Max Dupain (1911-1992)

Max Dupain (1911-1992) Publié par kate le 02/06/2013

Max Dupain – Title page (candle) , from the album Photographs by Max Dupain 1930s circa 1930

« Max Dupain découvre la photographie à l’âge de 13 ans et gagne à 17 ans le « Carter Memorial Prize for Productive Use of Spare Time « [pour l’usage productif du temps libre].

Il rejoint en 1929 la Photographic Society of New South Wales et commence en 1930 sa carrière photographique comme apprenti dans l’atelier de Cecil Bostock à Sydney. En 1934 Dupain se met à son compte en ouvrant son propre studio, sur la Bond Street à Sydney.

Son approche est d’abord pictorialiste, mais très influencé par le mouvement allemand de la « Nouvelle objectivité », il délaisse les sujets romantiques et s’oriente vers le monde contemporain, ses hommes et leurs réalisations. Il devient ainsi l’un des pionniers de la photographie moderne en Australie. Son sujet de prédilections à cette époque est industrie et tout ce qui s’y rapporte et qu’il traite dans un style radicalement différent : des lumières plus brutales et des formes bien découpées. Ses photographies sont publiées dans des revues telles que The home ou Art in Australia.

Il est influencé , comme tant d’autres, par certains photographes européens tel que  Man Ray et par le mouvement surréaliste qui se développe à cette époque.

Max Dupain – Title page (hand and compass photo-montage) , nd
Max Dupain-Superman 1934
Max Dupain-Birth of Venus 1939
Max Dupain-Rayograph with water c. 1936
Max Dupain-Rayograph 1937
Max Dupain-Advertisement for Hardy’s hose 1937
Max Dupain – Intimité brisée1936
Max Dupain – Abstract movement 1935
Max Dupain -Untitled (Female nude with cloth overlay) 1930s
Max Dupain – Untitled (Women silhouettes and trees) 1930s
Max Dupain – Photo synthesis (woman & trees) 1930s
Max Dupain – Untitled (Surrealist face in woods) 1930s
Max Dupain – Untitled (Woman profile and trees) 1930s
Max Dupain-Woman 1937
Max Dupain-Hands and movement c. 1935
Max Dupain-Lelia Roussova 1937
Max Dupain-Surrealist study 1938
Max Dupain-Hot rhythm, 1936

En 1937, alors qu’il est sur la côte des Nouvelles Galles du Sud::: (galerie de photographies avec le lien) , il prend une photo de la tête et des épaules de son ami Harold Savage allongé sur le sable de la plage de Cullburra Beach. Cette photographie intitulée Sunbaker deviendra une de ses plus célèbres de ses clichés.

Max Dupain -Sunbaker, 1937

En 1938, Dupain participe à la création du Contemporary Camera Group, une association qui s’oppose au mouvement pictorialiste alors largement dominant en Australie. En 1939, il épouse Olive Cotton, une autre photographe, mais ils divorcent peu de temps après.

Max Dupain-Portrait of Olive Cotton in the 1930s
Max Dupain (Australian, 1911 – 1992) Untitled [Olive Cotton in Wheat Fields] Nd (probably late 1930s)
Olive Cotton Camping trips on Culburra Beach, N.S.W., 1937 BY Max Dupain 1937
Olive Cotton – Max, 1935
Max Dupain -Camping trips on Culburra Beach (olive cotton), N.S.W., 1937
Olive Cotton – Max, 1936

Pendant la seconde guerre mondiale, Dupain s’ engage dans la Royal Australian Air Force, il sert dans les Territoires du Nord ainsi qu’en Papouasie-Nouvelle-Guinée, où il participe à la réalisation de camouflages. Très affecté par la guerre, il essaie par la suite de trouver une vision de la vérité dans un travail plus documentaire et en 1945, il travaille pour le compte de l’État australien sur un projet de promotion de son pays.


il reprend à partir de 1947 ses activités de studio mais abandonne ce qu’il appelle cosmetic lie of fashion photography or advertising illustration, autrement dit « le mensonge cosmétique de la photographie de mode et de l’illustration publicitaire ».
La photographie moderne, dit-il, doit faire plus que distraire, Elle doit inciter à réfléchir et ce, en montrant clairement les aspects de la Réalité, visant une meilleure compréhension des Hommes et des Femmes, de ce qu’ils vivent et créent».

En 1947, Dupain épouse Diana Illingworth dont il a une fille, Danina, et un fils, Rex, qui devint lui aussi photographe.Le travail documentaire de cette période est bien représenté par la photographie The meat queue, qui date de 1946. Le style naturaliste est bien expliqué par Dupain : « enregistrer un instant de la vie quotidienne vaut mieux que tenter un commentaire sociologique ».

Dupain travaille ensuite pour l’Université des Nouvelles Galles du Sud et fait de nombreux voyages dans l’Australie du Nord, à l’intérieur des terres et sur la côte. Dès 1947 mais surtout dans les années 1950, l’arrivée de la société de consommation lui donne l’occasion de réaliser de nombreuses photographies publicitaires et de travailler pour des magazines, des agences de publicité et des société industrielles. Cependant, il se tournera définitivement vers l’architecture, domaine auquel il se consacre à temps plein pendant près de 30 ans, produisant à partir des années 1960 des images de plus en plus abstraites.Cette activité de photographe d’architecture dure jusqu’à sa mort, survenue en 1992

En 1954, il devient membre du groupe des VI et il sera un peu plus tard affilié au Royal Australian Institute of Architects.

Je vais maintenant poster des photographies qui datent des années 1930’s au années 1980’s, par thématiques. je ne couvrirais pas la photographie d’architecture ni les phorographies sur les peuples indgènes. ce n’est pas l’objet de mon blog. mais vous pouvez les retrouver très aisement.

Les nus

Max Dupain – Nu dans l’ombre, 1941
Max Dupain – No. 1 nude composition 1934
Max Dupain-(Female torso with water) 1936
Max Dupain-Reclining nude 1935
Max Dupain-Sun dazzle 1935
Max Dupain-(Nude on ribbed sand) 1938
Max Dupain-The bride 1936
Max Dupain – Nude 1938
Max Dupain – Untitled (Jean with wire mesh) 1936
Max Dupain – Untitled (Nude behind screen) , from Portfolio No.4 The female form 1934
Max Dupain – Nude in grass , from Portfolio No.4 The female form 1939,
Max Dupain – Untitled (Nude – back) , from Portfolio No.4 The female form 1930s, ,
Max Dupain – Untitled (Nude – head & shoulders diagonal) , from Portfolio No.4 The female form 1930s,
Max Dupain – Untitled (Nude behind screen) , from Portfolio No.4 The female form 1940s
Max Dupain – Untitled (Nude torso in sunlight) , from Portfolio No.4 The female form 1941,
Max Dupain – Untitled (Reclining silhouette) , from Portfolio No.4 The female form 1940s
Max Dupain – Untitled (Nude behind screen) , from Portfolio No.4 The female form 1930s
Max Dupain – Untitled (Nude in mirror) , from Portfolio No.4 The female form 1930s,

La danse

Max Dupain – No. 1 nude composition 1934
Max Dupain-Portrait of Nina Raievska between 1936-1937
Max Dupain-Portrait of Emmy Towsey (Taussig) and Evelyn Ippen1939
Max Dupain-Portrait of Evelyn Ippen, Bettina Vernon, Emmy Towsey and Shona Dunlop from the Bodenwieser Ballet1939
Max Dupain-Bodenwieser Group ,1941
Max Dupain- ortrait of Irina Baronova in Choreartium,1938-39
Max Dupain- David Lichine in L’apres-midi d’un faune, 1940
Max Dupain-Portrait of Hélène Kirsova, as the Widow in L’Amour sorcier for the Monte Carlo Russian Ballet, 1936-1937
Max Dupain -Helene Kirsova as the Widow in L’amour Sorcier, 1936-1937
Max Dupain -Helene Kirsova as Little Anna in Revolution of the Umbrellas. 1936-1937
Max Dupain -Helene Kirsova as Little Anna in Revolution of the Umbrellas. 1936-1937

Max Dupain- Portrait of Serge Lifar in The firebird, Original Ballet Russe Australian tour1940
Max Dupain-Portrait of Sono Osato in Scheherazade, 1938
Max Dupain-Portrait of Tamara Toumanova and Paul Petroff in Frenchs Forest, 1940
Max Dupain-Portrait of Ludmilla Lvova out of doors, Frenchs Forest, 1940
Max Dupain – Untitled , from Portfolio No.4 The female form 1940s,, ,
Max Dupain – Dancer dancing 1940s
Max Dupain – Untitled (Nude with light traces) , from Portfolio No.4 The female form 1938
,

Max Dupain – Untitled (Dancer) 1937

Les portraits

Max Dupain-Miss Noleen Woodward 1940
Max Dupain-Jean 1940
Max Dupain – Untitled (Vesta Davies, face profile) 1938

Max Dupain-(Hat advertisement) 1937
Max Dupain-Greta 1940
Max Dupain-Two girls [Portrait of Olive Cotton and Jean Laurraine] 1939
Artist : Max Dupain (Australia, b.1911, d.1992) Title : Date : 1951-1952 Medium Description: grey cloth bound album, 50 gelatin silver photographs Dimensions : Credit Line : Gift of Diana Dupain 2003 Image Credit Line : Accession Number : 98.2003.a-xx
Max Dupain – Fashion shoot III, Cronulla 1937
Max Dupain – Fashion shoot II, Cronulla 1937
Max Dupain – Fashion shoot I, Cronulla 1937

Les fleurs

Max Dupain – Untitled 1938-194
Max Dupain-Catalya orchid 1991
Max Dupain – Monstera deliciosa 1970
Max Dupain – Magnolia at night 1983 –
Max Dupain – Monstera Gigantous 1984
Max Dupain – Salvadorium Dalii 1982
Max Dupain – Untitled (open Lily) 1984
Max Dupain – Protea 1982
Max Dupain – Nasturtium leaves 1981
Max Dupain – Hawaiian Lilies at night 1983
Max Dupain – Camelias 1982-1984
Max Dupain – Untitled (self portrait) , 1930s

Sources ici et ici et ici

Zoltán Glass

Zoltán Glass est né à Budapest en 1903, issu de l’union un couple juif. Sa situation familiale n’est pas très claire, mais Zoltán avait au moins un frère aîné, Stefan, qui est également devenu un photographe, basé à London. Zoltán a commencé sa carrière en tant que dessinateur et retoucheur pour un journal local, mais en 1925, il s’installe à Berlin. Au début, il gagnait sa vie en tant que freelance, et  » touche-à-tout » . Il finit par trouver un emploi régulier comme éditeur d’image d’un journal du soir de Berlin, le « 5-8 Uhr Abendblatt », puis, à partir de 1931, en tant que photojournaliste du quotidien le plus important, le « Berliner Tagblatt ». (Fait intéressant, deux autres journalistes hongrois-juif de Budapest qui ont appris leur métier sur Berlin journaux à l’époque étaient l’écrivain Arthur Koestler et le dessinateur Victor Weisz, mieux connu plus tard comme Vicky du Daily Mirror et l’Evening Standard de Londres.) En tant que membre du réseau des émigrés hongrois talentueux actifs dans la vie créative de la capitale allemande, Glass prospéra et fut bientôt capable de développer une entreprise prospère en tant que photographe free-lance et journaliste. En temps voulu, il a établi « Reclaphot », une agence photographique spécialisée dans les travaux de la publicité, et Autophot, une société dédiée exclusivement à la photographie automobile.

Dejà un passionné de sport automobile et coureur amateur lui même , Glass couvre la plupart des grandes courses disputées en Allemagne entre 1931 et 1936 , au Nürburgring et sur le circuit Avus, près de Berlin. Ses photos enregistrant le succès de l’équipe Mercedes-Benz a reçu les éloges du public immédiat et généralisé et a aidé à établir l’iconographie du travail de l’automobile de l ‘achievement.Glass technologique allemand a également inclus documentaire et des photographies de reportage prises aux salons automobiles et des usines, ainsi que des coups de publicité commandées par des clients tels comme Daimler-Benz, Auto Union et Shell.

Zoltán Glass-Deux femmes, considérée side-on, dans une voiture la nuit, 1932.

