lake , 1920
Edwin Bower Hesser – The Lady of the rocks , a Study in consrasts Magazine Theatre october, 1922
Edwin Bower Hesser- nude CALIFORNIA COAST , 1920
Edwin Bower Hesser- Nude at Griffith Park L.A, 1920s
Edwin Bower Hesser- Nude study outdoor , 1920s
Edwin Bower Hesser- Nymph, 1922
Edwin Bower Hesser- The Three Graces,Norma Talmadge Marion Davies Irene Castles 1925
Edwin Bower Hesser- Nude study , 1930
Edwin Bower Hesser Marjorie Leet in Garden of Girls November,1925
Edwin Bower Hesser- Nude, 1920s
Edwin Bower Hesser bessie love 1919
Edwin Bower Hesser Bessie Love in Garden of Girls 1920’s
Source ici et Ebay où vous pouvez trouvez des clichés peu cher, et parfois ses magazines.
« Marcel Meys est surtout connu aujourd’hui comme photographe. Il débuta cependant sa carrière en tant que peintre, et fit ses études dans les ateliers de Jules-Élie Delaunay, Pierre Puvis de Chavannes et Gustave Moreau.Son tableau intitulé Néréis fut présenté au Salon de 1882. Il fut primé et permit à l’artiste de remporter une bourse de voyage de 4000 francs afin de se rendre dans une ville italienne de son choix. A la fin du XIXe, Marcel Meys semble se consacrer uniquement à la photographie. On retrouvera avec ce nouveau procédé, le même goût de l’artiste pour des figures féminines posant en bord de mer. » By lanouvelleathenes ( vous trouverez sur ce site un dessin Néréis de Meys )
Marcel Meys – nu à la grappe Paris , around 1910
Marcel Meys- Etude de nu anatomique en extérieure , 1930 from Plein Air , Les éditions de Paris, Paris 1931
Marcel Meys – Etude de nu anatomique en extérieur ,1930 from Plein Air , Les éditions de Paris, Paris 1931
Marcel Meys- Études de nus féminins dans la nature, 1930 from Plein Air , Les éditions de Paris, Paris 1931
Marcel Meys- Études de nus féminins dans la nature, 1930 from Plein Air , Les éditions de Paris, Paris 1931
Marcel Meys -Algeriennes. photogravure. 1933. ( publiée dans le célèbre « La Beauté de la Femme », Daniel Masclet, Album du premier Salon International du Nu photographique , Paris 1933
Marcel Meys- For -An article » le rideau de la volupé », in Pour Lire a Deux of January 1935
Ses Autochromes
Marcel Meys- Etude de nu, autochrome. 1re moitié du 20e siecle
Marcel Meys- Portrait d’une femme jouant de la flute, autochrome. 1ere moitié du 20em siecle
Marcel Meys- Portrait d’une femme au drapé bleu, autochrome. 1ere moitié du 20e siecle
Vous pouvez aussi voir des stéréotypes en 3D qu’il a réalisés Ici
Article très complet sur sa biographie, écrit par un basque, ( Les Pyrénées étaient effectivement le lieu, où il a réalisé ses grands classique de « nus et paysages » et » plein air ».
Ajout 07 JUILLET 2015 //
MERCI à la Revue Le Temps.( ch ) de citer mes recherches dans sa rubrique Culture.
Edmund Kesting-Shin and shadow, 1924
« Brassaï, pseudonyme de Gyula Halász, né le 9 septembre 1899 à Brașov (hongrois: Brassó – ville alors austro-hongroise et rattachée à la Roumanie depuis) et mort le 8 juillet 1984 à Nice (Alpes-Maritimes), était un photographe français d’origine hongroise, et aussi dessinateur, peintre, sculpteur et écrivain.
Gyula Halász a trois ans quand sa famille emménage à Paris où ils rejoignent le père qui enseigne la littérature à la Sorbonne. Jeune homme, Gyula Halász étudie la peinture et la sculpture à l’école des Beaux-Arts de Budapest avant de rejoindre la cavalerie austro-hongroise pour y servir durant la Première Guerre mondiale. En 1920 il se rend à Berlin où il y travaillera en tant que journaliste, tout en suivant les cours de l’académie des Beaux-Arts Berlin-Charlottenburg.
Halász déménage en 1924 pour Paris. Seul, il apprend le français en lisant les œuvres de Marcel Proust. Installé à Montparnasse, au cœur du Paris artistique des années 1920, il se lie à Henry Miller, Léon-Paul Fargue et Jacques Prévert.
