Max Dupain (1911-1992) Publié par kate le 02/06/2013
Max Dupain – Title page (candle) , from the album Photographs by Max Dupain 1930s circa 1930
« Max Dupain découvre la photographie à l’âge de 13 ans et gagne à 17 ans le « Carter Memorial Prize for Productive Use of Spare Time « [pour l’usage productif du temps libre].
Il rejoint en 1929 la Photographic Society of New South Wales et commence en 1930 sa carrière photographique comme apprenti dans l’atelier de Cecil Bostock à Sydney. En 1934 Dupain se met à son compte en ouvrant son propre studio, sur la Bond Street à Sydney.
Son approche est d’abord pictorialiste, mais très influencé par le mouvement allemand de la « Nouvelle objectivité », il délaisse les sujets romantiques et s’oriente vers le monde contemporain, ses hommes et leurs réalisations. Il devient ainsi l’un des pionniers de la photographie moderne en Australie. Son sujet de prédilections à cette époque est industrie et tout ce qui s’y rapporte et qu’il traite dans un style radicalement différent : des lumières plus brutales et des formes bien découpées. Ses photographies sont publiées dans des revues telles que The home ou Art in Australia.
Il est influencé , comme tant d’autres, par certains photographes européens tel que Man Ray et par le mouvement surréaliste qui se développe à cette époque.
Max Dupain – Title page (hand and compass photo-montage) , nd
Max Dupain-Superman 1934
Max Dupain-Birth of Venus 1939
Max Dupain-Rayograph with water c. 1936
Max Dupain-Rayograph 1937
Max Dupain-Advertisement for Hardy’s hose 1937
Max Dupain – Intimité brisée1936
Max Dupain – Abstract movement 1935
Max Dupain -Untitled (Female nude with cloth overlay) 1930s
Max Dupain – Untitled (Women silhouettes and trees) 1930s
Max Dupain – Photo synthesis (woman & trees) 1930s
Max Dupain – Untitled (Surrealist face in woods) 1930s
Max Dupain – Untitled (Woman profile and trees) 1930s
Max Dupain-Woman 1937
Max Dupain-Hands and movement c. 1935
Max Dupain-Lelia Roussova 1937
Max Dupain-Surrealist study 1938
Max Dupain-Hot rhythm, 1936
En 1937, alors qu’il est sur la côte des Nouvelles Galles du Sud::: (galerie de photographies avec le lien) , il prend une photo de la tête et des épaules de son ami Harold Savage allongé sur le sable de la plage de Cullburra Beach. Cette photographie intitulée Sunbaker deviendra une de ses plus célèbres de ses clichés.
Max Dupain -Sunbaker, 1937
En 1938, Dupain participe à la création du Contemporary Camera Group, une association qui s’oppose au mouvement pictorialiste alors largement dominant en Australie. En 1939, il épouse Olive Cotton, une autre photographe, mais ils divorcent peu de temps après.
Max Dupain-Portrait of Olive Cotton in the 1930s
Max Dupain (Australian, 1911 – 1992) Untitled [Olive Cotton in Wheat Fields] Nd (probably late 1930s)
Olive Cotton Camping trips on Culburra Beach, N.S.W., 1937 BY Max Dupain 1937
Olive Cotton – Max, 1935
Max Dupain -Camping trips on Culburra Beach (olive cotton), N.S.W., 1937
Olive Cotton – Max, 1936
Pendant la seconde guerre mondiale, Dupain s’ engage dans la Royal Australian Air Force, il sert dans les Territoires du Nord ainsi qu’en Papouasie-Nouvelle-Guinée, où il participe à la réalisation de camouflages. Très affecté par la guerre, il essaie par la suite de trouver une vision de la vérité dans un travail plus documentaire et en 1945, il travaille pour le compte de l’État australien sur un projet de promotion de son pays.
il reprend à partir de 1947 ses activités de studio mais abandonne ce qu’il appelle cosmetic lie of fashion photography or advertising illustration, autrement dit « le mensonge cosmétique de la photographie de mode et de l’illustration publicitaire ». La photographie moderne, dit-il, doit faire plus que distraire, Elle doit inciter à réfléchir et ce, en montrant clairement les aspects de la Réalité, visant une meilleure compréhension des Hommes et des Femmes, de ce qu’ils vivent et créent».
En 1947, Dupain épouse Diana Illingworth dont il a une fille, Danina, et un fils, Rex, qui devint lui aussi photographe.Le travail documentaire de cette période est bien représenté par la photographie The meat queue, qui date de 1946. Le style naturaliste est bien expliqué par Dupain : « enregistrer un instant de la vie quotidienne vaut mieux que tenter un commentaire sociologique ».
Dupain travaille ensuite pour l’Université des Nouvelles Galles du Sud et fait de nombreux voyages dans l’Australie du Nord, à l’intérieur des terres et sur la côte. Dès 1947 mais surtout dans les années 1950, l’arrivée de la société de consommation lui donne l’occasion de réaliser de nombreuses photographies publicitaires et de travailler pour des magazines, des agences de publicité et des société industrielles. Cependant, il se tournera définitivement vers l’architecture, domaine auquel il se consacre à temps plein pendant près de 30 ans, produisant à partir des années 1960 des images de plus en plus abstraites.Cette activité de photographe d’architecture dure jusqu’à sa mort, survenue en 1992
En 1954, il devient membre du groupe des VI et il sera un peu plus tard affilié au Royal Australian Institute of Architects.
Je vais maintenant poster des photographies qui datent des années 1930’s au années 1980’s, par thématiques. je ne couvrirais pas la photographie d’architecture ni les phorographies sur les peuples indgènes. ce n’est pas l’objet de mon blog. mais vous pouvez les retrouver très aisement.
Les nus
Max Dupain – Nu dans l’ombre, 1941
Max Dupain – No. 1 nude composition 1934
Max Dupain-(Female torso with water) 1936
Max Dupain-Reclining nude 1935
Max Dupain-Sun dazzle 1935
Max Dupain-(Nude on ribbed sand) 1938
Max Dupain-The bride 1936
Max Dupain – Nude 1938
Max Dupain – Untitled (Jean with wire mesh) 1936
Max Dupain – Untitled (Nude behind screen) , from Portfolio No.4 The female form 1934
Max Dupain – Nude in grass , from Portfolio No.4 The female form 1939,
Max Dupain – Untitled (Nude – back) , from Portfolio No.4 The female form 1930s, ,
Max Dupain – Untitled (Nude – head & shoulders diagonal) , from Portfolio No.4 The female form 1930s,
Max Dupain – Untitled (Nude behind screen) , from Portfolio No.4 The female form 1940s
Max Dupain – Untitled (Nude torso in sunlight) , from Portfolio No.4 The female form 1941,
Max Dupain – Untitled (Reclining silhouette) , from Portfolio No.4 The female form 1940s
Max Dupain – Untitled (Nude behind screen) , from Portfolio No.4 The female form 1930s
Max Dupain – Untitled (Nude in mirror) , from Portfolio No.4 The female form 1930s,
La danse
Max Dupain – No. 1 nude composition 1934
Max Dupain-Portrait of Nina Raievska between 1936-1937
Max Dupain-Portrait of Emmy Towsey (Taussig) and Evelyn Ippen1939
Max Dupain-Portrait of Evelyn Ippen, Bettina Vernon, Emmy Towsey and Shona Dunlop from the Bodenwieser Ballet1939
Max Dupain-Bodenwieser Group ,1941
Max Dupain- ortrait of Irina Baronova in Choreartium,1938-39
Max Dupain- David Lichine in L’apres-midi d’un faune, 1940
Max Dupain-Portrait of Hélène Kirsova, as the Widow in L’Amour sorcier for the Monte Carlo Russian Ballet, 1936-1937
Max Dupain -Helene Kirsova as the Widow in L’amour Sorcier, 1936-1937
Max Dupain -Helene Kirsova as Little Anna in Revolution of the Umbrellas. 1936-1937
Max Dupain -Helene Kirsova as Little Anna in Revolution of the Umbrellas. 1936-1937
Max Dupain- Portrait of Serge Lifar in The firebird, Original Ballet Russe Australian tour1940
Max Dupain-Portrait of Sono Osato in Scheherazade, 1938
Max Dupain-Portrait of Tamara Toumanova and Paul Petroff in Frenchs Forest, 1940
Max Dupain-Portrait of Ludmilla Lvova out of doors, Frenchs Forest, 1940
Max Dupain – Untitled , from Portfolio No.4 The female form 1940s,, ,
Max Dupain – Dancer dancing 1940s
Max Dupain – Untitled (Nude with light traces) , from Portfolio No.4 The female form 1938 ,
Max Dupain – Untitled (Dancer) 1937
Les portraits
Max Dupain-Miss Noleen Woodward 1940
Max Dupain-Jean 1940
Max Dupain – Untitled (Vesta Davies, face profile) 1938
Max Dupain-(Hat advertisement) 1937
Max Dupain-Greta 1940
Max Dupain-Two girls [Portrait of Olive Cotton and Jean Laurraine] 1939
Artist : Max Dupain (Australia, b.1911, d.1992)
Title :
Date : 1951-1952
Medium Description: grey cloth bound album, 50 gelatin silver photographs
Dimensions :
Credit Line : Gift of Diana Dupain 2003
Image Credit Line :
Accession Number : 98.2003.a-xx
Mario von Bucovich (16 February 1884 – 30 November 1947) was also known as Marius von Bucovich. He was born at Pula in the Istrian region of the Austro-Hungarian Empire and held the title of Baron. His father, August, Freiherr von Bucovich, was a former Corvette Captain in the Austro-Hungarian navy and later an entrepreneur in the railroad concession sector. His mother was Greek.