Zoltán Glass-Deux femmes, considérée side-on, dans une voiture la nuit, 1932.

Zoltán verre Femme avec un pied sur le marchepied d'une voiture Buick, pour une série de publicité 1932.

Zoltán verre Femme avec un pied sur le marchepied d’une voiture Buick, pour une série de publicité 1932.

Zoltán Glass-Deux femmes et leurs chiens dans une voiture 1933.

Zoltán Glass-Deux femmes et leurs chiens dans une voiture 1933.

Zoltan verre, Voiture, Berlin 1931

Zoltan verre, Voiture, Berlin 1931

Zoltán Verre Femme avec un tuyau met liquide dans la voiture, c.1930

Zoltán Verre Femme avec un tuyau met liquide dans la voiture, c.1930

Zoltán Glass-femme dans le siège du conducteur d'une voiture, se retournant pour regarder le photographe 1923.

Zoltán Glass-femme dans le siège du conducteur d’une voiture, se retournant pour regarder le photographe 1923.

En conséquence, il a développé de solides amitiés personnelles avec un certain nombre de personnalités de premier plan dans le monde de la publicité Berlin, y compris Peter de Peterson de la J Walter Thompson agence, ce qui lui premis de s’échapper de l’ Allemagne lorsque la persécution nazie des juifs est devenue intolérable. Depuis le début de 1936, Glass était en effet exclu par les médias et a été démis de ses missions régulières pour le « Berliner Tagblatt ». Il a décidé avec l’aide de de Peterson, de se baser à Londres tout en continuant à exécuter ses photo-agences à Berlin du mieux qu’il pouvait, car en Novembre 1938 les nazis ont introduit des lois empêchant les Juifs de posséder ou d’exécuter tout forme d’entreprise, ainsi ses collaborations avec Mercedes, Auto Union et d’autres clients ont été résiliés. Il a été forcé de fuir Berlin pour de bon, emportant avec lui toute sa collection de negatifs.

Arthur Sringarn, propriétaire de Publicité Sackville à Sackville Street, lui a alors donné du travail et lui a permis de travailler pour des journaux comme le Daily Mirror, il a également reçu des commandes de magazines populaires tels que « Life » et « Picture Post »,
Après la guerre il a pris la nationalité britannique, mais les années d’après-guerre ont été une période difficile pour tous les photographes commerciaux et il a été forcé prendre des photos publicitaire pour le cinéma et le monde du théâtre. Il a fallu attendre le début des années cinquante afin qu’il se remette ses pieds professionnellement, après avoir fait équipe avec Arpad Elfer, un autre hongrois qui a travaillé dans la publicité à Berlin .

Il prend un nouveau tournant commence à photographier des modèles légèrement vêtues toujours avec la même technique, d’angle particulier, de cadrages spécifiques et de jeux de lumière. Dans le milieu des années cinquante, après avoir établi Zoltan Glass Studios à Chelsea, et plus tard à Paradise Walk, il consolide sa réputation à Londres. Par ailleurs il permet aux jeunes aspirants photographes d’utiliser les installations de ses studios, gratuitement, de lui verser un pourcentage de leurs revenus ( bonne idée commerciale !!) .De nombreux photographes célèbres ont commencé leur carrière de cette façon .

A partir de 1953, parallèlement, à son travail qui a pignon sur rue, il produits des études de nus érotiques. C’est au cours de cette période, il a photographié le modèle Pamela Green par exemple.

Après avoir assez gagné d’argent ( selon lui) , il vend son studio de Chelsea et s’installe à Roquebrune, dans le Var sur la Côte d’Azur en France, avec sa conjointe ‘une ancienne danseuse de cabaret) . Il y est décédé à l’âge de 78 ans.
Bien sur aujourd’hui ce n’est pas la première partie de sa vie de photographe ( l’automobile voir ici si vous aimez Collection Getty etPhoto sur le sport automobile) mais bien celle qui débute dans les années 50 que je vous présente . Ses études de nus et ses Pin-up, qui sont un régal pour les yeux…. Superbe cadrage, dramaturgie, éclairage somptueux, un travail sublime en un mot. Mon choix est celui du noir et blanc , mais il a produit enormément de  photographies couleurs

*********************

« Zoltan verre est né à Budapest le 26 Avril 1903, à Reszon et Olga verre, un couple juif dont les circonstances de la famille ne sont pas claires. Zoltan eu au moins un frère aîné, Stefan, qui est également devenu un photographe, basé à Londres.
Zoltan a commencé sa carrière en tant que dessinateur et retoucheur pour un journal local, mais en 1925, il a déménagé à Berlin. Au début, il a gagné sa vie en tant que freelance touche-à-tout. Finalement, il a trouvé un emploi régulier que l’éditeur d’image d’un journal du soir de Berlin , le 5-8 Uhr Abendblatt, puis, à partir de 1931, en ​​tant que photojournaliste du quotidien le plus important, le Berliner Tagblatt. (Fait intéressant, deux autres journalistes hongrois-juif de Budapest qui ont appris leur métier sur les revues Berlin à cette époque était le écrivain Arthur Koestler et le caricaturiste Victor Weisz, mieux connu plus tard comme Vicky du Daily Mirror et l’Evening Standard de Londres.)

En tant que membre du réseau d’émigrés hongrois talentueux actifs dans la vie créative de la capitale allemande, verre prospéra et fut bientôt en mesure de développer une entreprise prospère comme un photographe professionnel et journaliste indépendant. En temps voulu, il a établi Reclaphot, une agence photographique spécialisée dans les travaux de la publicité, et Autophot, une entreprise dédiée à l’automobile la photographie.

Déjà un passionné de sport automobile vif et coureur amateur, verre recouvert la plupart des grandes courses organisées en Allemagne entre 1931 et 1936, au Nürburgring et le circuit Avus, près de Berlin. Ses photos d’enregistrement le succès de l’équipe Mercedes-Benz ont reçu les éloges du public immédiat et généralisé et a aidé à établir l’iconographie de la réussite technologique allemand.

Automobile le travail de verre comprenait également documentaires et reportage photos prises lors des spectacles et des usines automobiles, ainsi que des coups de publicité commandées par des clients tels que Daimler-Benz, Auto Union et Shell. En conséquence, il a développé de solides amitiés personnelles avec un certain nombre de figures de proue dans le monde de la publicité Berlin, y compris Peter de Peterson de l’agence J Walter Thompson.

Travailler au centre d’un réseau d’agences américaines appartenant thatlinked les grandes villes d’Europe et d’Amérique du Nord et les frontières politiques normales transcendé, de Peterson était en mesure d’aider son ami échapper Allemagne, quand la persécution nazie des Juifs est devenue intolérable. Depuis le début de 1936, le verre se retrouva exclus de l’emploi par les médias et a été démis de ses missions régulières pour le Berliner Tagblatt. Il a décidé que, avec l’aide de de Peterson, il se baser à Londres tout en continuant à exécuter ses photo-agences à Berlin du mieux qu’il le pouvait.

Après la Nuit de Cristal en Novembre 1938, cependant, les nazis introduit des lois empêchant les Juifs de posséder ou de courir toute forme d’entreprise, et les relations de verre avec Mercedes, Auto Union et d’autres clients ont résilié. Il a été forcé de fuir Berlin tout à fait, emportant avec lui toute sa collection de négatifs.

Heureusement, de Peterson était en mesure d’organiser un permis d’immigration qui lui permet de régler à Londres, où il a été donné le travail par un autre réfugié juif, Arthur Sringarn, propriétaire de Sackville de la publicité dans la rue Sackville, W1.

En plus de son travail pour des journaux tels que le Daily Mirror, il a également reçu des commandes de magazines populaires tels que la vie et Picture Post, qui a publié 39 de ses histoires entre 1940 and1941 seuls; son rédacteur en chef était Stefan Lorant, un autre émigré hongrois, qui a fait une énorme contribution au développement de l’édition de magazines.

Après la guerre de verre a pris la nationalité britannique, mais les années d’après-guerre ont été une période difficile pour tous les photographes commerciaux et il a été forcé de gagner leur vie en prenant des alambics de publicité pour des clients dans le film et univers théâtraux. Il a fallu attendre le début des années cinquante qu’il est revenu sur ses pieds professionnellement, après avoir fait équipe avec Arpad Elfer, un autre hongrois, qui a travaillé dans la publicité à Berlin avant la guerre.

En tant que directeur créatif de Colman, Prentis & Varley, l’un des plus prestigieux et innovant des agences de publicité Londres, Elfer avait une chaîne de contrats blue-chip.

La plupart de ce matériel comptaient beaucoup pour son impact sur les idées photographiques originales et inventives de verre. Comme dans sa précédente automobile photographie, sa technique a impliqué l’utilisation d’angles de caméra obliques, éclairage dramatique et plus rodage multi-expositions. L’emploi discret et de bon goût de modèles légèrement vêtues ajouté une nouvelle dimension.

Vers le milieu des années cinquante, après avoir établi Zoltan Glass Studios à 183, Kings Road, Chelsea, et plus tard à Paradise Walk, SW3, « Zolly » (comme il a été généralement connu) avait consolidé sa réputation comme l’un des plus grand succès de la mode et de la publicité photographes à Londres. Très bien un entrepreneur, il avait également développé un nouvel arrangement par lequel les jeunes aspirants photographes, pourraient utiliser les installations de ses studios, gratuitement, de lui verser un pourcentage de leurs revenus sous forme de loyer: de nombreux photographes célèbres ont commencé leur carrière de cette manière .

Odhams Press était un autre client CPV. Il a publié Lilliput, le magazine d’un gentilhomme de poche qui a comporté un assortiment de titillant articles et humour risqué, avec des essais photographiques aventureux de ces talents respectés comme Bill Brandt et Brassaï.

En collaboration avec Elfer, verre produit de nombreux reportages photographiques pour Lilliput entre 1948 et 1956, présentant tous la lumière et le style de reportage humoristique qu’il avait fait sienne.

En vue de l’intérêt plus tôt de verre dans la voiture la photographie, il semble étrange qu’il n’a jamais été impliqué dans le sport automobile britannique. La seule photo d’après-guerre dans l’exposition qui dépeint une voiture montre un modèle féminin nu posant avec un 1961 Mercedes 300 SL Gullwing Coupé, une étude du type habituellement publié dans les calendriers moteur de l’industrie.

En raison de ses activités pour Lilliput, il a commencé à se concentrer sur ce qui était alors connu par euphémisme que la photographie naturiste. De 1953, il construit un clandestin, parallèlement, les entreprises produisant arty, études de nus érotiques. Ce fut durant cette période, il a photographié le modèle Pamela vert.

En 1964, il avait fait assez pour vendre son studio Chelsea à un consortium de photographes britanniques et se déplacer à l’étranger pour une villa à Roquebrune sur la Côte d’Azur avec sa concubine Pat, une ancienne danseuse de cabaret. Il a offert sa collection de photographies de pin-up à Harrison Marks, qui étrangement refusé. Il est décédé en France le 24 Février 1981, à l’âge de 78 ans, laissant ni descendants, ni une volonté. « De l’article de Telegraph par John Reynolds © 2001

Zoltán Verre Modèle Pamela Vert 1950

Zoltán Verre Modèle Pamela Vert 1950

Zoltán Verre Femme étude de nu ,, 1953 (Pamela Vert)

Zoltán Verre Femme étude de nu ,, 1953 (Pamela Vert)

Zoltan Glass - Pamela Vert 1953

Zoltan Glass – Pamela Vert 1953

Zoltan Verre étude de nu avec égyptiennes Costumel, 1950

Zoltan Verre étude de nu avec égyptiennes Costumel, 1950

Zoltán Verre Pamela vert, (une collaboration entre le verre et l'artiste James Hull, qui a peint l'image de la toile directement sur et à travers le modèle elle-même.,

Zoltán Verre Pamela vert, (une collaboration entre le verre et l’artiste James Hull, qui a peint l’image de la toile directement sur et à travers le modèle elle-même.,

OLTAN Verre Pamela vert, (une collaboration entre le verre et l'artiste James Hull, qui a peint l'image de la toile directement sur et à travers le modèle elle-même

Zoltán Verre Pamela vert, (une collaboration entre le verre et l’artiste James Hull, qui a peint l’image de la toile directement sur et à travers le modèle elle-même

Zoltán Verre de Femme nue dans snown, 1950

Zoltán Verre de Femme nue dans snown, 1950

Zoltán Verre de Femme nue dans snown, 1950

Zoltán Verre de Femme nue dans snown, 1950

Zoltán Verre Nu couché, 1950

Zoltán Verre Nu couché, 1950

Zoltán Verre Nu dans l'herbe, 1950

Zoltán Verre Nu dans l’herbe, 1950

Zoltán Glass-Nu 1950

Zoltán Glass-Nu 1950

Zoltán verre - Reclining Nude 1950

Zoltán verre – Reclining Nude, 1950

Zoltán Verre femme nue dans les escaliers, 1950.

