Roger Parry (1905-1977) part I

Né en 1905, Roger Parry se forme à l’Ecole nationale des Arts décoratifs avant de découvrir la photographie. Il devient l’assistant de Maurice Tabard en 1928, au studio de photographie publicitaire Deberny-Peignot. A l’aide d’images aussi dépouillées qu’efficaces, il introduit dans cet art appliqué qu’est la photographie publicitaire les audaces formelles des avant-gardes (photogrammes, photomontages, solarisations…).

Très vite, il prépare avec Fabien Loris l’illustration photographique d’un recueil de poèmes de Léon-Paul Fargue, Banalité. Sa publication en 1931 va le faire apprécier des milieux intellectuels ; il participe alors aux expositions collectives qui réunissent de nombreux talents de l’époque comme Kertész ou Man Ray.

A partir de 1931, Parry est chargé de la promotion de romans publiés à la NRF (Nouvelle Revue Française) qui lui commande plus de 200 couvertures pour des collections populaires.

Il est aussi photographe de plateau sur L’Atalante de Jean Vigo, illustrateur et portraitiste pour Gallimard ou collaborateur de Voilà et Détective.

En 1932, il s’embarque pour un long voyage vers les îles de la Polynésie française, où il réalise un reportage « tendant simplement à présenter un tableau aussi fidèle que possible de la vie actuelle à Tahiti et aux Iles sous le Vent» (Préface de « Tahiti »).
Ces photographies sont publiées dans Tahiti en 1934, ouvrage élaboré avec la complicité de Malraux.

En 1938, utilisant le prétexte de la publication de Zuyderzee (roman de Jeff Last aux éditions Gallimard), il effectue un reportage dans les polders hollandais. Dans une recherche constante de l’envers du décor, il y affine l’orientation documentaire de sa pratique personnelle.

Réformé en 1939, il intègre pendant la guerre la rédaction de Match et de Marie-Claire, avant de publier régulièrement dans La Semaine, principal hebdomadaire de divertissement sous l’Occupation. Il photographie alors les galas, les expositions ou les pièces de théâtre d’un Paris occupé dont la vie culturelle continue malgré tout.

En août 1944, il rejoint le Comité de Libération des reporters photographes de presse après avoir photographié le soulèvement populaire de Paris.

En tant que correspondant de guerre, il suit ensuite les Alliés jusqu’au printemps 1945, de l’Alsace à la poche de Royan.

Après la guerre, il couvre pour l’AFP la visite officielle du Général de Gaulle à New York en 1945 et la Conférence de Moscou en 1947. A la fin des années 1940 il délaisse progressivement le reportage de presse.

A partir de 1948, aux côtés d’André Malraux, il collabore aux collections de la « Galerie de La Pléiade » et surtout de « l’Univers des formes » dont il est le directeur technique pour les premiers volumes, révélant ainsi la vaste palette de ses talents d’illustrateur, de graphiste, de maquettiste et de photographe.

Il décède en 1977, quelques mois après André Malraux.

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Roger Parry -Etude pour la couverture de Les Trois jeunes filles de Vienne (fumeuse d'opium), 1934

Roger Parry -Etude pour la couverture de Les Trois jeunes filles de Vienne (fumeuse d’opium), 1934

Roger Parry - Sans Titre, 1933-1934

Roger Parry – Sans Titre, 1933-1934

Roger Parry-Nu couché , 1933-34

Roger Parry -Nu (bras allongés°, 1930

Roger Parry -Nu (bras allongés°, 1930

Roger Parry-Nu, années 1930

Roger Parry-Nu, années 1930

Roger Parry- Une femme aux seins nus brandit un sabre à cheval sur une peau de bête, 1933-34( Etudes ; Illustrations de romans populaires, Collection Détective de Gallimard

Roger Parry- Une femme aux seins nus brandit un sabre à cheval sur une peau de bête, 1933-34( Etudes ; Illustrations de romans populaires, Collection Détective de Gallimard

Roger Parry-Bas et porte-jarretelles, 1935

Roger Parry-Bas et porte-jarretelles, 1935

Roger Parry-Femme les jambes croisées portant des bas, 1935

Roger Parry-Femme les jambes croisées portant des bas, 1935

Roger Parry Femme s'habillant devant un miroir, Reportage. Publicité pour grande maison de blanc - Mode vers 1930

Roger Parry Femme s’habillant devant un miroir, Reportage. Publicité pour grande maison de blanc – Mode vers 1930

Roger Parry- Ludmilla Tcherina pour un spectacle de danse à Nice-Monte-Carlo , novembre 1943

Roger Parry- Ludmilla Tcherina pour un spectacle de danse à Nice-Monte-Carlo , novembre 1943

Roger Parry -Portrait de Femme Double Image, 1928

Roger Parry -Portrait de Femme Double Image, 1928

Roger Parry -Nu, 1928

Roger Parry -Nu, 1928

Roger Parry - Sans Titre, 1928 - 1930

Roger Parry – Sans Titre, 1928 – 1930

Roger Parry. Double Exposure, Robert Couturier, 1931© Ministère de la Culture - Médiathèque du Patrimoine

