Henri Michaux – Nous deux encore ,1948 photographie par Brassaï

Henri Michaux assis à sa table de travail 1943-1945 photo Brassaï , épreuve gélatino-argentique , Estate Brassaï - RMN-Grand Palais

Henri Michaux assis à sa table de travail 1943-1945 photo Brassaï , (Détail) épreuve gélatino-argentique , Estate Brassaï – RMN-Grand Palais

the original photo isthisone

Henri Michaux assis à sa table de travail 1943-1945 photo Brassaï , épreuve gélatino-argentique , Estate Brassaï - RMN-Grand Palais

Henri Michaux assis à sa table de travail 1943-1945 photo Brassaï , épreuve gélatino-argentique , Estate Brassaï – RMN-Grand Palais

Henri Michaux – Nous deux encore ,1948

 » Air du feu, tu n’as pas su jouer.
Tu as jeté sur ma maison une toile noire. Qu’est-ce que cet opaque partout ? C’est l’opaque qui a bouché mon ciel.Qu’est-ce que ce silence partout ? C’est le silence qui a fait taire mon chant.

L’espoir, il m’eût suffi d’un ruisselet. Mais tu as tout pris. Le son qui vibre m’a été retiré.
Tu n’as pas su jouer. Tu as attrapé les cordes. Mais tu n’as pas su jouer. Tu as tout bousillé tout de suite. Tu as cassé le violon. Tu as jeté une flamme sur la peau de soie.
Pour faire un affreux marais de sang.

Son bonheur riait dans son âme. Mais c’était tout tromperie. Ca n’a pas fait long rire.

Elle était dans un train roulant vers la mer. Elle était dans une fusée filant sur le roc. Elle s’élançait quoiqu’immobile vers le serpent de feu qui allait la consumer. Et fut là tout à coup, saisissant la confiante, tandis qu’elle peignait sa chevelure, contemplant sa félicité dans la glace.
Et lorsqu’elle vit monter cette flamme sur elle, oh…
Dans l’instant la coupe lui a été arrachée. Ses mains n’ont plus rien tenu. Elle a vu qu’on la serrait dans un coin. Elle s’est arrêtée là-dessus comme sur un énorme sujet de méditation à résoudre avant tout. Deux secondes plus tard, deux secondes trop tard, elle fuyait vers la fenêtre, appelant au secours.
Toute la flamme alors l’a entourée.

Elle se retrouve dans un lit, dont la souffrance monte jusqu’au ciel, jusqu’au ciel, sans rencontrer de dieu… dont la souffrance descend jusqu’au fond de l’enfer, jusqu’au fond de l’enfer sans rencontrer de démon.
L’hôpital dort. La brûlure éveille. Son corps, comme un parc abandonné..

Défenestrée d’elle-même, elle cherche comment rentrer. Le vide où elle godille ne répond pas à ses mouvements.
Lentement, dans la grange, son blé brûle.
Aveugle, à travers le long barrage de souffrance, un mois durant, elle remonte le fleuve de vie, nage atroce.
Patiente, dans l’innommable boursouflé elle retrace ses formes élégantes, elle tisse à nouveau la chemise de sa peau fine. La guérison est là. Demain tombe le dernier pansement. Demain…
Air du sang, tu n’as pas su jouer. Toi non plus, tu n’as pas su. Tu as jeté subitement, stupidement, ton sot petit caillot obstructeur en travers d’une nouvelle aurore.
Dans l’instant elle n’a plus trouvé de place. Il a bien fallu se tourner vers la Mort.
A peine si elle a aperçu la route. Une seconde ouvrit l’abîme. La suivante l’y précipitait.
On est resté hébété de ce côté-ci. On n’a pas eu le temps de dire au revoir. On n’a pas eu le temps d’une promesse.
Elle avait disparu du film de cette terre.
Lou
Lou
Lou, dans le rétroviseur d’un bref instant
Lou, ne me vois-tu pas ?
Lou, le destin d’être ensemble à jamais
dans quoi tu avais tellement foi
Eh bien ?
Tu ne vas pas être comme les autres qui jamais plus ne font signe, englouties dans le silence.
Non, il ne doit pas te suffire à toi d’une mort pour t’enlever ton amour.
Dans la pompe horrible
qui t’espace jusqu’à je ne sais quelle millième dilution
tu cherches encore, tu nous cherches place
Mais j’ai peur
On n’a pas pris assez de précautions
On aurait dû être plus renseigné,
Quelqu’un m’écrit que c’est toi, martyre, qui va veiller sur moi à présent.
Oh ! J’en doute.
Quand je touche ton fluide si délicat
demeuré dans ta chambre et tes objets familiers que je presse dans mes mains
ce fluide ténu qu’il fallait toujours protéger
Oh j’en doute, j’en doute et j’ai peur pour toi,
Impétueuse et fragile, offerte aux catastrophes
Cependant, je vais à des bureaux, à la recherche de certificats gaspillant des moments précieux qu’il faudrait utiliser plutôt entre nous précipitamment tandis que tu grelottes
attendant en ta merveilleuse confiance que je vienne t’aider à te tirer de là, pensant « A coup sûr, il viendra
« il a pu être empêché, mais il ne saurait tarder
« il viendra, je le connais
« il ne va pas me laisser seule
« ce n’est pas possible
« il ne va pas laisser seule, sa pauvre Lou…
Je ne connaissais pas ma vie. Ma vie passait à travers toi. Ca devenait simple, cette grande affaire compliquée. Ca devenait simple, malgré le souci.
Ta faiblesse, j’étais raffermi lorsqu’elle s’appuyait sur moi.
Dis, est-ce qu’on ne se rencontrera vraiment plus jamais ?
Lou, je parle une langue morte, maintenant que je ne te parle plus. Tes grands efforts de liane en moi, tu vois ont abouti. Tu le vois au moins ? Il est vrai, jamais tu ne doutas, toi. Il fallait un aveugle comme moi, il lui fallait du temps, lui, il fallait ta longue maladie, ta beauté, ressurgissant de la maigreur et des fièvres, il fallait cette lumière en toi, cette foi, pour percer enfin le mur de la marotte de son autonomie.
Tard j’ai vu. Tard j’ai su. Tard, j’ai appris « ensemble » qui ne semblait pas être dans ma destinée. Mais non trop tard.
Les années ont été pour nous, pas contre nous.
Nos ombres ont respiré ensemble. Sous nous les eaux du fleuve des événements coulaient presque avec silence.
Nos ombres respiraient ensemble et tout en était recouvert.