Despite the wide circulation of his photographs (to the present day) and popularity of his publications (from the 1920s to the 40s), there has been limited interest in Mario von Bucovich in the history of photography, which may reflect a somewhat ungenerous assessment. Although much of his work was conventional, he was a creative and talented photographer. He also took the initiative to produce books of his photographs dedicated to New York and various European cities. In a privately published volume of 1935, intended simultaneously to de-mystify and elevate photography, Bucovich expressed his views on photography and his own practice of the craft. But he reveals almost nothing of a personal nature. Both authors of this article, before learning of each other’s work—coming from German Studies and Jewish Studies, respectively—were struck by the disparity between the quantity and quality of the material legacy of Mario von Bucovich, and the lack of a substantial biography.
He worked primarily in Germany in the 1920s and 30s, as well as traveled to France and England. In his published work he was most noted for his urban studies with a focus on streetscapes, but his studio work undertaken at the Atelier Karl Schenker was often of entertainment personalities of Weimar period stage and screen. Amongst his most notable books were Berlin, Das Gesicht Der Stadt (Berlin, Portrait of a City) and Paris (with a forward by Paul Morand). The Paris book included photos by Germaine Krull. The Berlin book published originally by Albertus Verlag, a publishing house he founded in 1928, had a forward written by the author Alfred Döblin.
He had a base in Berlin during his most productive years between the wars, being linked to the Atelier Schenker. During the late 1920s his photos appeared across the gamut of German photo journalism including the titles: Der Querschnitt, Uhu, Die Dame, Die neue Linie, Das Magazin, Skizzen, Welt-Magazin, Kölnische Illustrierte Zeitung, Revue des Monats, Das Kriminalmagazin, Das Leben, Das Kunstblatt, Farbe und Form, Das deutsche Lichtbild, Deutscher Kamera Almanach, Die Reklame, Der Photo-Freund.
He moved to New York during the 1930s where he worked for a publishing house on 41st Street. In his American period he published two photographic essays, Washington D.C. City Beautiful and Manhattan Magic. A Collection of Eighty-Five Photographs. He moved to Mexico and was working there through at least the early part of that decade, until his death on 30 November 1947 in a traffic accident in Mexico City.
His work was shown at major photography salons of the day, including the Fourth International Exhibition of Pictorial Photography at the California Palace of the Legion of Honor, the Third International Exhibition of Pictorial Photography Seattle Camera Club, and the 15th and 16th Annual Pittsburgh Salon of Photographic Art at the Carnegie Institute.
His work is in the collections of the New Orleans Museum of Art, the National Museum of Mexican Art and the National Gallery of Canada.
He photographed Marlene Dietrich and Leni Riefenstahl (in her days as a dancer, preceding her career as a film director). His views of Girona in Spain taken in 1933 were published in the National Geographic magazine. The Berliner Morgenpost in 2009 described him as « one of the great unknown photographers of 20th Century European photography ».
Mario von Bucovich’s wife, Marie, was also a photographer. source wilkipedia
Mario von Bucovich (Atelier Karl Schenker) -Ruth Walker, Danseur, USA – Portrait – vers 1928
Mario von Bucovich (Atelier Karl Schenker) -Ruth Walker, Danseur, USA – Portrait – vers 1928
Mario von Bucovich (Atelier Karl Schenker) -Ruth Walker, Danseur, USA – Portrait – vers 1928
Mario von Bucovich (Atelier Karl Schenker) -Ruth Walker, Danseur, USA – Portrait – vers 1928
Mario von Bucovich (Atelier Karl Schenker) -Ruth Walker, Danseur, USA – Portrait – vers 1928
Mario von Bucovich (Atelier Karl Schenker) -Ruth Walker, Danseur, USA – Portrait – vers 1928
Mario von Bucovich (Atelier Karl Schenker) -Ruth Walker, Danseur, USA – Portrait – vers 1928
Mario von Bucovich -Naakt rencontré masker en werd Berlin 1927 de la bookVoluptuous Panic Le monde érotique de Weimar Berlin, Feral House, 2000. photo courte
Mario Von Bucovich-‘Naakt avec un masque « et était Berlin 1927
Alexander Danilovich Grinberg -Nude Study with veil ( The Theatre of Meyerhold ), 1913-14
Posted by kate on 23/03/2012 ( vous cliquez sur le lien et vous trouvez les archives sur le site archives du net, qui répertorie les meilleurs sites et captures les articles parfois on trouve la bio en anglais je ne sais pas pourquoi)
Alex(s)ander Danilovich Grinberg est un des photographes russes les plus respectés du vingtième siècle. Il a connu la révolution russe, la guerre civile, deux guerres mondiales et la répression stalinienne durant ses 94 années de vie.
Il a étudié à l’Université de Moscou, au Département de physique et de mathématiques, et au Stroganov Art College. En 1907 Gringberg est devenu membre de la Société photographique de Russie (RFO) à Moscou, en 1912 et l’un de ses administrateurs. En 1909 il reçoit sa première médaille d’or à l’exposition internationale de Dresde. En 1914 il commence à travailler avec le studio de cinéma « khanzhankov » à Moscou, en devenant responsable de la publicité des films, mais il est également assistant réalisateur et ses films les plus connus sont « les Descendants arabes » et « Deux amies (modèle et fille) ».
De 1922 à 1930 Grinberg enseigne la composition photographique au cinéma au « State College « (plus tard renommé en Russie State University Cinématographie). Dans la même période, il a enseigné à la société photographique professionnelle de Moscou et a également travaillé comme caméraman à la First State Film Studio. Il travaille aussi beaucoup avec Vsevolod Meyerhold ( directeur d’une troupe de théatre) et d’autre troupe de théatre, et est proche d’un certain nombre d’acteurs ainsi de que de grand nom de la photographie.
En 1929, lors de la révolution culturelle, la « vieille école” de la photographie soviétique ( dont il fait partie) est désignée comme une photographie réalisée par « dépravé » et il perd sa notoriété et n’est plus le photographe à qui l’on accorde des faveurs. En effet, la nouvelle politique culturelle a dicté que n’importe quel érotisme sous quelque forme artistique que ce soit était un « restant d’oisiveté bourgeoise » et inconvenant pour la société soviétique.
Pourtant Grinberg , continue et en 1935 il expose des photographies de femmes partiellement habillées , ce qui lui vaut son arrestation et une condamnation par le Comité spécial de NKVD (Commissariat populaire de l’Intérieur) au bagne ( autrement dit Goulag)pour diffusion de pornographie.Au bout de quatre année d’enfer, il est finalement libéré pour la bonne conduite ,en 1939.
