Madame Turbeville qu’on surnommait « L’anti Helmut Newton »(ce n’est pas pour rien que je ne poste pas d’article sur lui… c’est mon anti tasse de thé, la femme objet dans toute sa splendeur, attendu, et complètement stéréotypé) , nous a quitté il y a peu de temps, je repose donc l’article de 2012, et y ajoute des modifications. il en va de ces photographes de mode, qui ne font pas de photographies de mode justement, tout comme Sarah Moon , Deborah Turbeville nous entraine dans un univers parallèle, emprunt de mystères, où s’inscrivent la fiction, le rêve et le fantasme. Son style très distinctif est reconnaissable par son utilisation de flou, de mise-en-scène. son grain ( beaucoup justement) , les tirages peuvent être maculés, tachées de peintures. Pictorialistes et expressionnistes tout à la fois, ses images sont une réminiscence de quelques souvenirs oubliés. Turbeville aimait les lieux à l’abandon et les atmosphère poussiéreuses. On trouve dans ses photographies de la noirceur, une forme de violence ainsi qu’une charge sexuelle aussi.
Elle a déménagé à New York avant ses 20 ans et a travaillé pour le créateur Claire McCardell, qui a eu une grande influence sur sa carrière. Après avoir travaillé tout d’abord comme rédactrice de mode chez « Harper Bazaar » et « Mademoiselle », dans les années 1960, ce n’est que dans le début des années 70 qu’elle se lance dans la photographie , encouragée par Richard Avedon. Dès lors, elle travaillera essentiellement pour les différentes déclinaisons de Vogue et deviendra l’une des photographes de mode les plus importantes et reconnues dans le monde. Elle sera couronnée tout au long de sa carrière ( Infinity Award, the Alfred Eisenstaedt Award, and the Fashion Group Lifetime Award for Fashion Photography.) , et de nombreuses rétrospectives lui seront faites de son vivant .
Elle publiera plusieurs livres, dont Past Imperfect (Steidl, 2009), et la Casa No Name, photographies de sa propre maison au Mexique et celles de ses voyages à travers le Mexique et le Guatemala (Rizzoli, 2009), Wallflower 1978 (toutes les photos présentées ici viennent de ces livres).
Le livre de Deborah Turbeville Past Imperfect, est surement le plus déroutant , le plus complet, le plus aboutit , paradoxalement d’ailleurs car elle va y re-parcourir et modifier bon nombre des ses archives personnelles. ( Elle et son éditeur, Steidl, ont passé quatre ans et demi sur le livre). Ce livre n’est rien moins qu’ une compilation de travail édité entre 1974 et 1997 et qui se décline en quinze « épisodes » ou » scénarios » . Chaque épisode est une série d’images, qui appartiendraient au film que vous auriez manqué, mais que vous auriez aimé voir. Un story bord en quelque sorte… À la manière d’un metteur en scène reprenant son manuscrit, Deborah Turbeville recompose le passé ( ses propres archives) . Elle retravaille physiquement ses images, découpant des planches contacts ou déchirant des tirages, les rayant, les superposant. Avec des épingles ou cet adhésif, elle brutalise son matériau pour le fixer sur des feuilles de carton ou de papier cristal. Ce Livre est empli de tension intérieure, de sensualité cachée, de rêves hallucinatoires qui, ne connaissent pas de frontières , de mouvements de l’âme, et d’anxiété. Les images individuelles sont entrelacées dans une histoire extraordinaire qui traverse l’ensemble du livre où tout se mélange. Les personnages ( femmes le plus souvent) sont placés dans espaces temps qui ne leurs correspondent pas, on passe des statues dans l’école d’art de Paris, au distributeurs automatiques dans une usine désafectée.
« Past imperfect » est ce qu’on pourrait qualifié de « Méta-Oeuvre « , c’est pourquoi j’ai insisté sur celui-ci particulièrement. et je vous le recommande vivement.
je vous joins le lien wilkipedia en français qui est très bien rédigé… ( par on ne sait pas qui, c’est toujours çà l’ennuyeux avec W…) pas la peine de faire du copier coller
Cet article avait été posté voilà près d’un an et demi sur le site lapetitemelancolie.wordpress, je pense qu’il est d’actualité de le remettre ne ligne…
J’organise les choses en » épisodes », un dernier Hommage !!!