J’ai eu froid à ton froid. J’ai bu des gorgées de ta peine.
Nous nous perdions dans le lac de nos échanges.
Riche d’un amour immérité, riche qui s’ignorait avec l’inconscience des possédants, j’ai perdu d’être aimé. Ma fortune a fondu en un jour.
Aride, ma vie reprend. Mais je ne me reviens pas. Mon corps demeure en ton corps délicieux et des antennes plumeuses en ma poitrine me font souffrir du vent du retrait. Celle qui n’est plus, prend, et son absence dévoratrice me mange et m’envahit.
J’en suis à regretter les jours de ta souffrance atroce sur le lit d’hôpital, quand j’arrivais par les corridors nauséabonds, traversés de gémissements vers la momie épaisse de ton corps emmailloté et que j’entendais tout à coup émerger comme le « la » de notre alliance, ta voix, douce, musicale, contrôlée, résistant avec fierté à la laideur du désespoir, quand à ton tour tu entendais mon pas, et que tu murmurais, délivrée « Ah tu es là ».
Je posais ma main sur ton genou, par-dessus la couverture souillée et tout alors disparaissait, la puanteur, l’horrible indécence du corps traité comme une barrique ou comme un égout, par des étrangers affairés et soucieux, tout glissait en arrière, laissant nos deux fluides, à travers les pansements, se retrouver, se joindre, se mêler dans un étourdissement du cœur, au comble du malheur, au comble de la douceur.
Les infirmières, l’interne souriaient ; tes yeux pleins de foi éteignaient ceux des autres.
Celui qui est seul, se tourne le soir vers le mur, pour te parler. Il sait ce qui t’animait. Il vient partager la journée. Il a observé avec tes yeux. Il a entendu avec tes oreilles.
Toujours il a des choses pour toi.
Ne me répondras-tu pas un jour ?
Mais peut-être ta personne est devenue comme un air de temps de neige, qui entre par la fenêtre, qu’on referme, pris de frissons ou d’un malaise avant-coureur de drame, comme il m’est arrivé il y a quelques semaines. Le froid s’appliqua soudain sur mes épaules je me couvris précipitamment et me détournai quand c’était toi peut-être et la plus chaude que tu pouvais te rendre, espérant être bien accueillie ; toi, si lucide, tu ne pouvais plus t’exprimer autrement. Qui sait si en ce moment même, tu n’attends pas, anxieuse, que je comprenne enfin, et que je vienne, loin de la vie où tu n’es plus, me joindre à toi, pauvrement, pauvrement certes, sans moyens mais nous deux encore, nous deux…” Henri Michaux

Grete Stern ( 1904-1999)

Grete Stern  est une photographe allemande  s’inscrivant dans le courant avant-gardiste allemand de l’esthétique Bauhaus. Elle est née à Wuppertal-Elberfeld, en Allemagne, en 1904. Entre 1923 et 1925, il a étudié les arts graphiques (dessin et de la typographie)  à la Kunstgewerbeschule à Stuttgart. Une fois ses etudes terminées, elle retourne à Wuppertal, En 1926, elle  travaille comme graphiste freelance dans la conception de publicité .

Après avoir vu une exposition de photographies d’Edward Weston et Paul Outerbridge elle a été inspiré à étudier la photographie. En 1927, Stern s’installe à Berlin pour vivre avec son frère Walter, qui travaillait comme monteur. Grace à lui elle fait la rencontre du photographe Umbo (Otto Umbehr) qui à son tour l’incite  à prendre des leçons privées avec Walter Peterhans . le premier professeur de photographie à l’école du Bauhaus. En 1928 Peterhans également accepté Ellen (Rosenberg) Auerbach.  Stern et Auerbach deviennent rapidement très proches et leur amitié  durera tout au long de leurs vies. Elles créent ensemble  un studio de dessin et de photographie, baptisé à partir de leurs surnoms d’enfants ce qui donne « ringl + pit ».  Ce studio débute au milieu d’une période passionnante de libération sociale, de l’expansion des médias, des bouleversements économiques et des changements politiques. Ensemble, elles ont cherché à remettre en question les attentes de leur classe, la culture et le sexe, le climat politique fragile de la République de Weimar. « Ringl + pit » ont remporté des prix internationaux, pour le travail de renversement de l’image des femmes dans la publicité traditionnelle.