[Vous verrez que la plupart de ses clichés de nus sont réalisés entre les années 1900 et 1930 , aujourd’hui l’histoire écrite, on comprend pourquoi il n’a pu continué librement à exercer son art. Tous les travaux de cette époque n’ont pas été détruits que cela arrivait généralement et ce grâce à son frère aîné qui a réussi à cacher les négatifs durant de nombreuses années. C’est donc pourquoi, la majorité des photos que vous verrez , ont été retirées après la seconde guerre mondiale, et n’ont plus ce grain si particulier du pictoralisme. Rares sont les photographies qui sont tirées dans des teintes particulières. ]
A sa sortie du goulag, il a repris rapidement son travail de photographe et il collabore avec de nombreuses d’institutions, des musées et enseigne la photographie. Après la guerre il a travaillé avec les modèles et les couturiers tout au long des années 1950.
Sa vie entière a été consacrée à la photographie, qu’il n’a jamais abandonnée, même dans les plus difficiles de circonstances. Encore une fois, cet homme est la preuve, que de tout temps les artistes sont persécutés et emprisonnés , nous en avons déjà parlé et bons nombres d’artistes présentés sur le blog ont été dans le même cas.
La majorité des photographies se trouvent sur le site Russian Photographs, mais les dates sont approximatives , ainsi que les noms des personnes photographiées manquantes , vous y trouverez également d’autres travaux, en plus petits formats bien entendu, comme la publicité, les portraits des têtes couronnées de l’époque, des paysages, sa série l’art du Mouvement dans l’esprit de la nouvelle culture russe : « Un corps parfait pour une civilisation parfaite ».
[Rajout Le 17 février 2012/ Je n’ai rien changé aux tonalités des photographies ce qui ne semblerait être une hérésie, ( plus haut il est expliqué que les négatifs ont été cachés et ce durant plus de 15 années pour éviter que les autorités Russes ne détruisent tout son fond). Un site qui est sur wordpress ( dantébea pour ne pas la citer, a changé toutes les tonalités des photographies ( Quel respect pour les artistes, au passage…) et qui de surcroit se contente de vous dire via russian photographer, sans hyper lien, c’est tellement plus facile…), et qui copie joyeusement mes articles, Quel respect pour les artistes, au passage… tout n’est que copié collé et bien sur sans le copyright) . Dans toutes les photos qu’elle a prises elle les a coloriser dans une teinte jaunâtre, , allez trouver ce genre de jaune dans un bon tirage photographique et surtout dans le mouvement pictoraliste !!!!! jamais de teinte jaunâtre( ou alors le photographe ou le développeur était vraiment mauvais) ….Par ailleurs le texte figurant sur le site
ICI vous avez ici les dates précises, ainsi que le noms des modèles, acteurs, danseurs, personnalités , la source étant le livre « Aleksandr Grinberg, Khranitel` Traditsii: 1885-1979. – Il. – (Fotograficheskoe Nasledie).Lazarev M.P.Edité par Art-Rodnik, Russian Federation, 2012 ( il ne vaut pas très cher, moins de 20 euros, mais il est en russe… ensuite il faut traduire..) ici sur amazon ( il semble plus cher deux années après….)
Les nus voilés 1910-1930
Alexander Danilovich Grinberg- Nude with veil and pearls, 1928 (portrait de Веры Холодной? voir plus bas The Theatre of Meyerhold )
Alexander Danilovich Grinberg – Portrait, Moscou, 1928 (portrait de Веры Холодной? voir plus bas The Theatre of Meyerhold )
Alexander Danilovich Grinberg – Nude,(Akt) , 1928 (portrait de Веры Холодной? voir plus bas The Theatre of Meyerhold )
Alexander Danilovich Grinberg – Nude,(Akt) , 1928 (portrait de Веры Холодной? voir plus bas The Theatre of Meyerhold )
Alexander Danilovich Grinberg -Study of nude, 1920
Alexander Danilovich Grinberg – nude study (Stranger II) , Nataliya Grinberg, 1926 – Copie
Alexander Danilovich Grinberg – nude study (Stranger) , 1926
Alexander Danilovich Grinberg -Nude- 1913-14
Alexander Danilovich Grinberg – Portrait du femme-1913-14
Alexander Danilovich Grinberg – Portrait du femme ( remanié, 1920)
Alexander Danilovich Grinberg – Nude study Moscou, 1920
Alexander Danilovich Grinberg -Untitled, 1923
Alexander Danilovich Grinberg -Untitled, 1923
Alexander Danilovich Grinberg – Nude study with veil Moscou, 1920s
Alexander Grinberg- Veiled nude study 1920
Les nus des années 1910-1930
Alexander Danilovich Grinberg -Tamara Lavrova, 1925-30
Alexander Danilovich Grinberg – Study of Nude,Tamara Lavrova 1925
Alexander Danilovich Grinberg – nude study Moscou, 1929
Alexandre Grinberg – Nude Study with veil, 1925-30
Alexander Danilovich Grinberg – Nude study, 1928
Alexander Danilovich Grinberg – Nude study Moscou, 1928
Alexander Danilovich Grinberg -Baigneuse. 1924-25
Alexander Danilovich Grinberg- Study of nude, Maria Peschanaya, 1928
Alexander Danilovich Grinberg – Asya Zagorskaya, 1925-30
Alexander Danilovich Grinberg -Marguerite Chardinina, 1925-30
Alexander Danilovich Grinberg- Study of nude, Marguerite Chardinina ,1925-30
Alexander Danilovich Grinberg- Study of nude, Marguerite Chardinina ,1925-30
Alexander Danilovich Grinberg -Marguerite Chardinina, 1920
Alexander Danilovich Grinberg- Nude Study, ( peut -être Marguerite Chardinina) 1920
Alexander Danilovich Grinberg -Nina Fralou, 1920
Alexander Danilovich Grinberg- Study of nude, Nina Fralou1925-30
Alexander Danilovich Grinberg- Nude Study with umbrella, 1926
Alexander Danilovich Grinberg- Seated nude with a cup, 1928
Alexander Danilovich Grinberg- Reclining nude, 1925
Alexander Danilovich Grinberg-Bather, (Badende) , 1924
Alexander Grinberg- Nude Study ,1928
Alexander Danilovich Grinberg – Nude with Beads, 1928
Alexander Grinberg- Nude Study with ball, 1930
Alexander Danilovich Grinberg -Catherine Lopatina, 1924
Alexander Danilovich Grinberg – nude study Moscou, 1925-30
Alexander Danilovich Grinberg- Study of nude, -Catherine Lopatina , 1925-30
Alexander Danilovich Grinberg -Catherine Lopatina, 1924
Alexander Danilovich Grinberg -Catherine Lopatina, 1924
Alexander Danilovich Grinberg – Nude study, Moscou, 1930
Alexander Danilovich Grinberg – Nude study, Moscou, 1928
Alexander Danilovich Grinberg -Study of nude, 1930 (Mosel Galya)
Alexander Danilovich Grinberg -Study of nude, 1930 Maria Peschanaya
Alexander Danilovich Grinberg -Study of nude, 1930 (Maria-Peschanaya)
Alexander Danilovich Grinberg – nude Nataliya Grinberg, 1925s
Alexander Danilovich Grinberg – Nude study Moscou, 1920-24
Alexander Danilovich Grinberg – Nude study Moscou, 1920
Alexander Danilovich Grinberg – Nude study Moscou, 1920
Alexander Danilovich Grinberg – Nude study Moscou, 1920
Alexander Danilovich Grinberg -Study of nude, 1930 (Barskaya Chardynina)
Alexander Danilovich Grinberg- Study of nude, 1930s
Alexander Danilovich Grinberg – Nude, 1930
Alexander Danilovich Grinberg-, Nude dark tonality, 1926
Alexander Danilovich Grinberg-, Nude dark tonality, 1926
Alexander Danilovich Grinberg- Reclining Nude Study, Dark Tone, 1930
Alexander Grinberg -Reclining Nude Study, Dark Tone, 1930
Alexander Grinberg- Nude Study, Dark Tone, 1930
Alexander Danilovich Grinberg -Study of nude, 1930
Alexander Danilovich Grinberg -Study of nude, 1930
The Theatre of Meyerhold
Meyerhold est reconnu comme un important innovateur de théâtre du XXe siècle et notamment le créateur d’un nouveau système d’acte a appelé “biomechanics”( En insistant fortement sur la nécessité de la simplicité et la puissance d’une scène nue, dans les années 1920, il a commencé à utiliser un mode de conception de jeu appelé constructivisme. Cette approche axée sur la fonction de décor et jeux à niveaux multiples , avec des rampes entre les plates-formes) . il a étudié à l’école de théâtre de la Société philharmonique de Moscou et rejoint le Théâtre d’Art de Moscou de l ‘(MAT) société agissant en 1898. Ses approches et innovations ont laissé une impression durable sur le monde du théâtre et son influence est évidente dans le travail du célèbre metteur en scène et dramaturge, Bertolt Brecht. plus d’ Informations sur Vsevolod Meyerhold et Ici ( Anglais)
Alexander Danilovich Grinberg -Nude Study with veil ( The Theatre of Meyerhold ), 1913-14
Alexander Danilovich Grinberg – The Theatre of Meyerhold ,1920
Alexander Danilovich Grinberg – Portrait de l’actrice Веры Холодной ( trad Robe de foi!!!) dans un costume bohémien, The Theatre of Meyerhold, 1914
Alexander Danilovich Grinberg -Ballet dancer Maria Pechananya 1926
pour la photo suivante, je vous mets les deux tirages, afin de voir la différence entre les tirages datant de l’époque et ceux réalisés plus tard ( premier cliché source Musée Russe, second cliché , le livre cité plus haut). la différence est énorme.