[ Rappel : Afin de voir les photographies dans leur taille optimale,, ouvrir dans un nouvel onglet ou fenêtre// Reminder: To see photographs in their optimal size, open it in a new tab or window]
Past Imperfect Hardcover
Serie Ecole Des Beaux Arts, 1974- 1980
Deborah Turbeville, planche contact, Ecole Des Beaux Arts,1977 from « Wallflower » (Hardcover – 1978)
Deborah Turbeville – Ecole des Beaux Art, from Wallflower , 1978
Deborah Turbeville, Ecole Des Beaux Arts, Paris, 1977._e
Deborah Turbeville – fromEcole Des Beaux Arts,1974-1980 from Past Imperfect
Deborah Turbeville – fromEcole Des Beaux Arts, 1974- 1980 from Past Imperfect
Deborah Turbeville- Ecole Des Beaux Arts, Paris, 1977
Deborah Turbeville – from serie Ecole Des Beaux Arts, 1974- 1980, from Past Imperfect
Deborah Turbeville – from serie Ecole Des Beaux Arts, 1974- 1980, from “Past Imperfect
Deborah Turbeville – from serie Ecole Des Beaux Arts, 1974- 1980, from “Past Imperfect
Deborah Turbeville – fromEcole Des Beaux Arts, 1977, from Past Imperfect
Deborah Turbeville, Ecole Des Beaux Arts, Paris, 1977 ( Collage) , from Past Imperfect
Deborah Turbeville, Ecole Des Beaux Arts, Paris, 1980 ( Collage) from past imperfect
Deborah-Turbeville-Glass House Sonia Rykiel-Facade, Magazine Normandie-France, 1978
Deborah Turbeville – The glasshouse, from Past Imperfect
Deborah Turbeville, Women in The Woods Italia, Montova, Italy, 1977, from past imperfect (2)
Deborah Turbeville, L’Heure Entre Chien et Loup, Ella, Anna, Isabelle, Fredericke and Robin in Valentino at the Bois du Faux Repos, VOGUE Italia, 1978 from Past
L’Heure Entre Chien et Loup (Collage) VOGUE Italia, Montova, Italy, 1977
L’Heure Entre Chien et Loup, Vogue Italia – Deborah Turbeville , 1978 from past Imperfect
Deborah Turbeville, L’Heure Entre Chien et Loup, Blumarine, VOGUE Italia, Montova, Italy, 1977 from past imperfect
Deborah Turbeville, Women in The Woods, Ella, Anna, Isabella, Fredericke, and Robin in Valentino at the Bois du Faux Repos, VOGUE Italia, Montova, Italy, 1977
Deborah Turbeville, Isabella a in Blumarine, VOGUE Italia, Montova, Italy, 1977, from past imperfect
Deborah Turbeville, Women in The Woods,Isabella and Elle in Blumarine, VOGUE Italia, Montova, Italy, 1977, from past imperfect (2)
L’Heure Entre Chien et Loup, Women in The Woods Series by Deborah Turbeville for Vogue Italia, 1977 from the book of photographs, Past Imperfect
L’Heure Entre Chien et Loup, Blumarine, VOGUE Italia, for Vogue Italia, 1977 from the book of photographs, Past Imperfect
L’Heure Entre Chien et Loup, Vogue Italia – Deborah Turbeville , 1978
L’Heure Entre Chien et Loup, Women in The Woods Series by Deborah Turbeville for Vogue Italia, 1977_ from the book of photographs, Past Imperfect
Deborah Turbeville -L’Heure Entre Chien et Loup, Model Isabelle Weingartenclothing by Blumarine, Montova, Italy, Vogue Italia, 1977
Deborah Turbeville, Steam Bath Series, Tanya, New York, 1984
Deborah Turbeville, Steam Bath Series, Tanya, New York, 1984
Deborah Turbeville, Steam Bath Series Tanya, New York, 1984 from past imperfect
Deborah Turbeville, Steam Bath Series Tanya, New York, 1984 from past imperfect
Deborah Turbeville- collage shot for le Vogue Italia, Paris, 1986 from past imperfect
Deborah Turbeville -The Staircase, Commes des Garcons, Passage Vivienne, Paris, 1980, from the book of photographs, Past Imperfect,(ed• Steidl, 2009)
Deborah Turbeville – The Staircase, Commes des Garcons, Passage Vivienne, Paris, 1980, Past Imperfect
Deborah Turbeville, The Staircase – Aurelia Weingarten in Commes des Garcons, Passage Vivienne, Paris, 1980
Deborah Turbeville, The Staircase, n in Commes des Garcons, Passage Vivienne, Paris, 1980
Deborah Turbeville, The Staircase, Aurelia Weingarten in Commes des Garcons, Passage Vivienne, Paris, 1980
Deborah Turbeville, The Staircase- Commes des Garcons, Passage Vivienne, Paris, 1980
Deborah Turbeville, Woolf Form Dummy Factory in New York, Calvin Klein Shoes, 1974
Deborah Turbeville, For Charles Jourdan Mannequins in clothes by Betsy Johnson, Woolf Form Dummy Factory in New York, 1974, from Past imperfect
Deborah Turbeville, Woolf Form Dummy Factory in New York, Calvin Klein Shoes Poland, 1974
Deborah Turbeville, For Charles Jourdan, Clothes by Betsy Johnson, Woolf Form Dummy Factory in New York, 1974