Ringl+Pit  (Grete Stern Ellen Auerbach)

Ringl+Pit  Stella Steyn, 1934

Ringl+Pit Stella Steyn, 1934 Ringl+Pit  Bertold Brecht, 1935    Copyright Tous droits réservés par ringlandpit

 ringl+pit (Grete Stern and Ellen Auerbach) Portrait of Johannes Itten , ca 1930

Ringl+Pit (Grete Stern and Ellen Auerbach) Portrait of Johannes Itten , ca 1930 Tous droits réservés par ringlandpit

Ringl + Pit (Ellen Auerbach & Grete Stern) Combination, 1930

Ringl + Pit (Ellen Auerbach & Grete Stern) Combination, 1930 Tous droits réservés par ringlandpit

Ringl+Pit Selbstauslöser (Retardateur), 1930Copyright Tous droits réservés par ringlandpit

Ringl+Pit Selbstauslöser (Retardateur), 1930Copyright Tous droits réservés par ringlandpit

Ringl+Pit Bertold Brecht, 1935 Copyright Tous droits réservés par ringlandpit

Ringl+Pit Bertold Brecht, 1935 Copyright Tous droits réservés par ringlandpit

Ringl + Pit's - Pit with Veil (Ellen Auerbach), by Grete Stern , 1931

Ringl + Pit’s – Pit with Veil (Ellen Auerbach), by Grete Stern , 1931 Tous droits réservés par ringlandpit

Ringl+Pit -Ringl (grete stern) in tub, 1931

Ringl+Pit -Ringl (grete stern) in tub, 1931 Copyright Tous droits réservés par ringlandpit

 ringl+pit - Ringl with glasses (Grete Stern), by Ellen Auerbach,  1929

Ringl+Pit – Ringl with glasses (Grete Stern), by Ellen Auerbach, 1929 Tous droits réservés par ringlandpit

Ringl + Pit's-  Walter Auerbach Photo ellen-auerbach , 1930

Ringl + Pit’s- Walter Auerbach Photo ellen-auerbach , 1930 Tous droits réservés par ringlandpit

Ringl + Pit's -Walter Auerbach  Photoby Grete Stern, 1930

Ringl + Pit’s -Walter Auerbach Photoby Grete Stern, 1930 Copyright Tous droits réservés par ringlandpit

ringl+pit (Grete Stern and Ellen Auerbach) Ellen & Walter Auerbach, c.1930

ringl+pit (Grete Stern and Ellen Auerbach) Ellen & Walter Auerbach,1930 Copyright Tous droits réservés par ringlandpit

Ringl+Pit  Soapsuds, 1931 Copyright Tous droits réservés par ringlandpit

Ringl+Pit Soapsuds, 1931 Copyright Tous droits réservés par ringlandpit

ringl+pit Komol (Advertisement for a Hair Lotion), Berlin 1932

Ringl+Pit- Komol (Advertisement for a Hair Lotion), Berlin 1932 Tous droits réservés par ringlandpit

Ringl+Pit Fragment of a bride, 1930  Tous droits réservés par ringlandpit

Ringl+Pit – Fragment of a bride, 1930 Tous droits réservés par ringlandpit

Ringl + Pit Pétrole Hahn, 1931.

Ringl + Pit – Pétrole Hahn, 1931.Tous droits réservés par ringlandpit

ringl + pit Hat and Gloves, Berlin 1930

ringl + pit Hat and Gloves, Berlin 1930 Copyright Tous droits réservés par ringlandpit

Ringl+Pit Soapsuds, 1931 Copyright Tous droits réservés par ringlandpit

Ringl+Pit Soapsuds, 1931 Copyright Tous droits réservés par ringlandpit

Ringl+Pit  Lotti, 1931 Copyright Tous droits réservés par ringlandpit

Ringl+Pit Lotti, 1931 Copyright Tous droits réservés par ringlandpit

Ringl+Pit  Klärchen, 1931(Retardateur), photo Ellen 1930Copyright Tous droits réservés par ringlandpit

Ringl+Pit Klärchen, 1931 photo Ellen 1930Copyright Tous droits réservés par ringlandpit

Ringl + Pit’s The Corset , 1929 photo ellen

Ringl + Pit  The Corset , 1929 photo ellen Copyright Tous droits réservés par ringlandpit

Nils Fonstad, Ellen Auerbach and Grete Stern in New York, 1992

Nils Fonstad, Ellen Auerbach and Grete Stern in New York, 1992

 

Ringl+Pit

En 1932 Walter Peterhans incite Grete à le suivre à l’école de Bauhaus , elle y prendra des courts et sera fortement influencée par cet avant-gardisme Allemand. elle y rencontrera son futur Mari Horacio Coppola  . Malheureusement L’ecole ferme ( en 1933) avec l’arrivée d’hilter au pouvoir et le couple décide de fuir d’abord en Angleterre puis de retourner en Argentine pays d’origine d’ Horacio. En 1935 ils exposent tous les deux à Buenos Aires, et remportent un fort succès.  Pour ce qui est de Grete, l’exposition comprenait le travail réalisé en Allemagne et à Londres entre 1929 et 1935: des portraits, des compositions, des photographies publicitaires et des paysages. Son travail a montré une approche non conventionnelle de la photographie: collages et des études de publicité avec des cristaux, des objets et des natures mortes. Même les sujets les plus reconnus de l’époque, tels que les portraits et les paysages, ont été effectuées de façon non conventionnelle: définition parfaite, large spectre chromatique, l’éclairage plat, poses simples et négatifs intacts. L’année suivante ils s’y installent donc définitivement , elle y mourra d’ailleurs en 1999.