Zoltán Verre femme nue dans les escaliers, 1950.

Zoltán verre - Reclining Nude 1950

Zoltán verre – Reclining Nude, 1950

Zoltán Verre Femme étude de nu,, 1950.

Zoltán Verre Femme étude de nu,, 1950.

Zoltán Verre Femme nue étude ,, 1950.

Zoltán Verre Femme nue étude ,, 1950.

Zoltán-glaces danse Nu 1950

Zoltán-glaces danse Nu 1950

Zoltán Verre Femme nue étude, Bougies occulte, 1950.

Zoltán Verre Femme nue étude, Bougies occulte, 1950.

Zoltán Verre Femme nue étude, jeu de dés., 1950.

Zoltán Verre Femme nue étude, jeu de dés., 1950.

Zoltán Verre Femme étude nue, avec Conception abstraite, 1950

Zoltán Verre Femme étude nue, avec Conception abstraite, 1950

Zoltán Verre Femme étude nue, avec Conception abstraite, 1950

Zoltán Verre Femme étude nue, avec Conception abstraite, 1950

Zoltán Verre Femme nue étude, 1950

Zoltán Verre Femme nue étude, 1950

Zoltán Verre mannequin, 1950

Zoltán Verre mannequin, 1950

Zoltán Verre Mode Mannequin, 1950.

Zoltán Verre Mode Mannequin, 1950.

Zoltán Verre Nu cheveux longs, 1950

Zoltán Verre Nu cheveux longs, 1950

Zoltán Verre Femme étude nue., 1950.

Zoltán Verre Femme étude nue., 1950.

Zoltan Verre nue avec Bird, 1950

Zoltan Verre nue avec Bird, 1950

Zoltán Verre étude nue, 1950

Zoltán Verre étude nue, 1950

Zoltán Verre Nu et son sahdow, 1950.

Zoltán Verre Nu et son sahdow, 1950.

Zoltán-glaces rayures Nu, 1950

Zoltán-glaces rayures Nu, 1950

Zoltán Verre étude nue, 1950

Zoltán Verre étude nue, 1950

Zoltán Verre Femme étude nue., 1955-1960

Zoltán Verre Femme étude nue., 1955-1960

Zoltán Verre étude graphique nue, 1955-1960

Zoltán Verre étude graphique nue, 1955-1960

Zoltán Verre étude Nu, la femme avec des formes géométriques, 1955-1960

Zoltán Verre étude Nu, la femme avec des formes géométriques, 1955-1960

Zoltán Verre étude graphique nue, 1955-1960

Zoltán Verre étude graphique nue, 1955-1960

Zoltán Verre étude Nu, la femme avec des formes géométriques, 1955-1960

Zoltán Verre étude Nu, la femme avec des formes géométriques, 1955-1960

Zoltán Verre étude Nu, la femme avec des formes géométriques, 1955-1960

Zoltán Verre étude Nu, la femme avec des formes géométriques, 1955-1960

Zoltán Verre Femme étude nue., 1955-1960

Zoltán Verre Femme étude nue., 1955-1960

Zoltán Verre Femme étude de nu, 1955-60

Zoltán Verre Femme étude de nu, 1955-1960

Zoltán Verre étude Nu, la femme avec des formes géométriques, 1955-1960

Zoltán Verre étude Nu, la femme avec des formes géométriques, 1955-1960

Zoltan Verre étude de nu, le modèle, 1950

Zoltan Verre étude de nu, le modèle, 1950

Zoltan Verre étude de nu avec la sculpture, 1950

Zoltan Verre étude de nu avec la sculpture, 1950

Zoltán Verre étude Nu, la femme avec des formes géométriques, 1955-1960

Zoltán Verre étude Nu, la femme avec des formes géométriques, 1955-1960

Zoltán verre Femme étude nue avec Candel, 1955-1960

Zoltán verre Femme étude nue avec Candel, 1955-1960

Agenouillée Zoltán Glass-Nu, de sutdy Nu, à partir des études Modèle annuel, Issue # 15 1955

Agenouillée Zoltán Glass-Nu, de sutdy Nu, à partir des études Modèle annuel, Issue # 15 1955

Agenouillée Zoltán Glass-Nu 1955

Agenouillée Zoltán Glass-Nu 1955

Étude Zoltán Glass-nue avec la sculpture, 1955-1960

Étude Zoltán Glass-nue avec la sculpture, 1955-1960

Étude Zoltán Glass-nue avec la sculpture, 1955-1960

Étude Zoltán Glass-nue avec la sculpture, 1955-1960

Zoltán Verre Nude Study De nouvelles façons de photographie de nu en 1955

Zoltán Verre Nude Study De nouvelles façons de photographie de nu en 1955

Danseur 1958 de Zoltán Verre burlesque Untitled (from amateur d’art et Camera Volume 9 No 1)

Zoltán Verre portrait de ballerine Violetta Elvin, 1958, publié dans Zoltan verre, Comment photographier Beauté, Whitestone 28, 1959

Zoltán Verre portrait de ballerine Violetta Elvin, 1958, publié dans Zoltan verre, Comment photographier Beauté, Whitestone 28, 1959

Zoltán Verre de «Comment photographier Beauté, Whitestone 28, 1959

Zoltán Verre de «Comment photographier Beauté, Whitestone 28, 1959

Zoltán Verre de «Comment photographier Beauté, Whitestone 28, 1959

Zoltán Verre de «Comment photographier Beauté, Whitestone 28, 1959

Zoltán Verre de «Comment photographier Beauté, Whitestone 28, 1959

Zoltán Verre de «Comment photographier Beauté, Whitestone 28, 1959

Mirror Ball Zoltán verre Afficher Reflection'1959

Mirror Ball Zoltán verre Afficher Reflection’1959

Mirror Ball Zoltán verre Afficher Reflection'1959

Mirror Ball Zoltán verre Afficher Reflection’1959

Zoltán Glass-botanique Flower Garden, 1960

Zoltán Glass-botanique Flower Garden, 1960

Étude Zoltán Glass-Dance, 1960

Étude Zoltán Glass-Dance, 1960

Zoltán Glass-Nu femme étude- et filet de pêche, 1960

Zoltán Glass-Nu femme étude- et filet de pêche, 1960

Zoltán Verre Femme nue de la douche de l'étude., 1960.

Zoltán Verre Femme nue de la douche de l’étude., 1960.

Zoltán Verre Femme nue de la douche de l'étude., 1960.

Zoltán Verre Femme nue de la douche de l’étude., 1960.

Zoltán Verre Femme nue, 1960.  1

Zoltán Verre Femme nue, 1960. 1

Zoltán Verre Femme nue, 1965

Zoltán Verre Femme nue, 1965

Zoltán Verre étude Nu, la femme coupée en deux, 1965.

Zoltán Verre étude Nu, la femme coupée en deux, 1965.

Zoltán Verre nue de Akt 65, 1965, ed ° Fravex

Zoltán Verre nue de Akt 65, 1965, ed ° Fravex

Zoltán Verre nue de Akt 65, 1965, ed ° Fravex

Zoltán Verre nue de Akt 65, 1965, ed ° Fravex

Zoltán Verre Femme au chapeau 1960

Zoltán Verre Femme au chapeau 1960

Zoltán Verre (1902-1981) de prendre une photo debout dans la mer (Autoportrait), c.  1964

Zoltán Verre (1902-1981) de prendre une photo debout dans la mer (Autoportrait), c. 1964

Zoltán Verre (1902-1981) de prendre une photo debout dans la mer (Autoportrait), c.  1964

Zoltán Verre (1902-1981) de prendre une photo debout dans la mer (Autoportrait), c. 1964

 Source de livres

La Photographie de Zoltan Glass par korero Livres, 2008

La Photographie de Zoltan Glass par korero Livres, 2008

Art et photographie décembre 1956

Art et photographie décembre 1956

Figure trimestriel Elvgren Zoltan verre Pinup Photographie Photo Magazine 1956

Figure trimestriel Elvgren Zoltan verre Pinup Photographie Photo Magazine 1956

Zoltan verre, «Comment photographier Beauté, Whitestone 28, 1959

Zoltan verre, «Comment photographier Beauté, Whitestone 28, 1959

Zoltán Verre couvre Magazine Capriccio 1 1959

Zoltán Verre couvre Magazine Capriccio 1 1959

Mario von Bucovich

Mario von Bucovich (16 February 1884 – 30 November 1947) was also known as Marius von Bucovich. He was born at Pula in the Istrian region of the Austro-Hungarian Empire and held the title of Baron. His father, August, Freiherr von Bucovich, was a former Corvette Captain in the Austro-Hungarian navy and later an entrepreneur in the railroad concession sector. His mother was Greek.

Despite the wide circulation of his photographs (to the present day) and popularity of his publications (from the 1920s to the 40s), there has been limited interest in Mario von Bucovich in the history of photography, which may reflect a somewhat ungenerous assessment. Although much of his work was conventional, he was a creative and talented photographer. He also took the initiative to produce books of his photographs dedicated to New York and various European cities. In a privately published volume of 1935, intended simultaneously to de-mystify and elevate photography, Bucovich expressed his views on photography and his own practice of the craft. But he reveals almost nothing of a personal nature. Both authors of this article, before learning of each other’s work—coming from German Studies and Jewish Studies, respectively—were struck by the disparity between the quantity and quality of the material legacy of Mario von Bucovich, and the lack of a substantial biography.

He worked primarily in Germany in the 1920s and 30s, as well as traveled to France and England. In his published work he was most noted for his urban studies with a focus on streetscapes, but his studio work undertaken at the Atelier Karl Schenker was often of entertainment personalities of Weimar period stage and screen. Amongst his most notable books were Berlin, Das Gesicht Der Stadt (Berlin, Portrait of a City) and Paris (with a forward by Paul Morand). The Paris book included photos by Germaine Krull. The Berlin book published originally by Albertus Verlag, a publishing house he founded in 1928, had a forward written by the author Alfred Döblin.

He had a base in Berlin during his most productive years between the wars, being linked to the Atelier Schenker. During the late 1920s his photos appeared across the gamut of German photo journalism including the titles: Der Querschnitt, Uhu, Die Dame, Die neue Linie, Das Magazin, Skizzen, Welt-Magazin, Kölnische Illustrierte Zeitung, Revue des Monats, Das Kriminalmagazin, Das Leben, Das Kunstblatt, Farbe und Form, Das deutsche Lichtbild, Deutscher Kamera Almanach, Die Reklame, Der Photo-Freund.

He moved to New York during the 1930s where he worked for a publishing house on 41st Street. In his American period he published two photographic essays, Washington D.C. City Beautiful and Manhattan Magic. A Collection of Eighty-Five Photographs. He moved to Mexico and was working there through at least the early part of that decade, until his death on 30 November 1947 in a traffic accident in Mexico City.

His work was shown at major photography salons of the day, including the Fourth International Exhibition of Pictorial Photography at the California Palace of the Legion of Honor, the Third International Exhibition of Pictorial Photography Seattle Camera Club, and the 15th and 16th Annual Pittsburgh Salon of Photographic Art at the Carnegie Institute.

His work is in the collections of the New Orleans Museum of Art, the National Museum of Mexican Art and the National Gallery of Canada.

He photographed Marlene Dietrich and Leni Riefenstahl (in her days as a dancer, preceding her career as a film director). His views of Girona in Spain taken in 1933 were published in the National Geographic magazine. The Berliner Morgenpost in 2009 described him as « one of the great unknown photographers of 20th Century European photography ».