Alexander Danilovich Grinberg – Oriental Dance, Ballet dancer Maria Pechananya 1926
Alexander Danilovich Grinberg – , Ballet dancer Maria Pechananya 1926
Alexander Danilovich Grinberg – , Ballet dancer Maria Pechananya, 1926
Alexander Danilovich Grinberg – Maria Peschanaya The Theatre of Meyerhold, 1920
Alexander Danilovich Grinberg – Maria Peschanaya The Theatre of Meyerhold, 1920
Alexander Danilovich Grinberg – Maria Peschanaya The Theatre of Meyerhold, 1920
Alexander Danilovich Grinberg – Portrait of two actors of The Theatre of Meyerhold, 1920
Alexander Danilovich Grinberg – Portrait an actor of , The Theatre of Meyerhold, 1920s Moscou,
Alexander Danilovich Grinberg L’Étude, Ballet dancer Maria Pechan ( The Theatre of Meyerhold, 1926
Alexander Danilovich Grinberg – Maria Peschanaya The Theatre of Meyerhold, 1920
Alexander Danilovich Grinberg – Maria Peschanaya The Theatre of Meyerhold, 1920
Alexander Danilovich Grinberg -Tamara Lavrova, -Actress The theatre of meyerhold, 1920
Autres Portraits de différents acteurs de l’époque
Alexander Danilovich Grinberg -Portrait Vera Kholodnaya, ca 1914
Alexander Danilovich Grinberg -Vera Kholodnaya ,1910
Alexander Danilovich Grinberg -Vera Kholodnaya ,1910-15
Alexander Danilovich Grinberg Vera Kholodnayaca and a friend, 1910
Alexander Danilovich Grinberg – Vera Kholodnaia, 1919
Alexander Danilovich Grinberg -Portrait of Nataliya Grinberg, ca 1920
Alexander Danilovich Grinberg -Portrait of Nataliya Grinberg, 1920
Alexander Danilovich Grinberg – Portrait actress , 1920s
Alexander Danilovich Grinberg – Portrait of an unknown actress, 1923
Alexander Danilovich Grinberg – Portrait, Woman with star, 1923
Alexander Danilovich Grinberg -Portrait of Zina Kal’menkova, , 1920 ( pas tirage d’époque)
Alexander Danilovich Grinberg -Portrait of Zina Kal’menkova, ca 1920
Alexander Danilovich Grinberg -Portrait of Zina Kal’menkova, ca 1920
Alexander Danilovich Grinberg -Portrait of Zina Kal’menkova, ca 1920
Alexander Danilovich Grinberg- Portrait of an actress, 1925
Alexander Danilovich Grinberg -Portrait de Natacha, 1910-15
Alexander Danilovich Grinberg -Portrait de Natacha, 1925s
Alexander Danilovich Grinberg – Portrait, Moscou, , 1910-15
Alexander Danilovich Grinberg – Portrait, Moscou, 1910-15
Alexander Danilovich Grinberg -unknown model, Actress’ Portrait.1910
Alexander Danilovich Grinberg – Portrait, , 1920
Alexander Danilovich Grinberg – Portrait, 1920
Alexander Danilovich Grinberg – Portrait, , 1926
Alexander Danilovich Grinberg – Self-Portrait, 1916
Né en 1905, Roger Parry se forme à l’Ecole nationale des Arts décoratifs avant de découvrir la photographie. Il devient l’assistant de Maurice Tabard en 1928, au studio de photographie publicitaire Deberny-Peignot. A l’aide d’images aussi dépouillées qu’efficaces, il introduit dans cet art appliqué qu’est la photographie publicitaire les audaces formelles des avant-gardes (photogrammes, photomontages, solarisations…).
Très vite, il prépare avec Fabien Loris l’illustration photographique d’un recueil de poèmes de Léon-Paul Fargue, Banalité. Sa publication en 1931 va le faire apprécier des milieux intellectuels ; il participe alors aux expositions collectives qui réunissent de nombreux talents de l’époque comme Kertész ou Man Ray.
A partir de 1931, Parry est chargé de la promotion de romans publiés à la NRF (Nouvelle Revue Française) qui lui commande plus de 200 couvertures pour des collections populaires.
Il est aussi photographe de plateau sur L’Atalante de Jean Vigo, illustrateur et portraitiste pour Gallimard ou collaborateur de Voilà et Détective.
En 1932, il s’embarque pour un long voyage vers les îles de la Polynésie française, où il réalise un reportage « tendant simplement à présenter un tableau aussi fidèle que possible de la vie actuelle à Tahiti et aux Iles sous le Vent» (Préface de « Tahiti »).
Ces photographies sont publiées dans Tahiti en 1934, ouvrage élaboré avec la complicité de Malraux.
En 1938, utilisant le prétexte de la publication de Zuyderzee (roman de Jeff Last aux éditions Gallimard), il effectue un reportage dans les polders hollandais. Dans une recherche constante de l’envers du décor, il y affine l’orientation documentaire de sa pratique personnelle.
Réformé en 1939, il intègre pendant la guerre la rédaction de Match et de Marie-Claire, avant de publier régulièrement dans La Semaine, principal hebdomadaire de divertissement sous l’Occupation. Il photographie alors les galas, les expositions ou les pièces de théâtre d’un Paris occupé dont la vie culturelle continue malgré tout.
En août 1944, il rejoint le Comité de Libération des reporters photographes de presse après avoir photographié le soulèvement populaire de Paris.
En tant que correspondant de guerre, il suit ensuite les Alliés jusqu’au printemps 1945, de l’Alsace à la poche de Royan.
Après la guerre, il couvre pour l’AFP la visite officielle du Général de Gaulle à New York en 1945 et la Conférence de Moscou en 1947. A la fin des années 1940 il délaisse progressivement le reportage de presse.
A partir de 1948, aux côtés d’André Malraux, il collabore aux collections de la « Galerie de La Pléiade » et surtout de « l’Univers des formes » dont il est le directeur technique pour les premiers volumes, révélant ainsi la vaste palette de ses talents d’illustrateur, de graphiste, de maquettiste et de photographe.
Il décède en 1977, quelques mois après André Malraux.
Roger Parry -Etude pour la couverture de Les Trois jeunes filles de Vienne (fumeuse d’opium), 1934
Roger Parry – Sans Titre, 1933-1934
Roger Parry-Nu couché , 1933-34
Roger Parry -Nu (bras allongés°, 1930
Roger Parry-Nu, années 1930
Roger Parry- Une femme aux seins nus brandit un sabre à cheval sur une peau de bête, 1933-34( Etudes ; Illustrations de romans populaires, Collection Détective de Gallimard
Roger Parry-Bas et porte-jarretelles, 1935
Roger Parry-Femme les jambes croisées portant des bas, 1935
Roger Parry Femme s’habillant devant un miroir, Reportage. Publicité pour grande maison de blanc – Mode vers 1930
Roger Parry- Ludmilla Tcherina pour un spectacle de danse à Nice-Monte-Carlo , novembre 1943
En 1933, suite à la demande de la revue de charme, Le Sourire, Kertész produit des photographies de nus féminins distordus. Plus connue sous le nom de Distorsions. Environ 200 photographies de Najinskaya Verackhatz et Nadia Kasine, deux modèles nues ( qu’on identifie très bien) sont photographiées dans des poses différentes, avec leur reflet pris dans une combinaison de miroirs provoquant la distorsion.Sur certaines photographies, seuls certains membres sont visibles dans la réflexion. elles sont plus ou moins belles, elle provoque parfois le beau comme le laid et le monstrueux, c’est ce qui en fait tout sont interet . je n’ai donc pas chosi les plus » agréables » à contempler, mais j’ai tenté de mettre l’ensemble. ils manques quelques pieces. Volontairement. je ne trouvais pas bien de mettre tout le livre. Il doit en manquer un 1/4.