Entre 1935 et 1981, elle a poursuivi ce travail en Argentine, en ajoutant une importante série de photomontages,( voir paragraphe ci dessous)  des reproductions d’oeuvres d’art et des portraits.Grete a apporté avec elle de l’Allemagne une sensibilité moderne, développé en bohème  et à la légendaire école du Bauhaus, qui a secoué l’approche guindé à la photographie en Argentine à l’époque et elle a établi comme l’un des fondateurs de la photographie moderne argentin.

En 1948, Gino Germani,  ( sociologue et rédacteur du magazine Idylle et qui a fini professeur à Harvard) , lui propose une idée .  Il interpréterai un rêve décrit par l’un des lecteurs d’Idylle  et Grete serait illustrer photographique de ses interprétations . Elle accepte . Ainsi sont donc nés  les fameux photomontages  Sueños ( Rêves).

Durant Trois années de 1948 à 1951, paraitra de façon hebdomadaire, une page intulée  «Psychanalyse vous aide, ». Les photomontages de Grete Stern découlent de l’analyse des rêves que les lecteurs ont envoyé ( que  Gino Germani  écrivaient en réalité ) Environ 150 articles ont été publiés. Les protagonistes des photos étaient ses amis, sa famille et ses voisins, et les images (paysage,  objets, personnages secondaires ) ont été prises par Stern elle même.  Malgré la parution hebdomadaire duant trois années  les photomontages De Grete  ont été complètement ignorés et ce en grande partie car la revue avait un étiquetage d’ « intellectuelle ».  La série a d’abord été présenté à la Faculté de psychologie de l’Université de La Plata, au milieu des années 50., Mais il a fallu attendre 1982, après une exposition « FotoFest »,à  Houston , pour qu’enfin ces photomontages trouvent une reconnaissance internationale et méritée.
Après avoir parlé des rêves,( On retrouve d’abord Sueño en Idilio [ ceux realisés pour le Magazine idylle  et  Sueño tout court , ceux qu’elle réalise à tritre personnel) Grete continue a réaliser  des photomontages sur des thématiques différentes. Il ont été publiés sous divers titres comme »Niño flor », « Artículos eléctricos para el hogar », « Fracturas », « El ojo eterno ».

Certains scans ne sont pas tous de bonnes qualités mais vous verrez une planche entière du livre ( que j’ai mis justement pour que vous le voyez) et les reproductions sont celles d’une qualité journal, donc je ne peux pas faire mieux, ni de miracle pour certaines plaches.  Par ailleurs, les rêves ne sont pas numérotés vous le verrez sur la planches scannées du catalogue, et la numérotation est plutôt anarchique quant à la cohérence No/année de publication. je n’ai pas d’explication, il n ‘y en a pas non plus dans le catalogue que je possède.

 

Cover Idilio Magazine

Cover Idilio Magazine

Cover Idilio Magazine

Cover Idilio Magazine

 

 

GreteStern-Sueños No 1 Electrical Appliances for the Home, 1950

GreteStern-Sueños No 1 Electrical Appliances for the Home, 1950

Grete Stern-Sueños no.3, 1949

Grete Stern-Sueños no.3, 1949

 

Grete Stern, Dream No. 4, Freshwater mermaid

Grete Stern, Dream No. 4, Freshwater mermaid

Grete Stern - Los Sueños  Nº 5 Bottle cast into the sea , 1949.1

Grete Stern – Los Sueños Nº 5 Bottle cast into the sea , 1949.

 

Grete Stern- sin titulo,  Sueños Nº 6 ,1948

Grete Stern- sin titulo, Sueños Nº 6 ,1948

 

Grete Stern- SueñoNº. 16,  Sirena de Mar (Dream No. 16,  Mermaid),  1950

Grete Stern- SueñoNº. 16, Sirena de Mar (Dream No. 16, Mermaid), 1950

 

 

Grete Stern. Niño flor. El niño de los sueños. Idilio número 10. 1948

Grete Stern. Niño flor. El niño de los sueños. Idilio número 10. 1948

Grete Stern-Sueños  Nº12, Untitled, 1948

Grete Stern-Sueños Nº12, Untitled, 1948

 

Grete Stern-Consentimiento,Sueño Nº. 13 1949

Grete Stern-Consentimiento,Sueño Nº. 13 1949

Grete Stern-Sueño Nº 15 ,1949

Grete Stern-Sueño Nº 15 ,1949

Grete Stern- Sueños  Nº 18, Café Concert  1948

Grete Stern- Sueños Nº 18, Café Concert 1948

Grete Stern- Sueños  Nº 20 Perspectiva, for Idilio Magazine, 1949 (2)

Grete Stern- Sueños Nº 20 Perspectiva, for Idilio Magazine, 1949

Grete Stern- Los  Sueños  N°22 Last Kiss, 1949

Grete Stern- Los Sueños N°22 Last Kiss, 1949

 

 

Grete Stern- Sueños  25, Barquinho de papel, Souenos com barcos Idílio no. 44, 1949

Grete Stern- Sueños 25, Barquinho de papel, Souenos com barcos Idílio no. 44, 1949

Grete Stern- Amor si ilusion,SueñoNº. 28  1951.