Roger Parry. Double Exposure, Robert Couturier, 1931© Ministère de la Culture – Médiathèque du Patrimoine

Roger Parry.- femme dans un lit, double exposition 1933.© Ministère de la Culture - Médiathèque du Patrimoine.&

Roger Parry.- femme dans un lit, double exposition 1933.© Ministère de la Culture – Médiathèque du Patrimoine.&

Roger Parry- La Malle,vers 1929

Roger Parry- La Malle,vers 1929

Roger Parry- Untitled, 1930s

Roger Parry- Untitled, 1930s

Roger Parry -Pièce vide et œil (double exposition), 1929

Roger Parry -Pièce vide et œil (double exposition), 1929

Roger Parry-Banalité 3, 1930

Roger Parry-Banalité 3, 1930

Roger Parry- Mains avec boule de cristal, Variation, 1930 © Ministère de la Culture - Médiathèque du Patrimoine edité pour for André Maurois’ Le peseur d’âmes en1932

Roger Parry- Mains avec boule de cristal, Variation, 1930 © Ministère de la Culture – Médiathèque du Patrimoine edité pour for André Maurois’ Le peseur d’âmes en1932

Roger Parry- Nature morte, 1929

Roger Parry- Nature morte, 1929

Roger Parry- Etude, 1930

Roger Parry- Etude, 1930

Roger Parry Main sur crépis avec traînée, 1928

Roger Parry Main sur crépis avec traînée, 1928

Roger Parry-Un serpent s'enroule autour des doigts et du poignet d'un homme 1933

Roger Parry-Un serpent s’enroule autour des doigts et du poignet d’un homme 1933

Roger Parry -Illustration pour la couverture d'un roman de Sidney Fairway , Un serpent et une main crispée,1933

Roger Parry -Illustration pour la couverture d’un roman de Sidney Fairway , Un serpent et une main crispée,1933

Roger Parry- Un serpent dans des draps et deux mains crispées, 1933

Roger Parry- Un serpent dans des draps et deux mains crispées, 1933

Roger Parry-Illustration de la couverture d'un roman de Maurice Marrou ; Une femme renversée et une valise1933

Roger Parry-Illustration de la couverture d’un roman de Maurice Marrou ; Une femme renversée et une valise, 1933

Roger Parry- Une femme étendue sur le dos, les yeux ouverts, la tête contre une valise et une revue de tauromachie dans une main1933

Roger Parry- Une femme étendue sur le dos, les yeux ouverts, la tête contre une valise et une revue de tauromachie dans une main, 1933

Roger Parry Une femme inconsciente est soutenue par une rambarde 1934

Roger Parry Une femme inconsciente est soutenue par une rambarde 1934

Roger Parry- Femme soufflant dans un gros coquillage,nd1

Roger Parry- Femme soufflant dans un gros coquillage,nd1

Roger Parry- Femme soufflant dans un gros coquillage,nd

Roger Parry- Femme soufflant dans un gros coquillage,nd

Roger Parry-autoportrait, , 1942

Roger Parry-autoportrait, , 1942

Reutlinger -Autoportrait avec Germaine Schroeder( poètesse ) vers 1913

« Fils, petit-fils et petit-neveu de photographes professionnels parisiens, Jean Reutlinger pratique entre autres la photographie au cours d’une brève existence qui s’achèvera à vingt-trois ans dans les premiers combats de la Grande Guerre. C’est un jeune homme exalté et sensible, cultivant avec ferveur son corps comme son esprit, poète collaborant avec son amie Germaine Schroeder à la revue La Vasque mais aussi champion d’athlétisme, et lié au coureur allemand Hans Braun. Son ouvre photographique, nus, portraits, paysages, est d’un classicisme épuré servi par de beaux tirages aux pigments. Ses portraits évoquent le pictorialisme retenu de Steichen plutôt que celui de l’école française.
Dans une série d’autoportraits avec Germaine Schroeder, dont la BNF ne possède que les négatifs, il explore une voie différente, intime et forte. Cette chronique d’un amour cisaillé par la guerre laisse deviner qu’il aurait été un acteur important du retour à la « photographie pure ». » BNF

John Léo (dit Jean) Reutlinger (1891-22 août 1914) Autoportrait avec Germaine Schroeder( poètessse) [1&2] vers 1913

John Léo (dit Jean) Reutlinger (1891-22 août 1914) -Autoportrait avec Germaine Schroeder( poètesse [1] vers 1913

John Léo (dit Jean) Reutlinger (1891-22 août 1914) -Autoportrait avec Germaine Schroeder( poètesse [1] vers 1913

John Léo (dit Jean) Reutlinger (1891-22 août 1914)Autoportrait avec Germaine Schroeder( poètesse) , vers 1913