Il reprend sa carrière de journaliste. Il écrivit plus tard que la photo l’avait aidé à saisir la nuit Parisienne, la beauté des rues et des jardins, qu’il pleuve ou qu’il vente. En utilisant son lieu de naissance, Gyula Halász se forge dès 1923 le pseudonyme de Brassaï qui signifie « de Brassó ». C’est sous ce nom qu’il s’impose comme celui qui a su capturer l’essence de la ville dans ses clichés, publiant un premier recueil en 1932 intitulé « Paris de nuit » qui reçoit un grand succès et le fera même surnommer « l’œil de Paris » par Miller dans l’un de ses essais.
En dehors de ses photos du Paris interlope et sombre, Brassaï s’est aussi intéressé à la haute société, aux intellectuels, à la danse et à l’opéra. Il photographia nombre d’entre ses contemporains, tels Salvador Dalí, Pablo Picasso, Henri Matisse, Alberto Giacometti et certains des écrivains majeurs de l’époque : Jean Genet, Henri Michaux. Une de ses photographies de la série des Graffiti sera utilisée en couverture du recueil de Jacques Prévert Paroles en 1946.
Ses photographies offrirent à Brassaï une célébrité internationale. En 1956, son film « Tant qu’il y aura des bêtes » gagne un prix à Cannes, puis en 1974, il est élevé au rang de Chevalier des Arts et des Lettres, avant de recevoir en 1976, la Légion d’honneur. Il gagne le premier « Grand Prix national de la photographie », deux ans plus tard, à Paris. Il est exposé aux Rencontres d’Arles, (France), lors des soirées de projection au Théâtre Antique, en 1970 pour “Brassaï” de Jean-Marie Drot,et en 1972 pour “Brassaï si, Vominino” de René Burri. Il est l’invité d’honneur des Rencontres en 1974. Une exposition et une soirée d’hommage lui y sont consacrées.
En plus de ses œuvres photographiques, Brassaï écrivit dix-sept livres et de nombreux articles, dont en particulier Histoire de Marie, publié avec une introduction de Henry Miller.
Brassaï est enterré au Cimetière du Montparnasse, à Paris « (Wilkipia)
“Le Nu Realiste” with photographs by Brassaï [Marcel Natkin’s book “Le Nu” (Editions Tiranty-Paris) – Boucher, Jahan, Sougez and Brassaî.] 1949
Brassaï plate from “Le Nu Realiste” with photographs by Brassaï [Marcel Natkin’s book “Le Nu” (Editions Tiranty-Paris) – Boucher, Jahan, Sougez and Brassaî.] 1949
Brassaï plate from “Le Nu Realiste” with photographs by Brassaï [Marcel Natkin’s book “Le Nu” (Editions Tiranty-Paris) – Boucher, Jahan, Sougez and Brassaî.] 1949
Brassaï 2 plates from “Le Nu Realiste” with photographs by Brassaï [Marcel Natkin’s book “Le Nu” (Editions Tiranty-Paris) – Boucher, Jahan, Sougez and Brassaî.] 1949
Brassaï – Le Nu Realiste #6, 1949. plate from “Le Nu Realiste” with photographs by Brassaï [Marcel Natkin’s book “Le Nu” (Editions Tiranty-Paris) – Boucher, Jahan, Sougez and Brassaî.] 1949
Brassaï – Le Nu Realiste #1, 1949.plate from “Le Nu Realiste” with photographs by Brassaï [Marcel Natkin’s book “Le Nu” (Editions Tiranty-Paris) – Boucher, Jahan, Sougez and Brassaî.] 1949
Brassaï – Le Nu Réaliste #4, 1949.plate from “Le Nu Realiste” with photographs by Brassaï [Marcel Natkin’s book “Le Nu” (Editions Tiranty-Paris) – Boucher, Jahan, Sougez and Brassaî.] 1949
Brassaï -Le Nu Realiste #7, 1949. plate from “Le Nu Realiste” with photographs by Brassaï [Marcel Natkin’s book “Le Nu” (Editions Tiranty-Paris) – Boucher, Jahan, Sougez and Brassaî.] 1949
Brassaï -Le Nu Realiste #, 1949.plate from “Le Nu Realiste” with photographs by Brassaï [Marcel Natkin’s book “Le Nu” (Editions Tiranty-Paris) – Boucher, Jahan, Sougez and Brassaî.] 1949 reprint later
Brassaï-Fille derrière le rideau,1932 ( diania slip lingerie ) voir
La réputation de Karl Struss (1886 – 1981) s’est faite lorsque Alfred Stieglitz choisi son travail en 1910 pour le Salon International de Photographie picturale et par la suite pour le publier publié au sein du celèbre Camera Work en 1912.