Grete Stern- Amor si ilusion,SueñoNº. 28 1951.

 

Grete Stern -Sueños  nº 29 Sin título, 1949. Idilio Los sueños de vegetales

Grete Stern -Sueños nº 29 Sin título, 1949. Idilio Los sueños de vegetales

Grete Stern- Sueños  Nº.31, Made in england  1949

Grete Stern- Sueños Nº.31, Made in england 1949

Grete Stern -Sueños  Nº 39, Os sonhos com obstáculos

Grete Stern -Sueños Nº 39, Os sonhos com obstáculos

 

Grete Stern-Los sueños cósmicos  com desastres cósmicos . 1949

Grete Stern-Los sueños cósmicos com desastres cósmicos . 1949

 

Grete Stern, Sin-titulo, 1948

Grete Stern, Sin-titulo, 1948

Grete Stern- Amor si ilusion,SueñoNº. 28  1951.

Grete Stern- Amor si ilusion,SueñoNº. 28 1951.

 

Grete Stern- Los sueños de individuación en  Idilio N º 23, 26 de abril, 1949

Grete Stern- Los sueños de individuación en Idilio N º 23, 26 de abril, 1949

Grete Stern- Sueños  Nº35, 1949.

Grete Stern- Sueños Nº35, 1949.

Grete Stern- Sueños Nº35, 1949. (2)

Grete Stern- Sueños Nº35, 1949. (2)

 

Grete Stern- Fracturas,  SueñosNº 36, 1945

Grete Stern- Fracturas, SueñosNº 36, 1945

Grete Stern- Los sueños de elementos dinámicos en Idilio Nº 37, 19 de julio, 1949

Grete Stern- Los sueños de elementos dinámicos en Idilio Nº 37, 19 de julio, 1949

 

Grete Stern- Los sueños de muñecos en Idilio Nº 39, 16 de agosto, 1949

Grete Stern- Los sueños de muñecos en Idilio Nº 39, 16 de agosto, 1949

 

Grete Stern- Sueños Nº 41, The Phone Call, 1951

Grete Stern- Sueños Nº 41, The Phone Call, 1951

 

Grete Stern de Derision & RaisonSueños nº 42,  Sonhos sobre perigo Idílio no. 12, 1949

Grete Stern de Derision & RaisonSueños nº 42, Sonhos sobre perigo Idílio no. 12, 1949

Grete Stern de Derision & Raison Sueño nº 42,  Sin título, 1949. Idilio Los sueños de peligro . Sueño nº 31 Made in England, ca. 1950.

Grete Stern de Derision & Raison Sueño nº 42, Sin título, 1949. Idilio Los sueños de peligro . Sueño nº 31 Made in England, ca. 1950.

 

Grete Stern-  Sueños 43. Los Sueños de espejo, 1949.  Idilio 17. &

Grete Stern- Sueños 43. Los Sueños de espejo, 1949. Idilio 17. &

Grete Stern-Los sueños de rechazo en Idilio Nº 42, 06 -09, 1949

Grete Stern-Los sueños de rechazo en Idilio Nº 42, 06 -09, 1949

 

Grete Stern-Los sueños cósmicos Sueños 43 Idilio 18.  , 1949

Grete Stern-Los sueños cósmicos Sueños 43 Idilio 18. , 1949

Grete Stern-Sueño No. 44 La acusada  , 1949

Grete Stern-Sueño No. 44 La acusada , 1949

 

Grete Stern, Sueño Nº 45, Untitled, 1949 1

Grete Stern, Sueño Nº 45, Untitled, 1949

 

Grete Stern-Sueno-no.46-Extraniamiento-1948-

Grete Stern-Sueno-no.46-Extraniamiento-1948

 

Grete Stern-Sueños , Sin titulo,  Idilio,  1949 (2)

Grete Stern-Sueños , Sin titulo, Idilio, 1949 (2)

 

Grete Stern-Sueños de muerte y salvación en Idilio Nº48, 27-09, 1949

Grete Stern-Sueños de muerte y salvación en Idilio Nº48, 27-09, 1949

Grete Stern-Los sueños de relojes idilo n° 54, 29-11-1949

Grete Stern-Los sueños de relojes idilo n° 54, 29-11-1949

 

Grete Stern -Sueños  Nº 67 Idilio Los sueños de enmudecimiento, 1950

Grete Stern -Sueños Nº 67 Idilio Los sueños de enmudecimiento, 1950

 