John Léo (dit Jean) Reutlinger (1891-22 août 1914)Autoportrait avec Germaine Schroeder( poètesse) , vers 1913

John Léo (dit Jean) Reutlinger (1891-22 août 1914)- Portrait de la poètesse Germaine Schroeder  vers 1913 source bnf exposition

John Léo (dit Jean) Reutlinger (1891-22 août 1914)- Portrait de la poètesse Germaine Schroeder vers 1913 source bnf exposition

John Léo (dit Jean) Reutlinger (1891-22 août 1914)portrait de Germaine Schroeder  vers 1913 source bnf exposition

John Léo (dit Jean) Reutlinger (1891-22 août 1914)portrait de Germaine Schroeder vers 1913 source bnf exposition

John Léo (dit Jean) Reutlinger (1891-22 août 1914)- Portrait de la poétesse Germaine Schroeder dans son appartement du 52, rue Madame, vers 1913 source bnf exposition

John Léo (dit Jean) Reutlinger (1891-22 août 1914)- Portrait de la poétesse Germaine Schroeder dans son appartement du 52, rue Madame, vers 1913 source bnf exposition

Source Bibliothèque nationale de France, Département des Estampes et de la photographie

Paul Citroën (1896 – 1983)

Paul Citroën était un artiste Néerlandais d’origine Allemande, co-fondateur de la « New Art Academy » à Amsterdam. En 1919, Citroën a commencé à étudier au Bauhaus, où il reçu les enseignements de  Paul Klee et Wassily Kandinsky ainsi qu’Itten Johanne. Il débute sa serie Métroplis ( 1923) dès ces années d’apprentissage.
Entre 1929 et 1935, Citroën a fait de nombreuses photographies, clairement influencées par son travail avec Blumenfeld qui fût son ami de toujours et ce dès leurs enfances.( Retrouvez des photographies d »eux enfants et adolescents dans cet article ICI à la fin)

Erwin Blumenfeld - Paul Citroën , 1925

Erwin Blumenfeld – Paul Citroën , 1925

Erwin Blumenfeld - Paul Citroën avec une perruque  , 1929

Erwin Blumenfeld – Paul Citroën avec une perruque , 1929

Erwin Blumenfeld Paul Citroën in Dog House c. 1930

Erwin Blumenfeld Paul Citroën in Dog House c. 1930

Si ses oeuvres photographiques restent peu connues, celles de photomontages  (qui feront l’objet d’un autre article),  le sont beaucoup plus , tout autant que ses  timbres-poste Néerlandais datant 1949 d’ailleurs.

Paul Citroën - Estella, 1932, ( collection centre Pompidou, paris°

Paul Citroën -La danseuse  Estella  Reed,  1932, ( collection centre Pompidou, paris)

Paul Citroën - La danseuse Estella Reed, 1931

Paul Citroën – La danseuse Estella Reed, 1932

Paul Citroën- Portrait de Lotte Hammerschlag, 1930

Paul Citroën- Portrait de Lotte Hammerschlag, 1930

Paul Citroën-Jos Silleves, 1930

Paul Citroën-Jos Silleves, 1930

Paul Citroën – From the portfolio Alannah, 1928

Paul Citroën – From the portfolio Alannah, 1928

Paul Citroën -Schaufensterpuppe, 1928, ( collection centre Pompidou, paris)

Paul Citroën -Schaufensterpuppe, 1928, ( collection centre Pompidou, paris)

Paul Citroën- Auto portrait, 1932

Paul Citroën- Auto portrait, 1932

Erwin Blumenfeld - Paul Citroën  , 1928- 30

Erwin Blumenfeld – Paul Citroën , 1928- 30

Egon Schiele auto portrait, self-portrait, selporträt

 « l’art n’est jamais moderne, il est éternel » E. Schiele.

Pour commencer je voudrais vous signaler Ici un merveilleux article avec une approche hautement psychanalytique du travail d’égon schiele à lire absolument. rien ne sert de le copier coller, aller le lire, il est riche, empli de référence de citations d’auteurs experts en la matière. https://egonschieleselfportrait.wordpress.com/category/loeuvre-degon-schiele/

«Rarement un artiste aura autant été autant le modèle de son art que Schiele. «Seul Rembrandt a peut-être peint davantage d’autoportraits», a dit  l’historienne  Jane Kallir

Il a réalisé plus de cent autoportraits avec une quête angoissée de l’identité,créant ainsi un dédoublement du moi, autrement dit, l’image d’un alter ego . Des jumeaux exprimant la souffrance de celui qui découvre en lui une ambivalence, des forces opposées, contradictoires et chaotiques. Nul besoin de rappeler combien Egon était un être déchiré et tourmenté.

Une incessante question revient finalement à lui dans son travail d’auto-portrait  « Qui suis-je ? ».  Il se dessine  en double , sous deux angles différents dans un même tableau par exemple , toujours cet autre en lui et cette ambivalence.