Mario von Bucovich’s wife, Marie, was also a photographer. source wilkipedia

 

Mario von Bucovich (Atelier Karl Schenker) -Ruth Walker, Danseur, USA - Portrait - vers 1928

Mario von Bucovich (Atelier Karl Schenker) -Ruth Walker, Danseur, USA – Portrait – vers 1928

Mario von Bucovich (Atelier Karl Schenker) -Ruth Walker, Danseur, USA - Portrait - vers 1928

Mario von Bucovich (Atelier Karl Schenker) -Ruth Walker, Danseur, USA – Portrait – vers 1928

Mario von Bucovich (Atelier Karl Schenker) -Ruth Walker, Danseur, USA - Portrait - vers 1928

Mario von Bucovich (Atelier Karl Schenker) -Ruth Walker, Danseur, USA – Portrait – vers 1928

Mario von Bucovich (Atelier Karl Schenker) -Ruth Walker, Danseur, USA - Portrait - vers 1928

Mario von Bucovich (Atelier Karl Schenker) -Ruth Walker, Danseur, USA – Portrait – vers 1928

Mario von Bucovich (Atelier Karl Schenker) -Ruth Walker, Danseur, USA - Portrait - vers 1928

Mario von Bucovich (Atelier Karl Schenker) -Ruth Walker, Danseur, USA – Portrait – vers 1928

Mario von Bucovich (Atelier Karl Schenker) -Ruth Walker, Danseur, USA - Portrait - vers 1928

Mario von Bucovich (Atelier Karl Schenker) -Ruth Walker, Danseur, USA – Portrait – vers 1928

Mario von Bucovich (Atelier Karl Schenker) -Ruth Walker, Danseur, USA - Portrait - vers 1928

Mario von Bucovich (Atelier Karl Schenker) -Ruth Walker, Danseur, USA – Portrait – vers 1928

Mario von Bucovich -Naakt rencontré masker en werd Berlin 1927 de la bookVoluptuous Panic Le monde érotique de Weimar Berlin, Feral House, 2000. photo courte

Mario von Bucovich -Naakt rencontré masker en werd Berlin 1927 de la bookVoluptuous Panic Le monde érotique de Weimar Berlin, Feral House, 2000. photo courte

Mario Von Bucovich-'Naakt avec un masque "et était Berlin 1927

Mario Von Bucovich-‘Naakt avec un masque « et était Berlin 1927

Mario von Bucovich

Mario von Bucovich

Mario von Bucovich

Mario Buchovich- Reclining nude 1935

Mario Buchovich- Reclining nude 1935 Vintage toned matte gelatin silver print

Mario von Bucovich- Female nude in shoes holding a fur stole. 1927. Vintage toned matte gelatin silver print

Mario de Bucovich- Nude 1927

Mario de Bucovich- Nude 1927

Mario de Bucovich -Repose, Study ,Photoengraving,1935

Mario von Bucovich- Nude, 1920

Mario von Bucovich- Nude, 1920

Mario von Bucovich (Atelier Karl Schenker) - (1884-1934) - Untitled (Nude), 1920

Mario von Bucovich (Atelier Karl Schenker) – (1884-1934) – Untitled (Nude), 1920

Mario Buchovich- Nude with Murano Vase ,1935

Mario Buchovich- Nude with Murano Vase ,1935

Mario v. Bucovich - Portrait de femme et sculpture, Épreuve argentique, 1928. Ader Nordmann

Mario v. Bucovich – Portrait de femme et sculpture, Épreuve argentique, 1928. Ader Nordmann

Mario de Bucovich - Leni Riefenstahl, Age 25, 1927

Mario de Bucovich – Leni Riefenstahl, Age 25, 1927

Mario von Bucovich- Hilde Zimmermann, la reine de la mode allemande published in Revue Des Monats, Avril 1927

Mario von Bucovich- Hilde Zimmermann, la reine de la mode allemande published in Revue Des Monats, Avril 1927

Mario von Bucovich-Incognito publiée dans la revue Des Monats, Janvier, 1928

Mario von Bucovich-Incognito publiée dans la revue Des Monats, Janvier, 1928

MARIO BUCOVICH – Study of Two Heads, Barcelona , 1935, Photoengraving

MARIO BUCOVICH – Peggy, Barcelona , 1935, Photoengraving

Mario Buchovich- Mrs Mary Booker, London, 1935

Mario Buchovich- Kneeling,Photoengraving,1932

Mario Buchovich- Miss Merle Oberon ,Photoengraving,1935

Mario Buchovich- Nude with Murano Vase ,Photoengraving,1935

Mario Buchovich- Mrs. Mary Booker, London ,Photoengraving,1935

Alexander Danilovich Grinberg (1885-1979)- L’Art du Mouvement,(The art of movement) 1928

Alexandre Grinberg – L’Art du Mouvement,(The art of movement) 1928

Alexandre Grinberg – L’Art du Mouvement,(The art of movement) 1928

Alex(s)ander Danilovich Grinberg  est un des photographes russes les plus respectés du vingtième siècle. Il a connu la révolution russe, la guerre civile, deux guerres mondiales et la répression stalinienne durant ses 94 années de vie.

Il a étudié à l’Université de Moscou, au Département de physique et de mathématiques, et au Stroganov Art College. En 1907 Gringberg est devenu membre de la Société photographique de Russie (RFO) à Moscou, en 1912 et l’un de ses administrateurs. En 1909 il reçoit sa première médaille d’or à l’exposition internationale de Dresde.   En 1914 il  commence à travailler avec le studio de cinéma « khanzhankov  » à Moscou, en devenant responsable de la publicité des films, mais il est également assistant réalisateur et ses films les plus connus sont  « les Descendants arabes » et « Deux amies (modèle et fille) ».

De 1922 à 1930 Grinberg enseigne la composition photographique au cinéma au « State College « (plus tard renommé en Russie State University Cinématographie). Dans la même période, il a enseigné à la société photographique professionnelle de Moscou  et a également travaillé comme caméraman à la First State Film Studio. Il travaille aussi beaucoup avec Vsevolod Meyerhold ( directeur d’une troupe de théatre) et d’autre troupe de théatre, et est proche d’un certain nombre d’acteurs ainsi de que de grand nom de la photographie.

En 1929, lors de la  révolution culturelle, la « vieille école” de la photographie soviétique ( dont il fait partie)  est désignée comme une photographie réalisée par  « dépravé » et il perd sa notoriété et n’est plus le photographe à qui l’on accorde des faveurs. En effet, la nouvelle politique culturelle a dicté que n’importe quel érotisme sous quelque  forme artistique que ce soit était un « restant d’oisiveté bourgeoise » et inconvenant pour la société soviétique.

Pourtant Grinberg , continue et en 1935 il  expose des photographies  de femmes partiellement habillées , ce qui lui vaut son arrestation et une condamnation par le Comité spécial de NKVD (Commissariat populaire de l’Intérieur) au bagne ( autrement dit Goulag)pour  diffusion de pornographie.Au bout de quatre année d’enfer,  il est finalement libéré pour la bonne conduite ,en 1939.

[Vous verrez que la plupart de ses clichés de nus sont réalisés entre les années 1900 et 1930 , aujourd’hui l’histoire écrite, on comprend pourquoi il n’a pu continué librement à exercer son art. Tous les travaux de cette époque n’ont pas été détruits que cela arrivait généralement et ce grâce à son frère aîné qui a réussi à cacher les négatifs durant de nombreuses années. C’est donc pourquoi, la majorité des photos que vous verrez , ont été retirées après la seconde guerre mondiale, et n’ont plus ce grain si particulier du pictoralisme. Rares sont les photographies qui sont tirées dans des teintes particulières. ]

A sa sortie du goulag, il a repris rapidement son travail de photographe et il collabore avec de nombreuses d’institutions, des musées et enseigne la photographie. Après la guerre il a travaillé avec les modèles et les couturiers tout au long des années 1950.

Sa vie entière a été consacrée à la photographie, qu’il n’a jamais abandonnée, même dans les plus difficiles de circonstances. Encore une fois, cet homme est la preuve, que de tout temps les artistes sont persécutés et emprisonnés , nous en avons déjà parlé et bons nombres d’artistes présentés sur le blog ont été dans le même cas.

Biographie  plus complète sur le site Russian Photographs [ English],  ( ce texte a été ecrit par © Evgeny Berezner and Irina Tchmyrevapour l’exposition   » Russian Pictorialism » en  2002, et pas par la personne qui vend les photographies ( mais çà aussi , ce n’est pas cité )

La majorité des photographies se trouvent  sur le site Russian Photographs, mais les dates sont approximatives , ainsi que les noms des personnes photographiées manquantes , vous y trouverez également d’autres travaux, en plus petits formats bien entendu,  comme la publicité, les portraits des têtes couronnées de l’époque, des paysages, sa série l’art du Mouvement   dans l’esprit de la nouvelle culture russe : « Un corps parfait pour une civilisation parfaite ».

Alexander Danilovich Grinberg – Study of mouvement , 1926-28

Alexandre Grinberg – L_Art du Mouvement,(The art of movement) 1928

Alexandre Grinberg – L_Art du Mouvement,(The art of movement) 1928

Alexandre Grinberg – L_Art du Mouvement,(The art of movement) 1928

Alexandre Grinberg – L_Art du Mouvement,(The art of movement) 1928

Alexandre Grinberg – L_Art du Mouvement,(The art of movement) 1928

Alexandre Grinberg – L_Art du Mouvement,(The art of movement) 1928

Alexandre Grinberg – L_Art du Mouvement,(The art of movement) 1928

Alexandre Grinberg – L_Art du Mouvement,(The art of movement) 1928

Alexandre Grinberg – L_Art du Mouvement,(The art of movement) 1928

Alexandre Grinberg – L_Art du Mouvement,(The art of movement) 1928

Alexandre Grinberg – L_Art du Mouvement,(The art of movement) 1928

Alexander Danilovich Grinberg – Study of mouvement , 1926-28 (4)

Alexander Danilovich Grinberg – Study of mouvement , 1926-28

Alexander Danilovich Grinberg – Study of mouvement , 1926-28

Alexander Grinberg- Nude Study ( mouvement) 1926

More article about Alexander Danilovich Grinberg

Studio Manassé

 

Studio Manassé - Nude with spider’s web , 1930

Studio Manassé – Nude with spider’s web , 1930

 

Studio Manassé -Fräulein Reporterin, 1930’s

Studio Manassé -Fräulein Reporterin, 1930’s

 

Atelier Manassé, The dancer Bea Egervári, Vienna c. 1928

Atelier Manassé, The dancer Bea Egervári, Vienna c. 1928

Studio Manassé -« Dans le Bain », 1933

Studio Manassé -« Dans le Bain », 1933

Atelier Manassé, Les Belles Filles, Vienna c. 1928

Atelier Manassé, Les Belles Filles, Vienna c. 1928

Atelier Manassé-portrait-Tala Birell , 1927

Atelier Manassé- Femme fumant, 1928

Atelier Manassé- Femme fumant, 1928

Atelier Manassé- Porte bonheur 1932

Atelier Manassé- Porte bonheur 1932

Studio Manassé- Untitled ,c.1932

Studio Manasse La Jana . 1930

Studio Manasse La Jana . 1930

Studio Manassé – Dagmar Helsing, Tanzerin, 1930

Studio Manassé – Dagmar Helsing, Tanzerin, 1930

Studio Manassé –Femme à la grappe c. 1928

Studio Manassé –Femme à la grappe c. 1928

Atelier Manassé- Rêve Doré,1926

Atelier Manassé- Rêve Doré,1926

Atelier Manassé- Studie / Study, Vienna c. 1935

 

Atelier Manassé- Darmora , 1927

Atelier Manassé- Darmora , 1927

Studio Manassé – Dagmar Helsing, Tanzerin, 1930

Studio Manassé – Dagmar Helsing, Tanzerin, 1930

Atelier Manassé– Masked naked, 1931

Atelier Manassé– Masked naked, 1931

Studio Manassé –la valise, c.1930s

Studio Manassé –la valise, c.1930s

Atelier Manassé-Portrait de Grelt Berndt, 1930s

Atelier Manassé-Portrait de Grelt Berndt, 1930s

 

 

Studio Manassé- Ellentétes érzelmek, 1950

Studio Manassé- Ellentétes érzelmek, 1950

Atelier Manassé- Studie / Study, Vienna c. 1935

Atelier Manassé- Studie / Study, Vienna c. 1935

 

Studio Manassé -Portrait de femme, 1930. [Tirage argentique d’époque.]source verdeau

Studio Manassé -Portrait de femme, 1930. [Tirage argentique d’époque.]source verdeau

Atelier Manassé-Gry Doresku, 1928

Atelier Manassé-Griserie 1926.