La plupart des photographies présentées aujourd’hui sont des planches contacts et sont numérotées, j’ai préféré ce choix, ainsi aucun doute sur la numérotation qui est assez aléatoire sur le net. ( Vous pouvez trouvez dans un autre format ces planches dans » Distorsions » André Kertész, Editions du Chêne, Paris, 1976)
André Kertész – Distortion # 02, 1933
André Kertész – Distortion # 04, 1933
André Kertész – Distortion # 05, 1933
André Kertész – Distortion # 05, 1933 detail
André Kertész – Distortion # 06, 1933
André Kertész – Distortion # 07, 1933
André Kertész – Distortion # 09, 1933
André Kertész – Distortion # 10, 1933
André Kertész – Distortion # 11, 1933
André Kertész – Distortion # 14, 1933
André Kertész – Distortion # 15, 1933
André Kertész – Distortion # 16, 1933
André Kertész – Distortion # 17, 1933
André Kertész – Distortion # 18, 1933
André Kertész- Distortion # 18, 1933 Planche de travail
André Kertész – Distortion # 19, 1933
André Kertész – Distortion # 20 , 1933
André Kertész – Distortion # 21 , 1933
André Kertész – Distortion # 22 , 1933
André Kertész – Distortion # 23 , 1933
André Kertész – Distortion # 24 , 1933
André Kertész – Distortion # 25, 1933
André Kertész – Distortion# 28, 1933
André Kertész – Distortion # 29, 1933
André Kertész – Distortion # 31, 1933
Andre Kertesz-Distortion #33 ,1933
André Kertész – Distortion # 34 , 1933
André Kertész – Distortion # 35 , 1933
André Kertész – Distortion # 36 , 1933
André Kertész – Distortion # 37 , 1933
André Kertész – Distortion # 38 , 1933
André Kertész – Distortion # 39 , 1933
André Kertész – Distortion # 40 Ou 43 , 1933
André Kertész – Distortion # 41 avec autoportrait de Kertész, 1933
Benedykt Jerzy Dorys est principalement connu en tant que très grand portraitiste (photographique). Son studio, basé à Varsovie était, déjà avant la guerre, un lieu des plus tendance pour ne pas dire « branché » de la Ville de Varsovie et se faire photographier par Dorys n’était pas seulement de bon goût, mais révélait un signe d’appartenance à la crème de la crème de l’époque. Cependant, Dorys n’était pas uniquement focalisé sur les élites. En effet ses photographies des pauvres de Kazimierz Dolny dans les années 1930 sont aussi connues et ont tout autant marquées l’histoire de la photographie polonaise.
Moins connues, mais tout aussi intéressantes sont ses photos de mode et ses quelques photos artistiques du corps nu. Dorys adorait les femmes et a su en sublimer toute les beauté et ce que je vous propose aujourd’hui à travers des portraits ‘( sérés ou de plein pied), et par ses photographies de modes .
Mais Dorys a bien entendu photographié bon nombres d’hommes, mais vous connaissez mon goût pour La femme , le nu ou l’érotisme.
Jerzy Dorys Benedykt – Portrait of Zofia Batycka, Miss Poland, 1930
Jerzy Dorys Benedykt – Portrait of Zofii Batyckiej, 1930
Jerzy Dorys Benedykt – Portrait of Zofii Batyckiej, 1930
Jerzy Dorys Benedykt – Portrait of Zofia Batycka, Miss Poland, 1930
Dorys Jerzy Benedykt -Portrait of Sophia Batycka, 1930s
Jerzy Dorys Benedykt – Portrait of Zofii Batyckiej, 1930
Jerzy Dorys Benedykt – Portrait ofNiny Grudzińskiej, 1932
Jerzy Dorys Benedykt – portrait de Karoliny Lubieńskiej, 1932
Jerzy Dorys Benedykt Loda Halama w tanecznej pozie, 1932
Jerzy Dorys Benedykt- Portrait of a man in scarf and coat with the collar , 1933 gif by Bill Domonkos is a visual artist and filmmaker.
Jerzy Dorys Benedykt – Portrait ofOlgi Kamieńskiej, 1930
Jerzy Dorys Benedykt- Portret Marii Gorczyńskiej z flakonikiem perfum „Amour amour” firmy Jean Patout, 1930 gif by Bill Domonkos is a visual artist and filmmaker.
Jerzy Dorys Benedykt -Marii Malickiej, 1930.
Jerzy Dorys Benedykt – Portrait of Marii Gorczyńskiej, 1931
Jerzy Dorys Benedykt -Halina Hulanicka dansant Halina Hulanicka dancing, 1930
Jules De Bruycker est un peintre et poète belge.En 1893, il entre à l’Académie des beaux arts, et durant son temps libre, il commence le dessin et l’aquarelle.En 1903, il expose pour la première fois et le gouvernement lui achète sa première aquarelle intitulé le « marché de Rag ».Ce n’est qu’à 35 ans qu’il découvre le gravure et commence alors pour lui un travail formidable qui prend la majeure partie de son temps. Certaines œuvres sont directement réalisée sur la plaque, sans dessin
En 1914, il s’enfuit à Londres.Là, il rencontre son épouse Raphaëlle Il dessine dans l’atelier de Whistler, et ses dessins sur le thème de la guerre qui le ronge beaucoup, lui sont achetés par M. De Graaff (grand collectionneur/ collection De Graaff-Bachienne). Durant les dix prochaines années Jules produira beaucoup de nus ( que ce soit des encres ou s), ce qui nous intéressera plus particulièrement aujourd’hui bien sur, comme à, notre habitude, et que je vous proposerai.
Sous l’influence de sa femme, il fera plusieurs voyages en France, notamment à Paris Bourges, Rouen et Amiens la dentelle de pierre des cathédrales l’inspireront beaucoup ( vous pouvez retrouver ce thème dans le second lien à la fin de l’article), il sera d’ailleurs un peu « obsédé » par ce thème ce qui lui vaudra d’ailleurs l’admiration et la reconnaissance de tous. C’est en 1932, que son premier recueil de poésies est publié : « Sites et Visions de Gand ».
Il réduit la gravure considérablement pour des raisons de santé, en effet les produits utilisé lui ont causé beaucoup de dommages .En 1940, un nouveau tournant se dessine si l’on puis dire , assis à la terrasse du Wilson, dans sa ville de Gand, il réalise des dizaines de croquis, qui deviendront la serie les gens de chez nous, en 1942 ( encore une fois, vous avez le lien en bas de l’article), ce qui lui donnera l’idée d’en réaliser un, en l’intitulant les « Gens Pas de chez nous ».
Aujourd’hui ceux sont donc les nus que je vous présente. d’une grande pureté et simplicité. Ils sont toujours d’une grande délicatesse et dans les pauses et dans le coup de crayon. On peut noter qu’il est fort probable que Jules fût quelque peu fétichiste des bas et bottes, ainsi que s… bons nombres de ses modèles en portent. Elles sont le plus souvent alanguie, éveuses, ou un livre à la main.