Après avoir étudié avec Clarence White, ( avec qui il a travaillé sur la photographie de nu) et collaborer avec Stieglitz , Karl Struss s’ installe dans un studio en 1914. Il se spécialise dans le portrait, la publicité, et illustration de magazine. En 1919, Il ‘installe à Hollywood et devient cameraman de Cecil B. DeMille. Il deviendra plus tard l’un des premiers cinéastes de la génération des fimls dits artistique tels que Ben Hur (1925) et Sunrise (1927), pour lequel il a reçu le premier prix de l’Académie de la cinématographie.
Ses nus représentent un changement radical par rapport aux photographies de paysages architecturaux qui ont défini Sruss comme l’un des plus grands photographes de photo-sécessionniste du XXe siècle, mais ouvrent la voie aux générations futures de photographes de nu.
Publié & parF. Kotausek New York Cit en 1917 est un Portfolio de 48 images, comme l’indique le titre. Certaines photos sont estampillées avec « Photo prise par Nicholas Muray » ( formidable photographe de la même époque) au verso, je vous indiquerai lesquelles ( avec les liens vers les musées attestant du fait. Dans Female Figure Struss présente des études de nus, dont la majorité sont tonalité sepia , mais quelques-unes sont été tirées à l’aide du processus expérimental de couleur Hess-Ives : une première tentative afin d’opérer des séparations de couleurs grâce à l’utilisation de filtres colorés. Dans ces photographies, Karl Struss abandonne les propriétés du portrait de studio de routine et utilise un appareil photo 4×5 pouces afin de créer un sentiment d’urgence et de mouvement. La série Female Figure a libéré le corps de la femme des contraintes vestimentaires et du mouvement « classique », suggérant un retour à la nature.
En raison de sa technique, de nombreuses expositions ont été laissés un peu floue. Toutes les photos représentées dans Female Figure sont contre un mur ou en tissu (toile de fond), parfois drapé dans de la gaze transparente, tenant parfois un objet.
Bien que l’inspiration de M. Struss pour la figure féminine ne soit pas claire, on soupçonne qu’il a été clairement influencé par le mouvement de la danse moderne, qui, s’est avéré extrêmement populaire auprès des photographes picturales de l’époque. En 1916, Karl Struss a travaillé pour la Compagnie d’opéra Metropolitan et le Ballet Russe, photographiant divers artistes.
Alors que Female Figure a contribué à établir la norme pour la photographie de nu, elle passa sous contrôle judiciaire pendant cette période. En fait, l’éditeur de Struss a été menacé de poursuites pour distribution de pornographie. Peu de temps après, les nus de grands artistes comme Frantisek Drtikol, Edward Weston, Man Ray et deviendraient des piliers de l’histoire du nu. mais Karl Kruss est donc le pionnier de cette nouvelle approche.
Il fût aussi très connu en tant que cinéaste des années 1900 aux années 1950 et a également été l’un des premiers pionniers de films en 3-D.
Karl F. Struss- Untitled, From the Series, The Female Figure (Nude in Profile with Arms Outstretched), 1917 published in 48 photographs of the female
From the Series, The Female Figure , 1917 published in Karl Struss. From 48 photographs of the female
From the Series, The Female Figure , 1917 published in Karl Struss. From 48 photographs of the female Karl Struss -Nude Kicking, 1917 ( format impression individuelle)
Karl F. Struss- Untitled, From the Series, The Female Figure (Nude in Profile Walking like an Egyptian), 1917 published in 48 photographs of the female
Karl F. Struss Nude Draped in Gauze, plate 32 from the Series, The Female Figure, 1917 here other version
Karl Struss-Untitled, From the Series, The Female Figure , 1917 variante tirage individuel ( complètement différent)
Karl F. Struss Untitled, (Standing Nude With Drapery), 1917published in 48 photographs of the female
Karl F. Struss- Untitled, , 1915 From the Series, The Female Figure, 1917 published in 48 photographs of the female
Karl F. Struss- Untitled, From the Series, The Female Figure (Standing Nude With Drapery), 1917 1MURAY, NICHOLAS published in Karl Struss. From 48 photographs of the female ( livre)
Karl F. Struss- Untitled, From the Series, The Female Figure (Standing Nude With Drapery), 1917 1MURAY, NICHOLAS (livre)
Karl F. Struss- Untitled, From the Series, The Female Figure (Standing Nude With Drapery), 1917 1MURAY, NICHOLAS ( livre)