Grete Stern-Los sueños de perfección  en Idilio Nº 75, 25 de abril, 1950

Grete Stern-Los sueños de perfección en Idilio Nº 75, 25 de abril, 1950

Grete Stern - Los sueños de ideales frustrados en Idilio N º 76, 2 de mayo, 1950

Grete Stern – Los sueños de ideales frustrados en Idilio N º 76, 2 de mayo, 1950

Grete Stern - Los sueños de inexperiencia en Idilio N º 77, 9 de mayo, 1950

Grete Stern – Los sueños de inexperiencia en Idilio N º 77, 9 de mayo, 1950

 

 

Grete Stern-Los sueños de admoniciones en Idilio N º 78, 16-05, 1950

Grete Stern-Los sueños de admoniciones en Idilio N º 78, 16-05, 1950

 

Grete Stern, Los sueños de proyección”. Idilio Nº 81 6-6-1950

Grete Stern, Los sueños de proyección”. Idilio Nº 81 6-6-1950

Grete Stern - Los sueños de ambición en Idilio Nº 85, 4 de julio, 1950

Grete Stern – Los sueños de ambición en Idilio Nº 85, 4 de julio, 1950

 

Grete Stern-Sueño Nº 89 , 1950

Grete Stern-Sueño Nº 89 , 1950

Grete Stern-Los sueños de anhelos desmesurados en Idilio Nº 90, 08-08, 1950

Grete Stern-Los sueños de anhelos desmesurados en Idilio Nº 90, 08-08, 1950

 

Grete Stern-. El ojo eterno, 1950

Grete Stern-. El ojo eterno, 1950

Grete Stern-Obras modificadas,  Sueños 104 Cuerpos celestes  Idilio 18 ,1949

Grete Stern-Obras modificadas, Sueños 104 Cuerpos celestes Idilio 18 ,1949

 

Grete Stern-En el andén Sueños 105, Idilio 40. Obras modificadas, 1949

Grete Stern-En el andén Sueños 105, Idilio 40. Obras modificadas, 1949

 

Grete Stern-Los sueños con actores en Idilio N º 117, 13 de febrero, 1951

Grete Stern-Los sueños con actores en Idilio N º 117, 13 de febrero, 1951

Grete Stern - Sueños de frutos en Idilio Nº 122, 20 de marzo, 1951

Grete Stern – Sueños de frutos en Idilio Nº 122, 20 de marzo, 1951

 

Grete Stern -Sueños  de adornos en Idilio Nº128, 01-05, 1951

Grete Stern -Sueños de adornos en Idilio Nº128, 01-05, 1951

 

 

Grete trouvera ensuite un point d’encrage dans l’enseignement. En 1956 Stern créera et dirigera un atelier de photographie au Musée national des Beaux-Arts (Museo Nacional de Bellas Artes)  où elle a travaillera  jusqu’à sa retraite en 1970. Elle y rencontrera de nombreux artistes dont elle fera  le portrait. Elle travaillera aussi à l’Université du Nord-Est, à Resistencia, où elle tiendra des seminaires sur la photographie.  En 1964, elle obtient une bourse de la Fondo Nacional de las Artes et a voyage à travers le nord-est de l’Argentine, ce qui l’amènera à  produire  plus de huit cents de photos dépeignant la vie des autochtones de la région. Ce fond constitue aujourd’hui les archives les plus importantes sur ce sujet en Argentine. Ses activités d’enseignement  continueront  jusqu’en 1985.    Grete a poursuivi son travail en studio et à faire  des portraits et des paysages jusqu’en 1980,mais elle a du cesser son activité pour des problèmes de vue « défaillante ». Elle est morte à Buenos Aires le 24 Décembre 1999, à l’âge de quatre-vingt-cinq ans.

Plus sur wilkipedia

« La Photographie m’a donné beaucoup de bonheur.  J’ai beaucoup appris et j’ai pu dire les choses que je voulais dire et montrer « 

G. Stern, 1992

Grete Stern-Self -portrait, 1935

Grete Stern-Self -portrait, 1935

Grete Stern, Selbstportrait, 1935

Grete Stern, Selbstportrait, 1935

Grete Stern -Portrait of Ellen Auerbach,  1930

Grete Stern -Portrait of Ellen Auerbach, 1930

 

Grete Stern, Portrait Horacio Coppola, London 1934, Neuabzug vor 1976

Grete Stern, Portrait Horacio Coppola, London 1934, Neuabzug vor 1976

Grete Stern, Self-Portrait with flower 1935 &

Grete Stern, Self-Portrait with flower 1935

 

Grete Stern- Composition, self-portrait , 1943

Grete Stern- Composition, self-portrait , 1943

Grete Stern self portrait  1980s

Grete Stern self portrait 1980s

 

Grete Stern, Desnudo III, 1946

Grete Stern, Desnudo III, 1946

 

 

 Bibliographie:  Musée de la Photographie à Charleroi. Dérision & Raison. Musée de la Photographie. Charleroi (Bélgica), 1998. & Monzo, J.V. Sueños. Grete Stern. IVAM Centre Julio Gonzalez, Valence. Valence, 1995 , Catalogue de l’exposition au Centre IVAM Julio Gonzalez Octobre 26 1995, une Janvier 30 1996.