Atelier Manassé-portrait-Femme aux chandeliers, 1930

Studio Manassé- Photomontage with nude and flowers. Circa 1935

Studio Manassé- Photomontage with nude and flowers. Circa 1935

Atelier Manassé- Collectionneur de papillons, 1950

Atelier Manassé-l’ homme à la loupe, 1927

Manassé la cruauté (nosferatu)gelatin silver print, circa 1930

Manassé la cruauté (nosferatu)gelatin silver print, circa 1930

 

Roger Parry (1905-1977) part I

Né en 1905, Roger Parry se forme à l’Ecole nationale des Arts décoratifs avant de découvrir la photographie. Il devient l’assistant de Maurice Tabard en 1928, au studio de photographie publicitaire Deberny-Peignot. A l’aide d’images aussi dépouillées qu’efficaces, il introduit dans cet art appliqué qu’est la photographie publicitaire les audaces formelles des avant-gardes (photogrammes, photomontages, solarisations…).

Très vite, il prépare avec Fabien Loris l’illustration photographique d’un recueil de poèmes de Léon-Paul Fargue, Banalité. Sa publication en 1931 va le faire apprécier des milieux intellectuels ; il participe alors aux expositions collectives qui réunissent de nombreux talents de l’époque comme Kertész ou Man Ray.

A partir de 1931, Parry est chargé de la promotion de romans publiés à la NRF (Nouvelle Revue Française) qui lui commande plus de 200 couvertures pour des collections populaires.

Il est aussi photographe de plateau sur L’Atalante de Jean Vigo, illustrateur et portraitiste pour Gallimard ou collaborateur de Voilà et Détective.

En 1932, il s’embarque pour un long voyage vers les îles de la Polynésie française, où il réalise un reportage « tendant simplement à présenter un tableau aussi fidèle que possible de la vie actuelle à Tahiti et aux Iles sous le Vent» (Préface de « Tahiti »).
Ces photographies sont publiées dans Tahiti en 1934, ouvrage élaboré avec la complicité de Malraux.

En 1938, utilisant le prétexte de la publication de Zuyderzee (roman de Jeff Last aux éditions Gallimard), il effectue un reportage dans les polders hollandais. Dans une recherche constante de l’envers du décor, il y affine l’orientation documentaire de sa pratique personnelle.

Réformé en 1939, il intègre pendant la guerre la rédaction de Match et de Marie-Claire, avant de publier régulièrement dans La Semaine, principal hebdomadaire de divertissement sous l’Occupation. Il photographie alors les galas, les expositions ou les pièces de théâtre d’un Paris occupé dont la vie culturelle continue malgré tout.

En août 1944, il rejoint le Comité de Libération des reporters photographes de presse après avoir photographié le soulèvement populaire de Paris.

En tant que correspondant de guerre, il suit ensuite les Alliés jusqu’au printemps 1945, de l’Alsace à la poche de Royan.

Après la guerre, il couvre pour l’AFP la visite officielle du Général de Gaulle à New York en 1945 et la Conférence de Moscou en 1947. A la fin des années 1940 il délaisse progressivement le reportage de presse.

A partir de 1948, aux côtés d’André Malraux, il collabore aux collections de la « Galerie de La Pléiade » et surtout de « l’Univers des formes » dont il est le directeur technique pour les premiers volumes, révélant ainsi la vaste palette de ses talents d’illustrateur, de graphiste, de maquettiste et de photographe.

Il décède en 1977, quelques mois après André Malraux.

 Voir tous les articles sur Roger Parry

Roger Parry -Etude pour la couverture de Les Trois jeunes filles de Vienne (fumeuse d'opium), 1934

Roger Parry -Etude pour la couverture de Les Trois jeunes filles de Vienne (fumeuse d’opium), 1934

Roger Parry - Sans Titre, 1933-1934

Roger Parry – Sans Titre, 1933-1934

Roger Parry-Nu couché , 1933-34

Roger Parry -Nu (bras allongés°, 1930

Roger Parry -Nu (bras allongés°, 1930

Roger Parry-Nu, années 1930

Roger Parry-Nu, années 1930

Roger Parry- Une femme aux seins nus brandit un sabre à cheval sur une peau de bête, 1933-34( Etudes ; Illustrations de romans populaires, Collection Détective de Gallimard

Roger Parry- Une femme aux seins nus brandit un sabre à cheval sur une peau de bête, 1933-34( Etudes ; Illustrations de romans populaires, Collection Détective de Gallimard

Roger Parry-Bas et porte-jarretelles, 1935

Roger Parry-Bas et porte-jarretelles, 1935

Roger Parry-Femme les jambes croisées portant des bas, 1935

Roger Parry-Femme les jambes croisées portant des bas, 1935

Roger Parry Femme s'habillant devant un miroir, Reportage. Publicité pour grande maison de blanc - Mode vers 1930

Roger Parry Femme s’habillant devant un miroir, Reportage. Publicité pour grande maison de blanc – Mode vers 1930

Roger Parry- Ludmilla Tcherina pour un spectacle de danse à Nice-Monte-Carlo , novembre 1943

Roger Parry- Ludmilla Tcherina pour un spectacle de danse à Nice-Monte-Carlo , novembre 1943

Roger Parry -Portrait de Femme Double Image, 1928

Roger Parry -Portrait de Femme Double Image, 1928

Roger Parry -Nu, 1928

Roger Parry -Nu, 1928

Roger Parry - Sans Titre, 1928 - 1930

Roger Parry – Sans Titre, 1928 – 1930

Roger Parry. Double Exposure, Robert Couturier, 1931© Ministère de la Culture - Médiathèque du Patrimoine

Roger Parry. Double Exposure, Robert Couturier, 1931© Ministère de la Culture – Médiathèque du Patrimoine

Roger Parry.- femme dans un lit, double exposition 1933.© Ministère de la Culture - Médiathèque du Patrimoine.&

Roger Parry.- femme dans un lit, double exposition 1933.© Ministère de la Culture – Médiathèque du Patrimoine.&

Roger Parry- La Malle,vers 1929

Roger Parry- La Malle,vers 1929

Roger Parry- Untitled, 1930s

Roger Parry- Untitled, 1930s

Roger Parry -Pièce vide et œil (double exposition), 1929

Roger Parry -Pièce vide et œil (double exposition), 1929

Roger Parry-Banalité 3, 1930

Roger Parry-Banalité 3, 1930

Roger Parry- Mains avec boule de cristal, Variation, 1930 © Ministère de la Culture - Médiathèque du Patrimoine edité pour for André Maurois’ Le peseur d’âmes en1932

Roger Parry- Mains avec boule de cristal, Variation, 1930 © Ministère de la Culture – Médiathèque du Patrimoine edité pour for André Maurois’ Le peseur d’âmes en1932

Roger Parry- Nature morte, 1929

Roger Parry- Nature morte, 1929

Roger Parry- Etude, 1930

Roger Parry- Etude, 1930

Roger Parry Main sur crépis avec traînée, 1928

Roger Parry Main sur crépis avec traînée, 1928

Roger Parry-Un serpent s'enroule autour des doigts et du poignet d'un homme 1933

Roger Parry-Un serpent s’enroule autour des doigts et du poignet d’un homme 1933

Roger Parry -Illustration pour la couverture d'un roman de Sidney Fairway , Un serpent et une main crispée,1933

Roger Parry -Illustration pour la couverture d’un roman de Sidney Fairway , Un serpent et une main crispée,1933

Roger Parry- Un serpent dans des draps et deux mains crispées, 1933

Roger Parry- Un serpent dans des draps et deux mains crispées, 1933

Roger Parry-Illustration de la couverture d'un roman de Maurice Marrou ; Une femme renversée et une valise1933

Roger Parry-Illustration de la couverture d’un roman de Maurice Marrou ; Une femme renversée et une valise, 1933

Roger Parry- Une femme étendue sur le dos, les yeux ouverts, la tête contre une valise et une revue de tauromachie dans une main1933

Roger Parry- Une femme étendue sur le dos, les yeux ouverts, la tête contre une valise et une revue de tauromachie dans une main, 1933

Roger Parry Une femme inconsciente est soutenue par une rambarde 1934

Roger Parry Une femme inconsciente est soutenue par une rambarde 1934

Roger Parry- Femme soufflant dans un gros coquillage,nd1

Roger Parry- Femme soufflant dans un gros coquillage,nd1

Roger Parry- Femme soufflant dans un gros coquillage,nd

Roger Parry- Femme soufflant dans un gros coquillage,nd

Roger Parry-autoportrait, , 1942

Roger Parry-autoportrait, , 1942

Sofia Fedorova

 

Sofia Fedorova ballerine au Théâtre Bolchoï de Moscou sous le nom de Fedorova 2, année 1910

Sofia Fedorova ballerine au Théâtre Bolchoï de Moscou sous le nom de Fedorova 2, année 1910 -15.

Sofia Fedorova ballerine au Théâtre Bolchoï de Moscou sous le nom de Fedorova 2, année 1910

Sofia Fedorova ballerine au Théâtre Bolchoï de Moscou sous le nom de Fedorova 2, année 1910

Sofia Fedorova ballerine au Théâtre Bolchoï de Moscou sous le nom de Fedorova 2, année 1910 -15.

Sofia Fedorova ballerine au Théâtre Bolchoï de Moscou sous le nom de Fedorova 2, année 1910 -15.

Sofia Fedorova ballerine au Théâtre Bolchoï de Moscou sous le nom de Fedorova 2, année 1910 -15

Emmy Sauerbeck   (1894-1974), dancer, choreographer, dance teacher

Emmy Sauerbeck le professeur, qui a beaucoup inspiré ses élèves – et bien sûr la danse – était une  danseuse allemande Née en Allemagne,  qui a grandi en Angleterre. Ellea dirigé la « School for Movement » à Berne de 1922 à 1974. Né à Londres en 1894, Emmy Sauerbeck a grandi avec deux frères et sœurs. Une représentation de la danseuse Maud Allan, à laquelle elle a assisté avec sa mère, l’avait déjà inspirée dans son enfance. Mais d’abord elle a pris des cours de violon en 1914 à Zurich et la musique sera pour elle un élément fondamental autour duquel elle créera ses chorégraphies . Après seulement un an, elle commence sa formation en danse parallèle au conservatoire de Zurich avec Rudolf von Laban et suit des cours avec Suzanne Perrottet et Katja Wulff.

La formation de Rudolf von Laban a marqué son travail pédagogique: « Rudolf von Laban est le grand innovateur de la danse de notre temps, il a découvert, formulé et rendu fécond pour la danse des lois de l’harmonie et de la mélodie, de sorte que la danse soit au même niveau de développement que la musique en tant qu’art indépendant qui peuvent se confondre les uns avec les autres sans en devenir pour autant dépendant.

Ursula Aeberhard, assistante de longue date d’Emmy Sauerbeck et directrice actuelle de « School for Movement » à Berne, décrit le style de Sauerbeck comme suit: « En plus des balançoires, du suspense – de la détente, de l’impulsion, Emmy Sauerbeck a développé son propre style de danse, qui est extrêmement subtil et différencié. Ses danses étaient souvent basées sur la dynamique et les agogiques de la musique,  » L’intérêt intense de Emmy  Sauerbeck pour la musique la caractérisait, créant ainsi des danses au son de la musique moderne, des danses uniquement à la batterie, des danses absolues sans accompagnement. Elle  choisissait  sa musique très soigneusement, et se consacrait entièrement à son service. Nous étions toujours encouragés à accorder un respect inconditionnel à la musique électronique. Emmy Sauerbeck a donné à nos étudiants quelque chose que nous ne pouvions trouver nulle part ailleurs, elle-même le savait très bien. Cela nous a fourni une base sur laquelle nous pourrions, à notre guise ou pourrons, être en mesure de découvrir ou de construire quelque chose de nouveau.  »

source photos et texte deutsches-tanzarchiv.de

Emmy Sauerbeck in Siamesischer Tanz, 1929

Emmy Sauerbeck in Siamesischer Tanz, 1929

 

 

Emmy Sauerbeck in Petrushka Sample photo in costumes in the studio, circa January 1925. Photo by Franz Henn in an unidentified dance in 1929.