Gravure et Encres
Jules De Bruycker- naakt, 1925 ( eaux fortes -etchings)
Jules De Bruycker- naakt, 1920 ( eaux fortes -etchings)
Jules De Bruycker- naakt, 1925 ( eaux fortes -etchings)
Jules De Bruycker- naakt, 1925 ( eaux fortes -etchings)
Jules De Bruycker- naakt, 1925 ( eaux fortes -etchings
Jules De Bruycker- naakt, 1916 ( eaux fortes -etchings
Jules De Bruycker- nu ,naakt, 1920 ( eaux fortes -etchings)
Jules De Bruycker- naakt, 1925 ( eaux fortes -etchings)
Jules De Bruycker- naakt, Nd ( eaux fortes -etchings
Dessins
Jules De Bruycker- naakt, 1920 Dessins – Drawings
Jules De Bruycker- naakt, Dessins – Drawings
Jules De Bruycker- naakt,nd ( dessin)
Jules De Bruycker- naakt, ( dessin)
Jules De Bruycker- naakt, 1920-25 Dessins – Drawings
Jules De Bruycker- naakt, Dessins – Drawings
Jules De Bruycker- naakt, ndDessins – Drawings
Jules De Bruycker- naakt, Dessins – Drawings
Jules De Bruycker- naakt, Dessins – Drawings
Jules De Bruycker- naakt, Dessins – Drawings
Jules De Bruycker- naakt, Dessins – Drawings
Jules De Bruycker- naakt, Dessins – Drawings
Jules De Bruycker- naakt, Dessins – Drawings
Jules De Bruycker- naakt, Dessins – Drawings
Jules De Bruycker- naakt,1919 Dessins – Drawings
Jules De Bruycker- naakt, 1919 Dessins – Drawings
Jules De Bruycker- naakt, Dessins – Drawings
Jules De Bruycker- naakt, Dessins – Drawings
Jules De Bruycker- naakt, NdDessins – Drawings
Jules De Bruycker- naakt, Dessins – Drawings
Jules De Bruycker- naakt, Dessins – Drawings
Jules De Bruycker- naakt, 1925-37 ( dessin)
Jules De Bruycker- naakt, 1937 ( dessin)
Jules De Bruycker- naakt, 1928 ( dessin)
Jules De Bruycker- naakt, nd ( dessin)
Jules De Bruycker- naakt, ND ( dessin)
Jules De Bruycker- naakt, Dessins – Drawings
Jules De Bruycker- naakt, Dessins – Drawings
Jules De Bruycker- naakt, Dessins – Drawings
Jules De Bruycker- naakt, Dessins – Drawings
Jules De Bruycker- naakt, modele eva Dessins – Drawings
Jules De Bruycker- naakt,modele la petite Eva Frits van den Berghe. 1925 ( dessin)
Jules De Bruycker- naakt, 1920 Dessins – Drawings
Jules De Bruycker- naakt model, Eva , Dessins – Drawings
Erwin Blumenfeld est un photographe des plus influents du 20ème siècle et notamment dans la mode, mais aussi du nu, il sera l’un des photographes les mieux payés de son époque. Il a fait la une des plus grands magazines de modes des années 40 et 50 ( il signe ses premiers contrats en 1939 avec Harper’s Bazaar et produisait dejà depuis une année des photos pour Vogue. Mais en 1940 Blumenfeld est interné dans les camps de concentration de Montbard-Marmagne, Vernet d’Ariège et Catus, à sa sortie il part vivre au États unis. Il fût un novateur approfondissant ses recherches et techniques audacieuses qui vont de pair avec celles de Man Ray par exemple, la photomanipulation ou la solarisation était ses grands dadas..
Ah Dada justement !!! Bien avant l’époque de la fin des année 30, Blumenfeld fît parti d’un groupe Dada où il se lia avec George Grosz, juste avant de s’installer à Amsterdam, où il fonda la Centrale Dada avec Paul Citroen.( son ami depuis l’enfance, d’ailleurs Erwin se mariera avec sa soeur …). Il réalise à cette époque beaucoup de collages de dessin et des photomontages ( voir article Ici ). Il pratique la photographie « expérimentale » en tant qu’amateur jusqu’en 1936, date à laquelle il devint professionnel et s’installe à Paris où il participa à l’activité surréaliste, ses clichés étant reproduits dans les revues Minotaure et Verve, pour ne citer que celle- ci.
Aujourd’hui c’est plutôt cette époque que nous allons voir, celle qui précède les photographie de mode et la couleur ( quelques planches ici ) , nous nous arrêterons aux années 50, et même si plusieurs planches ont été publiées dans des magazines de modes , il n’en reste pas moins qu’elles présentent malgré tout cette technique
Littérature : The Naked and the Veiled. The Photographic Nudes of Erwin Blumenfeld. Photographs by Erwin Blumenfeld. ed° Thames & Hudson, New York, 1999.
Erwin Blumenfeld – Nude study, 1948
Erwin Blumenfeld – Nu, New York, 1945
Erwin Blumenfeld – Nude, Paris, 1936
Edwin Blumenfeld -Nude With Shadows, 1950
Erwin Blumenfeld – Untitled 1937
Edwin Blumenfeld -Striped Nude, 1950
Edwin Blumenfeld -Striped Nude détail, 1950
Erwin Blumenfeld, New York, 1952
Erwin Blumenfeld – Nude behind glass,1940s
Erwin Blumeneld- Nude Light,Shadow, New York, 1952
Edwin Blumenfeld -unknown title , 1948
Edwin Blumenfeld -Breast Outline, 1948
Edwin Blumenfeld – Nude, New York, 1950
Erwin Blumenfeld Minor Spotlight, New York, 1955
Erwin Blumenfeld 1957
Edwin Blumenfeld -Nude Outline 1963
Edwin Blumenfeld -Solarized Nude , 1950
Erwin Blumenfeld -Torso (solarized), Paris,1938
Edwin Blumenfeld -Nude in Mirror , 1938
Erwin Blumenfeld Nude. .1947
Erwin Blumenfeld-Veiled Beauty, 1937
Edwin Blumenfeld -Torso , 1936
Erwin Blumenfeld-Nude on Coca Cola Chair, 1944
Erwin Blumenfeld – untitled, New York, .1958
Erwin Blumenfeld – untitled, 1937
Erwin Blumenfeld- Teddy Thurman in Minced Mirrors , New York, 1948
Erwin Blumenfeld Teddy Thurman in Minced Mirrors , New York, 1948
Erwin Blumenfeld – Gestes, 1942
Erwin BlumenfeldEtude in 2-4 Time, Coronet Magazine, January 1938
Erwin BlumenfeldUntitled Coronet Magazine, June 1938
Erwin Blumenfeld-Untitled Nude , Coronet Magazine, August 1938
Edwin Blumenfeld -Diaphanous, Coronet Magazine, May 1938
Erwin Blumenfeld – Violettes de Montezin for Point de Vue de Vogue, French Vogue, October 1938
Erwin Blumenfeld- Veil , 1935
Erwin Blumenfeld -Veiled dancer, c.1933 Froù the Book Erwin Blumenfeld His Dutch Years (1918-1936) Ed. The Hague Museum of Photography, The Hague, 2006
Erwin Blumenfield- Chevelure Coronet Magazine, January 1938
Erwin Blumenfeld- Living Mummy [solarization],photogravure, 1935. and published as Requeiscat, in Coronet Magazine, June 1938
Erwin Blumenfeld – Solarized Hands , 1944
Erwin Blumenfeld – Solarised Hands c.1933 {from Erwin Blumenfeld – His Dutch Years (1918-1936)}
Erwin Blumenfeld Solarized Nude, 1943
Erwin Blumenfeld Solarized head, 1940
Erwin Blumenfeld – The Mobled Queen, Coronet Magazine, December 1939
Erwin Blumenfeld -Solarized portrait, c.1933
Erwin Blumenfeld – Know Thyself, Coronet Magazine, December 1939
Erwin Blumenfield- Teddy Thurman in New York, 1948
Florence Vandamm (Vandamm Studio) – Tilly Losch paper snipe for Tilly Losch in the Band Wagon, at the new amsterdam theatre musical, 1931
The Band Wagon est une revue (comédie musicale) américaine créée à Broadway en 1931.
Une parodie des spectacles typiques de l’époque , comprenant, plusieurs tableaux.
le casting était composé de
Tilly Losch : La danseuse Adele Astaire : Ivy Meredith Fred Astaire : Simpson Cater / Le démonstrateur John Barker : Mr. Wallace / Mr. Knipper Helen Broderick : Sarah / Mrs. Prescott Helen Carrington : Mrs. Boule Philip Loeb : Jasper / Walker / Mr. Leftwitch Frank Morgan : Le colonel Jefferson Claghorne / L’inspecteur Cartwright Francis Pierlot : Ely Cater / L’homme assassiné / Mr. Cadwallader Roberta Robinson :Miss Hutton Jay Wilson : Martin Carter / Un policier Albertina Rasch Dancers
Florence Vandramm (Vandamm Studio) -Tilly Losch paper snipe for Tilly Losch in the Band Wagon, at new amsterdam theatre, 1931 [ crop]
Les trois photographies qui suivent sont des scans du livre Parole de corps/ les couleurs ne sont pas très belles, mais c’est les seules photos de Tilly Losch de cette serie en couleur avec le tampon du photographe.