Egon  s’est peint sous toutesles coutures et sous toutes sortes de costumes, tantôt sous les traits d’un pervers se masturbant, puis d’un saint Sébastien ou d’un saint moine auréolé, sous la figure du prisonnier, du soldat agressif, du dandy séducteur et, bien sûr, souvent le plus nu et toujours avec ses traits  torturés.

« L’artiste est celui qui rit, alors qu’il est brisé au plus intime de lui-même »

Tous les auto-portraits de Schiele dégage une séduction très forte ( tantôt sensuelle, vénale ou désespérée) . Tous ces visages cherchent à séduire, à attendrit, à tirer la pitié, à faire tendre une main, et Egon déploie toute la « panoplie»  si l’on puis dire  de la séduction . Il attire le regard sur lui , et il nous regarde,  parfois de façon homosexuelle, parfois tel un provocateur  ou avec  tendresse, tristesse ou désespoir.

Les auto-portraits  d’Egon Schiele sont  un grand cri , celui d’un homme ayant  tellement provoqué la mentalité ambiante qu’il fut arrêté par la police car ses toiles étaient jugées comme une atteinte à la pudeur publique et qui  ne se défendit  que par ces mots « Brimer un artiste est un crime, c’est tuer le germe de la vie ».

Schiele dévoile au grand jour le désir inextinguible de tout  homme ( ou femme) d’être estimé, reconnu, regardé, accueilli par un regard de tendresse et de miséricorde.

Texte en parti remanié mais extrait du Catalogue d’Expostion de 2011 au Musée belvédère en Allemagne. ( Merci à Werner D. pour l’aide à la traduction…)

Je vous conseille de lire ce livre aussi, il y a 25 pages disponibles sur google book… je vous mets le lien vers la page 31  qui évoque les auto-portraits et note que Schiele était un très bel homme !!!! ( mais vous pouvez voir toutes les pages bien sur )

Vous avez aussi un texte  intéressant avec une approche aussi psychanalytique ( Schiele et son oeuvre ont été le fruits de nombreuses recherches psychanalytiques)  sur Artsplas  traitant des ses auto-portraits  et qui l’est aussi  car il note toutes les nuances de la langue allemande et notamment pour ce mot d’auto portrait.

Je choisis bien sur quelques oeuvres, celles que je trouve les plus significatives de ce que je viens d’évoquer plus haut, c’est à dire, la tourmente, l’autre en soi, la figure du double, lea figure du séducteur, celle de l’exhibitionniste.

Il y a mille sites sur le net, où vous trouverez les autoportraits de Schiele, c’est plus les mots ici qui prime….  je vous mets les liens des sites à Vienne à la fin et d’autre liens… et vous avez aussi.

Je vous conseille aussi de lire Agnes and Jane Kallir (editors) et al. EGON SCHIELE- Self-Portraits and Portraits par Husslein-Arco, ed° Agnes and Jane Kallir , Vienna, Belvedere, and Munich, London, New York, Prestel Publishing, 2011 ( 200 illustrations), si vous êtes intéressé par le sujet.

Egon Schiele- Selbstporträt in einem Wams mit rechten Ellbog (Self-portrait in a jerkin with right elbow raised), 1914. {goache,pencil,chalk}

Egon Schiele- Selbstporträt in einem Wams mit rechten Ellbog (Self-portrait in a jerkin with right elbow raised), 1914. {goache,pencil,chalk}

Egon Schiele - Die Rote Hostie (L'hostie rouge), 1911

Egon Schiele – Die Rote Hostie (L’hostie rouge), 1911

Egon Schiele - Selbstbildnis maturbierend (Autoportrait se masturbant), 1911

Egon Schiele – Selbstbildnis maturbierend (Autoportrait se masturbant), 1911

Egon Schiele- Nackt Selbstportrait 1916 (Self Nude), 1916

Egon Schiele- Nackt Selbstportrait 1916 (Self Nude), 1916

Egon Schiele- Headless self-portrait 1911

Egon Schiele- Headless self-portrait 1911

Egon Schiele - Selbstporträt  (Self-Portrait)  , 1910

Egon Schiele – Selbstporträt (Self-Portrait) , 1910

 Egon Schiele -Selbstporträt,Self Portrait, 1910

Egon Schiele -Selbstporträt,Self Portrait, 1910

Egon Schiele- Self-portrait with hands on chest (date unknown)

Egon Schiele- Self-portrait with hands on chest (date unknown)

Egon Schiele -Stehender Mann, Selbstporträt, 1911

Egon Schiele -Stehender Mann, Selbstporträt, 1911

Egon Schiele- Selbstbildnis, 1910

Egon Schiele- Selbstbildnis, 1910

Egon Schiele - Selbstportrait Gefangenen (Self-portrait prisoner ) 1912

Egon Schiele – Selbstportrait Gefangenen (Self-portrait prisoner ) 1912

Egon Schiele- Selbstbildnis, 1910

Egon Schiele- Selbstbildnis, 1910

Egon Schiele- Selbstbildnis hockend (Auto-portrait accroupi), nd

Egon Schiele- Selbstbildnis hockend (Auto-portrait accroupi), nd

Egon Schiele -Selbstbildnis mit Weiblicher Akt Self-Portrait with Female Nude,  1917-18.