Heinrich Heidersberger

Heinrich Heidersberger- Kleid aus light, ( Robe de lumière), 1949

Heinrich Heidersberger- Kleid aus light, ( Robe de lumière), 1949

Heinrich Heidersberger- Kleid aus light, ( Robe de lumière), 1949

Heinrich Heidersberger- Kleid aus light, ( Robe de lumière), 1949

Heinrich Heidersberger- Kleid aus light, ( Robe de lumière), 1949

Heinrich Heidersberger- Kleid aus light, ( Robe de lumière), 1949

Heinrich Heidersberger- Kleid aus light, ( Robe de lumière), 1949

Heinrich Heidersberger- Kleid aus light, ( Robe de lumière), 1949

Heinrich Heidersberger- Kleid aus light, ( Robe de lumière), 1949

Heinrich Heidersberger- Kleid aus light, ( Robe de lumière), 1949

Heinrich Heidersberger- Kleid aus light, ( Robe de lumière), 1949

Heinrich Heidersberger- Kleid aus light, ( Robe de lumière), 1949

Heinrich Heidersberger- Kleid aus light, ( Robe de lumière), 1949

Heinrich Heidersberger- Kleid aus light, ( Robe de lumière), 1949

Heinrich Heidersberger -Federprisma, nd ( 1950s)

Heinrich Heidersberger -Federprisma, nd ( 1950s)

Minayoshi Takada (高田 皆義) (1889–1982)

les photographies de nus prises entre 1947 et 1950 par Minayoshi Takada ont  à la fois un intérêt  esthétique et érotique. En tant qu’ éditeur de magazine de photographies ,et developpeur,  il fût une figure influente de la photographie japonaise en matière de nus durant de nombreux années.

Dans un grand nombre de son travail, le corp des modèles sont étroitement encadrées et réduits à des éléments semi-abstraites, rappelant les nus composés d’Edward Weston à partir des années 1920. Ici, cependant, cette simplicité radicale est devenue un cliché, et il se tourne rapidement vers une conception plus « graphique » . Takada donne à ses images une touche surréaliste en développant des négatifs ensemble, combinant nus avec  des chaloupes, de fleurs et d’autres objets. Ces juxtapositions sont toujours formellement élégante et donne à ses images une étrangeté convaincante ainsi  qu’une suggestivité onirique.

 

Minayoshi Takada Nude , 1947

Minayoshi Takada Nude , 1947

Minayoshi Takada -Nude lying on sand,  e 1948

Minayoshi Takada -Nude lying on sand,  1948

Minayoshi Takada -Nude lying on sand, 1948

Minayoshi Takada -Tucked nude, 1948

Minayoshi Takada -   Nude by window, 1948

Minayoshi Takada – Nude by window, 1948

Minayoshi Takada -  Nude lying down, 1948

Minayoshi Takada – Nude lying down, 1948

Minayoshi Takada -  Nude lying , 1948

Minayoshi Takada – Nude lying , 1948

Minayoshi Takada-  Nude on Beach, 1948

Minayoshi Takada- Nude on Beach, 1948

Minayoshi Takada-  Kneeling Nude , 1948

Minayoshi Takada- Kneeling Nude , 1948

Minayoshi Takada- Nude on rocks, 1948

Minayoshi Takada- Nude on rocks, 1948

Minayoshi Takada -Nude perched on ground, 1948

Minayoshi Takada -Nude perched on ground, 1948

Minayoshi Takada -  Nude , 1948

Minayoshi Takada – Nude , 1948

Minayoshi Takada -   Nude leaning backwards, 1948

Minayoshi Takada – Nude leaning backwards, 1948

Minayoshi Takada - Nude looking over her shoulder, 1948

Minayoshi Takada – Nude looking over her shoulder, 1948

Minayoshi Takada -Nude with parasol, 1948

Minayoshi Takada -Nude with parasol, 1948

Minayoshi Takada- Double exposure- nude and leaves,1948

Minayoshi Takada- Double exposure- nude and leaves,1948

Minayoshi Takada- Double exposure, 1948

Minayoshi Takada- Double exposure, 1948

Minayoshi Takada-  Nude, Double Exposure, 1948

Minayoshi Takada- Nude, Double Exposure, 1948

Minayoshi Takada- Nude torso in shadow, 1948

Minayoshi Takada- Nude torso in shadow, 1948

Minayoshi Takada -  Nude , 1948

Minayoshi Takada – Nude , 1948

Minayoshi Takada -  Nude , 1948

Minayoshi Takada – Nude , 1948

Minayoshi Takada -Kimono, 1948

Minayoshi Takada -Kimono, 1948

Minayoshi Takada -   Nude with Flower , 1948

Minayoshi Takada – Nude with Flower , 1948

Minayoshi Takada- Canoe, 1950

Minayoshi TakadaCanoe, 1950

 

Minayoshi Takada -  The unknown, 1950

Minayoshi Takada – The unknown, 1950

Minayoshi Takada Double Exposure- Nude sitting with a rowing boat, c. 1948

Minayoshi Takada Double Exposure- Nude sitting with a rowing boat, c. 1948

budapestauction.com and arnet

Count Théodore Zichy- (1908 – 1983)

Count Theodore Béla Rudolf Zichy de Zich et Vásonkeő (Hungarian: Zichi és Vásonkeői gróf Zichy Tivadar Béla Rudolf; 13 June 1908 – December 1987) was a British actor, photographer, film director, producer and playboy of Hungarian descent.