Deborah Turbeville, For Charles Jourdan Candy Pratt, Betsy Johnson, Ti, Beverly Morgan, Mary Martz, and Christa in clothes by Betsy Johnson, Woolf Form Dummy Factory in New York, 1974
Deborah Turbeville – from Wallflower, 1978
Deborah Turbeville, Diana Vreeland, New York, VOGUE, 1981 from past imperfect
Deborah Turbeville – Diana Vreeland, 1981
Deborah Turbeville- Diana Vreeland , 1981
Deborah Turbeville, Diana Vreeland’s Shoes, New York, VOGUE, 1981 from past imperfect
Deborah Turbeville – Masks at venice carnival,
Deborah Turbeville -After Carneval, from serie Masks at venice carnival,
Deborah Turbeville – Mask at venice carnival,
deborah turbeville- Bathhouse series, Vogue 1975. Photography by Deborah Turbeville, from past imperfect
deborah turbeville- Bathhouse series, Vogue 1975. Photography by Deborah Turbeville, courtesy of Staley-wise Gallery, New York.
deborah turbeville- Bathhouse series, Vogue 1975. Photography by Deborah Turbeville, courtesy of Staley-wise Gallery, New York.
Deborah Turbeville-Rosima in Comme des Garçons – 1985 – The garden at Château de Vaux-le-Vicomte, France
Deborah Turbeville-Rosima in Comme des Garçons – 1985 – The garden at Château de Vaux-le-Vicomte, France
Deborah Turbeville-Untitled for Parc Vaux le Vicomte, france, 1985, (postcard)
Deborah Turbeville- Rosana, Parco, Paris, 1985, from the book of photographs, Past Imperfect,(ed• Steidl, 2009)
Deborah Turbeville- Rosana, Parco, Paris, 1985, from the book of photographs, Past Imperfect,(ed• Steidl, 2009)
En 1978, alors que la photographe vivait à Paris, Jacqueline Onassis lui commande cette série afin de réaliser un livre de photographies sur les pièces secrètes du château de VersaillesUnseen Versailles verra le jour avec cette commande.
Unseen Versailles. Photographs by Deborah Turbeville. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981
Deborah Turbeville- Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981
Deborah Turbeville- Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981
Deborah Turbeville- Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981
Deborah Turbeville- Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981
Deborah Turbeville- Petit theater of Marie Antoinette, Versailles, 1978
Deborah Turbeville -Versailles, boiseries dans la chambre de Mme Adelaïde, Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981
Deborah Turbeville, Reflection , Unseen Versailles, Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981
Deborah Turbeville- Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981
Deborah Turbeville- 12 plates from The Louyre, Versailles, from Unseen Versailles. Photographs by Deborah Turbeville. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981
Deborah Turbeville- Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981
Deborah Turbeville. Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981
Deborah Turbeville- Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981
Deborah Turbeville- Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981
deborah turbeville- versailles, january 15th, 1980 Unseen Versailles. Photographs by Deborah Turbeville. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981
Deborah Turbeville – from Unseen Versaille, 1981
Deborah Turbeville- Unseen Versailles. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981
Deborah Turbeville- Versailles, 15 janvier 1980 from Unseen Versailles. Photographs by Deborah Turbeville. Introduction by Louis Auchincloss. Doubleday & Co., Garden City, NY, 1981
Deborah Turbeville- ‘What Happened at Versailles ?’ for Vogue US, December 1980
Deborah Turbeville- Versailles from past imperfect
Né en 1910 d’un père sculpteur et d’une mère musicienne, ils ont encouragé Fonssagrives à faire des son plus jeune âge ce qu’il aimait le plus: il s’est donc intéressé très tôt à la science, l’art, le sport, la gymnastique et la danse.Il a déménagé enAmériqueà l’âge de 18 ans afin de poursuivre ses études de danse, et n’ est retourné enEurope qu’à l’âge de 21 ans pour effectué son le service militaire.Suite à cela, il a rejoint une compagnie de danse allemande, où il a rencontré la danseuse suédoise Lisa Bergstrom qui est devenue sa partenaire de danse, puis sa femme. Son œuvre la plus mémorable retrace le partenariat unique qu’il a eu avec elle ( qui fût sa première femme), le modèle légendaire qu’est Lisa Fonssagrives (qui ensuite se maria au grand Irving Penn).
