James Abbe
The Dancer Rylis Hasoutra covered in metallic make-up.,
1924
James Abbe
The Dancer Rylis Hasoutra covered in metallic make-up.,
1924
La belle Ida Rubinstein des Ballets Russes, est née en Russie en 1885, elle n’était pas seulement une grande figure à l’intérieur de Ballet Russes, mais une icône de la Belle Époque.
Avec peu de formation officielle, elle est passée de figurante dans son premier rôle dans «Salomé», de Diaghilev ( dirigeant les Ballets Russes ) à Vedette grâce à ce dernier, qui lui offrit le premier rôle dans Cléopâtre. en effet, aidée par Mikhail Fokine, elle fait ses débuts en 1908, lors d’ un spectacle privé de Salomé d’Oscar Wilde, dans lequel elle s’est dénudée au cours de la Danse des sept voiles.
Sergei Diaghilev l’engage dans les Ballets Russes et elle a dansé le rôle-titre de Cléopâtre dans la saison de Paris de 1909, et Zobéide en Scherezade en 1910. Scherezade était admiré à l’époque pour sa sensualité racée et somptueuse mise en scène, mais de nos jours il est rarement effectué; au goût du jour, il est considéré comme trop d’une pantomime et son orientalisme alors à la mode semble daté.
Rubinstein fût beaucoup célébrée dans l’art, elle est devenue une véritable Muse, et a été peinte, sculptée, par de nombreux artistes , Valentin Serov, Demetre Chiparus , Antonio de La Gandara notamment,Mais surtout par sa compagne La peintre Romaine Brooks , avec laquelle elle eu une liaison durant trois années
Après avoir quitté les Ballets Russes, Rubinstein forme sa propre compagnie de danse, et chorégraphie plusieurs productions somptueuses. En 1911, elle a joué dans Le Martyre de Saint Sébastien. C’était à la fois un triomphe pour son modernisme stylisé et un scandale, l’archevêque de Paris interdit aux catholiques d’y assister en invoquant le fait Saint-Sébastien était joué par une femme et un Juif.
Après la Première Guerre mondiale, Rubinstein est apparu dans un certain nombre de pièces de théâtre, et dans le Istar de Staat à l’Opéra de Paris en 1924. Entre 1928 et 1929, elle a dirigé sa propre entreprise à Paris avec Nijinska en tant que chorégraphe. Elle a commandé et joué dans Boléro de Maurice Ravel en 1928. Elle a fermé l’entreprise en 1935, et a donné sa dernière performance dans le jeu Jeanne d’Arc au bûcher à Paris, 1939 et elle par ailleurs joué dans des films muets.
Eugène Druet- Ida Rubinstein in the role of Salome, 1908 (French Photographer)© Bridgeman Art Library – Private Collection [ Translated into Russian from the verse drama by Oscar Wilde Music by Alexander Gazunov, Director of the St. Petersburg Conservatory Choreography by Mikhail Fokine Costumes and Production designed by Léon Baskt]
Eugène Druet- Ida Rubinstein in the role of Salome, 1908 (French Photographer)© Bridgeman Art Library – Private Collection [ Translated into Russian from the verse drama by Oscar Wilde Music by Alexander Gazunov, Director of the St. Petersburg Conservatory Choreography by Mikhail Fokine Costumes and Production designed by Léon Baskt]
Ida Rubinstein- CleopatrE, 1909 [Music by Arensky, Glazunov, Glinka, and Mussorgsky Music for Cléopâtre’s disrobing scene: Mlada by Rimsky-Korsakov Choreography by Mikhail Fokine Costumes and Decor by Léon Baskt Produced by Serge Diaghilev, Serge Lifar, Gabrielle Astruc (and others)]
Ida Rubinstein as zobeida in Schéhérazade, 1910, [Written by Alexandre Benois. Music by Rimsky-Korsakov. Choreography by Mikhail Fokine. Costumes and set design by Léon Bakst. Produced by Serge Diaghilev.]
Ida Bubinstein, by Romaine Brooks
James abbé -Kathleen Rose (connu sur scène comme Dolores Ziegfeld fille) dans la conception de costumes de herpeacock par Pascaud de Paris, qu’elle portait dans Minuit Frolic de 1919.
James abbé -Kathleen Rose (connu sur scène comme Dolores (Ziegfeld fille) dans son célèbre costume design de paon par Pascaud de Paris, le costume qu’elle portait dans Minuit Frolic de 1919.
James abbé -Kathleen Rose (connu sur scène comme Dolores (Ziegfeld fille) dans son célèbre costume design de paon par Pascaud de Paris, le costume qu’elle portait dans Minuit Frolic de 1919.