Emmy Sauerbeck in an unidentified dance in 1929.

Sasha

Alexander ‘Sasha’ Stewart, born 1892 in Edinburgh, moved to London and launched his professional photography career in 1914. In 1920, Sasha opened his first London studio in Bloomsbury. A technical virtuoso and popular amongst the upper class, the photographer’s theatrical and society portraits were frequently seen in sophisticated journals such as The Tatler, The Sketch and Illustrated London News.

As brilliant as he was charming, Sasha was known for his inventions and studio innovations, none more so than the Sashalite. Produced by General Electric with key input from the photographer, the Sashalite debuted in 1930 and was the first commercial flashbulb available in the UK. Sasha used the powerful light generated by the bulbs to capture his trendsetting and signature dramatic shadows and frozen motion.

Esme Fitzgibbon British actress in costume as Madeline for a stage production of ‘The Ratby sasha.1924

The English ballerina Dame Margot Fonteyn (Margaret Hookham) (1919 – 1991) holding a mask by sasha. 1920-30

Marika Rokk looking into a crystal ball.1930 by sasha

Marika Rokk looking into a crystal ball.1930 by sasha

A Norman Hartnell evening gown. by sasha. 1920-30

The Australian beauty Dorothy Blanchard, who has just left London to join the Ziegfeld Follies, reclining on a sumptuous bed. by sasha. 1925

The English actress Hermione Baddeley (1906 – 1986).. by sasha. 19220-30

Alice Joyce (1890 – 1955) in London to play the lead in a film, ‘The Passionate Adventure’. by sasha.1925

A woman wearing a fashionable hat decorated with leaf motifs by Peron. by sasha. 1925

A woman wearing a cloche hat decorated with flowers by sasha.1925-30

A unknown model wearing a Paquin feathered headdress. by sasha.1920-25

A woman wearing a fashionable woven hat decorated with jewellery by Peron. by sasha. 1925

A woman wearing a jewelled headdress designed by Paquin by sasha.1924

advertissement for A Schiaparelli hat by sasha. 1930s

An actress appearing in the play ‘Libel’ at the Playhouse theatre. . by sasha.1934

Portrait if the Dancer Kyra Alanova. . by sasha.1929

Show ring rider Mrs Sam Marsh wearing a top hat and a veil over her face. . by sasha.1920

The English actress Vivien Leigh (1913 – 1967). Original Publication in People Disc by sasha.Nd

Frances Day (1907 – 1984) in ‘Floodlight’.by sasha.1925

American authoress Anita Loos, who wrote ‘Gentleman Prefer Blondes’.. by sasha. nd

British actress Dorothy Seacombe by sasha. 1926

Lady Castlerosse modelling the medieval-style costume and wimple she will wear to the Galaxy Ball Pageant, held at London’s Park Lane Hotel. by sasha.1929

The American dancer, Ardath de Sales in costume for ‘Mercenary’, a show at London’s Hippodrome Theatre. by sasha. 1925

Entertainer Elsa McFarlane stands on the bonnet of a Rolls Royce car, mimicking the Silver Lady figurine, in a production of ‘The Co-Optimists’, at the Vaudeville Theatre in Londonby sasha. 1929

Dancer Muriel Gaunt by sasha. 1939

The Australian dancer Dorothy Blanchard, who has just left London to join the Ziegfeld Follies, sitting by the fireplace by sasha. 1925

The Film actress Marjory Brooks. by sasha.1927

Cecily Byrne as Lydia Webster in the Lyric Theatre’s production of ‘Baby Cyclone’. by sasha.1928

Catherine Lacy as Ricciada in the first production of ‘Night’s Candles’, at the Queen Theatre. by sasha.1933

The Glamorous Australian dancer Dorothy Blanchard smoking a cigarette. by sasha.1925

 

Kyra Nijinsky (1913 – 1998), daughter of the famous Russian dancer and one of the principals of ‘Cochran’s Streamline Revue’ at the Palace Theatre, London.. by sasha.1930s

Chorus girls in Felix Ferry’s Monte Carlo Follies are performing in London at Grosvenor House.. by sasha. 1930s

The Dancer Laura Devine performing a shadow dance during a production of C B Cochran’s show ‘This Year of Grace’ at the London Pavilion. by sasha.1928

A dancer dancing in a British National Opera Company production at His Majesty’s Theatre, London by sasha. 1924

Stanislawa Welska performs an exotic dance which produces a dramatic shadow. by sasha. 19330s

A dancer cowering from a shadowed pair of hands looming over her on stage. by sasha. 1930

The Singer and dancer Bunty Pain, one of Cecil B Cochran’s chorus girls, wearing a diaphanous dress. by sasha. 1929

Tilly Losch (1904 – 1974) dancing in an extravagant costume, in a scene from the show `Wake Up And Dream’. by sasha.1929

The Dancer and actress Tilly Losch (1904 – 1974), one of the principals in ‘Streamline Revue. by sasha.1934

Tilly Losch and Tony Birkmayr in ‘Wake Up And Dream’ at the London Pavilion Theatre. by sasha.1929

Austrian dancer Tilly Losch and Roman Jasinsky dancing in a production of the ballet ‘Errante’ at the Savoy Theatre, London, with choreography by George Balanchine, and costumes by Paul Tchelitchev sasha. 19230s

A couple dancing the Charleston in a scene from the play ‘Just A Kiss’ at the Shaftesbury Theatre, London. by sasha.Nd

dancer and choreographer Serge Lifar and classical Russian ballerina Alice Nikitina performing the Russian ballet La Chatte (‘The Cat) Music H .Saguet, choreography G. Balanchine, designs Gabo and Pevsner. by sasha.1927

Nini Theilade, Indonesian ballet dancer, adopting a ballet pose for a studio portrait by sasha. 1933

Musical comedy actress Jessie Matthews (1907 – 1981) poses in a swimsuit. by sasha.1931

The Russian ballet dancer Alexandra Danilova (1904 – 1997) dancing in a Diaghilev production of ‘Swan Lake’ by sasha.1926

The Actress Binnie Hale dancing in the musical comedy, ‘Mr Cinders’, at the Adelphi Theatre, London by sasha. 1929

Dancing nymphs, in a scene from the play ‘Comus’ at the Open Air Theatre, Regents Park, London by sasha.1934

Members of the Margaret Morris dance troupe dancing out-of-door in accordance with the Margaret Morris Movement (MMM) interpretation of dance.. by sasha.1927

Tap dancers in ‘Voila Les Dames’ at the Prince of Wales Theatre. London hold hearts in front of them as they dance by sasha.1935

British actress Jessie Matthews (1907 – 1981) wearing a headdress decorated with ostrich feathers for her appearance in Charles B Cochran’s musical spectacular ‘Ever Green’ at the Adelphi Theatre, London. by sasha.1930

Binnie Hale surrounded by a huge plume of feathers in the show, `Mr Cinders’’. by sasha.1929

An unusual view of the ‘Albertina Rasch Girls’ who appear in the show, ‘Wild Violets’ at the Drury Lane Theatre, London by sasha.1933

The Albertina Rasch chorus girls who are appearing in ‘Wild Violets.by sasha.1933

The Albertina Rasch Girls who appear in the show ‘Wild Violets’. From top to bottom Inga Anderson, Nosie Dale and Vida McLain..by sasha.1932

The English ballet dancer Leslie Burrows performing a dance entitled ‘Fear’. by sasha.1934

A woman standing on a beach. by sasha.1930

A couple kissing in a scene from the play ‘Just A Kiss’ at the Shaftesbury Theatre, London. by sasha. 1926

American dancers Estelle & Leroy, in action at the Savoy Hotel, London. by sasha. 1934

Composer and actor Ivor Novello (1892 – 1951) with just his face seen peering through a spy hole in a door by sasha. 1928

The English ballerina Dame Margot Fonteyn (Margaret Hookham) (1919 – 1991) holding a mask by sasha. 1920-30

A close-up of the hands of Jessie Matthews (1907 – 1981), dancer and film-star. by sasha.1930

Chorus girls singing on stage, whilst wearing eye masks by sasha.1930

A group in a model boat in a scene from the show ‘Peggy Ann’, at the Dalys Theatre by sasha.1927

English actress and dancer Phyllis Monkman (1892 – 1976) with Welsh composer and actor Ivor Novello (1893 – 1951) in ‘Downhill’ at the Queens Theatre. by sasha.1926

Noel Coward (1899 – 1973) and Gertrude Lawrence (1898 – 1952) in ‘Private Lives’ at the Phoenix theatre by sasha.Nd

Santa Proud Fashions by sasha.1930s

Ruby Stewart, currently appearing in a musical at the Gaiety Theatre, London by sasha.1937

Stage and screen actress Joyce Bland (1906-1963), who is currently playing the lead role in ‘Mary Bloome’ at the Embassy Theatre. by sasha.1931

Stage and screen actress Joyce Bland (1906-1963), who is currently playing the lead role in ‘Mary Bloome’ at the Embassy Theatre. by sasha.1931

Roberto Baccarini Part II

Roberto Baccarini Arimand-Banu gelatin silver print, 1930’s

Roberto Baccarini Elizaveta “Lila” Nikolska gelatin silver print, 1930’s

Roberto Baccarini. Nude , gelatin silver print 1930

Roberto Baccarini Mary Raoul sul set di ‘Fiori d’arancio’ ,gelatin silver print, 1930’s

Roberto Baccarini Rosetta Pedrani , 1930s, gelatin silver print.

Roberto Baccarini -Wanda Osiris ,1930’s gelatin silver print

Roberto Baccarini – Wanda Osiris ,1930’s gelatin silver print

Roberto Baccarini Nana de Herrera ,gelatin silver print, 1930’s

Roberto Baccarini – Wanda Osiris ,1930’s gelatin silver print

Roberto Baccarini Lina Gennari ,1930s gelatin silver print, 1930’s

Roberto Baccarini – Lidia Martora ,1930’s, gelatin silver print.

Roberto Baccarini Jo-Hai Tong Vintage gelatin silver print, 1930’s

Roberto Baccarini Bea Egervary gelatin silver print, 1930’s

Roberto Baccarini Elizaveta “Lila” Nikolska gelatin silver print, 1930’s

Roberto Baccarini Claude Génia Vintage gelatin silver print.

Roberto Baccarini Donna Maria Mirka 1940

Frieda Gertrude Riess

Riess was born in Czarnikau in the Prussian Province of Posen where her Jewish parents were shopkeepers. At the end of the 1890s, the family moved to Berlin where she first studied sculpture under Hugo Lederer (c. 1907) and later photography at the Berlin « Photographischen Lehranstalt », receiving her diploma in the summer of 1915.