Karl F. Struss Untitled, From the Series, The Female Figure , 1917 published in Karl Struss. From 48 photographs of the femaleMURAY, NICHOLAS cf Desha Delteil Performing by Nickolas Muray for Vanity Fair,1921 getty.org
Karl Struss -Nudes Kicking, From the Series, The Female Figure ,1917published in 48 photographs of the female
Karl F. Struss Untitled, From the Series, The Female Figure , 1917 published in Karl Struss. From 48 photographs of the female
Karl F. Struss Untitled, From the Series, The Female Figure , 1917 published in Karl Struss. From 48 photographs of the female
Karl F. Struss Untitled, From the Series, The Female Figure , 1917 published in Karl Struss. From 48 photographs of the female
Karl F. Struss Untitled, From the Series, The Female Figure , 1917 published in Karl Struss. From 48 photographs of the female
Karl F. Struss Untitled, From the Series, The Female Figure , 1917 published in Karl Struss. From 48 photographs of the female
Karl F. Struss Untitled, From the Series, The Female Figure , 1917 published in Karl Struss. From 48 photographs of the female
Karl F. Struss Untitled, From the Series, The Female Figure , 1917 published in Karl Struss. From 48 photographs of the female
Karl F. Struss – Semi nude with a fan, 1915 From the Series, The Female Figure , 1917 published in Karl Struss. From 48 photographs of the female
Karl F. Struss – Nude with a fan, From the Series, The Female Figure , 1917 published in Karl Struss. From 48 photographs of the female
Karl F. Struss Untitled, From the Series, The Female Figure , 1917 published in Karl Struss. From 48 photographs of the female
Karl Struss -Nude Kicking, From the Series, The Female Figure ,1917published in 48 photographs of the female figure
Karl Struss -Nude Kicking, From the Series, The Female Figure ,1917published in 48 photographs of the female figure
Karl Struss -Nude Kicking, From the Series, The Female Figure ,1917published in 48 photographs of the female figure
Karl F. Struss – Female Figure, First Series #9, – 1915. From the Series, The Female Figure , 1917 published in Karl Struss. From 48 photographs of the female ( format impression individuelle)
Karl Struss -Nude study c.1917 First Series 9 Plate n 6 From the Series, The Female Figure , 1917 published in Karl Struss. From 48 photographs of the female
Karl F. Struss – Female Figure, First Series #9, Plate #12 – Photograph (Vintage toned silver gelatin print) – 1915.
Karl F. Struss – Female Figure, First Series #9, 1915. From the Series, The Female Figure , 1917 published in Karl Struss. From 48 photographs of the female
Karl Struss- Reclining Nude ,1917 From the Series, The Female Figure , 1917 published in Karl Struss. From 48 photographs of the female
Vous pouvez retrouvez une partie des planches dans un portfolio vendu avec 24 des planches ( ce qui arrivent souvent, des planches manquent…) mais néanmoins, c’est toujours précieux , c’est quand même 1917 Ici bukowskis.com ( rubrique auctions) qui avait était venu aux enchères à Stockholm, en Novembre 2011
» John De Mirjian The Broadway glamour photographer’s short but brilliant heyday lasted six years, from 1922 until his death in a speeding roadster containing a mysterious woman in 1928. An extravagant personality given to gambling and womanizing, De Mirjian brooked no criticism of his taste or resistance to his desire, throwing temper tantrums during photo shoots if sitters failed to follow his directions.
In February 1927, Olga, his wife of a little over one year, sued for divorce, citing repeated physical abuse and being forced to labor at her husband’s studio round the clock. In her court testimony she revealed that the photographer cleared 25K$ annually, making his one of the most lucrative studios in the city. One reason for his financial success was his arrangement with Earl Carroll, impresario of ‘The Vanities,’ to photograph publicity for his revue, a show that pushed the envelope in the theatrical display of female flesh.
In 1925 De Mirjian became a photographic celebrity when newspapers covered his trial in which actress Louise Brooks sued to stop his distribution of risque photos taken of her in 1923 ( See these photography on the site Here). Brooks in the court claimed that a nude shoot was the publicity price every girl new to Broadway must pay. De Mirjian testified, ‘Have I not photographed a thousand others wearing maybe a shoe, maybe a hat, maybe a shawl. . . and not only the girls of the shows but the women of society as well.’