Egon Schiele -Selbstbildnis mit Weiblicher Akt Self-Portrait with Female Nude, 1917-18.

Egon Schiele-Männlicher Akt (Selbstporträt) I, 1912

Egon Schiele-Männlicher Akt (Selbstporträt) I, 1912

Egon Schiele- Selbstakt, Studie zur Sema Mappe (Autoportrait, Etude pour le groupe Sema), 1912

Egon Schiele- Selbstakt, Studie zur Sema Mappe (Autoportrait, Etude pour le groupe Sema), 1912

Egon Schiele- Selbstakt in Grau mit offenem Mund (Autoportrait nu en gris avec la bouche ouverte), 1910

Egon Schiele- Selbstakt in Grau mit offenem Mund (Autoportrait nu en gris avec la bouche ouverte), 1910

Egon Schiele- Selbstporträt mit Arm Verdrehung oben Kopf (Autoportrait avec le bras tordu au dessus de la tête), 1910

Egon Schiele- Selbstporträt mit Arm Verdrehung oben Kopf (Autoportrait avec le bras tordu au dessus de la tête), 1910

Egon Schiele - Self portrait with raised arms , 1

Egon Schiele – Self portrait with raised arms , 1913

 Egon Schiele -Dreifach-Selbstporträt, triple Self Portrait, 1913

Egon Schiele -Dreifach-Selbstporträt, triple Self Portrait, 1913

Egon Schiele - Doppelselbstporträt,double auto portrait, 1915

Egon Schiele – Doppelselbstporträt,double auto portrait, 1915

Egon Schiele-Die Rote Hostie (L'hostie rouge), 1911

Egon Schiele-Die Rote Hostie (L’hostie rouge), 1911

Egon Schiele- Selbstporträt in Lavendel Hemd und dunklen Anzug, stehend (self-portrait in lavander shirt and dark suit, standing)  ,1914

Egon Schiele- Selbstporträt in Lavendel Hemd und dunklen Anzug, stehend (self-portrait in lavander shirt and dark suit, standing) ,1914

Egon Schiele -Self-Portrait in Street Clothes 1910

Egon Schiele -Self-Portrait in Street Clothes 1910

Egon Schiele -Selbstporträt mit Pfauen Westen,Self-portrait with peacock West, 1911.

Egon Schiele -Selbstporträt mit Pfauen Westen,Self-portrait with peacock West, 1911.

Egon Schiele -Selbstporträt  1914

Egon Schiele -Selbstporträt 1914

Egon Schiele- Selbstdarstellung mit geschlossenen Augen (auto-représentation aux yeux fermés), 1914

Egon Schiele- Selbstdarstellung mit geschlossenen Augen (auto-représentation aux yeux fermés), 1914

Egon Schiele- Selbstbildnis mit rotem Hemd (Auto-portrait avec une chemise rouge)

Egon Schiele- Selbstbildnis mit rotem Hemd (Auto-portrait avec une chemise orange)

Egon Schiele - Selbstbildnis, 1913

Egon Schiele – Selbstbildnis, 1913

Egon Schiele - Selbstporträt St. Sebastian (Self-Portrait as St. Sebastian)  1914

Egon Schiele – Selbstporträt St. Sebastian (Self-Portrait as St. Sebastian) 1914

egonschiele  Poster with Self-Portrait as Saint Sebastian, Egon Schiele (1915)

egonschiele Poster with Self-Portrait as Saint Sebastian, Egon Schiele (1915)

Vous trouverez beaucoupo de chose sur wikipainting, attention, tout n’est pas toujours fiable, wiki est fait par tout à chacun, plutot se fier aux musées, http://www.wikipaintings.org/en/egon-schiele

les musées où sont exposé Egon Schiele

Albertina, Vienna
Along with 200 watercolors and drawings by Schiele, the Albertina also looks after the “Egon Schiele Archive” founded by Max Wagner (1882-1954).
Leopold Museum, Vienna
The Leopold Museum owns 42 oil paintings as well as 188 watercolors and drawings by Egon Schiele. The collection built by Rudolf Leopold (1925-2010)
Wienbibliothek im Rathaus, Vienna
Comprising more than 200 letters, the autograph collection of the Vienna City Library boasts a comprehensive compilation of correspondence by Egon Schiele, particularly with the art critic Arthur Roessler (1877-1955) and the collector Heinrich Benesch (1862-1947).

Claude Cahun- Self-portrait In Jersey

En juillet 1937, après plusieurs séjours , Claude Cahun et (Suzanne Malherbe sa compagne) achètent une ferme à Jersey, la Rocquaise, et s’y installent en mai 1938.