In 1918, she opened a business on the prestigious Kurfürstendamm; it became one of the most popular studios in the city. Partly as a result of her marriage to the journalist Rudolf Leonhard in the early 1920s, she extended her clientele to celebrities such as playwright Walter Hasenclever, novelist Gerhart Hauptmann and actors and actresses including Tilla Durieux, Asta Nielsen and Emil Jannings. While on a trip to Italy in 1929, she was invited to photograph Benito Mussolini. In addition, she contributed to the journals and magazines of the day including Die Dame, Berliner Illustrierte Zeitung, Der Weltspiegel, Querschnit and Koralle

Her success in Berlin was however short-lived. In 1932, after falling in love with the elderly French ambassador in Berlin, she moved to Paris with him, disappearing from the public eye. Even the date of her death cannot be clearly established and her place of burial remains unknown  (source wilkipedia)

 

Frieda Riess- Toni Freeden – Dancer, Germany  in a dancing pose – 1927 via getty images

Frieda Riess- The dancer Grit Helgesa Portrait in the role of a Harlekin Vintage,1920 via getty images

Frieda Riess- Ellen Petz Dancer, choreographer, Germany with a partner in the Petz Kainer Ballet ‘Scherzo’; costumes designed by Ludwig Kainer – 1920 via getty images

Frieda Riess- Portrait of Margo Lion, Cabaret Artist, Chansonniere, Actress, Germany, Portrait singing the couplet ‘Die Linie der Mode’ in the Wilde Bühne in Berlin 1924 via getty images

Frieda Riess- Hands Beautiful female hands , 1924 via getty images

Frieda Riess- Portrait of The dancer Grit Hegesa,1919 via getty images

Frieda Riess-Mria Schreker, Opera SingerWife of the composer Franz Schreker ,1922 via getty images

Frieda Riess- Lotte Pritzel Costume designer, doll artist,1925 via getty images

Frieda Riess- Lally Horstmann1920 via getty images

Frieda Riess- Lani Mohr-Solf,1931 via getty images

Frieda Riess- Portrait of the actress Leontine Kühnbergy 1925 via getty images

Frieda Riess- Dare Vare The daughter of the Italian Ambassador in China, wearing a white dress in the summer,1933 via getty images

Frieda Riess-Trude  Hesterberg – Actress, SingerPortrait in the cabaret Wilde Bühne, dressed in a long dress Vintage,1922 via getty images

Frieda Gertrud Riess The Sculptor Renée Sintenis (Die Bildhauerin Renée Sintenis) Gelatin silver print, 1925-35 Via moma

Frieda Gertrud Riess – Woman’s handS, 1924 via

 

Frieda Ries- Renee Sintenis, sculptor, Germany 1925 via

Frieda Riess-Baroness Nadine Uexküll dressed as Nefertiti,1928

Atelier Riess (Frieda Gertrud). Bara – Die Tänzerin Charlotte Bara. Ca. 1926-28.

Frieda Gertrud Riess Nude Model ,photogravure, 1925 via ebay

Frieda Gertrud Riess Nude Model ,photogravure, 1925 via ebay

Frieda Gertrud Riess Nude Model ,photogravure, 1920 via ebay

Frieda Gertrud Riess Nude Model ,photogravure 1920 via ebay

Atelier Willinger

Laszlo Willinger Sun of Maurus Wilhelm Willinger  &  Margaret Willinger, Austro-Hungarian photographers who are best known for their portraits of actors of the early silent film era in Berlin.

László Josef Willinger was a Jewish-German photographer, most noted for his portrait photography of movie stars and celebrities starting in 1937.

He was born on April 16, 1909  Budapest, Hungary . Willinger established photographic studios in Paris and Berlin in 1929 and 1931 respectively, and at the same time submitted his photographs to various newspapers as a freelance contributor. He left Berlin in 1933 when Adolf Hitler became chancellor, settling and working in Vienna, where he began to photograph such celebrities as Marlene Dietrich, Hedy Lamarr, Pietro Mascagni, Sigmund Freud, Carl Jung, and Max Reinhardt.

By the mid-1930s he was travelling through Africa and Asia before being invited by studio photographer Eugene Robert Richee to move to the United States.

He crossed into the United States at Mexicali, Mexico on December 20, 1937 and resided in Los Angeles, California.

After establishing a studio in Hollywood, California, Willinger became a frequent contributor to magazines and periodicals, providing magazine cover portraits of some of the most popular stars. Willinger was one of the first Hollywood photographers to experiment in the use of color.

In later years, shortly before his death, Willinger was accused of stalking some celebrities of the time, including Charlie Chaplin. An investigation into the matter led to the uncovering of thousands of personal pictures of the male comedy star ( source wilkipedia.)

All the photgraphy are undated, but we can make the hypothesis, since it has settled in viennia in which these date from this time around 1930

Atelier Willinger (Wien). Sonja Georgiewand nd_

 

Atelier Willinger (Wien).Mara Ziperowitz als Merkur 1925

Atelier Willinger (Wien.) – Cäcilie Lvovsky nd

Atelier Willinger (Wien.) -Dagny Servaes in Turandot , nd

Atelier Willinger (Wien.) – Muna Libravic nd

Atelier Willinger (Wien.) -Anny Fey Moulin Rouge, Wien , nd

Atelier Willinger (Wien.) – Else Köring

Atelier Willinger (Wien.) – Inge Epp., nd

Atelier Willinger (Wien.) -Adele Heid, dancer from Moulin Rouge , nd

Atelier Willinger (Wien.) – Les Kervas

Atelier Willinger (Wien.) – Lily Damita , nd

Atelier Willinger (Wien.) – Ly Astra nd

Atelier Willinger,( Wien.) – Anna Bathy nd

Atelier Willinger (Wien.) -Karl Farkas in a scene with 2 girls. , nd

Atelier Willinger (Wien.) -Ly Horki , nd

Atelier Willinger,( Wien.) – Charlotte Ander nd

Atelier Willinger (Wien.) – Emmy Kosarynd

Atelier Willinger,( Wien.) -Alba Tiberio, nd

Atelier Willinger- Gertrud Bodenwieser 1930

Atelier Willinger,( Wien.) – Edmonde Guy, nd

Atelier Willinger (Wien.) -Nina Payne 1928

Atelier Willinger, Wien- Nina Payne 1928

Atelier Willinger,( Wien.) -Nina Payne was Mystery Dancer 1916

Atelier Willinger (Wien.) -Mill Silvano , nd

Atelier Willinger (Wien.) -Margarethe Freudenreich Solo dancer of the Vienna Court Opera, nd

Atelier Willinger,( Wien.) – Lore Wigand nd

Atelier Willinger,( Wien.)-Erna Carise., nd

Atelier Willinger,( Wien.) -Adele Heid nd

Atelier Willinger,( Wien.) -Christa de Vignos nd

Atelier Willinger,( Wien.) -Hilde Wagener as Vasantasena at the Vienna Burgtheater nd

Atelier Willinger,( Wien.) -Mia Lucka nd

Atelier Willinger,( Wien.) -Ria Hellwein nd

Atelier Willinger,( Wien.) -Janka Ladowska , nd

Atelier Willinger (Wien.) -Hilde Holger in Grotesk Charleston, nd

Atelier Willinger (Wien.) -Miquette Hirmer Members of the dance group Bodenwieser, nd

Atelier Willinger (Wien.) -Juita Fuentes in Madame Butterfly , nd

Atelier Willinger,( Wien.) -Rita Walter, photomontge nd

Atelier Willinger,( Wien.) – Maria Orska nd

®Theatermuseum, Wien

Atelier Jacob Merkelbach

« Jacob Merkelbach was the founder of one of the most famous Amsterdam portrait photography studios of the twentieth century on the fifth floor of fashion house Hirsch at Leidseplein Studio J Merkelbach ( Atelier Merkelbach) In the luxurious studio above the fashion warehouse Hirsch on the Leidseplein, he photographed almost all famous Dutch people from the theater world, writers, artists, businessmen and the wealthy Amsterdam bourgeoisie. Taking pictures of Abel Herzberg, André Herzberger, Carel Asser Daniel comme Mata Hari , Fien de la Mar , Théo Mann-Bouwmeester , Willem Mengelberg et Abel Herzberg , se sont fait capturer sur l’album sensible.and many others. His photographs are unique and of exceptional quality. You can see here the galery of protraits  .The personal signature in the design and execution of each portrait, the technical knowledge of the staff and the professional cooperation of the daughter and son-in-law made this workshop a well-running company that, after Merkelbach’s death, could be continued until 1969.

 

Jacob was born on April 29, 1877 and was the son of John Wilhelm Merkelbach and Maria Antonia van Schaik. His parents had a shop on the Nieuwendijk 57-59, which was sold mainly technical toys, and a fireworks factory in Amsterdam.
The fireworks factory was rebuilt in the 90s of the 19th century to a daylight film. This father did after he came into contact with Lumiére. Financially it was not profitable and father decided to go into all the photography. The case on the Nieuwendijk was an important place for the sale of photographic equipment. Above the case opens the son-father Machiel Laddé a workshop.
This workshop is Jacob works and continues to do so for about 10 years. There he learned the profession. In 1902 married with Josephine Harmsen and get on April 21 1904 they can daughter Maria Antonia (Mies). Later, Mies goes to work in the photo studio.
In 1913 own studio opens on Leidseplein 29, on the 5th floor of Hirsch. In 1924 Mies is working in the studio after she completed training at the Dagteken- Art and Craft School for Girls in Amsterdam. Her work in the studio is to retouch, enhance, and print photos.

In 1932 comes Lambert JM Rosenboom (15 Feb 1905, also known as Bobby) in the company work. Mies married him in 1939.
On February 6, 1942 dies Jacob Merkelbach. His daughter Mies puts the company on, her husband Bobby is arrested in 1941 and the remainder of the war in German captivity. Mies makes this period illegal passport photos in the studio, while the Germans regularly on the floor is due to the anti-aircraft guns on the roof of Hirsch & Cie.
Atelier Merkelbach gets in 1948 the honorable mission to Queen Wilhelmina portraits, one of the pictures the ceremonial of the Queen is.
In the 50’s declining interest in portrait photography. Photography is available for consumers by becoming less expensive devices. This also affects Atelier Merkelbach. In 1969, the company, on April 29 – the birthday of Jacob Merkelbach – lifted. There are 150,000 glass negatives of exceptional historical value. These will be donated to the City of Amsterdam. « by  scherptediepte.nl

I made the choice to propose you the photographs which represent dancers or nudes and some delicate portraits
********************************************************************
Dancers

Studio Merkelbach Alice Sally Mary (Lili) Green,1915

Studio Merkelbach Johanna Wittrock,1919

Studio Merkelbach Adriana (Henriette Blazer) Blaaser,1923

Studio Merkelbach Luise Aguste Julie (Luise) Marheineke,1919

Studio Merkelbach Angèle Sydow,1916

Jacob Merkelbach Angèle Sijdow, 1917-19

Jacob Merkelbach, the dancer Claire de Jongh in profile in tight dance pose 1927 – 1928

Jacob Merkelbach, the dancers Menagerie Folmer   and Claire de Jongh with right leg raised 1927 – 1928

Atelier Jacob Merkelbach-The dancers Gerie Folmer and Claire de Jongh in a symmetrical pose , 1927-28

Studio Merkelbach Wilhelmina (Mien) Loevendie,1930

Studio Merkelbach Mary Wigman,1922

Jacob Merkelbach Mary Wigman , 1922

Atelier Jacob Merkelbach -Mary Wigman .19120-30

Studio Merkelbach 1920

Studio Merkelbach Wilhelmina (Mien) Loevendie ,1915

Studio Merkelbach Wilhelmina (Mien) Loevendie ,1915

Studio Merkelbach Wilhelmina (Mien) Loevendie ,1915

Studio Merkelbach Wilhelmina (Mien) Loevendie ,1915

Studio Merkelbach Wilhelmina (Mien) Loevendie ,1915

Studio Merkelbach Lydia Lyta ,1915

Studio Merkelbach Alice Sally Mary (Lili) Green ,1915

 

Studio Merkelbach Wilhelmina (Mien)- 1918

Studio Merkelbach Wilhelmina (Mien)- Angele Sydow 1916

Studio Merkelbach Mies Rosenboom-Merkelbach, Angele Sydow,1916

Studio Merkelbach Mies Rosenboom-Merkelbach, Angele Sydow,1916

Studio Merkelbach Mies Rosenboom-Merkelbach, Angele Sydow,1916

Studio Merkelbach Mies Rosenboom-Merkelbach, Angele Sydow,1916

Studio Merkelbach Margaret Walker,1915

 

Studio Merkelbach, 1928

Jacob Merkelbach- Josephina Johanna (Fien) de la Mar (1898-1965), 1919

Atelier Jacob Merkelbach-The dancer Gerie Folmer .1927

Atelier Jacob Merkelbach-The dancer Gerie Folmer, half-legged, with bare-chested, 1927-28

Jacob Merkelbach-Danseres met lichtbol, , 1920

Studio Merkelbach, 1928

Studio Merkelbach Mies Rosenboom-Merkelbach, Angele Sydow,1919

****************************************************************

Nudes

Studio Merkelbach Johanna Wittrock,1918

studio-merkelbach-mies-rosenboom-merkelbach-19132

Jacob Merkelbach-naakt, 1925 – 1940

Jacob Merkelbach- Porrtret van Mies Rosenboom-Merkelbach als zittend naakt, 1925 – 1940