» Gertrud Valesca Somes, dite Valeska Gert, née le 11 janvier 1892 à Berlin et morte entre le 15 et 18 mars 1978 à Kampen sur l’île de Sylt, est une danseuse, humoriste et actrice allemande. Artiste autodidacte née dans une famille bourgeoise de Juifs berlinois, elle a commencé à danser à 9 ans. Elle s’est, par la suite, produite en solo dans des personnages très éloignés de la bourgeoisie, pour mieux la caricaturer. Elle peint des personnages marginaux : « Parce que je n’aimais pas les bourgeois, je dansais des personnages qu’ils méprisaient, prostituées, entremetteuses, marginaux, dépravés. » Dans l’une de ses prestations remarquables, elle exprime par son corps un cri sans son. Réfractaire à toutes les écoles, elle s’inscrit toutefois dans le courant expressionniste. Sa danse, contrairement à Wigman, se révèle virulente et provocatrice. Elle croque au vitriol les travers des classes moyennes et illustre le rythme frénétique de la vie moderne.
Elle a également fait une partie de sa carrière au cinéma qu’elle a débuté en 1915 avec Maria Mossi. Elle fait ses débuts de danseuse en 1916 dans un cinéma de la UFA (Universum Film AG), l’une des sociétés de production cinématographiques les plus importantes de l’Allemagne de la première moitié du XIXe siècle. Sur cette lancée, elle est engagée dans plusieurs théâtres. Entrée en contact avec les dadaïstes berlinois, elle s’oriente vers le cabaret : un genre qui mêle la chanson, la danse, le théâtre, le cirque, la poésie d’avant garde, le cinéma et la satire politique, et qui connait à cette époque un vif succès. En effet, pendant l’entre-deux-guerres, de nombreux cabarets vont apparaître dans toute l’Europe, en Allemagne et surtout à Berlin. Contrairement au cabaret français ou américain, qui se sont centrés sur les loisirs réservés à une certaine catégorie de la population (haute bourgeoisie), le cabaret berlinois sert aussi à exprimer des opinions politiques, et des convictions personnelles. Dans ce cadre, Valeska Gert va, au travers de sa gestualité, montrer son aversion face à la bourgeoisie et une nouvelle façon de danser. On la considère parfois comme l’une des pionnières de la danse contemporaine.
« Quand je faisais du théâtre, je regrettais la danse, et quand je dansais le théâtre me manquait. Le conflit a duré jusqu’à ce que l’idée me vienne de réunir les deux : je voulais danser des personnages. »
Elle va se produire dans un cabaret du nom de « Schall und Rauch », et va ouvrir son propre cabaret « le Kohlkopp » (tête de chou). Son art est basé sur l’alliance du burlesque et du grotesque dans le but de provoquer. Ses solos les plus célèbres sont « la mort », « la boxe », « le cirque », « la nourrice », « la canaille », thèmes ou personnages issus de la vie quotidienne de Valeska Gert.
en 1932, Valeska Gert ouvre un cabaret à Berlin : « le Kohlkopp « . Ses activités sont interrompues par l’arrivée des nazis au pouvoir. En 1938, elle part pour New York et connait là bas des débuts difficiles et sera obligée de subvenir à ses moyens en vivant de petits boulots (vaisselle dans les restaurants, etc…). Elle travaillera ensuite dans le cabaret Beggar’s bar à New York. « La guerre touchait à sa fin. Berlin fut bombardé de fond en comble, ma ville, la ville où je suis née. J’en souffrais jusqu’à la moelle. J’étais atteinte dans chaque nerf. Bientôt la paix allait venir. Je n’étais plus qu’à moitié en Amérique. Je n’avais jamais eu l’intention d’y rester. Dès que le nazis seraient loin, j’y retournerais. J’aime l’Europe, ce contient à l’habitat si dense, où l’on est si proche de l’autre qu’un courant électrique passe, on l’appelle « atmosphère. »
Elle retournera en 1947 en Europe et sera récompensée par un ruban d’Or. Après sa mort, en 1978, elle sera inhumée dans le cimetière de Ruhleben à Berlin. » Source wilkipedia
une autre bio ici très bien faite
Elli Marcus- Valeska Gert 1930
Jaro von Tucholka – Valeska Gert, Portrait au chapeau, 1926
Suse Byk – Valeska Gert Term study on the piano, Opus 1, composition on ausgeleierten piano ‘- published in Tempo 12.10.1929
Suse Byk – Valeska Gert Dance pose as clown 1928
Suse Byk – Valeska Gert Dance pose as clown 1928
Kurt Huebschmann- Valeska Gert Portrait, as teller of fairy tales at the broadcast, 1930
Lotte Jacobi – Valeska Gert 1930-39
Umbo (Otto Umbehr), Valeska Gert, 1930s Gelatin silver print glossy print in 1975
Valeska Gert 1926
Valeska Gert Dance study- 1927
Valeska Gert as salomé
Valeska Gert by hans casparius early 1930
Valeska Gert
Valeska Gert as Boxer Lotte Jacobi 1927
Tänzerin Valeska Gert, Debut 1919, Photographer unknown
Photo Atlantic- Valeska Gert , in Tod
Uncredited – Valeska Gert parodying a coloratura singer. Photo, c. 1925
Un Lien .lacinemathequedeladanse
James Abbe Folies Bergère « tableau vivant spectacle desZiegfeld Follies ( costumes designed by James Ben Ali Haggi)
James Edward Abbe -Hazantra , in “The Perfect Fool » with Ed Wynn, 1920s
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