Claude Cahun -Self-Portrait,1917 jersey museum,from The book Claude Cahun, Maya Deren, Cindy Sherman, by Rice Shelley ed Inverted Odysseys

Claude Cahun -Self-Portrait,1928 jersey museum,from The book Claude Cahun, Maya Deren, Cindy Sherman, by Rice Shelley ed Inverted Odysseys

Claude Cahun – Self-portrait, c. 1928

Claude Cahun -Self-Portrait, c. 1928 (Musée des Beaux-Arts de Nantes)

Claude Cahun- Self portrait, 1928

 

Cahun Claude- self portrait,1928

Claude Cahun -Self-Portrait,1930 jersey museum,from The book Claude Cahun, Maya Deren, Cindy Sherman, by Rice Shelley ed Inverted Odysseys

Claude Cahun, 1939, self-portrait with stealth cat (look carefully at left)

Claude Cahun- autoportrait-1939

Claude Cahun – Autoportrait en hiver, vers 1939-1940

 

Claude Cahun- Autoportrait à la fenêtre, 1938

 

Claude Cahun- Self-portrait,1938

Claude Cahun- self portrait c.1939

Claude Cahun, Self-Portrait, 1932, Jersey Museums Service

Cahun Claude- self portrait,1939

Superposition (Lucy Schwob, dite Claude Cahun, jersay,1938

Claude Cahun in her garden Jersey, 1938-39

Claude Cahun in her garden Jersey, 1938-39

claude cahun, jersay

Claude Cahun -Self-Portrait,1937 jersey museum,from The book Claude Cahun, Maya Deren, Cindy Sherman, by Rice Shelley ed Inverted Odysseys

Claude Cahun 1945

Cahun Claude- self portrait 1947

 

Cahun Claude- self portrait 1947

 

Cahun Claude- self portrait 1947

 

Cahun Claude- self portrait 1947

 

Cahun Claude- self portrait 1947

Claude Cahun -Self-Portrait,1947 jersey museum,from The book Claude Cahun, Maya Deren, Cindy Sherman, by Rice Shelley ed Inverted Odysseys

Claude Cahun and Marcel Moore, Untitled, courtesy the Jersey Heritage Trust

Claude Cahun’s Jersey alien registration card

 

(Jersey Heritage Collection © Jersey Heritage)

Trude Fleischmann – Portraits

Trude Fleischmann (1895-1990) est l’une des grandes photographes du 20e Siècle. Elle était une de ces jeunes photographes juives confiantes, qui ont fait une carrière traditionnelle dans une profession masculine. Elle a photographié les étoiles du théâtre, des danseurs et des intellectuels. Trude a développé une passion pour la photographie dès son enfance, et est rapidement devenue l’un des plus grands photographes de portrait de Vienne peu après l’ouverture de son propre studio à l’âge de vingt-cinq ans. Même si elle est largement méconnue aujourd’hui, ses portraits d’intellectuels et d’artistes, y compris Karl Kraus (1874-1936), Peter Altenberg (1859-1919), Adolf Loos (1870-1933), Alfred Polgar (1873-1955), Stefan Zweig (1881-1942), Alban Berg (1885-1935), Bruno Walter (1876-1962), Max Reinhardt (1873-1943), Paula Wessely (1907-2000) et Grete Wiesenthal (1885-1970), reste un témoignage important de la culture européenne du XXe siècle

Issue d’une famille aisée, elle peut recevoir le soutien financier nécessaire dans son début de carrière. Sa formation comprend un semestre à étudier l’histoire de l’art à Paris et trois ans au « Lehr-und Versuchsanstalt für Photographie und Reproduktionsverfahren, » où les femmes avaient été autorisés à étudier la photographie depuis 1908. Après avoir terminé ses études en Juillet 1916, elle est devenue apprentie photo-finition dans l’atelier de la portraitiste bien connue madame d’ora (Dora Kallmus et son mari…. ), dont le travail qu’elle admirait. Parce que d’Ora se plaint de sa lenteur, Trude quitte sa place après seulement deux semaines !!!! . Mais elle rebondie très vite car peu de temps après, Trude trouve une place auprès du photographe Hermann Schieberth, dont les clients de la scène culturelle et intellectuelle viennoise étaient très friands. En 1919, elle devient membre de la Société Photographique de Vienne. ( Les plus célèbres d’entre eux comprennent – aux côtés de Trude Fleischmann – Edith Barakovich, Grete Kolliner, Marianne Bergler, Pepa Feldscharek, Hella Katz, Steffi Brandl, Kitty Hoffman, Edith Glogau, Trude Geiringer et Dora Horowitz).