Florence Vandamm (Vandamm Studio) -Tilly Losch, in The Band Wagon (Costume designed by Constance Ripley. A Howard Dietz-Arthur’s musical revue Schwart, 1931
Florence Vandamm (Vandamm Studio) -Tilly Losch, in The Band Wagon (Costume designed by Constance Ripley. A Howard Dietz-Arthur’s musical revue Schwart, 1931
Florence Vandamm (Vandamm Studio) -Tilly Losch, in The Band Wagon (Costume designed by Constance Ripley. A Howard Dietz-Arthur’s musical revue Schwart, 1931
Florence Vandamm (Vandamm Studio) -Tilly Losch, in The Band Wagon (Costume designed by Constance Ripley. A Howard Dietz-Arthur’s musical revue Schwart, 1931
Graphiste de formation, Pierre Boucher s’est formé à l’Ecole d’arts appliqués à l’Industrie, dans l’atelier de publicité, et a été influencé par les arts décoratifs, l’architecture de Le Corbusier et par l’art moderne.Sa curiosité pour ces différents domaines conduit le photographe à s’appuyer sur des recherches personnelles pour répondre à des commandes. Il utilise des techniques mécaniques d’imagerie à des fins détournées. Il se libère en partie de la chambre noire. Le photomontage le conduit à créer un univers singulier et original, comme dans Electra, pour laquelle il utilise un nu hiératique dont il remplace la tête par un élément issu d’un reportage industriel pour une compagnie d’électricité. D’ailleurs la quatrième de couverture de Pierre Boucher Photomonteur paru en 2003 le décrit très bien….. Acteur majeur de la Nouvelle Vision, Pierre Boucher expérimente toutes les techniques de photographie avant-gardiste et
» (Son oeuvre) est protéiforme, comme la plupart de la production photographique de ses contemporains. Il colle à tous les registres de cette photographie moderne comme l’expérimentation avec les photogrammes, photocollages, solarisations et surimpressions. Esprit curieux, cultivé et sportif, Pierre Boucher produit aussi bien des nus surréalistes que des publicités recherchées et bien construites, mais il documente aussi la nouvelle société du temps libre et des loisirs qui s’annonce dès 1936 avec les congés payés accordés par le Front populaire. Que ce soit dans le document ou dans la photographie industrielle, Pierre Boucher déclenche avec ses images chez le spectateur une grande proximité et une empathie avec le sujet représenté. Refusant toute spécialisation que lui permettait encore son époque, Pierre Boucher a photographié toute sa vie ce qu’il aimait « . Editions Marval. 2003. 4eme de couverture
Un autre aspect essentiel de son oeuvre réside dans le nu, ( sujet de prédilection sur ce blog) ,qu’il expérimente d’abord dans le style de la Nouvelle Objectivité ( sous des angles inédits de corps fragmentés aux courbes dynamiques) . Il pratique ensuite le nu surréaliste ( la surimpression de formes, la solarisation et le photomontage) et le nu néo-classique( l’harmonie et la beauté dans la célébration du corps sur le modèle grec.)Contrairement à ses photographies surréalistes ou publicitaires, ses nus se révèlent dans leur authenticité, sous des angles singuliers. Ils reflètent aussi l’époque des années 1930, avec la libération et la sublimation du corps en harmonie avec la nature.
Parmi ses autres thèmes de prédilection : le sport. Le mouvement, la vitesse, le rythme, le dynamisme, l’élan, le corps en plein effort sont autant de caractéristiques de ses photographies dans ce domaine, il aime aussi les vues urbaines et d’architecture. Ses clichés constituent des témoignages de la société de l’époque.
Enfin, il rapporte également de nombreuses photographies et dessins de ses fréquents voyages ( Maroc Espagne Egypte). Une dimension graphique, issue de son regard formé par ses premières années d’études, se retrouve dans l’ensemble de son travail. Par exemple au milieu des années 30, au Maroc, Pierre Boucher a surtout travaillé dans l’ethnographie des Berbères de l’Atlas. il s’est servi de photos prises dans l’Atlas et à Volubilis pour ses photomontages
Je choisie de vous proposer les photomontages de la série « Fantasmagorie du nu », les surimpressions et double exposition ainsi que les nus, mais son oeuvre ne s’arrête pas là, vous trouverez son travail sur le sport, l’archicture et la publicité sur le net.
Les Fantasmagories du Nu
Pierre Boucher- Les Fantasmagories du Nu #1, 1937
Pierre Boucher -Les Fantasmagories du Nu #002., 1937, ( print Original vintage photogravure. c1949.)
Pierre Boucher- nu solarisé (Femme Fleur) Les Fantasmagories du Nu, N° 5, 1935
Pierre-Boucher-Antique nude, Volubilis ruins in Morocco,1936 from Les Fantasmagories du Nu# 6 , 1937
Pierre boucher Nu – Ruines de Volubilis,1937 from Les Fantasmagories du Nu # 7
Pierre boucher Nu – Ruines de Volubilis, #8 1937 from Les Fantasmagories du Nu series
Pierre boucher Nu – Ruines de Volubilis,1937 , Les Fantasmagories du Nu# 9
Pierre Boucher- Collage, Les ruines romaines de Volubilis du Maroc , 1936 from les fantasmagories du nu. #10 1937
Pierre Boucher, Nu à Télouet, Maroc,1936 #11 1937 from Les Fantasmagories du Nu
Pierre-Boucher-Les Fantasmagories du Nu # 12,1937
Pierre Boucher- photomontage les fantasmagories du nu.#13, 1937
Pierre Boucher – Les Fantasmagories du Nu #15A, 1936.
Pierre Boucher -Les Fantasmagories du Nu #14, 1937
Pierre Boucher- Le nu à la plume,1932 surimpression
Pierre-Boucher-Les trois grâces,1949 surimpression
Pierre Boucher, Nu à la chevelure, 1943 photomontage,
Pierre Boucher – Bras sur le Guadalquivir, 1934
Pierre Boucher – Jeanine Prévert à la loupe, 1938
Pierre Boucher- Electra ,1961
Pierre-Boucher-Photomontage La revolte, 1936
Pierre Boucher- La chute des corps, 1936
Pierre Boucher – La chute d’un corps, Photocollage, 1936.
Pierre Boucher- Ondine, 1937 photomontge
Pierre Boucher -Nu féminin, 1936
Pierre Boucher – Nu avec Résilles de Lumière , 1936
Pierre Boucher – Nu avec Résilles de Lumière, 1936
Pierre Boucher – Nude, 1936
Pierre Boucher-Nu à tête romaine, 1936
Pierre Boucher – Nu ensablé, 1930
Pierre boucher-Femme nue, 1937
Pierre Boucher- Ombre portée, 1938
Pierre Boucher – Nu rayé, 1935
Pierre Boucher – Nu, 1937
Pierre Boucher – Nu surimpression, 1934
Pierre Boucher – Nu , Surimpression, 1935
Pierre Boucher, Female Nude, 1935
Pierre Boucher – Nu au violon, 1938
Pierre Boucher-Surimpression II.photogravure. c1933
Pierre Boucher -Nu dans la mer, Surimpression, 1932
Pierre Boucher-portrait à la vague,1936-1938, surimpression
Pierre Boucher-Etude de Nu , 1933
Pierre Boucher La Sirene, 1936
Pierre Boucher – Untitled, Nu, 1935
Pierre Boucher- Nu en extérieur, 1935
Pierre Boucher- Deux penseurs, 1935
Pierre Boucher- Nu #06, 1933
Pierre Boucher- Nu #19, .1936
Pierre Boucher – Nu couché 1935
Pierre Boucher – L’eau, 1935
Pierre Boucher- Solarized Arm and Hand, 1933
Pierre Boucher. Portrait tramé, 1939-46
Pierre Boucher – Regard de Janine ( prévert) , 1938
Pierre Boucher – Nu au chandelier, 1948
Pierre Boucher- Portrait (enfant endormi), 1935
Pierre Boucher Etude de nu. Rayogramme. 1930.
source Pierre Boucher Photomonteur Edition Marval 2003
Le photographe basé à Stavanger Waldemar Eide (1886-1963) est considéré comme l’un des principaux photographes portraitistes norvégiens de la première moitié des années 1900. Ses œuvres restent cependant relativement méconnues du grand public. Waldemar Eide a été l’un des premiers photographes à se considérer comme un artiste pictural. Il expose régulièrement ses œuvres en Norvège et à l’étranger et est souvent décrit comme un photographe plus connu en Europe que dans son pays. Il a participé à des expositions et a remporté plusieurs prix pour ses photos. Eide a également écrit régulièrement sur l’art et la photographie pour des revues et des journaux professionnels et est considéré comme très important pour les photographes amateurs en général et la vie culturelle à Stavanger en particulier.