The bulk of De Mijian’s risque photography appeared on two magazines of the mid-1920s: ART LOVERS and ARTISTS AND MODELS. Modeled on Edwin Bower Hesser’s successful ARTS MONTHLY PICTORIAL begun in 1922, these soft paper monthlies featured shots of semi-nude showgirls in artistic poses.
In 1925 De Mirjian was supplying imagery for both magazines. It is interesting to observe that the Schubert Brothers, who sponsored the annual « Artists and Models » girlie revues on Broadway were rivals of Earl Carroll, De Mirjian’s principle employer. Yet their appreciation of De Mirjian’s mastery of drape shots and nudes overrode their disinclination to patronize an artist in the hire of a rival. Besides showgirls in drapes and society women in stylish dishabille, De Mirjian had a particular talent for ‘two-shots,’ portraits showing the interaction, usually romantic, of two persons. His career ended spectacularly on September 24, 1928, when his Peerless roadster careened off the Jerico turnpike, L. I., going 70 miles an hour. His passenger, a married actress, Mrs. Gloria Christy, survived and told authorities she was his half-sister. She was not.
John’s brother, Arto De Mirjian, who had assisted in the studio, took over the business. He kept it a going concern until 1950, surviving debt proceedings in the early 1930s and a merger with Nasib, the vaudeville and dance photographer shortly thereafter. Arto De Mirjian continued the studio’s documentation of Broadway productions and achievied in portraiture an expertise equal to that of his brother. He remained an active photographer in New York until about 1950 when he sold his archive to the Culver Service, moved to California, and set up a studio in the Hilton Hotel in Los Angeles. »
Text by David S. Shields found on the marvelous dealer on Ebay grapefruitmoongallery
More about John de Mirjan on the site
I beginning with two Photography of Arto de Mirjian
Studio de Mirjian -Photography by Arto de Mirjan (John de Mirjian’s brother)
Studio de Mirjian -Photography by Arto de Mirjan (John de Mirjian’s brother) – Miss Cornelia Rogers as mermaid from Flying High George White musical c. 1930
Studio de Mirjian -Photography by Arto de Mirjan (John de Mirjian’s brother)-Joan Kent,with pearls In Arthur Hammerstch’s musical play, 1930
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John de Mirjian .Veiled Dancer circa 1920 gelatin silver print
« Franz Roh est né à Apolda (Thuringe), Allemagne. Il suit des études aux universités de Leipzig, Berlin, et Basel. En 1920, il obtient une thèse à Munich pour ses travaux sur les peintures néerlandaises du XVIIe siècle.
Dès 1923 et jusqu’à la fin de sa vie, il réalise des collages, à partir, notamment d’images de gravures sur bois, d’illustrations et de reproductions photographiques. Ces œuvres sont finement produites et riches d’ambiguïtés sémantiques. En cela, elles rapprochent Franz Roh de Max Ernst, réalisateur lui-aussi de nombreux collages et avec lequel Franz Roh aura une correspondance soutenue. On y décèle ainsi une combinatoire surréelle, toujours ou presque soumise à l’inhabituel, au surprenant et même au monstrueux, qui peut se cacher dans un univers banal1.
Dans son livre, paru à Leipzig en 1925, Nach Expressionismus: Magischer Realismus: Probleme der neusten europäischen Malerei (Après l’expressionnisme : les problèmes de la nouvelle peinture européenne)2, il propose en sous-titre l’appellation de réalisme magique (déjà apparue sous la plume de Novalis), pour décrire quatre parmi sept nouvelles tendances esthétiques nouvelles, visibles dans la grande exposition de Manheim de 1925. La critique d’art adoptera l’appellation de nouvelle objectivité pour décrire ce « retour au calme » de la peinture, mais la publication d’une traduction espagnole du livre de Roh sous le titre realismo mágico par José Ortega y Gasset, aura pour conséquence inattendue de voir l’appellation reprise par la critique littéraire latino-américaine après 1950 pour décrire une tendance majeure de la littérature du « Boum ».
Pendant le régime nazi, Franz Roh est mis à l’isolement et brièvement emprisonné, temps qu’il mettra à profit pour écrire le livre Das Verkannte Künstler: Geschichte und Theorie des kulturellen Mißverstehens (Le génie méconnu : histoire et théorie de la culture incomprise). Après la guerre, en 1946, il se marie avec l’historienne de l’art Juliane Bartsch.Franz Roh meurt à Munich en 1965. »@ wilkipedia
Madame D’Ora- The dancer Kaja Marquita , 1920- 30 via live auctioneers