Studio Merkelbach mies-rosenboom-merkelbach-1913

Jacob Merkelbach (Attributed to) – Portrait of a seated nude, 1915-1930

Jacob Merkelbach- Naked woman sitting with hands held up to a white circle painted been light, 1925 – 1945

Studio Merkelbach Johanna Suers ,1933

Studio Merkelbach Johanna Suers ,1933

Studio Merkelbach Johanna Suers ,1933

Studio Merkelbach Johanna Suers ,1933

*******************************************************

Portraits

Studio Merkelbach 1920

Studio Merkelbach 1920

 

Atelier Jacob Merkelbach-Woman’s portrait with eyes closed on behalf of Film Productie Maatschappij ‘Neerlandia’.1938

Studio Merkelbach Wilhelmina (Mien)-Portrait 1921

Atelier Jacob Merkelbach-Nola Hatterman, 1922

Atelier Jacob Merkelbach-Beschrijving A. Roland Holst de Meester , 1927

Atelier Jacob Merkelbach-Beschrijving Helena Dorothea Catharina .1919

Atelier Jacob Merkelbach-Fashion photo for ‘De Prijslijst’, Reguliersbreestraat 15-17,1920-22

Atelier Jacob Merkelbach-Toneelplayer Mien van Kerckhoven-Kling (1894-1966), 1914

Jacob Merkelbach- Mevr. Brandes met sigaret en roos in het haar,1910 – 1919

Atelier Jacob Merkelbach-Corry Schiller-Italiaander (1886-1971), 1907

Atelier Jacob Merkelbach-Corry Schiller-Italiaander , nd

Atelier Jacob Merkelbach-Corry Schiller-Italiaander .1917

Studio Merkelbach 1918

Studio Merkelbach 1918

Studio Jacob Merkelbach Mevr. van Kerkhoven, 1927

Studio Jacob Merkelbach Mevr. Kauffeld, 1926

Studio Jacob Merkelbach Mevr. Meyer, 1927

Studio Jacob Merkelbach Mevr. Jonas, 1928

Studio Jacob Merkelbach Mevr. Dresden, 1921

Studio Jacob Merkelbach Mej. Meijer, 1913

Jacob Merkelbach-Chaja Goldstein tijdens toneelspel,1930 – 1960

Atelier Jacob Merkelbach-Portrait of a young woman in white dress, 1920-22

Atelier Jacob Merkelbach-Maria Antonia (Mies) Merkelbach .1922

Atelier Jacob Merkelbach-Sophie Davids .1917

Atelier Jacob Merkelbach-Teddy Schaenk, nd

Jacob Merkelbach-Portret van Mies Rosenboom-Merkelbach,1920 – 1930

Jacob Merkelbach-Portret van Mies Rosenboom – Merkelbach met witte hoofdbedekking, 1930 – 1970

Jacob Merkelbach-Reclamefoto, voor het atelier van Merkelbach, met danseres Angèle Sydow,1916

Jacob Merkelbach-Portret van Manuela del Rio gekleed in Griekse jurk,1915 – 1930

Jacob Merkelbach-Portret van gesluierde vrouw,, ca. 1920 – ca. 1930

Jacob Merkelbach- Portrait Of Young Woman With Necklace, 1920 – 1930

Jacob Merkelbach-Portret Mies Rosenboom-Merkelbach in blauwe jurk, 1920 – 1930

 

Jacob Merkelbach- Portrait Of A Woman In A Red Dress, 1920 – 1930

Studio Merkelbach, [Portrait of an unknown woman], between 1919 and 1929, Jos-Pé colour process

Studio Merkelbach divas,

Atelier Jacob Merkelbach-Fashion Photo with lying model in evening dress, neck necklace and earrings, 1935

Atelier Jacob MerkelbachTeixeira de Mattos, 1930

Atelier Jacob Merkelbach-Margaretha Geertruida (Mata Hari) .1915

Studio Merkelbach 1921

Studio Merkelbach 1920

Studio Merkelbach 1920

             http://redeenportret.nl/

Sent M’ahesa (Else von Carlberg)

Sent M’Ahesa

“Such confusion of identity did not apply in the case of Sent M’Ahesa (Elsa von Carlberg 1893-1970), whom audiences persisted in identifying with Egyptian dances (though her dance aesthetic  included images from other ancient o exotic cultures). She performed all her dances solo. Born in Latvia, she went to Berlin in 1907 with her sister to study Egyptology but became so enchanted with ancient Egyptian art and artifacts that she decided to pursue her interest through dance rather than scholarship… Under he name of Sent M’Ahesa, she presented a program of Egyptian dances in Munich in December 1909 (Ettlinger). From then until the mid-1920s, she achieved fame for her exceptionally dramatic dances dominated by motifs from ancient Egyptian iconography. …

Her dances always functioned in relation to intricate, highly decorative costumes of her own design, so that it appeared as if she chose movements for their effect upon her costume.  In her moon goddess (or Isis) dance, she attached large, diaphanous cloth wings to her black-sleeved arms… Sent M’Ahesa often exposed her flesh below the navel, but I have yet to find a picture of her in which she exposed her hair, so keen was she on the use of wigs, helmets, caps, scarves, kerchiefs, tiaras, masks, and crowns. In her peacock dance, she attached a large fan of white feather plumes to her spine. In other dances, she draped herself with tassels, decorative aprons, double sashes, layers of jeweled necklaces, and arm, wrist, and ankle bracelets. Only in her Indian dances did she wear anything resembling pants. …

… her body was wonderfully svelte, and her face displayed a cool, chiseled beauty, I think, rather, that she sought to decontextualise female beauty and erotic feeling from archetypal images of them originating in cultures other than her own or her audience’s; she sought to dramatize a tension between a modern female body and old images of female desire and desirability. Ettlinger, in 1910, was perhaps more accurate when he remarked that

“Sent M’Ahesa’s dance has nothing to do with what one commonly understands as dance. She does not produce “beautiful,” “sensually titillating” effects. She does not represent feelings, “fear,” “horror,” “lust,” “despair,” as “lovely.” Her are requires its own style. Her movements are angular, geometrically uncircular, just as we find them in old Egyptian paintings and reliefs. Neither softness of line nor playful grace are the weapons with which she puts us under her spell. On the contrary: her body constructs hard, quite unnaturally broken lines. Arms and legs take on nearly doll-like attitudes. But precisely this deliberate limiting of gestures gives her the possibility of until now unknown, utterly minute intensities, the most exquisite of refinements of bodily expression. With a sinking of the arm of only a few millimeters, she calls forth effects which all the tricks of the ballet school cannot teach.”

Sent M’Ahesa was similar to Schrenck in one respect, even though Schrenck never performed exotic dances: both project and intensely erotic aura while moving within a very confined space. They showed persuasively that convincing signification of erotic desire or pleasure did not depend on a feeling of  freedom in space, as exemplified in the convention of ballet and modern dance, with their cliched use of runs, leaps, pirouettes, and aerial acrobatics. These dancers revealed that erotic aura intensifies in relation to an acute sense of bodily confinement, of the body imploding, turning in on itself, riddled with tensions and contradictory pressures. They adopted movements to portray the body being squeezed and twisted, drifting in to a repertoire of squirms, spasms, angular thrusts, muscular suspensions. Contortionist dancing is perhaps the most extreme expression of this aesthetic. But Sent M’Ahesa complicated the matter by doing exotic dances – that is, she confined her body within a remote cultural-historical context, as if to suggest that the ecstatic body imploded metaphorical as well as physical space.”

Karl Eric Toepfer, “Solo Dancing,” in Karl Eric Toepfer. Empire of Ecstasy: Nudity and Movement in German Body Culture, 1910-1935. University of California Press, 1997, pp. 175-179.  artblart.com

Atelier binder – The dancer Sent M’ahesa (Else von Carlberg)portrait – 1919

Atelier binder – The dancer Sent M’ahesa (Else von Carlberg)portrait – 1919

Atelier binder – The dancer Sent M’ahesa (Else von Carlberg)portrait – 1919

Sent M’Ahesa by Josef Pesci published in Deutsche kunst und dekoration by Koch, Alex. (Alexander), 1860-1939

Sent M’Ahesa by Josef Pesci published in Deutsche kunst und dekoration by Koch, Alex. (Alexander), 1860-1939

Hanns Holdt- Elsa Carlsberg aka Sent M´ahesa in The Artistic Dance Our Time by Hermann Aubel and Marianne Aubel, 1928 .

Hugo Erfurt, Dresden. La danza artística de nuestro tiempo 1928(Foto. Theatermuseum Düsseldorf)

Hugo Erfurt, Dresden. La danza artística de nuestro tiempo 1928

Franz Löwy – Elsa von Carlberg aka Sent M´ahesa ( from Historical Magazine- Photos ) , 1910

Hanns Holdt- Elsa von Carlberg aka Sent M´ahesa München in The Artistic Dance Our Time by Hermann Aubel and Marianne Aubel, 1928

Hanns Holdt- Elsa von Carlberg aka Sent M´ahesa München in The Artistic Dance Our Time by Hermann Aubel and Marianne Aubel, 1928

Else von Carlberg (lavanimi Sent Mahesa)1923 aire.opera.ee

Hannes Holdt -Sent M’ahesa (Else von Carlberg) – Dancer, Sweden – portrait – 1918

Hannes Holdt -Sent M’ahesa (Else von Carlberg) – Dancer, Sweden – portrait – 1917, published in 1920

Hanns Holdt -Sent M’Ahesa 1928

Sent M’ahesa (Else von Carlberg) by Hanns Holdt, Berlin, 1928

Franz Löwy, Sent M’Ahesa (Elsa von Carlberg) in peacock costume , c 1928 from The artistic dance of our time by H. and M Aubel. Leipzig K. R. Langewiesche, 1928

sent-mahesa-dancer-sweden-portrait-1909

Hanns Holdt- Elsa von Carlberg aka Sent M´ahesa München in The Artistic Dance , 1920

Sent Mahesa Else von Carlberg-Hogo Erfurth, resden aus der kunstlerische tanz unserer zeit,1928

Hanns Holdt – Sent M’Ahesa 1917, From The Artistic Dance of Our Time 1928

Hanns Holdt- Elsa von Carlberg aka Sent M´ahesa München in The Artistic Dance , 1917 HALFTONE Photograph

Hanns Holdt- Elsa von Carlberg aka Sent M´ahesa München in The Artistic Dance , 1917 HALFTONE Photograph From The Artistic Dance of Our Time 1928

Sent M’ahesa (Else von Carlberg) – Dancer, Sweden – portrait – 1913

Madame d’Ora (Arthur Benda) -Sent M’Ahesa, nd

Madame d’Ora

Madame d’Ora – Walk in the parck 1930s

Madame D'Ora- The Dancer Rigmor Rasmussen, phtogravure, ca. 1927

Madame D’Ora- The Dancer Rigmor Rasmussen, phtogravure, ca. 1927

Madame D'Ora- The Dancer Rigmor Rasmussen, phtogravure, ca. 1927

Madame D’Ora- The Dancer Rigmor Rasmussen, phtogravure, ca. 1927

Madame d'Ora -Dancer Alice Nikitinamit portrait with a brown felt toque covered with brown glycerinized rooster feathers curled around the head._e

Madame d’Ora -Dancer Alice Nikitinamit portrait with a brown felt toque covered with brown glycerinized rooster feathers curled around the head.

Madame d'Ora (Arthur Benda) -Sent M_Ahesa, nd

Madame d’Ora (Arthur Benda) -Sent M’Ahesa, nd

Madame d’Ora-Frl. Eskenasy, Aktstudie. Circa 1924. Vintage warm-toned gelatin silver print

Madame d’Ora- Benda Vanessa, 1930s

Madame d’Ora Girl with duvet 1920s

Madame D’Ora- Princess Ileana’s Trousseau, Glossy fiber silver gelatin , 1931

Madame d’Ora -Mary Wigman and her company. Vienna. 1924.

Madame d’Ora -Bodenwieser-Schule, Vienna 1925

OTHERS ARTICLES MADAME D’ORA