Après trois ans, et avec l’encouragement de sa mère et le soutien financier de sa famille, elle a fondé son propre studio en 1920. Elle a pu poursuivre une carrière réussie entre les deux guerres car elle réalises des photos de mariages ou de baptêmes, et qu’elle reste sous contrat avec des magazines. Le « boom » de la photographie à cette période , lié à la croissance des magazines féminins ou non d’ailleurs , a également contribué à sa carrière.( par exemple Die Bühne, Moderne Welt, und Mode Welt et Uhu, en autriche, mais elle contribue aussi à la presse internationale) Elle réalise des portraits artistiques des célébrité du monde des arts ( l’opéra (chefs d’orchestre et chanteurs) , la musique, la danse et de théâtre) mais également des portrait de grands scientifiques, de politiciens et de professionnels de la photographie . Ainsi, elle devient rapidement indispensable à la presse autrichienne et internationale.

Comme son cercle d’amis dans le monde de l’art a grandi, le studio de Fleischmann est devenu un lieu de rassemblement pour l’élite culturelle de Vienne. Son manque d’assignations fixes et les clients lui a permis plus de liberté dans ses choix de thématiques et son style. Elle a une façon bien particulière de fixer l’expression des visages, et un regard érotiques sur les corps de ses sujets qui lui ai propre. L’esthétique de Fleischmann a ouvert une nouvelle ère: Elle a appelé à la présentation d’une « nudité naturelle », et elle s’efforçait de ne pas « ajouter » des effets de pose, sous couvert d’un travail artistique pour montrer ces corps nus.

En toute logique, si l’on puis dire, qui Fleischmann a été parmi les premiers à photographier les nouveaux styles de danse à Vienne se voit proposer en 1925 de faire une exposition de ses photographies mettant en vedette la danseuse Claire Bauroff nue. Claire Bauroff dont le corps avait été très huilé, donnait ainsi aux cliché une luminosité et contrastes forts pris devant un noir. Quelques années auparavant, une telle mise en scène du corps nu aurait été impensable et en outre, la production de photos de nus pendant une longue période a été réservée aux hommes, en cela Trude Fleischmann était une pionnière, et à gagné ses galons ainsi. Cette exposition fît scandale et a fût interdite et les planches confisquées par un procureur de district de Berlin pour indécence.. une fois de plus , on note combien proposer du nu artistique est difficile et encore une fois, un des photographes dont nous parlons a été victime de censure

En raison de son origine juive Fleischmann a été obligé de chercher du travail ailleurs après 1938. Laissant derrière elle la plupart de ses négatifs, elle émigre à Paris, Londres et finalement à New York avec l’aide de son élève et ancienne amante Helen Post (1907-1979 une photographe indépendante qui a photographié les tribus indiennes dans tout l’Ouest et du Sud-Ouest de 1936 à 1941 ). [Fleischmann, qui ne s’est jamais mariée, était une lesbienne et a eu un certain nombre de relations avec des femmes connues].

Là bas, Fleischmann poursuit une brillante carrière dans la photographie, d’abord avec The Post et, après 1940, dans son propre studio, qu’elle a dirigé jusqu’en 1969 avec Frank Elmer, un autre émigré viennois.

Contrairement à son travail de jeunesse, beaucoup de ses photographies ultérieures sont des paysages urbains de New York, ainsi que des modèles de mode qu’ elle a souvent photographié pour Vogue. Ses clients, sont aussi les émigrants de la scène culturelle européenne, comme Elisabeth Berger, Oskar Kokoschka, Lotte Lehmann, Otto von Habsburg , le comte Richard Coudenhove-Kalergi et Arturo Toscanini.

En 1969, Fleischmann a pris sa retraite en Suisse, affirmant qu’elle ne voulait pas retourner à Vienne en raison du comportement de la population pendant la guerre. Après un accident en 1987 qui l’a rendue handicapée, elle est retournée aux États-Unis pour vivre avec son neveu, le pianiste Stefan Carell, à Brewster, New York jusqu’à sa mort en 1990.

Voir aussi les autres article sur Trude Fleischmann Ici

Les Actrices

Trude Fleischmann-Sibylle Binder, Schauspielerin, Wien um 1935

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Trude Fleischman- The Actress Ida Roland , 1928 ( from issuu)

Trude Fleischman- The Actress Ida Roland , 1928

Trude Fleischmann – The actress Ida Roland , vers 1920 – 1929, gelatin silver print

Trude Fleischmann – Sybille Binder as Mary Dugan, ca. 1930, silver gelatin print

Trude Fleischmann- L’actrice autrichienne Sibylle Binder, vers 1926

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Trude Fleischmann- Portrait of the Actress Hilde ,1920s

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Trude Fleischmann- Portrait of actress Maria Schanda 1933

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Trude Fleischmann – Grete Wiesenthal, tanzerin, Wien, , silver gelatin print

Trude Fleischmann – The actress Sybille Binder , around 1928_

Trude Fleischmann- Portrait of Maria Wölfl - Die Schauspielerin Marie Matzner

Trude Fleischmann- Die Schauspielerin Marie Matzner

Trude Fleischmann –Tilly Losch 1932 Vintage silver print,

 