Lisa est en partie « responsable » du travail photographique que Fonssagrives mena. En effet, elle lui offrit un appareil, après que sa carrière de danseur ne prenne fin en raison d’une blessure. Cet appareil dira-t-il ; «Il est devenu une partie de mon corps. »
Fernand et Lisa passent deux ans en Europe, ce grâce à la vente des photos qu’il réalise d’elle ( 50 publications européennes) . Lisa est devenue Le modèle demandée par tous, et fît une carrière de mannequin notoire. Malheureusement, leurs carrières ont divergé et le mariage a pris fin; Lisa était l’incarnation de la mode, et si Fonssagrives travaillé pour la crème de l’industrie du magazine comme Vogue, Bazaar et Town & Country Harpers, il finit par se lasser voir haïr le mode de la mode .
Pour retrouver sa liberté créative après toutes ces désillusions avec la photographie publicitaire, il a déménagé àEspagne et s’est mis à sculpter, et a retrouvé son indépendance créative. De retour àNew Yorkaprès deux ans, ses sculptures trouvent un grand succès et se vendent très bien.
il a fini les restes de ses jours à Little Rock.
Fernand Fonssagrives – Studio Couch,perspective, modèle Lisa Fonssagrives, 1956
Fernand Fonssagrives – Chequered, modèle Lisa Fonssagrives, 1950
Fernand Fonssagrives – Perspective Pointilleimage, modèle Lisa Fonssagrives, 1955-56
Fernand Fonssagrives – Untitled, modèle Lisa Fonssagrives , 1950
Fernand Fonssagrives -Untitled, modèle Lisa Fonssagrives , 1950.
Fernand Fonssagrives – Contours 1954-1958
Fernand Fonssagrives – Suzette 1954
Fernand-Fonssagrives-Sand fence, 1930
Fernand Fonssagrives- Negresco Balcony, modè le Lisa Fonssagrives, Nice, 1934
Fernand Fonssagrives- 3 plaches de Lisa, 1950 published in figure# 1-(greenwich-village, nudes) , 1951
Fernand Fonssagrives- Lisa, 1950 published in figure# 1-(greenwich-village, nudes) , 1951
Fernand Fonssagrives- untitled, 1950, published in figure# 1-(greenwich-village, nudes) , 1951
Fernand Fonssagrives Saut et bateau, modele Lisa, 1937
Fernand Fonssagrives- Elan, 1935
Fernand Fonssagrives – Nip Up, 1935
Fernand Fonssagrives- Nu Sable, model Lisa, 1949.
Fernand Fonssagrives- “Mexican Extravaganza”, Lisa Fonssagrives, 1949
Fernand Fonssagrives- Le Plage de Cabasson, Lisa Fonssagrives, 1936
Fernand Fonssagrives – La truite, 1935
Fernand-Fonssagrives-One Side light, 1940s( detail)
Fernand Fonssagrives- untitled, 1950, published in figure# 1-(greenwich-village, nudes) , 1951
Fernand Fonssagrives- 2 planches, 1950, published in figure# 1-(greenwich-village, nudes) , 1951
Fernand Fonssagrives- Untitled, 1950, published in figure# 1-(greenwich-village, nudes) , 1951
Fernand Fonssagrives- The Dancer, 1952.