Early life

Born in Eastbourne in Sussex in 1908, the son of Count Béla Mária Rudolf Zichy de Zich et Vásonkeő (1868-1944), a Hungarian aristocrat, and an American mother, Mabel Elizabeth Wright (1865-1926),[2] His brother was Edward George Béla Mária Zichy de Zich et Vásonkeő (1898-1958). A great-nephew of Mihály Zichy, Theodore Zichy held British and Hungarian citizenship.

Career

In 1928, he started racing Bugattis, which he continued on and off until 1932.

As a photographer he mainly took pictures of women’s legs, feet and shoes. His 1948 photograph portfolio Chiaroscuros (from the Italian « chiaroscuro ») contained images of foot and shoe fetishism. In the mid-1950s he worked as a photographer for Baron Studios in London. His autobiography That Was No Gentleman, That Was Zichy was published in 1974

Count Theodore Zichy Chiaroscuros , Circa 1940 Silver prints

Film career

As an actor Zichy appeared as 2nd in Command in Gasbags (1941), Colonel Borg in The Life and Death of Colonel Blimp (1943), as the Duel Referee in the TV movie Liebelei (1954), and as a German Agent in Private’s Progress (1956).

Later, he directed and produced the shorts Death Was a Passenger (1958), Portrait of a Matador (1958) and Mingaloo (1958), also writing the latter, as well as directing and producing the films Night Without Pity (1961) and Doomsday at Eleven (1963). He produced the film Bomb in the High Street (1961).

Personal life

On 20 February 1928, he married Xenia V. Howard Johnston (1904-1931) in Paris, France; the couple divorced in 1930.

In 1964, he married Daphne Barker (previously of Jack and Daphne Barker Cabaret duo) in London and stayed married to her until her death in 1987.

Count Theodore Zichy committed suicide in London in December, 1987. However his death certificate was only issued in 1988.

Count Theodore Zichy Untitled Woman’s legs and crutch, 1948

Count Theodore Zichy- Untitled ‘ Plus çà change, plus c’est la même chose’ alphonse Karr ,1948

Cont Theodore Zichy – I will be correspondent to command, And do my , 1949

Count Theodore Zichy- Untitled-, a che Vuole, non Mancano modi, italian proverb, 1948

Count Theodore Zichy -,Il est faux que l’égalité soit une loi de la nature. La nature n’ait rien fait égal. Vauvenargues, nd

Count Theodore ZichyGirl in front of Fireplace,1948

Count Theodore Zichy – Chiaroscuros #11, Londres 1940

Count Theodore Zichy ~Chiaroscuros #1,1948

Count Theodore Zichy- Chiaroscuros #13, Londres 1948

Count Theodore Zichy- Chiaroscuros #10, Londres 1948

Count Theodore Zichy -Chiaroscuros #05 , 1948_e

Count Theodore Zichy Legs 1948

 

Count Theodore Zichy – Legs with dagger, Chiaroscuros #12, Londres 1948

Count Theodore Zichy- Chiaroscuros #10, Londres 1948

Count Theodore Zichy – Legs with dagger, Chiaroscuros #2, Londres 1948

Count Theodore Zichy – Chiaroscuros #20, Londres 1948

Count Theodore Zichy Legs , Circa 1948

Count Zichy Kayser Nylons, 1940’s,

Count Theodore Zichy – Legs, untitled,1948

Count Theodore Zichy Cupid And Shoes , Circa 1940

Count Theodore Zichy- Britian, 1948

 

Count Theodore Zichy - Untitled, 1948. [ Plus çà change, plus c'est la même chose //The more things change, the more they stay the same - Alphonse Karr]

Count Theodore Zichy – Untitled, 1948. [ Plus çà change, plus c’est la même chose //The more things change, the more they stay the same – Alphonse Karr]

Source Louminous

Source Mutual Art

Source Air de Paris

More of his work in the Baron Studio

Count Zichy by Baron Studios half-plate film negative, 8 February 1960 © National Portrait Gallery, London

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Silvio Rey

Silvio Rey – Aphrodite,  Paris ed° Graphicolor, 1948

Silvio Rey – Study of nude , 1940s,{ from Aphrodite, Paris ed° Graphicolor, 1948}

Silvio Rey- éditions Graphicolor, Paris 1948

Silvio Rey- Nude , 1940s, from Aphrodite, , Paris ed° Graphicolor, 1948

Silvio Rey- Nude éditions Graphicolor, Paris 1948

Silvio Rey-Nude surimpression from Aphrodite, , Paris ed° Graphicolor, 1948

Silvio Rey-Nude surimpression from Aphrodite, , Paris ed° Graphicolor, 1948

Silvio Rey – Suréalisme. Autopsie d’une Siréne. Tirage argentique d’époque. Circa 1950.

Anatomy of a Mermaid by Silvio Rey From Sensations n°13, September 1949

Silvio Rey – Nu.Photomontage. Etude de nu. Tirage argentique d’époque. Circa 1950.

Silvio Rey-Nus au masque sur la terrasse, Photomontage, vers 1960

Silvio Rey- Curiosité. Le Gay Paris, 1950s

Silvio Rey- Nu dans un dans un vase, photomontage, 1951 .

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