Trude Fleischmann – Frl. A, Vienna , ca. 1927Vintage silver print

Trude Fleischmann – »Study ». Vintage. Gelatin silver print, nd

Trude Fleischmann-Hedy Lamarr. 1930

Trude Fleischmann-Hedy Lamarr. 1930

Trude Fleischmann - The actress Ida Roland, Vienna, 1920s

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Trude Fleischmann- Eva Wagner, Wien, 1925

Trude Fleischmann- Eva Wagner, Vienna, 1925

Trude Fleischmann –Vera Singer und Freundin 1924

Trude Fleischmann- Gusti Shall, 1930

Trude Fleischmann- Gusti Shall, 1930

Trude Fleischmann- Dolly Haas, 1935

Trude Fleischmann- Dolly Haas, 1935

Trude Fleischmann - Dolly Haas, 1935 3

Trude Fleischmann – Dolly Haas, 1935

Trude Fleischmann - Dolly Haas, 1935

Trude Fleischmann – Dolly Haas, 1935

Trude Fleischmann -Dolly Haas als Scampolo, 1932

Trude Fleischmann -Dolly Haas als Scampolo, 1932

Trude Fleischmann- Luis Rainer as Faust, 1930

Trude Fleischmann- Luis Rainer as Faust, 1930

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Les personnalités célèbres

Trude Fleischmann Das Paar Wien 1935

Trude Fleischmann Das Paar Wien 1935

Trude Fleischmann An image of Einstein and Alice Lili Loewy in his garden on Mercer Street in Princeton, 1950s

Trude Fleischmann An image of Einstein and Alice Lili Loewy in his garden on Mercer Street in Princeton, 1951

Trude Fleischmann - Albert Einstein, New Jersey 1954.

Trude Fleischmann – Albert Einstein, New Jersey 1954.

Trude Fleischmann – The artist Beate Innaya , vers 1931, vintage silver print

Trude Fleischmann - Adolf Loos, Vienna, ca 1922

Trude Fleischmann – Adolf Loos, Vienna, ca 1922

Trude Fleischmann- The photograph Karl Kraus, 1928, WienMuseum

Trude Fleischmann- The photograph Karl Kraus, 1928, WienMuseum

Trude Fleischmann - Mannheim ( le compositeur et chef d'orchestre ), 1927

Trude Fleischmann – Mannheim ( le compositeur et chef d’orchestre ), 1927

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Quelques autres choses….

Trude Fleischmann - mit zigarette, 1930

Trude Fleischmann – mit zigarette, 1930 (Shooting Girls: Jewish Photographers of Vienna ,Jüdisches Museum Wien through March 13, 2013)

Trude Fleischmann - Study with glass sphere, Vienna, 1923

Trude Fleischmann – Study with glass sphere, Vienna, 1923

Trude Fleischmann im bad, nd (kleingallery)

Trude Fleischmann im bad, nd (kleingallery)

Trude Fleischmann - Danish nude woman, Vienna, 1926

Trude Fleischmann – Danish nude woman, Vienna, 1926

Trude Fleischmann -Suabian Woman (nude)Vintage Sheet-fed Sepia Gravure printed in 1926

Trude Fleischmann -American nude woman, Veinna, 1926

Trude Fleischmann -American nude woman, Veinna, 1926

Trude Fleischmann -Trude Fleischmann -American nude woman, , #1 vienna 1925

Trude Fleischmann -Trude Fleischmann -American nude woman, #1 vienna 1925

Trude Fleischmann – nude 1927 ,Vintage silver print

Trude Fleischmann - Nude, Wien, 1930

Trude Fleischmann – Nude, Wien, 1930

Trude Fleischmann Birksmeyer Ballet, 1932

Trude Fleischmann Birksmeyer Ballet, 1932

Trude Fleischmann im Atelier, Wien 1929 Annie Schulz © Courtesy Fritsch Antiquariat, Wien

Trude Fleischmann im Atelier, Wien 1929 Annie Schulz © Courtesy Fritsch Antiquariat, Wien

Conseil de lecture  Trude Fleischmann: Der selbstbewusste Blick by Anton Holzer & Frauke Kreutler , Catalogue Musée vienne, 2011 ou  Catalogue: « Trude Fleischmann – Le regard confiant. » Edité par Anton Holzer et Frauke Kreutler. Editeur: Hatje Cantz, 2011

Claude Cahun- auto portrait de la série Keepsake

Claude Cahun- quatre auto- portraits de la série Keepsake, 1925-27

 

 Claude Cahun- 'Keepsake' Discovered stored in an envelope marked 'Jersey 1932

Claude Cahun- ‘Keepsake’ Discovered stored in an envelope marked ‘Jersey 1932

Claude Cahun (Lucy Schwob) untitled . autoportrait, 1925

Claude Cahun (Lucy Schwob) untitled . autoportrait, 1925

Claude Cahun (Lucy Schwob) untitled . autoportrait, 1925

Claude Cahun (Lucy Schwob) untitled . autoportrait, 1925