Waldemar Eide -Idol. Portrait of unknown woman. The image has characterized the front page of the magazine Hvar 8 days in March 1924.
Waldemar Eide – Etude de nu, ca. 1930
Waldemar Eide – study of nude, 1930
Waldemar Eide – Etude de nu, ca. 1930
Waldemar Eide Greta Nissen
Waldemar Eide -Grethe Ruzt-Nissen, nd
Waldemar Eide – Grethe Ruzt-Nissen, nd
Waldemar Eide Greta Nissen
Waldemar Eide Greta Nissen
Waldemar Eide 20s Greta Nissen Modern Dance
Waldemar Eide – Etude de nu (Ellen Sinding), 1922_eWaldemar Eide – Aktstudie (Ellen Sinding-maybe), 1926_eWaldemar Eide Illustration for a fairy 1919Waldemar Eide – Nude woman on her knees with her hands tied behind her back, ca. 1919
Trude Fleischmann (1895-1990) est l’une des grandes photographes du 20e Siècle. Elle était une de ces jeunes photographes juives confiantes, qui ont fait une carrière traditionnelle dans une profession masculine. Elle a photographié les étoiles du théâtre, des danseurs et des intellectuels. Trude a développé une passion pour la photographie dès son enfance, et est rapidement devenue l’un des plus grands photographes de portrait de Vienne peu après l’ouverture de son propre studio à l’âge de vingt-cinq ans. Même si elle est largement méconnue aujourd’hui, ses portraits d’intellectuels et d’artistes, y compris Karl Kraus (1874-1936), Peter Altenberg (1859-1919), Adolf Loos (1870-1933), Alfred Polgar (1873-1955), Stefan Zweig (1881-1942), Alban Berg (1885-1935), Bruno Walter (1876-1962), Max Reinhardt (1873-1943), Paula Wessely (1907-2000) et Grete Wiesenthal (1885-1970), reste un témoignage important de la culture européenne du XXe siècle
Issue d’une famille aisée, elle peut recevoir le soutien financier nécessaire dans son début de carrière. Sa formation comprend un semestre à étudier l’histoire de l’art à Paris et trois ans au « Lehr-und Versuchsanstalt für Photographie und Reproduktionsverfahren, » où les femmes avaient été autorisés à étudier la photographie depuis 1908. Après avoir terminé ses études en Juillet 1916, elle est devenue apprentie photo-finition dans l’atelier de la portraitiste bien connue madame d’ora (Dora Kallmus et son mari…. ), dont le travail qu’elle admirait. Parce que d’Ora se plaint de sa lenteur, Trude quitte sa place après seulement deux semaines !!!! . Mais elle rebondie très vite car peu de temps après, Trude trouve une place auprès du photographe Hermann Schieberth, dont les clients de la scène culturelle et intellectuelle viennoise étaient très friands. En 1919, elle devient membre de la Société Photographique de Vienne. ( Les plus célèbres d’entre eux comprennent – aux côtés de Trude Fleischmann – Edith Barakovich, Grete Kolliner, Marianne Bergler, Pepa Feldscharek, Hella Katz, Steffi Brandl, Kitty Hoffman, Edith Glogau, Trude Geiringer et Dora Horowitz).
Après trois ans, et avec l’encouragement de sa mère et le soutien financier de sa famille, elle a fondé son propre studio en 1920.Elle a pu poursuivre une carrière réussie entre les deux guerres car elle réalises des photos de mariages ou de baptêmes, et qu’elle reste sous contrat avec des magazines. Le « boom » de la photographie à cette période , lié à la croissance des magazines féminins ou non d’ailleurs , a également contribué à sa carrière.( par exemple Die Bühne, Moderne Welt, und Mode Welt et Uhu, en autriche, mais elle contribue aussi à la presse internationale) Elle réalise des portraits artistiques des célébrité du monde des arts ( l’opéra (chefs d’orchestre et chanteurs) , la musique, la danse et de théâtre) mais également des portrait de grands scientifiques, de politiciens et de professionnels de la photographie . Ainsi, elle devient rapidement indispensable à la presse autrichienne et internationale.
Comme son cercle d’amis dans le monde de l’art a grandi, le studio de Fleischmann est devenu un lieu de rassemblement pour l’élite culturelle de Vienne. Son manque d’assignations fixes et les clients lui a permis plus de liberté dans ses choix de thématiques et son style. Elle a une façon bien particulière de fixer l’expression des visages, et un regard érotiques sur les corps de ses sujets qui lui ai propre. L‘esthétique de Fleischmann a ouvert une nouvelle ère: Elle a appelé à la présentation d’une « nudité naturelle », et elle s’efforçait de ne pas « ajouter » des effets de pose, sous couvert d’un travail artistique pour montrer ces corps nus.
En toute logique, si l’on puis dire, qui Fleischmann a été parmi les premiers à photographier les nouveaux styles de danse à Vienne se voit proposer en 1925 de faire une exposition de ses photographies mettant en vedette la danseuse Claire Bauroff nue. Claire Bauroff dont le corps avait été très huilé, donnait ainsi aux cliché une luminosité et contrastes forts pris devant un noir. Quelques années auparavant, une telle mise en scène du corps nu aurait été impensable et en outre, la production de photos de nus pendant une longue période a été réservée aux hommes, en cela Trude Fleischmann était une pionnière, et à gagné ses galons ainsi. Cette exposition fît scandale et a fût interdite et les planches confisquées par un procureur de district de Berlin pour indécence.. une fois de plus , on note combien proposer du nu artistique est difficile et encore une fois, un des photographes dont nous parlons a été victime de censure
En raison de son origine juive Fleischmann a été obligé de chercher du travail ailleurs après 1938. Laissant derrière elle la plupart de ses négatifs, elle émigre à Paris, Londres et finalement à New York avec l’aide de son élève et ancienne amante Helen Post (1907-1979 une photographe indépendante qui a photographié les tribus indiennes dans tout l’Ouest et du Sud-Ouest de 1936 à 1941 ). [Fleischmann, qui ne s’est jamais mariée, était une lesbienne et a eu un certain nombre de relations avec des femmes connues].
Là bas, Fleischmann poursuit une brillante carrière dans la photographie, d’abord avec The Post et, après 1940, dans son propre studio, qu’elle a dirigé jusqu’en 1969 avec Frank Elmer, un autre émigré viennois.
Contrairement à son travail de jeunesse, beaucoup de ses photographies ultérieures sont des paysages urbains de New York, ainsi que des modèles de mode qu’ elle a souvent photographié pour Vogue. Ses clients, sont aussi les émigrants de la scène culturelle européenne, comme Elisabeth Berger, Oskar Kokoschka, Lotte Lehmann, Otto von Habsburg , le comte Richard Coudenhove-Kalergi et Arturo Toscanini.
En 1969, Fleischmann a pris sa retraite en Suisse, affirmant qu’elle ne voulait pas retourner à Vienne en raison du comportement de la population pendant la guerre. Après un accident en 1987 qui l’a rendue handicapée, elle est retournée aux États-Unis pour vivre avec son neveu, le pianiste Stefan Carell, à Brewster, New York jusqu’à sa mort en 1990.
Conseil de lecture Trude Fleischmann: Der selbstbewusste Blick by Anton Holzer & Frauke Kreutler , Catalogue Musée vienne, 2011 ou Catalogue: « Trude Fleischmann – Le regard confiant. » Edité par Anton Holzer et Frauke Kreutler. Editeur: Hatje Cantz, 2011
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