Fernand Fonssagrives- Fibonacci’s Dream I, 1955
Fernand Fonssagrives – Fibonacci’s Dream II 1950s
Fernand Fonssagrives- The Coat Hanger, 1940s
Fernand Fonssagrives-Stretching Mesh. For Hanes Hosiery , 1958
Après avoir rejoint le pictorialiste renommé Alfred Stieglitz pour soutenir le mouvement « Photo-secession » aux États-Unis au debut 1900, période durant laquelle , l’appareil photo était pour Steichen un outil, au même titre que le pinceau ou le fusain, au moyen duquel exprimer sa perception de la vie
Après la Première Guerre mondiale, au cours de laquelle, il revient à la « straight photography », il évolue ensuite progressivement vers la photographie de mode. Au début des années 1920, l’éditeur américain Condé Nast le choisit pour devenir le photographe en chef des publications du groupe, imposant ses exigences en matière de photographie : « La distinction, l’élégance et le chic. » Il travaille particulièrement pour Vanity Fair et pour Vogue, magazines pour lesquels il réalise notamment de nombreux portraits de célébrités, démontrant une grande capacité à mettre en valeur ses sujets. Il travaillera également étroitement avec Carmel Snow d’Harper’s Bazaar.
Il photographie Gloria Swanson en 1924, puis l’une de ses photographies de l’actrice Greta Garbo, datant de 1928, parue en couverture du magazine Life le , est considéré comme l’un des portraits in.oubliables de l’actrice
Edward Steichen- Gloria Swanson en 1924
Edward Steichen- Greta Garbo,1938
Edward Steichen- Greta Garbo,for Life magazine 1955
Edward Steichen fut aussi le photographe principal de Vanity Fairet de Voguedans les années 20 et 30.
Reconnu pour son style distinctif et l’usage qu’il faisait de la lumière dans ses portraits dès le début du siècle, Steichen consacra sa vision artistique à « transformer la photographie de mode et à capturer la sophistication de la femme moderne . Son travail pour la mode en particulier à révolutionné le genre de la photographie de mode.
Edward Steichen-Actress Corinne Griffith, standing in front of lilies and a painting with gilt frame,pulished in vanity fair in1920
Tamaris with Hand-Colored Modernist Scarf, 1925 (Edward Steichen)
Anita Chace wearing a shawl with a huge abstract print and crocheted trim with long fringe for American Vogue, 1925 by Edward Steichen
Edward Steichen- Actress Lenore Ulric wearing a headwrap and pearl necklace., pulished in vanity fair in1925
Edward Steichen- Gertrude Lawrence covering her face with a fanpulished in vanity fair in.1929
Edward Steichen- Portrait of Jeanne Jacqueline Harper, mother of artist Niki de Saint Phalle wearing a Persian costume.pulished in vanity fair in1925
Edward Steichen- Touch is Love, 1934
Edward Steichen – Fashion shoot, 1931
Edward Steichen – Kendall Lee for Cartier, 1925
Edward Steichen – Marlene Dietrich, for American Vogue, 1935
Edward Steichen – American actress Mary Heberden, for Vogue, 1930´s
Edward Steichen -Model unknow, for Vogue, 1930’s
Edward Steichen -Model unknow, for Vogue, 1930’s
Edward Steichen – Marion Morehouse in the Louise Boulanger dress ,1926
Edward Steichen -model Margaret Horan in a black {dress by Jay-Thorpe}, for Vogue,1935
Edward Steichen- For Poiret Fashions, 1911 {from Art et Décoration}
Edward Steichen -Model Marion Morehouse (dress by Kargère) // masks by the illustrator W.T. Benda, 1926
Edward Steichen -Model Marion Morehouse ( dress by Kargère) // masks by the illustrator W.T. Benda, 1926
Edward Steichen -Models Marion Morehouse (in a bouffant dress) and the actress Helen Lyons (in a long sleeve dress by Kargère) // masks by the illustrator W.T. Benda, 1926.
Edward Steichen- Model unknow (ensemble de la créatrice Suzanne Talbot) , 1925
Edward Steichen – Unknow model for American Vogue, 1923
Edward Steichen- Dorothy Smart ,for Vogue America, 1926
Edward Steichen – for Vogue 15 October 1939.
Edward Steichen, Actress Joan Crawford in a dress by Schiaparelli, 1932
Edward Steichen, Model Wearing Velvet Cloche by Reboux, 1925.
Edward Steichen, Vogue, 1928
Edward Steichen- Woodbury Soap Advertisement , 1936
vogue-1933-photograph-by-edward-steichen
Actress Pola Negri by Edward Steichen-, Vanity Fair june-01-1925
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.